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Veuve de Khider : « Mon mari a giflé Boumediene »

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La  veuve  de Khider est revenu dans un long entretien sur la vie de son époux au journal El Watan, un des chefs historiques tués en janvier 1970 à Madrid par les hommes du sinistre Boukharouba.

 

Sur ce dernier, la veuve Khider, née Outudert, qui n’est autre que la belle sœur de Hocine Aït Ahmed, a raconté que le comportement de Boumediene au Caire, ou il était étudiant en 1958, a provoqué plusieurs fois des incidents diplomatiques à la délégation du FLN dirigé par son époux. «  Un jour, Boukharouba et un de ses amis on squatté une belle villa au Caire qu’il a utilisé comme sa propriété privée. Au retour du propriétaire  et de sa femme, il a directement appelé la police. Ainsi les services de sécurité égyptiens ont contacté mon mari. Il s’est déplacé sur les lieux avec Hocine Aït Ahmed. Hors de lui, il a giflé Boukharouba pour son comportement de voyou. Il l’a libéré de la police puis la délégation du FLN leur a loué un appartement »,  a relaté la femme de Mohamed Khider.

 

Cette anecdote, à elle seule, suffit pour comprendre d’abord que ce Boukharouba n’est pas seulement mal éduqué mais il ne recule devant rien pour arriver à ses fins. On se demande comment les dirigeants du FLN ne l’ont pas écarté dès le départ. Ce petit dictateur a confisqué la liberté à ce jour aux algériens qui ont lutté plus de 132 ans.  Boumediene est certainement impliqué dans d’autres histoires de petit délinquant.  Si la veuve Khider a raconté un peu sur lui, ceux qui l’ont côtoyé savent plus mais ne le disent rien.

 Ravah Amokrane

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