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L'infinie tristesse des surlendemains
le 23.04.14 | 10h00 1 réaction
En ces jours d'après-plébiscite, le plus triste est ce fin mot de l'histoire, celle de délinquants recrutés par le directeur de campagne de Bouteflika à Tizi Ouzou qui n'ont pas été payés et ont profité de la marche pour casser et se venger. Entraînant une riposte extrêmement brutale de la police, au point où la DGSN a ouvert une enquête. Le régime, source de stabilité, est donc à l'origine et à la conclusion de ces tristes événements, par les délinquants qu'il paye pour assurer la sécurité de ses ministres détestés, puis par la sauvage répression qui s'abat sur des civils noyautés par les mêmes délinquants.
Non, peut-être que le plus triste est cette version de l'histoire qui commence à être relayée par les télévisions et les journaux privés financés par l'Etat, expliquant après avoir tenté de nier que ces images viennent d'Algérie ou qu'elles viennent de 2001 (comme si c'était moins grave), que les policiers qui ont participé à ces exactions sont des individus qui ont revêtu des uniformes de police. C'est là où il devient très triste de réaliser qu'en Algérie, on peut acheter des uniformes de la police, des matraques, des casques et des bottes qui font mal dans la supérette du coin. Non, en fait, le plus triste est ce triste Ould Ali El Hadi, directeur de campagne de Bouteflika, mais dont la fonction officielle est directeur de la culture de Tizi Ouzou, ce qui renseigne tristement sur l'état de la culture.
En réalité, non plus, le plus triste est d'assister à la vie trépidante du chef de l'Etat, venu sur sa chaise, votant assis pour repartir se coucher. Et si la véritable tristesse était cette tristesse collective qui n'en finit pas et n'est même pas récupérable ? Car si les mères et les épouses n'avaient pas décidé par lassitude d'arrêter de pleurer, l'Algérie serait l'un des pays les mieux arrosés de la planète. On aurait même pu y faire pousser des pâtes et de la joie.
Chawki Amari
Vos réactions 1 -
Algérie : manifestation anti-Bouteflika à Alger
http://www.itele.fr/monde/video/algerie-manifestation-anti-bouteflika-a-alger-74977
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ALGERIE non-lieu pour la campagne électorale
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zombieland
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PEUPLE DE'GAGE
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la table
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Avec des si
Deux écoles. La première, celle de la primauté de l'alphabet sur le militaire : construire avec l'ABC de l'indépendance en poche le pays par le début avec des A et des B. Abdelaziz Bouteflika, Abdelaziz Belkhadem, Amara Benyounès, Abderrahmane Belayat et Ali Benflis ou Amar Bouzouar, longue suite oligarchique des 100 B, de Ben Khedda à Bendjedid en passant par Ben Bella et Boumediène. La deuxième école est celle des notables, avec des si et des Si, à l'image du nouveau dernier, Si Ali, plus connu sous le pseudonyme de Si Toufik. Si Ali, Si Amar, Si Affif, Si Ahmed, Si Abdelmalek, Si Abdelaziz… Si et si seulement si tous des Si à qui l'on doit le respect mais qui ne vous respectent pas forcément. Mais si Si Ali et si Si Ali l'autre, Benflis, candidat à la rime parfaite, Benflis raïs devient Président, il passera de Si Ali à Fakhamatouhou, grand changement pour la nation. Ce n'est pas encore le cas, juste un si, Si Ali s'appelle toujours Si Ali même si l'on a aujourd'hui du mal à le différencier, puisque Si Ali, l'autre, le Dieu, serait toujours en poste, à l'entrée du Ciel.
Mais si c'est vrai que Si Ali, pas le futur Président, l'autre, vient d'être poussé à la retraite par Si le président, faudra-t-il voter pour Si Ali le candidat ? Bien sûr, ce ne sont que des si et avec des si on peut faire six mandats si les Si le veulent. Avec des si, on pourrait même mettre Alger en bouteille, là où l'on n'a réussi pour l'instant qu'à remplir des bouteilles avec les rumeurs d'Alger. Mais avec des Si – pas des si – il faut bien avouer que l'Algérie n'a pas avancé, même pas poussée par le Printemps arabe et ces réformes qui ne sont jamais arrivées, remplacées par des guerres de pouvoir. Au final, empêtrée dans des si et des Si, l'Algérie nouvelle reste encore une hypothèse. Sur ce point, les Egyptiens ont réglé le problème à leur manière, leur président est général et s'appelle Sissi.
Chawki Amari
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Un système dans tous ses états
Par : Mustapha Hammouche
En théorie, l’Algérie est en phase préélectorale. La date de l’élection présidentielle étant connue, les prétendants devraient être en plein préparatifs pour remplir les conditions légales de leur candidature, finaliser le contenu de leur programme et organiser leur prochaine campagne.
Non, au lieu de cela, et après avoir passé plusieurs semaines à scruter les déclarations des représentants du pouvoir pour y déceler des signes sur les intentions du Président sortant, on nous invite à suivre les péripéties d’une explication entre les deux centres de pouvoir.
Tantôt présenté comme le résultat de leur connivence, tantôt comme celui de leur rapport de force, le pouvoir de demain dépendra donc de la manière dont l’antagonisme de ses acteurs, qui se manifeste aujourd’hui de diverses manières, se résoudra.
Pendant que les sphères de pouvoir sont occupées à dépasser la contradiction à laquelle le régime est parvenu du fait même de sa nature clanique, quelque quatre-vingts postulants ont retiré les formulaires de souscription dans le but de s’engager dans la compétition pour la présidence de la République.
La plupart de ces “candidats” ne se sont même pas fait connaître publiquement. Parce qu’ils n’y croient pas vraiment, ou parce qu’ils n’ont pas trouvé le moyen de se révéler au potentiel électorat. À moins qu’ils attendent, eux aussi, que se résolve la querelle en haut lieu en cours et que cessent les controverses révélatrices de la crise de régime. Le contraste entre l’affluence devant le guichet d’inscription des candidatures à l’élection présidentielle et la timidité des aspirants candidats est saisissant. Et beaucoup “bénéficient” de l’anonymat qui leur permet d’avancer à reculons. Comme s’ils craignaient de déranger un jeu auquel ils voudraient s’intégrer par effraction. Hormis quelques anecdotiques interventions dont l’on ne retient que les fantaisistes promesses, très peu de débuts de programmes ont été versés au débat public, ou ce qui en tient lieu, par les candidats à la candidature. Et même les bribes de messages émis sont couvertes par les éclats de voix des disputes au sommet.
Finalement, il n’y a que ceux qui poussent à un quatrième mandat ou s’y opposent qui se permettent une certaine clarté de position.
Et même là, des nuances apparaissent depuis que le sujet s’avère conflictuel au sein même des composantes du régime. Moins d’un mois avant la finalisation de la liste des candidats à la magistrature suprême, l’engagement des forces politiques et de leurs personnalités est suspendu à l’issue de cette question.
Cet état de fait nous entraîne loin de la norme électorale. Les institutions ne sont là que pour tenter de décerner un caractère républicain à un mode de production du pouvoir fondé sur un système de compétition et d’alliances entre coteries. Jusqu’ici, les protagonistes ont su confiner leurs joutes dans des périmètres protégés. Mais, cette fois-ci, les affrontements semblent être trop violents et les enjeux trop grands pour qu’ils observent la sainte règle de la discrétion des affrontements de palais.
La réalité d’un système qui manipule les attributs de la démocratie plutôt qu’il ne les cultive a éclaté au grand jour. Et nous en sommes les témoins accidentels, après en avoir été longtemps les victimes.M. H.
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Islam, islamisme et vertu
Par : Mustapha Hammouche
Le Ramadhan, tel qu’il se pratique dans notre société, a son versant sombre. Une facette faite de dérives comportementales que l’on s’efforce de cacher pour ne pas compromettre la réputation d’un mois censé être celui de l’autocontrôle, de la rectitude et de la maîtrise de ses instincts.
Mais les faits, têtus, nous rappellent à la réalité. Le Ramadhan pose d’abord une vraie question de mœurs de consommation. Il serait plus utile de la poser, cette question, que de continuer à polémiquer annuellement sur qui, de la poule ou de l’œuf, du commerçant ou du consommateur, est à l’origine du spectacle peu reluisant des cohues quotidiennes devant certaines échoppes, de l’opportunisme mercantile de tant de commerçants, de l’avidité alimentaire qui nous fait jeter six millions de pains pendant ce mois d’abstinence, de villes fantômes pendant les jours de… fête de l’Aïd. À ceci, on le voit déjà : un peuple qui jeûne n’est pas forcément un peuple qui raisonne. Pourtant, le rite part d’une intention inverse : l’empire de la sagesse et de la retenue sur une communauté d’humains ballotés, le reste de l’année, par leurs instincts, leurs sens et leurs calculs d’intérêts.
À l’occasion, le jeûne justifie aussi notre libertinage civique : celui-ci s’exprime par les débordements langagiers et par les retentissantes rixes qui, sous prétexte d’irritabilité, se multiplient à l’envi dans un espace public où ne régnait déjà pas la courtoisie. Il s’exprime surtout sur la route. De manière tragique : au 27e jour de jeûne, le bilan de la Gendarmerie nationale s’élevait à 345 tués par accident de la circulation. Et, pour les trois jours du 7 au 9 août, à 36 morts ! Avec près de 400 morts, c’est le mois le plus sanglant d’une année, qui, comme les précédentes, s’avère encore meurtrière. En 2012, pour 4,5 millions d’automobilistes, la route a fait 4 447 victimes ! La même année, la France, qui compte 40 millions d’automobilistes, a enregistré 3 645 décès !
Il n’y a pas que l’incivisme et la criminalité de la voie publique qui prolifèrent au Ramadhan. Le président du réseau Nada, qui le dénonce : “Le viol d’enfants a pris de l’ampleur en ce mois sacré.” Vingt viols avérés de gamins y ont été constatés durant le mois sacré.
Que peut signifier ce redoublement d’incivisme, de violence, d’avidité, de vice et de criminalité ? Il exprime la confusion volontairement entretenue entre une vraie piété, celle qui inspire le civisme, la probité et l’honnête, et une pratique prescrite par le discours, le harcèlement et la terreur inquisitoire islamiste. Là, il s’agit d’adhésion de conviction à une morale formulée en termes religieux ; ici, il s’agit de se plier à un système d’apparences codifié et imposé par des activistes idéologues. Ces activistes bénéficient, dans notre cas, du soutien des institutions squattées par un pouvoir bigot.
Comme foi, la religion peut soutenir une morale sociale ; comme instrument de mise au pas politique, elle n’a aucun effet assainissant sur la société. Pis, en concentrant le regard sur l’apparence et en escamotant ses travers de fond, la pratique exhibitionniste et superficielle de la religion peut servir à entretenir — et cultiver — les vices cachés de cette société.M. H.
musthammouche@yahoo.f -
no moment
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ENNAHDA (TUNISIE) ET LES FRÈRES MUSULMANS (EGYPTE) EN DISGRÂCE
Sale temps pour les islamistes
ParComme en Algérie, la violence sera le seul recours pour la survie de ces mouvements islamistes arrivés au pouvoir en Tunisie et en Egypte par un vote sanction.
L'été va être chaud pour les dirigeants islamistes issus des révolutions arabes en Tunisie et en Egypte. Depuis presque trois semaines, les islamistes issus du mouvement des Frères musulmans en Egypte, qui avaient notamment remporté les élections législatives et gagné la présidentielle et le mouvement Ennahda issu de la même obédience islamiste, connaissaient un retour de flamme très risqué pour leur avenir politique. Rejeté sur le plan populaire et médiatique, le leader du mouvement Rached Ghannouchi risque de connaître le même sort que le président égyptien Mohamed Morsi, surtout après l'assassinat d'un opposant politique au mouvement Ennahda.
Ghannouchi qui est venu par les urnes pourrait repartir par la révolte et les chars. C'est le scénario à l'algérienne qui se dessine ce week-end ou les jours à venir en Tunisie et en Egypte suite à la grande colère des Tunisiens et des querelles entre les Egyptiens pro et anti-Morsi. «Placés au pouvoir par la révolte de la rue, ils seront chassés par la force des armes de l'armée» avait déclaré un analyste sur le plateau de France 24, suite à l'assassinat politique d'un responsable d'un parti d'opposition, le député Mohamed Brahmi.
Arrivé au pouvoir au lendemain des révolutions de 2011, les mouvements islamistes en Tunisie et Egypte tentent de survivre au pouvoir par tous les moyens.
Comme en Algérie donc, la violence sera le seul recours pour la survie des ses mouvements islamistes arrivés au pouvoir par un vote sanction.
Même si le mouvement Ennahda de Ghannouchi n'est pas impliqué officiellement dans les deux assassinats politiques, les islamistes radicaux «dormants» ne seraient pas étrangers à cet attentat politique ciblé. Et pourtant c'est bien Rached Ghannouchi qui avait déclaré en pleine tragédie algérienne au New York Times (14 janvier 1994) que «l'assassinat des intellectuels algériens est justifié parce qu'ils sont les avocats du diable». Ce propos odieux légitimait la liquidation de l'intelligentsia algérienne par les branches armées de l'ex-FIS et plus particulièrement son groupe spécialisé, le plus redoutable Fida qui avait assassiné plusieurs intellectuels, journalistes et anciens ministres au premier mois de la crise politique en Algérie.
Ghannouchi avait maintenu ses propos au quotidien égyptien Al-Akhbar du 16 janvier 1994, et dans le journal égyptien Al Wafd du 17 janvier 1994.
Dans la même interview du New York Times, Rached Ghannouchi affichait son allergie à la démocratie en déclarant: «Nos sociétés musulmanes reposent sur d'autres valeurs», avant d'ajouter «des pays occidentaux qui nous permettent de bénéficier de la liberté et de la démocratie»!
C'est la même stratégie machiavélique qu'avait adoptée les Frères musulmans en Egypte, en procédant à l'assassinat de Sadate le 6 octobre 1981, mais surtout l'écrivain anti-islamiste Faraj Foda, qui avait été tué le 8 juin 1992 par Al-Gamaa al-islamiyya et dont l'assassin Abul-Alaa Abdrabbou, a été libéré par le président Morsi dès sa prise de fonction en 2012. Rached Ghannouchi, qui, aux premières heures de la nouvelle révolution en Egypte qui a fait tomber Morsi, est parti au Qatar pour chercher soutien et protection s'est retrouvé face à un nouvel Emir du Qatar, pas très chaud pour soutenir un mouvement en disgrâce auprès du peuple. Lâché par les Qataris et les Saoudiens, leurs principaux soutiens financiers, les islamistes d'Egypte et de la Tunisie pourrait passer un sale mois d'août. Dès les premiers assassinats politiques en Tunisie, Ghannouchi avertit et met en garde contre un éventuel scénario égyptien, indiquant que les assassinats politiques se passent dans les plus grandes démocraties du monde et même aux USA. Mais peut-on comparer la Tunisie de 10 millions d'habitants à un pays en ébullition de 90 millions d'habitants comme l'Egypte.
Le mouvement des Frères musulmans s'est fait passer pour le «chantre» de la révolution, alors qu'ils ont rejoint un mouvement qui est déjà bien lancé. Présentés comme les icônes politiques du mouvement Ennahda, les Frères musulmans étaient la seule force d'opposition sous Moubarak et possédaient des réseaux dans l'ensemble du pays. Sans oublier que Mohamed Morsi n'a été élu président en juin dernier qu'avec une faible marge.
Au lieu de se charger des attentes du peuple, le pouvoir islamiste en Egypte s'est engagé depuis décembre dans un bras de fer avec les hautes instances judiciaires du pays, pour bénéficier de plus de pouvoir. Les Frères musulmans qui ont toujours besoin de l'armée, pour la placer en «arbitre» en cas de crise, ont toujours ménagé l'institution militaire. Le premier test était opéré en décembre, lors du passage en force pour le vote de la nouvelle Constitution.
La rue qui s'est faite menaçante contre les autorités islamistes, s'était finalement pliée aux ordres de l'armée. Mais la justice sociale n'a pas suivi et l'armée égyptienne conduite par le général Al Sissi, n'a pas été à l'écoute du pouvoir islamiste, cette fois. Car, même si le mouvement des Frères musulmans a remporté les élections législatives, dans les deux chambres, ainsi que la présidentielle, cela n'a pas empêché l'armée républicaine égyptienne d'intervenir à l'appel de la rue pour faire tomber Morsi et ses partisans. Le président déchu avait, durant son laps de temps au pouvoir, tenté de développer ses réseaux au sein de l'Etat.
En se débarrassant du maréchal Mohamed Hussein Tantawi, considéré comme le véritable tombeur de Moubarek, le président Morsi a cru faire l'essentiel sous-estimant la maturité politique du général Al-Sissi, qui le destitua le 3 juillet 2013. Le pouvoir islamiste a un défi majeur à relever celui de survivre à la crise politique et économique qui ronge le pays. La justice et la paix sociale sont les seuls garants d'une stabilité politique dans deux pays qui recherchent inéluctablement leur repères politiques. -
CONFLIT DE SYRIE
Le cap des 100.000 morts dépassé
Samedi 27 Juillet 2013 - Lu 421 foisLe cap des 100.000 morts a été franchi selon l'ONU dans le conflit en Syrie, où des combats d'une extrême violence ont eu lieu jeudi à Homs, dans un quartier tenu par les rebelles et assiégé par l'armée.
Un attentat à la voiture piégée a fait par ailleurs 17 morts et 30 blessés à Jaramana, une localité à majorité chrétienne et druze dans la banlieue est de Damas, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (Osdh, basé en Grande Bretagne). Signe que les violences ne connaissent aucun répit après deux ans et demi de conflit, plus de 2.000 personnes, en majorité des combattants, ont été tuées depuis le début du ramadhan, le 10 juillet, selon l'Osdh.
Pour cette ONG, le nombre élevé de combattants tués s'explique par le «grand nombre d'armes arrivant aux mains des rebelles, ensuite parce que l'armée syrienne intensifie ses attaques et enfin parce que dans les zones +libérées+, des accrochages ont lieu entre Kurdes et jihadistes». L'opposition syrienne s'est prononcée jeudi auprès du secrétaire d'Etat américain John Kerry pour que Washington fasse «rapidement» parvenir des armes aux rebelles. M.Assad «cherche la victoire militaire en utilisant un arsenal allant des armes chimiques aux bombes à fragmentation», a expliqué Ahmad Jarba, le nouveau chef de la Coalition nationale syrienne dans un communiqué publié après sa rencontre avec John Kerry au siège des Nations unies à New York. Toujours à New York, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a estimé que «plus de 100.000 personnes avaient été tuées, et des millions avaient été déplacées ou avaient dû se réfugier dans les pays frontaliers». «Il nous faut mettre fin à ce conflit (...) Il est impératif de réunir une conférence de paix à Genève dès que possible», a-t-il ajouté en précisant qu'il aimerait la voir se tenir en septembre. Les Etats-Unis et la Russie poursuivent leurs efforts en vue d'organiser une telle conférence, mais cela semble difficile en raison des désaccords majeurs sur son objectif et ses participants, ainsi que de la poursuite de la guerre sur le terrain. A Homs, dans le centre du pays, «des affrontements extrêmement durs ont lieu à Khaldiyé», a indiqué l'OSDH, faisant état d'un bilan de huit morts du côté des membres des forces de défense nationale et d'un nombre indéterminé de victimes dans les rangs rebelles. La télévision d'État a fait état d'une percée de l'armée du côté est de Khaldiyé. L'OSDH a aussi parlé «d'un bombardement intense» sur Khaldiyé et le quartier limitrophe de Jourat al-Chayah. L'administration américaine, qui soutient les rebelles, leur avait promis un accroissement de son aide militaire en juin, après avoir accusé le régime Assad d'avoir utilisé des armes chimiques. A cet égard, Ban Ki-moon a indiqué que les deux envoyés de l'ONU en Syrie chargés d'examiner l'utilisation présumée d'armes chimiques dans le conflit, Ake Sellstrom et d'Angela Kane, avaient quitté Damas à l'issue d'une visite de 24 heures. Selon Khaled al-Masri, responsable de la communication et conseiller de l'ONU basé à Damas, les deux diplomates ont rencontré plusieurs responsables syriens dont le ministre des Affaires étrangères Walid Mouallem. Le responsable de l'ONU n'a fourni aucun détail concernant les discussions des deux experts sur leur accès au territoire syrien pour les besoins de l'enquête concernant notamment l'utilisation de gaz sarin. Mais selon une source syrienne, les autorités ont insisté pour que les enquêteurs se concentrent sur un incident attribué par Damas à l'opposition et survenu en mars à Khan al-Assal, près d'Alep (nord). Elles leur ont précisé qu'il leur faudrait attendre car cette ville est tombée récemment aux mains des rebelles et les combats se déroulent aux alentours.source:expression dz
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no moment
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Correctifs
Une journée très calme, sans sourire mais sans circulation, traduisant évidemment un assommage collectif et surtout un énorme absentéisme au travail. Mais sérieusement, que faire, à part rien, un premier jour de Ramadhan ? C'est ce qu'a fait Alger hier et probablement le reste du pays, se demandant s'il y a une vie avant le f’tour. Mais pour cette première phase de réglage, des gens ont quand même travaillé et des correctifs ont été annoncés : finalement, les tricheurs du bac pourront passer le bac l'année prochaine sauf s'ils trichent encore l'année prochaine. Le président de la République ne rentrera que si tout le monde part. L'Algérie vient d'être classée 105e pays corrompu sur 107 par Transparency International parce que les deux derniers pays ont coupé leur téléphone. Selon le ministre du Commerce, les prix des produits alimentaires n'augmenteront pas ce Ramadhan, mais il est possible que les rations diminuent.
La météo nationale n'annonce pas de vague de chaleur pour le Ramadhan, mais cela ne signifie pas qu'elle travaille. Ce n'est pas Sonelgaz 1 qui est visé par l'enquête Sonatrach 2, mais ce serait Sonatro 5. Le Real Madrid ne viendra pas jouer pendant le Ramadhan parce que Raouraoua a rendez-vous. Les billets d'avion d'Air Algérie vont baisser cet été, mais en hiver ? Il y aurait des virus dans certaines bouteilles d'eau minérale, mais moins chers que la viande hachée. L'autoroute Est-Ouest ne sera finalement livrée qu'en 2016, avec les voitures qui vont rouler dessus. Belmokhtar a encore revendiqué l'attentat de Tiguentourine, mais comme il est mort, plus personne ne l'écoute. Enfin, rectificatif plus sérieux annoncé par la presse, le premier drone algérien n'a finalement pas décollé, c'était une fausse information, reprise ici même. Amel, du nom du drone, est donc restée à terre, sans pouvoir bouger. En même temps, si elle s'était envolée, qui aurait fait à manger ?
Chawki Amari
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no moment
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La phrase qui a fait trembler Sétif !
Par Hakim Laâlam Email : hlaalam@gmail.com
«Sur ce dernier mois, l’Algérie a augmenté ses exportations vers la France», selon Nicole Bricq, ministre du Commerce extérieur. Je confirme ! On a même exporté un… … Président ! A Sétif, l’un des premiers numéros du régime, Abdelkader Bensalah, a prononcé cette phrase : «Bouteflika va bien ! L’Algérie va bien !» Les témoignages sont formels. Immédiatement après le prononcé de cette sentence, il s’est passé des trucs paranormaux, une série de phénomènes inexplicables. Ainsi, des cortèges se sont formés spontanément et se sont dirigés vers le mausolée de Sidi El Kheïer. Les gardiens de la chronique locale rappellent d’ailleurs au passage que le Saint patron de la ville, de son vivant, a toujours été un pourfendeur infatigable du mensonge. Bien sûr il ne faut pas en tirer de conclusions hâtives, les cortèges étant aussi bigarrés que partagés sur cette déclaration de Bensalah. Il y avait ceux qui étaient convaincus d’avoir été victimes d’un double mensonge. Et puis, les autres, ceux qui ont perçu dans cette phrase étrange un demi-mensonge. Ou une demi-vérité, c’est selon. A ce stade, pas celui du 8-Mai-45, mais plutôt celui en contrebas du mausolée, les témoins n’ont pas osé demander aux cohortes venues là se recueillir qui était qui et qui pensait quoi de la déclaration de Si Abdelkader. Mais il était clair que cette foule nombreuse avait en commun un désir ardent : demander pardon au Saint ! S’il n’y avait que ça ! D’autres témoins tout aussi formels que les premiers jurent qu’aussitôt la phrase sortie de la bouche de Bensalah, la circulation dans Sétif s’est immédiatement ralentie. Un truc impensable dans la «Cité de la Vitesse». Les voitures se sont mises à rouler doucement, voire avancer au rythme de la limace arthrosée. Pis ! Aux carrefours qui bordent la ville, les automobilistes se sont mis à respecter le sens giratoire universel qui consacre la priorité à gauche, à se sourire et à se céder le passage avec de larges et amples gestes de la main, et pour certains, parmi les plus atteints par ce syndrome extraordinaire, à enclencher leurs clignotants avant de déboîter délicatement et de doubler. Autant vous dire que Sétif était sens dessus-dessous. Une vraie pagaille que ces files de voitures roulant au pas, ces «je vous en prie, après vous» lancés par les vitres baissées et ces guimbardes attendant sagement que les piétons franchissent les passages protégés pour avancer. Un choc ! Une tragédie ! Un honneur bafoué, mis à terre par une seule phrase, cette phrase : «Bouteflika va bien ! L’Algérie va bien !» Les Sétifiens s’en remettront- ils ? La circulation en ville redeviendra-t-elle vite ce qu’elle a toujours été ? Sidi El Kheïer pardonnera-t-il ? Des questions qui demandent des réponses urgentes. D’autant qu’on me souffle que Bensalah doit se rendre dans un tas d’autres villes du pays. Le malheureux a-t-il vraiment conscience qu’il y a un Saint patron dans chacune d’entre elles ? Et compte-t-il prononcer à nouveau cette même sentence, «Bouteflika va bien. L’Algérie va bien» ? S’il le refait, Bouteflika va peut-être bien, l’Algérie aussi, mais du coup, j’ai de sérieux doutes sur l’état de Si Abdelkader lui-même. Tellement que j’en fume du thé pour rester éveillé à ce cauchemar qui continue. H. L.
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SNPSP:ALGERIA-WATCH
Les praticiens de la Santé renouent avec la protesta
par S. E. K., Le Quotidien d'Oran, 15 avril 2013
Après une «trêve» de 6 mois, le Syndicat national des Praticiens de la Santé publique (SNPSP) a décidé d'un débrayage de 3 jours renouvelable pour les journées du 22, 23 et 24 avril, une action qui sera précédée d'un sit-in le 17 avril.
Hier, le président du SNPSP Lyes Mérabet a expliqué dans une conférence de presse au siège national du syndicat à Alger, les raisons qui ont conduit le conseil national (réuni le 10 avril dernier) à opter pour le débrayage. Les praticiens de la Santé avaient cru, selon le conférencier, au moment de l'installation du nouveau ministre de la Santé, Abdelaziz Ziari fin 2012 à une prise en charge réelle de leur dossier de revendications, surtout après le feu vert donné à la même période par le Premier ministre Abdelmalek Sellal pour que les questions liées à ce dossier soient définitivement réglées. La dernière grève du SNPSP remonte au 16 décembre 2012, mais elle a été gelée, explique Mérabet, pour «laisser du temps au nouveau ministre et de le laisser travailler dans la sérénité, d'autant qu'il nous a été promis de régler le dossier des praticiens de la Santé publique». Selon le conférencier « plus de 6 mois sont passés et nous nous trouvons à la même case». Et d'ajouter que le dossier de «revendications n'a connu aucune évolution depuis».
Les praticiens de la Santé publique remettent sur la table leurs revendications socioprofessionnelles dès le 17 avril. Ils comptent les remettre à la tutelle lors du sit-in qu'ils organiseront devant le siège du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière (MSPRH) à Alger.
L'application de l'accord négocié en 2011 concernant l'amendement du statut particulier est le point cardinal de la plateforme de revendications auquel viennent se greffer d'autres points comme l'accès au grade principal et au grade de praticien en chef. Lyes Mérabet insistera sur le problème des anciens praticiens de la santé, pharmaciens, ou encore chirurgiens dentistes qui ont obtenu leur diplôme sous l'ancien système de formation avant les réformes introduites il y a quelques années. Ces derniers qui se trouvent classés à la 13 n'ouvrent pas droit à la catégorie 16 comme le sont les praticiens, pharmaciens et chirurgiens dentistes issus de la réforme. Le SNPSP revendique une équivalence des diplômes pour les 2 catégories. Revalorisation des primes du Sud qui, selon le SNPSP, doivent être calculées sur les nouveaux salaires de base et également les primes de contagion et de garde dont la rémunération doit être augmentée.
Le thème des droits syndicaux a pris une grande part au débat. Mérabet relèvera les nombreuses entorses commises à l'encontre du syndicaliste. Il signalera le cas d'infirmiers (10) et de médecins (3) qui ont été licenciés par l'hôpital de Bordj Bou Arreridj. Le conférencier signale que des «harcèlements et attaques verbales» contre le les militants syndicaux sont signalés dans des établissements de santé (Mila, M'Sila et Batna). Mérabet a estimé que les adhérents restent attachés à leurs revendications. Ils sont 11456 praticiens de la santé et 18 000 pharmaciens et chirurgiens dentistes à être adhérent au SNPSP, a-t-il indiqué.
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Répression en algerie
- Alerte contre le harcèlement des défenseurs des droits humains (EW, 06.02.13)
- De nombreux chômeurs condamnés par la justice à Ouargla pour "manifestation illégale" (ME, 05.02.13)
- Ouargla : nouvelles condamnations de chômeurs à des peines de prison (TSA, 05.02.13)
- Le porte-parole des chômeurs, Tahar Belabess écope de 1 mois de prison ferme et 50 000 Da d’amende (EW, 03.02.13)
- Le militant des droits de l'homme Iskander Debache libéré (LM, 12.01.13)
- Arrestation arbitraire d’un militant des droits de l’Homme en exil depuis plus de 20 ans (CFDA, 10.01.13)
- Onze chômeurs arrêtés par la police à Ouargla (TSA, 07.01.13)
- MJIC: Communiqué à propos de la répression à Ouargla (04.01.13)
- Le CNDDC exige la libération des chômeurs arrêtés lors d’une manifestation hier à Ouargla (ME, 03.01.13)
- 8 mois de prison avec sursis pour un jeune blogueur (EW, 29.12.12)
- Les quatre militants du Mjic relâchés par la police (TSA, 15.12.12)
- Des militants du RAJ arrêtés par la police (EW, 11.12.12)
- Yacine Zaïd: «La lutte pacifique, une arme contre le régime algérien» (Slateafrique, 25.10.12)
- Mascara : des peines de 6 mois à un an de prison à l’encontre des émeutiers (EW, 24.10.12)
- Mascara: La société civile se mobilise pour soutenir les 13 manifestants convoqués par la justice (EW, 22.10.12)
- Marche des étudiants réprimée à Tlemcen (EW, 18.10.12)
- Des syndicalistes interpellés avec violence devant le tribunal de Sétif (EW, 16.10.12)
- Un homme de 33 ans battu à mort par la police : « simple maladresse » ou grave bavure policière ? (AK, 15.10.12)
- Bachir Belharchaoui a pu quitter l'Algérie pour rentrer en France (Le Progrès, 11.10.12)
- Yacine Zaid: «Mon arrestation est un message d’avertissement à tous les militants» (EW, 10.10.12)
- Assigné à résidence, Saad Bouerkba syndicaliste comparaitra mardi prochain (EW, 10.10.12)
- Six mois de prison avec sursis pour Zaïd (EW, 09.10.12)
- Yacine Zaïd : des parlementaires européens saisissent le gouvernement algérien (EW, 06.10.12)
- Harcèlement judiciaire subi par Belgacem Rachedi (CFDA, 04.10.12)
- Le militant des droits humains Yacine Zaid, incarcéré, mobilise autour de lui la société (ME, 04.10.12)
- Le militant des droits de l'homme Yacine Zaid continue d'être victime de harcèlement judiciaire (AK, 04.10.12)
- Yacine Zaïd va porter plainte pour «coups et blessures» (EW, 04.10.12)
- Une pétition en ligne et deux sit-in demain jeudi pour soutenir Yacine Zaid (EW, 03.10.12)
- Yacine Zaïd placé sous mandat de dépôt (EW, 03.10.12)
- Détention arbitraire du défenseur des droits de l’Homme Yacine Zaïd (ONG, 02.10.12)
- Laghouat : le militant Yacine Zaïd arrêté (EW, 02.10.12)
- Halte aux méthodes de banditisme contre les familles des opposants ! (FCN, 24.09.12)
- Trois militants des droits de l’Homme et un syndicaliste devant la justice mardi (TSA, 23.09.12)
- Abdelkader Kherba acquitté par le tribunal de Ksar El Boukhari (TSA, 11.09.12)
- Kherba acquitté; il n'y a que la lutte qui paie! (MJIC, 11.09.12)
- Maître Amine Sidhoum : La justice est prise en otage (EW, 07.09.12)
- Un an de prison ferme requis pour Kherba (EW, 05.09.12)
- Libérez Abdelkader Kherba! (CISA, 29.08.12)
- Menace sur les libertés individuelles (EW, 28.08.12)
- Bouira : Khelifi Nafaâ incarcéré pour avoir détruit le portrait de Bouteflika (EW, 28.08.12)
- Communiqué du SNAPAP au sujet de l'arrestation de Abdelkader Kherba (24.08.12)
- Abdelkader Kherba entame une grève de la faim (EW, 23.08.12)
- Une nouvelle arrestation d’Abdelkader Kherba (LADDH, 22.08.12)
- Le journaliste Zoheïr Aït Mouhoub victime d’une «barbouzade» (EW, 15.08.12)
- Le Raddh dénonce l’arrestation de Saber Saïdi (EW, 01.08.12)
- La Laddh dénonce «la violence inadmissible» des policiers (EW, 31.07.12)
- Le militant des droits de l’Homme et syndicaliste Fouad Hassam refoulé a la frontière algéro-tunisienne (SNAPAP, 13.07.12)
- Mohamed Smaïn: «En Algérie, dès qu’on franchit le seuil de la prison, on est dans un autre monde» (ME, 11.07.12)
- Mohamed Smaïn, moudjahid, militant, prisonnier et témoin (LN, 10.07.12)
- Emprisonné depuis le 19 juin dernier : Le Moudjahid Mohamed Smaïn libéré aujourd’hui (EW, 06.07.12)
- Mohamed Smaïn : une arrestation «honteuse» (EW, 06.07.12)
- Arrestation hier à Alger de militants et interdiction de manifestations : le 5 juillet gâché (EW, 06.07.12)
- Un militant politique de Rélizane condamné à six mois de prison ferme (AK, 28.06.12)
- Libérez Mohamed Smain, membre de la LADDH de Relizane! (VJA, 20.06.12)
- Procès reporté des militants du comité de soutien(EW, 20.06.12)
- Arrestation de Mohamed Smain à Relizane (AW, 19.06.12)
- L'arrestation du militant des droits humains Hadj Smaïn rouvre le dossier des disparus (ME, 19.06.12)
- Report du procès des quatre défenseurs des droits de l’Homme (LADDH, 19.06.12)
- 4 jeunes militants et défenseurs de droits de l’Homme poursuivis arbitrairement par la justice en Algérie (Communiqué commun, 19.06.12)
- Un énième procès contre des militants se tiendra le 19 juin (EW, 17.06.12)
- La police empêche un sit-in devant le tribunal de Sidi M’hamed (SA, 05.06.12)
- Arrestations et détention arbitraires / Harcèlement judiciaire /
Entrave à la liberté de réunion pacifique (Observatoire, 26.04.12) - Noureddine Belmouhoub sous contrôle judiciaire (EW, 16.05.12)
- Après deux jours de détention, le jeune Tarek Mameri relâché (TSA, 04.05.12)
- Tarek Mameri, un boycotteur devant le juge d'instruction (ME, 03.05.12)
- Le cas Abdelkader Kherba illustratif des libertés bridées en Algérie (ME, 03.05.12)
- Enlèvement hier soir à Alger de M. Tarek Mameri un jeune cyber activiste qui a appelé au boycott des élections législatives (AK, 02.05.12)
- MJIC exige la libération de Abdelkader Kherba (MJIC, 02.05.12)
- RADDH condamne l'arrestation arbitraire de Tarek Mameri (02.05.12 arabe)
- Arrestation arbitraire de Tarek Mameri (Y. Zaid, 02.05.12)
- Abdelkader Kherba à Serkadji pour délit d'opinion (EW, 27.04.12)
- Arrestations et détention arbitraires / Harcèlement judiciaire /
Entrave à la liberté de réunion pacifique (Observatoire, 26.04.12) - «A-t-on besoin d’un laissez-passer pour se balader dans la capitale ?» (EW, 21.04.12)
- Arrestation arbitraire d’Abdelkader Kherba membre du CNDDC (Solidaires, 19.04.12)
- Le MJIC entreprend des démarches judiciaires (EW, 16.04.12)
- La LADH condamne le harcèlement dont est victime Les membres du MJIC (08.04.12)
- Le MJIC condamne l’arrestation abusive de ses militants (05.04.12)
- Des membres du MJIC embarqués par la police (EW, 02.04.12)
- Le jeune de Saoula est décédé (EW, 29.03.12)
- Risque d'arrestation imminente d'un défenseur des droits de l'Homme (ONGs, 02.03.12)
- Mohamed Smain: Condamnation à une peine de prison et risque d'arrestation imminente (Observatoire, 29.02..12)
- 65 détenus pour des affaires de terrorisme accusent les gardiens d’agression à la prison de Boussouf (EK, 29.02.12)
- Harcèlements, menaces et disparitions forcées (RADDH, 25.02.12)
- Arrestation dede Mme Fallile Malika et M Tahar Belabes (SNAPAP, 22.02.12)
- Laghouat : Un an de prison ferme pour deux responsables de la CNDDC (EW, 21.02.12)
- Les documents du CCDH de Annaba totalement détruits (EW, 19.01.12)
- Harcèlement judiciaire de Mohamed Smain (Observatoire, 20.12.11)
- Une militante arrêtée... puis relâchée (EW 27.11.11)
- Batna : Chasse aux agitateurs potentiels (EW, 16.11.11)
- Noureddine Belmouhoub : Intimidations voilées (QA, 01.11.11)
- Noureddine Belmouhoub : Mes ravisseurs voulaient me faire peur, mais c’est eux qui ont peur (EW, 28.10.11)
- Enlèvement de M. Nourredine Belmouhoub, défenseur des droits de l’homme (AK, 24.10.11)
- Sabrina Khatir : «On veut laisser mon mari croupir en prison» (EW, 14.10.11)
- Le Snapap dénonce l’intimidation contre l’exercice du droit syndical (EW, 19.10.11)
- Des membres du Comité national pour la défense des chômeurs interpellés (EW, 10.10.11)
- Adel Sayad: Poursuivi pour «atteinte» au président Bouteflika (EW, 10.10.11)
- Le régime coupe l’Internet à l’opposant Dr Sidhoum(KalimaDZ, 08.10.11)
- Mouhib Khatir, entame une grève de la faim : Qui mettra fin à l’arbitraire?(KalimaDZ, 04.10.11)
- Des militants du RAJ interpellés (EW, 06.10.11)
- Communiqué à propos de l'arrestation de Farouk Slimani (LADDH, 06.10.11)
- Le harcèlement des syndicalistes s’intensifie (EW, 02.10.11)
- Halte à la campagne de harcèlement contre les militants syndicaux! (ONGs, 30.09.11)
- La CNCD-Oran dénonce la répression dont font l’objet des militants (EW, 25.09.11)
- Interview de Yacine Zaid (LN, 13.09.11
- Affaire Yacine Zaïd : La LADDH dénonce l’«acharnement» de la police (EW, 14.09.11)
- Une mère de famille tuée par des militaires à Freha (EW, 12.09.11)
- Les militants des droits de l’homme visés (EW, 08.09.11)
- Convocation et interrogatoire du défenseur des droits humains M. Yacine Zaid (Front Line, 05.09.11)
- Bavure de la gendarmerie nationale à Bordj Sabat (Guelma) (EW, 23.08.11)
- Le maire de Zéralda réclame une commission d'enquête (Exp., 06.08.11)
- La LADDH condamne «cette dérive policière» (EW, 05.08.11)
- Manifestation pour la libération du maire de Zéralda» (EW, 31.07.11)
- Le maire de Zéralda maintenu en détention (EW, 26.07.11)
- Hamzaoui Abdelkarim exclu de l’université Alger 2 (EW, 28.06.11)
- La LADDH dénonce des «pratiques arbitraires» (EW, 11.06.11)
- Juin : le début d’un mois de répression et d’interdiction ? (LADDH, 02.06.11)
- Acquittement pour Kamel Eddine Fekhar (EW, 01.06.11)
- Les procès s’enchainent contre les membres de la LADDH (LADDH, 30.05.11)
- Persécution de M. Slimani, militant des droits humains (AK, 26.05.11)
- M. H. Bouras, militant des droits de l’homme et journaliste persécuté (AK, 05.05.11)
- Les sit-in devant la Présidence et l’APN réprimés (EW, 24.04.11)
- Sa onzième tentative de marche empêchée par la police (Liberté, 24.04.11)
- Alger : la manifestation hebdomadaire encore empêchée (NouvelObs, 12.03.11)
- Communiqué de la LADDH-Oran (05.03.11)
- Communiqués des journalistes interpellés (05.03.11)
- Ould Kablia : Marches interdites, pas de nouveaux partis (EW, 25.02.11)
- Des manifestants ont passé la journée dans les commissariats (EW, 13.02.11)
- Chlef : 10 ans de prison pour du rap subversif (EW, 12.11.10)
- L’avocat tunisien Tarek Labidi refoulé à l’aéroport d’Alger (EW, 09.11.10)
- Le syndicaliste Mourad Tchiko privé de passeport (Commission nationale, 08.11.10)
- Communiqué de Mohamed Hadj Smaïn de Relizane (31.10.10)
- La défense demande la présence des ex-“émirs” du GSPC (Liberté, 27.10.10)
- Nouvelle répression du rassemblement à Alger, Manifestation de solidarité à Paris (CFDA, 25.08.10)
- الدكتور فخار كمال الدين ينجو من محاولة اغتيال على خلفية محاولة السلطة فرض هيمنتها على المسجد العتيق بغرداية (د. فخار كمال الدين, 21.08.10)
- Familles de disparus: Les rassemblements des mercredis empêchés (QO, 21.08.10)
- Les mères de disparus sauvagement dispersées (SOS Disparus, 12.08.10)
- Familles des disparus: Un rassemblement dispersé par la police (QO, 12.08.10)
- De Folembray à Ouagadougou : Quelques détails oubliés (A. Simozrag, 30.06.10)
- Les déportés de Folembray ou le crime « perdu de vue » de Pasqua (Z. Azouz, QA, 28.06.10)
- Une activité du CMA empêchée par la police (EW, 24.07.10)
- Communiqué : la fermeture arbitraire de la Maison des syndicats autonomes algériens doit être annulée (CISA, 18.05.10)
- Le rassemblement du groupe Bezzzef empêché : Les animateurs embarqués par la police (EW, 04.05.10)
- Algérie : comment la police politique a fait pression sur des syndicalistes pour arrêter la grève dans l’éducation (CISA, 12.03.10)
- Le FFS dénonce une grave atteinte aux liberté (EW, 23.02.10)
- Menaces de mort contre le Dr Salah-Eddine SIDHOUM, militant des Droits de l’Homme (QA, 19.02.10)
- Communiqué de la LADH à propos de la répression à Rouiba (LADH, 09.01.10)
- Acquittement du Docteur FEKHAR et de 15 de ses compagnons (S-E. Sidhoum, 17.12.09)
- Zerhouni: Les partis non agréés ont des dossiers incomplets (EW, 12.12.09)
- Affaire Djamel Kelfaoui : nous exigeons la vérité et Justice (Collectif Les Amis de Djamel Kelfaoui, 14.11.09)
- Répression du mouvement des enseignants contractuels en Algérie le 10 novembre 2009 (CISA, 11.11.09)
- Ghardaia, capitale de l'injustice (K. Fekhar, 08.11.09)
- Mokrane Aït Larbi. Avocat : « On ne peut pas parler de liberté dans un pays en état d’urgence » (EW, 12.10.09)
- Les libertés sous séquestre (EW, 12.10.09)
- La guerre totale (QA, 03.10.09)
- Lettre ouverte à l'opinion publique et aux ONG autonomes (S-E. Sidhoum, 03.09.09)
- Interdiction d’un colloque sur la mémoire et la réparation (EW, 18.07.09)
- Rapport détaillé du complot, de l’enlèvement à la résidence surveillée (K. Fekhar, 20.06.09)
- Ghardaïa : Kamel Fekhar exige la levée du contrôle judiciaire (EW, 18.06.09)
- Le Docteur Kamaleddine Fekhar libéré !!! (S-E. Sidhoum, 16.06.09)
- Libération du Dr. Fekhar (pdf, arabe, 16.06.09)
- Alerte sur le Mzab (LADDH, 16.06.09)
- Arrestation du Docteur Kamaleddine FEKHAR à Ghardaïa (AW, 15.06.09)
- Communiqué urgent: Arrestation du Dr Fekhar et 4 autres militants du FFS (FFS, 15.06.09)
- Communiqué: Les droits de l’Homme sous interdiction ! (LADDH, 25.05.09)
- Biskra : Un membre du conseil national du FFS arrêté (EW, 13.05.09)
- Le RCD dénonce la séquestration de quatre de ses militants (EW, 12.05.09)
- 11 janvier 2009: 8 ème arrestation de Cheikh Ali Benhadj (11.01.09)
- La condamnation d'Amine Sidhoum: Une décision de justice politique et arbitraire ? (CFDA, 28.11.08, pdf)
- Confirmation en appel de la condamnation de Me Amine Sidhoum (Observatoire, 27.11.08, pdf)
- Obstacles à la liberté de rassemblement pacifique (Observatoire, 25.11.08)
- Dans l’attente du verdict du procès en appel de Me Amine Sidhoum (CFDA, 12.11.08)
- Des militants du MDS arrêtés (EW, 12.11.08)
- Communiqué à propos de la répression dont sont victimes les parents de harragas (LADDH, 20.10.08)
- Procès en appel de Me Amine Sidhoum (CFDA, 07.10.08)
- Lettre de l'Ordre des avocats de Paris au bâtonnier algérien à propos du procès d'Amine Sidhoum (24.09.08, pdf)
- Lettre de l'Ordre des avocats de Paris à l'ambassade d'Algérieà propos du procès d'Amine Sidhoum (24.09.08, pdf)
- Résolution du Conseil de l'Ordre du barreaux de paris à propos Amine Sidhoum (30.09.08)
- Un avocat condamné (AI, sept.08)
- Un avocat des droits de l'homme cible de l'Algérie (Rue89, 09.09.08)
- Le directeur d’Amnesty International arrêté puis relâché (EW, 26.07.08)
- Observatoire: La condamnation d'Amine Sidhoum (14.04.08)
- Le tribunal a requis deux ans de prison ferme contre Me Amine Sidhoum (CFDA, 31.03.08)
- Non à l'intimidation! (A. Dehbi, 27.01.08)
- Prochaine audience du procès de Me Amine Sidhoum (Observatoire, 29.10.07)
- Condamnation arbitraire de M. Mohamed Smaïn (Observatoire, 28.10.07)
- Condamnation de Mohamed Smaïn à Relizane (LADDH, 28.10.07)
- Mohammed Smaïn, condamné pour dénonciation des crimes commis par des chefs miliciens (AW, 05.10.07)
- Hafnaoui Ghoul de nouveau poursuivi en justice et mis sous contrôle judiciaire (LADDH, 10.09.07)
- Annaba: La marche des retraités interdite (QO, 04.09.07)
- Charniers de Relizane: La justice revient à la charge (EW, 02.09.07)
- Observatoire:Harcèlement de Me Chouiter (21.06.07)
- Un de nos stagiaires expulsé d’Algérie! (CFDA, 17.05.07)
- Amine Sidhoum: Poursuites judiciaires / Harcèlement (Observatoire, 05.06.07)
- Amine Sidhoum subit de nouveau l’injustice algérienne ! (CFDA, 01.06.07)
- Maître Zehouane, président de la LADDH victime de harcèlements à l’aéroport d’Alger! (LADDH, 02.05.07)
- Harcèlement d'un défenseur des droits humains (AW, 28.04.07)
- Boumerdassi et Sidhoum acquittés (EW, 26.04.07)
- Harcèlement et repressions sur nos cadres syndicaux (SNAPAP, 01.04.07, jpg)
- Nouveau report du procès de Me Hassiba Boumerdassi et Amine Sidhoum (CFDA, 22.02.07)
- La répression multiforme que subit le SNAPAP continue de plus belle (13.02.07)
- Un ancien officier algérien tabassé dans le métro (Libération, 24.01.07)
- Un séminaire empêché à Alger (EW, 08.02.07)
- Interdiction du séminaire pour la Vérité, la Paix et la Conciliation (SOS Disparus, 07.02.07)
- L'état d'urgence fait encore des siennes ! (LADDH, 07.02.07)
- Les familles de disparus isolées, abandonnées et harcelées (FIDH, 07.02.07)
- LADH: Interdiction d’un séminaire des familles de victimes civiles de la tragédie nationale (10.02.07)
- FFS: Communiqué d’information (13.12.06)
- FFS : Des militants interpellés à Ghardaïa (EW, 14.12.06)
- Marche contre l’insécurité interdite à Annaba (Liberté, 09.11.06)
- Une mère de disparu de 71 ans convoquée devant la justice (SOS Disparus, 13.10.06)
- Deux avocats algériens paient leur engagement pour le respect des droits humains (Algeria-Watch, 24.09.06)
- Amnesty International: Deux avocats menacés d'emprisonnement sur la base d'accusations abusives (23.09.06)
- L'Observatoire pour la Protection des Défenseurs des Droits de l’Homme à propos de Me Boumerdessi et Me Sidhoum (20.09.06)
- Maître Hassiba Boumerdassi : nouvelle cible de la justice arbitraire en Algérie (CFDA, 20.09.06)
- Me Amine Sidhoum en liberté provisoire ! (CFDA, 18.09.06)
- Me Amine Sidhoum toujours menacé par le pouvoir judiciaire algérien (CFDA, 17.09.06)
- Harcèlement judiciaire de Me Amine Sidhoum (Observatoire des défenseurs des DH, 05.09.06)
- Harcèlement judiciaire dont fait l’objet Maître Amine Abderramane Sidhoum (CFDA, 01.09.06)
- Menaces à l'encontre de l'avocat Amine Sidhoum (Observatoire défenseurs des DH, 19.05.06)
- Nouvelles arrestations après libération dans la cadre de la réconciliation nationale et la paix en Algérie (ODHA, 19.04.06)
- Ghardaia: Arrestation de militants des droits de l’homme (EW, 08.11.05)
- FFS: Arrestation arbitraire de militants
- Les membres de SOS Disparu(e)s harcelés ! (SOS-disparus, 18.09.05)
- Un père de disparu(s) embarqué par la police ! (SOS-disparus, 15.09.05)
- Une salle de réunion a été refusée à La LADDH à Illilten (Liberté, 01.09.05)
- Emprisonné à cause d’une chanson (EW, 19.07.05)
- Nouvelle arrestation de Ali Benhadj (A. Benhadj, 13.07.05)
- Lettre ouverte de Salah-Eddine Sidhoum en raison des harcèlements qu'il subit (05.06.05)
- FFS: Dossier sur l'affaire de Ghardaia
- LADDH: Procès de Ghardaïa : le verdict (13.03.05)
- LADDH: Le procès de Ghardaia pour le 12 mars 2005
- Le Ministère de l’intérieur interdit toute manifestation publique pour la LADDH (02.03.05)
- LADDH: Le procès du Dr Fekhar et 16 autres détenus reporté (27.02.05)
- Harcèlement policier contre Salah-Eddine Sidhoum (26.02.05)
- Déclaration et Pétition du FFS à l'occasion du procès de Dr Fekhar et de ses camarades
- Ghardaia: Cinq personnes devant le procureur de la République (EW, 23.02.05)
- Etat général de la répression et des arrestations d’étudiants de la faculté des sciences politiques et de la communication (17.01.05)
- Liste des prisonniers d'opinion détenus en Algérie (CADC, 09.12.04, pdf)
- LADDH: Grève de la faim dd Dr. Fekhar Kamel Eddine (25.12.04)
- Arrestation du Cheikh Ali Benhadj (23.12.04)
- LADDH: Arrestation de l'étudiant Hamitouche Merzouk (15.12.04)
- LADDH : Arrestation du Docteur Fekhar Kamel Eddin (02.11.04)
- ODHA: Arrestation du Docteur Fekhar Kamel Eddin (01.11.04)
- ODHA: Mouvement de protestation populaire à Ghardaïa (22.10.04)
- Communiqué: Répression féroce à Ghardaia (LADDH, 18.10.04)
- Salah-Eddine Sidhoum a obtenu son passeport (05.07.04)
- Les autorités algériennes ont remis à Salah-Eddine Sidhoum son passeport (AW, 09.07.04)
- L'affaire de M. Ghoul se présente mal (Liberté, 09.06.04)
- Hafnaoui Ghoul rejugé aujourd’hui par le tribunal de Djelfa (EW, 09.06.04)
- SNAPAP: Appel aux instances nationales et internationales (pdf, 23.05.04)
- Appel de l'Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l'Homme (19.05.04)
- Hafnaoui Ghoul: “Des «notables» locaux ont sauvagement torturé un jeune” (Le Soir d'Algérie, 17.05.04)
- Hafnaoui Ghoul: Nouveau mandat de dépôt (EW, 08.06.04)
- LADDH: Hafnaoui: procés équitable? (07.06.04)
- L'Observatoire à propos de M. Hafnoui El Ghoul (Observatoire, 27.05.04)
- LADDH : Hafnaoui Ben Amer Ghoul incarcéré a la prison de Djelfa (25.05.04)
- Harcèlement contre M. Smaïn et F. Azzi (Appel Observatoire, 14.04.04)
- Communiqué de la LADDH (17.03.04)
- Communiqués à propos des arrestations répétées de Ali Benhadj
- Communiqué à propos de l'arrestation de cheikh Ali Benhadj (26.02.04)
- Nouvelles arrestations dans le SNAPAP (LADDH/Oran, 20.01.04)
- Fin de la grève de la faim dans la prison de Chlef (07.01.04)
- Communiqué de Lyes Laribi (12.01.04)
- Grève de la faim dans la prison de Chlef (31.12.03)
- Hassan Bouras: Harcèlement continu (EW, 19.11.03)
- Communiqué LADDH à propos de Larbi Tahar et Bourass Hacene
- Larbi Tahar: Enquête à la prison d’El-Abiodh Sidi Cheikh (QO, 10.11.03)
- LADDH: Communiqué à propos de l'incarcération de M. Larbi Tahar (07.11.03)
- Human rights activist in hiding (Amnesty International)
- Ali Benhadj interpellé (QO, 01.11.03)
- LADDH: Communiqué à propos de l'arrestation de Larbi Tahar (06.10.03)
- Cheikh Benhadj convoqué par les hommes de Tounsi (fis, 21.07.03)
- Appel à l'opinion internationale pour la libération de M. Abbassi et A. Benhadj
- Mohamed Smain: Interdiction de sortie du territoire (LADDH, 21.02.03)
- Mohamed Smain: Entraves à la liberté de circulation (Observatoire, 21.02.03)
- Actes de violenses envers des délégués syndicaux (FIDH, 30.01.03)
- Mme Leulmi. Crime contre forfaiture (Me Khelili)
- Entrave à la liberté de manifestation /Mauvais traitements (Observatoire, 06.11.02)
- Tirs croisés et pistes parallèles (EW, 17.11.02)
- La LADH demande une protection pour Mahmoudi (L'Actualité, 14.08.02)
- Le caricaturiste Djamel Noun menacé par la télévision publique (RSF, 13.08.02)
- RSF : Le correspondant d'El Watan à Tébessa agressé et séquestré
- Menaces de mort contre Mahmoud Khelili (Observatoire, 01.10.02)
- Mohamed Smain: lettre du 10 septembre 2002
- Création d'un Comité de soutien à Mohamed Smain
- Smain Mohamed doit retrouver ses droits ! (Pétition)
- Arrestation de Khelil Abderrahmane et de Sid Ahmed Mourad - Procès prévu dimanche 26 mai 2002 (Collectif, 22.05.02)
- Observatoire: Appel à propos des conditions de détention de M. Larbi Tahar
- 6 mois de prison avec sursis pour Khelil Abderrahmane et Sid-Ahmed Mourad (Collectif, 28.05.02)
- Ex-prisonnier d'El Harrach témoigne : «Nous n'avions droit qu'à du pain sec !» (EW, 07.05.02)
- Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie: Communiqué de presse (18.03.02)
- Observatoire: nouvelle interpellation de M.Khelil (18.03.02)
- LADDH Relizane: Communiqué (17.03.02)
- Ligue Algérienne de Défense des Droits de l'Homme: Communiqué (15.03.02)
- Observatoire: Interpellations / Risques de poursuites judiciaire (15.03.02)
- Conférence de presse d'Ahmed Djeddaï (15.03.02)
- Déclaration de protestation de la presse (JI, 16.03.02)
- Communiqué du RAJ : " Chassé le naturel il revient au galop " (15.03.02)
- LADDH: Sur la condamnation de Mohamed Smail
- Condamnation de M. Hadj Smain (Observatoire protection défenseurs, 25.02.02)
- Le fils d'un des plaignants dans l'affaire Nezzar enlevé (17.04.02)
- Lettre du président Bouteflika au président du FFS (APS, 18.04.02)
- Ahmed Djeddaï a été l'objet d'un guet-apens avorté (15.04.02)
- Me Belloula (avocat de l'ANP): "Plaintes contre des députés" (LS,31.01.02)
- Détérioration de l'état de santé de Benhadj (JI, 30.01.02)
- Commune Merad: Le chef des Patriotes accusé de racket (EW, 30.01.02)
- Ali Benhadj serait mourant (JI, 27.01.02)
- A propos de l'arrestation de M. Arbi Tahar (LADDH)
- Lettre de Mohamed Hadj Smain à propos de sa condamnation
- LADDH: communiqué à propos de la condamnation de Mohamed Hadj Smain
- Condamnation arbitraire d'un défenseur des droits de l'Homme (Observatoire pour la protection des dédenseurs des DH)
- Procès des «charniers» de Relizane (Le Quotidien d'Oran, 30.12.01)
- Le procès des «charniers» s'ouvre aujourd'hui à Relizane (Le Quotidien d'Oran, 29.12.01)
- Menaces et intimidations contre M. Bouhadef, FFS
- Harcèlement subi par le Professeur Mustapha Bouhadef (FFS, 28.12.01)
- Le procès des «charniers» de Relizane jugé le 29 décembre (Quotidien d'Oran, 09.12.01)
- Le président de la LADH agressé porte plainte (El Watan, 06.12.01)
- Le journal Al Maouid Al Djazairi a été interdit (Algeria Interface, 30.11.01)
- Suspension de l’hebdomadaire El Mawiîd (Jeune Indépendant, 28.11.01)
- Mohamed Smain: Harcèlement / Liberté de mouvement (29.10.01)
- "Pas de subventions aux associations qui nous critiquent" (Le Jeune Indépendant, 23.10.01)
- Déclarations des syndicats autonomes
- Pouvoir répressif (cadres syndicaux du S.N.A.P.A.P.)
- Le concert de Gnawa interdit (Le Matin, 05.08.01)
- Malade et épuisé, Bilem n'est plus le même (Libération, 02.07.01)
- Bilem de retour en France
- Bilem retrouve la liberté... provisoire (Quot. d'Oran)
- Un photographe arrêté (RSF, 09.05.01)
- M.Bilem nie toute implication dans une tentative d'assassinat contre un général algérien (Le Monde)
- Projet d'amendement du Code pénal : Un sérieux danger pour la liberté de la presse (RSF)
- Le gouvernement décide de suspendre «jusqu'à nouvel ordre » l'organisation de marches à Alger
- Tentative d'enlèvement d'un entrepreneur (SNAA)
- Appel pour la libération immédiate de M. Bilem et Manifestation le 28 mars
- Harcèlement d'un défenseur des droits de l'Homme (Observatoire)
- Arrestation arbitraire d'un défenseur des droits de l'Homme (a été libéré dimanche 25 février 2001)
- Harcèlement d'un défenseur des droits de l'Homme (Observatoire)
- Le port de la tenue afghane pénalement sanctionné (Liberté)
- L’expulsion de 90 familles à Leveilley a tourné hier à l’affrontement (Appel et La Tribune)
- Expulsion des 90 familles: Un décès et deux fausses couches ! (Le Soir d'Algérie)
- Un journaliste échappe à une tentative d'assassinat (RSF)
- Trois familles arrêtées pendant que sont démolies leurs maisons
- Depuis quelques temps les atteintes aux libertés se multiplient (FFS: déclaration)
- La justice française démasque les services de sécurité (CCFIS: déclaration)
- Chronique naissante des arrestations politiques (Libre Algérie)
- 22 familles à la fourrière (SNAA)
- Bavure ou suicide dans les locaux de la gendarmerie? (Le jeune Indépendant)
- Expédition punitive musclée de la police en Algérie (Libération)
- Des citoyens réprimés à Dellys (El Watan)
- Bouclage du quartier de Ain el Beida à Oran
- Après l'interdiction du sommet organisé par la LADDH
- Le sommet africain des droits de l’Homme prévu par la LADDH a été interdit
- La LADDH organise une rencontre africaine sur les droits de l’Homme
- France 98: Rafle citoyenne
- France: Pour la défense de la liberté d'expression
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