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hadad abdelkader dit nacer dit “el-djen” “ya katal el rouh win

  • Hadad Abdelkader dit Nacer dit “El-Djen” “YA KATAL EL ROUH WIN ATROUH.....”

    Hadad Abdelkader dit Nacer dit “El-Djen”

    “YA KATAL EL ROUH WIN ATROUH.....”

     

     

     

    Introduction :

    Avec des terminaisons (exécution des victimes kidnappées) pouvant atteindre quelques fois plusieurs dizaines par semaine, les années 1990 sont pour le CPMI les plus sanglantes à ce jour. Au début, entre 1990 et 1994, le traitement (torture) des sujets militaires est la plus haute priorité des services opérationnels du DRS, l’objectif étant bien sur la purification du cercle militaire des éléments nuisibles aux actions du commandement de l’ANP. Il est sans nul doute impossible de donner avec précision le chiffre exact des victimes de Hadad Abdelkader dit Nacer dit “El-Djen avec son copain de promo et ami: Brahimi Louanes dit Hocine ; qui a rejoint le CPMI à la même date et au même service de Recherche.

    Hocine l‘émir du GIA connu distinctivement pour sa barbe et ses prêches religieux d’une qualité à faire pâlir certains imâms, accompagne chaque soir Nacer pendant les séances de tortures et arrose ses victimes tantôt de versés de coran et tantôt d’une élocution du prophète(SAWS). Quand il quitte la sale de torture du CPMI pour laisser place à Nacer, il déguste une cannete de bière Kronenbourg dont il raffole ! Hadad Abdelkader dit Nacer dit “El-Djen”, dit “l’effaceur” et Brahimi Louanes dit Hocine, constituent une paire qui fait régner la terreur parmi les militaires et les civils pendant longtemps.

     

     

     

    Si l’on considère strictement une moyenne d’une terminaison par semaine d’un “objet ” en fin d’exploitation au CPMI seul ; uniquement pendant une période de dix ans ; le nombre total est déjà effarant ! Ceci bien entendu sans prendre en compte les missions extérieures de Hadad Abdelkader hors CPMI à savoir dans les autres CMI des différentes régions militaires surtout celui de Constantine, ou les missions ponctuelles spéciales “Liquidations” décidées par le commandement du DRS. Et s’il l’on rajoute à cela l’ensemble des autres bureaux de la DCSA on a vite fait le tour des totaux de victimes civiles et militaires qui ont succombé entre les mains des tortionnaires de la DCSA.

    Bien que la mission de la DCSA soit limitée à la protection de l’armée en général, dès 1992 elle outrepasse en réalité ses prérogatives légales et déborde du contexte exclusivement militaire pour étendre son domaine d’action au champ civil. Est-ce pour dire ainsi que la DCSA devient hors la loi ? Techniquement oui ! Toutes les missions “anti-terroristes ” n’ayant pas pour objet au moins un élément militaire ou une personne civile assimilée (PCA) qui soit impliqué ou n’ayant pas pour objectif la sécurité directe de l’armée sont des missions hors la loi. Par conséquent, il devient logiquement justifiable de chercher les raisons derrière un tel amalgame.

    La réponse en faite est assez simple ; normalement c’est au DCE et au ministère de l’intérieur de gérer les matières relatives à la sécurité intérieure du pays, ce qui signifie pratiquement la mise à l’écart du général Toufik, la diminution de son autorité au profit de celle du DCE en l’occurrence Smain Lamari qui rend compte directement au président, chose que Toufik a toujours refusé !

    La question des attributions de la DCSA est une source de conflit permanent depuis la création du DRS par Toufik en 1990. Mohamed Mediene Toufik qui est lui-même un ancien directeur de la DCSA donne au colonel Kamel Abderrahmane des ordres clairs ; carte blanche pour intervenir sur le terrain opérationnel de la DCE. Appuyé par le soutien tactique du GIS ; la DCSA prend vite le dessus. Les officiers des services opérationnels de la DCSA (CPMI, CMI,…) bénéficient de suite d’avantages en tous genres ; une immunité absolue, un laisser-faire du commandement quant aux méthodes opérationnelles, rapines, raquettes, viols, vols, malversations, acquisitions de richesses en tous genres par des moyens illégaux….En échange de leurs loyauté. Le laisser-faire ou la compromission de ces dits officiers donne au commandement du DRS, à savoir Toufik, le pouvoir de manipuler totalement ces officiers hors la loi. Au moindre signe de fléchissement dans le rendement ou hésitation à suivre les ordres ou une désobéissance même minime: l’usage de la loi tombe comme un couperet suivi par une traduction devant le tribunal militaire pour donner l’exemple et remettre de l’ordre dans la boite ; les éléments les plus récalcitrants sont tout simplement neutralisés !

    Le général Toufik encourage ses éléments, officiers et sous-officiers, à violer la loi pour mieux les contrôler, en faite c’est la corde qu’ils leur passe au cou; et ces derniers portés par la vague d’impunité prennent vite l’habitude d’être au dessus de la loi qu’ils finissent par ne plus la reconnaitre ! En fin de compte, pour Toufik seul le rendement sur le terrain compte ; les responsables des centres opérationnels de la DCSA doivent coûte que coûte faire mieux que la DCE et la sûreté nationale, une porte ouverte à la barbarie !

     

     

     

    Affiliation de Hadad Abdelkader:

    Ses parents, Hadad Rabah et de Bahbouh DDjouahar quittent la localité de Ras el Oued prés de Sétif vers 1968 pour venir rejoindre la sœur de Djouahar ; Khadoudj qui habite les Tagarins à Alger. Khadoudj Marouf, sa tante est mariée à un militaire qui travaille pour les services des transmissions. En arrivant à Alger, les parents de Nacer s’installent dans une baraque qu’ils construisent juste à côté de la villa de sa tante Khadoudj.

     

    Lakhal Ayat
    La Maison de la tante de Nacer El-Djen aux Tagarins qui est en vente acctuellement

     

    Hadad Abdelkader dit Nacer grandit dans cette localité paisible et fait ses études primaires localement. Il est connu pour être lent dans son comportement et donne l’apparence d’un garçon aux capacités mentales limitées ! Il est d’ailleurs surnommé par les enfants de son âge ; Abdelkader “ Tarara” sans être maltraité d’aucune manière que se soit. La famille de Hadad Abdelkader est à ce moment là composée de ses parents et d’un frère unique, Mehrez qui n’est pas plus brillant que son frère ainé.

     

    Lakhal Ayat
    Ici se dressé la baraque construite par les parents de Nacer et détruite en 1985,
    le terrain a été récupéré et annexé par la tante
    de Nacer sur lequel elle a construit ce garage.

     

    En 1985, l’opération de destruction des bidons villes qu’engage le gouvernement vient perturber le quotidien de la famille qui est contrainte de déménager pour Dergana près de Bordj El Kifane où elle a eu un logement. A cette époque, le mari de sa tante Khadouj est déjà décédé suite à un accident de la route et Khadoudj vit depuis avec ses deux garçons et ses deux filles, elle se remariera plus tard et fondera une famille recomposé.

    A Dergana, Hadad Abdelkader termine ses études secondaires au lycée près de chez lui, et obtient miraculeusement le bac et décide alors de rejoindre l’armée. Sa tante Khadoudj va lui être d’un grand secours…. En effet, Khadoudj Marouf entretient depuis son arrivée au quartier des Tagarins des relations très étroites avec les épouses d’autres militaires et gagne en notoriété, elle marie sa faille à un militaire qui est actuellement colonel avec l’ami intime de Kamal Abderrahmane qui n’est à l’époque qu’un officier de premier rang. Elle marie même certaines connaissances avec des militaires et tisse une toile sociale assez étendue dans le cercle militaire. Khadoudj est tellement influente qu’elle arrive à pousser son frère Noureddine Bahbouh (L’oncle maternel de Hadad Abdelkader) à devenir une première fois ministre de l’agriculture dans le gouvernement Mokdad Sifi en avril 1994, et une deuxième fois ministre dans le gouvernement Ouyahia de Janvier 1996 comme ministre de l’agriculture et de la pêche.

    Hadad Abdelkader opte pour le DRS et réussit toujours grâce à sa tante Khadoudj, une entrée pistonnée à l’école des techniques de sécurité de Beni-Messous ; il passe le concours pour la forme et connait déjà le résultat à l’avance. Durant sa formation à l’ESTSM, il ne passe pas inaperçu avec son volume, sa lourdeur habituelle. Son comportement étonne ses camarades de promo et sème le doute quand a la manière avec laquelle il rejoint l’école. A l’issue de son stage il est affecté en Septembre 1991 au CPMI de Benaknoun grâce à l’intervention efficace de Kamel Abderrahmane qui le prend sous son aile après les recommandations de sa tante qui veut le garder à Alger. Il faut dire que Hadad Abdelkader dit Nacer jouit d’une chance inouïe et va faire une carrière hors du commun au sein du DRS grâce encore à sa tante!

    Le ministre Noureddine Bahbouh rend un service de taille à sa sœur Khadoudj, en effet Kamel le fils ainé de Khadoudj qu’elle a réussi à placer comme PCA au niveau de l’hôpital militaire de Ain Naaja, transféré ensuite à la clinique des Oliviers suite à une faute grave, ne brille pas et patauge dans un quotidien qui ne plait pas beaucoup à sa mère ! Son oncle le ministre lui obtient un crédit de la banque agricole “BADR” d’un montant de plusieurs millions de dinars ; lui donne l’exclusivité d’importer un élevage bovin important qu’il installe dans une ferme nouvellement construite dans la région de M’sila où il a des amis sur lesquels il peut compter. Son cheptel est alors vendu sous le manteau à des connaissances et l’élevage est faussement déclaré décimé par la maladie aux autorités grâce à des complicités. Kamel Marouf déclare faillite et le crédit n’est plus remboursé ; au même moment c’est son frère Toufik Marouf nommé à la “BADR” par son oncle ministre qui lui facilite la sortie !

     

    NourdineBahbouh   ToufikMarouf
    Noureddine Bahbouh
     
    Toufik Marouf

     

    Par la suite Kamel Marouf obtient un autre crédit et part s’installer à Annaba et pour sa nouvelle affaire qu’il partage avec Haddad Abdelkader dit Nacer ; l’exportation des métaux ferreux et non ferreux. Kamel Marouf est impliqué dans l’affaire d'exportation des métaux ferreux vers Israël, est couvert par son cousin et associé Hadad Abdelkader. La fortune de Hadad Abdelkader est immense, des villas partout, dont deux pour ses parents à Draria, Dergana, des lots de terrains, …..Leur fortune est immense et la quantité d’or que Nacer dit “El-Djen” ramasse lors des ses interventions dans les opérations du CPMI est colossale et dépasse la tonne ! Nous détaillerons les mécanismes d’enrichissement de Haddad Abdelkader dit Nacer qui est le même pour les officiers criminels du DRS, le DRS qui devient une mafia aux règles de partages strictes des biens de l’Etat, à chaque grade son niveau de rapine et sa chasse gardée ; les officiers intègres sont mis à l’écart au même moment et sont même salis au besoin, c’est le system TOUFIK !

    Il est à signaler que l’ex ministre Noureddine Bahbouh gravite autour du DRS depuis son poste de ministre, député RND….etc, il vie comme un pacha entres les affaires et les missions ponctuelle du DRS dont la dernière en février 2011 dans le cadres du Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD).

    La suite c’est l’ascension de Haddad Abdelkader Nacer dit “El-Djen” grâce à un réseau d’agents efficaces dont le plus important : Mourad Bouhazame dit Chouki est offert par sa tante Khadoudj…. !!! Mourad Bouhazame donnera à Nacer dit “El-Djen” des dizaines de cibles ; elles périront presque toutes et compteront parmi les disparus !!

     

     

     

    Nous invitons toutes les familles des victimes civiles et militaires de Hadad Abdelkader dit Nacer El-Djen et Brahimi Louanes dit Hocine de se mettre en contact avec le MAOL, de nous envoyer tous renseignements et photos les concernants car par devoir, les crimes des officiers du DRS ne doivent pas rester impunis.

    Nous implorons tous ceux qui peuvent contribuer à faire éclater la vérité et faire avancer la justice de briser le mur de la peur et de témoigner même de manière anonyme pour exposer les crimes de ces officiers tortionnaires que le général Toufik protège au sein du DRS comme des bijoux avec leur ex. chef le général Tartag Bachir dit Athman.

    Nous garantissons l’anonymat de toutes les personnes qui nous contactent et leur affirmons que leurs identités ne seront jamais révélées.

     

    A suivre…..