C'est le Clan d'Oujda qui m'a tuer
Publié le 05/01/2008 à 12:00 par cestleclandoujdaquimatuer
Moi aussi, c'est le Clan d'Oujda qui m'a tuer.
Comme M. Abdelkader Messahel, actuellement Ministre Délégué, Chargé des Affaires Maghrébines et Africaines, j'ai commencé ma carrière au Ministère des Affaires Etrangères, dont je suis aujourd'hui retraité, au début des années 1970, avec le grade de Chancelier des Affaires Etrangères.
A un moment donné de l'évolution de ma carrière, qui se déroulait le plus normalement du monde puisque, grâce à mes efforts personnels, j'ai pu réussir aux différents examens internes que j'ai passés pour devenir, d'abord Attaché, ensuite Secrétaire et enfin Conseiller et Ministre Plénipotentiaire, j'ai malheureusement rencontré sur mon chemin un homme de mal, sans foi ni loi, qui avait juré, à mon insu et pour des raisons que j'ignore encore, de me "détruire".
Ce qu'il fit effectivement avec la complicité d'agents de l'Administration Centrale du MAE et des Services de Sécurité car cet énergumène, que les Diplomates algériens reconnaitront facilement, est le beau-frère d'un baron du Clan d'Oujda, assassiné en 1994, en même temps que son fils, son frère et ses deux gardes de corps par "Monsieur Hassan Hattab".
Quel exploit contre quelqu'un de beaucoup plus faible que lui et de surcroît, à son insu.
Eléphant contre coq, en quelque sorte.
Le combat était par trop inégal.
"A vaincre sans péril..."
S'il avait eu le courage de me dire qu'il avait décidé de tout faire pour me priver de mon droit à la promotion dans ma carrière, afin de satisfaire ses propensions démoniaques, je lui aurais épargné cette peine inutile en lui répétant exactement ce que j'ai déjà dit à un "responsable" de son espèce :" Détrompez-vous, je n'ai jamais sollicité un quelconque poste de responsabilité ni demané pourquoi j'étais privé de promotion, pour la simple raison que j'étais convaincu que dans notre pays la responsabilité s'octroie souvent sur des critères subjectifs. Tel que je suis, je suis bien dans ma peau et en parfait accord avec mon âme et conscience".
J'ai su, par la suite, que ce lugubre personnage, caractériel, coléreux et violent a également fait du mal à de nombreux collègues du MAE dont il a brisé la carrière et ce ne sont sûrement pas les deux ou trois collègues, qu'il a "pistonnés" pour des considérations purement régionalistes, qui pourraient me contredire.
EN 1995, il a agressé, à l’arme blanche, M. Abdelkader Taffar, le Secrétaire Général du Ministère des Affaires Etrangères.
Pour beaucoup moins que ça, de pauvres bougres ont été radiés des effectifs du MAE mais le Ministre de l’époque, M. Dembri, qui avait lui-même assommé d’un coup de poing un de ses collaborateurs, lorsqu’il était ambassadeur au Canada, avait étouffé « l’affaire »,
Il a fait sa Carrière à l'ombre de son beauf et continue à se nourrir de son sang.
Selon des connaissances communes, il a, à plusieurs reprises, fait intervenir sa soeur auprès de son défunt mari pour qu'il fasse du mal à des personnes qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam, uniquement pour satisfaire l'instinct morbide et la rancune du frère de son épouse, qu'il n'aimait pas. Qui aime les mauvaises gens ?
Même leurs propres enfants, paraît-il, n'en sont pas fiers, parce qu'ils savent que ce sont eux, en définitive, qui "trinquent" souvent pour les actes répréhensibles de leurs parents indélicats. N'est ce pas ?
Comme le dit un de nos bons vieux dictons :"Que Dieu nous protège jusqu'à ce que la terre nous recouvre, dans l'estime et le respect des nôtres et d'autrui".
Une dernière question avant de tourner définitivement cette page peu glorieuse: qu'aurait-il fait lui, qui a été parachuté au MAE directement à un poste de responsabilité, si quelqu'un avait saboté sa carrière ?
Je saisis cette occasion pour rendre un vibrant hommage aux milliers de cadres algériens qui servaient, tous secteurs confondus, le pays, rien que le pays loyalement et avec un dévouement et un désinteressement exemplaires mais qui ont été victimes de l'ostracisme et de la persécution des différents Services de Sécurité, exclusivement à la solde du régime, dont "l'ennemi" numéro 1 étaient ses cadres propres et compétents et les intellectuels, qui refusent sa logique prédatrice et non pas les milliers d'activistes islamistes qui semaient librement la haine, propageaient leur doctrine rétrograde dans les mosquées, les écoles et les espaces socio-culturels du pays et investissaient massivement les différentes institutions de la République, minée par la corruption et la cupidité de ses dirigeants trop occupés par l'accumulation primitive de biens matériels.
Pouvoir et ambition aveugles, que de crimes odieux ont été commis en votre nom !
Comme M. Abdelkader Messahel, actuellement Ministre Délégué, Chargé des Affaires Maghrébines et Africaines, j'ai commencé ma carrière au Ministère des Affaires Etrangères, dont je suis aujourd'hui retraité, au début des années 1970, avec le grade de Chancelier des Affaires Etrangères.
A un moment donné de l'évolution de ma carrière, qui se déroulait le plus normalement du monde puisque, grâce à mes efforts personnels, j'ai pu réussir aux différents examens internes que j'ai passés pour devenir, d'abord Attaché, ensuite Secrétaire et enfin Conseiller et Ministre Plénipotentiaire, j'ai malheureusement rencontré sur mon chemin un homme de mal, sans foi ni loi, qui avait juré, à mon insu et pour des raisons que j'ignore encore, de me "détruire".
Ce qu'il fit effectivement avec la complicité d'agents de l'Administration Centrale du MAE et des Services de Sécurité car cet énergumène, que les Diplomates algériens reconnaitront facilement, est le beau-frère d'un baron du Clan d'Oujda, assassiné en 1994, en même temps que son fils, son frère et ses deux gardes de corps par "Monsieur Hassan Hattab".
Quel exploit contre quelqu'un de beaucoup plus faible que lui et de surcroît, à son insu.
Eléphant contre coq, en quelque sorte.
Le combat était par trop inégal.
"A vaincre sans péril..."
S'il avait eu le courage de me dire qu'il avait décidé de tout faire pour me priver de mon droit à la promotion dans ma carrière, afin de satisfaire ses propensions démoniaques, je lui aurais épargné cette peine inutile en lui répétant exactement ce que j'ai déjà dit à un "responsable" de son espèce :" Détrompez-vous, je n'ai jamais sollicité un quelconque poste de responsabilité ni demané pourquoi j'étais privé de promotion, pour la simple raison que j'étais convaincu que dans notre pays la responsabilité s'octroie souvent sur des critères subjectifs. Tel que je suis, je suis bien dans ma peau et en parfait accord avec mon âme et conscience".
J'ai su, par la suite, que ce lugubre personnage, caractériel, coléreux et violent a également fait du mal à de nombreux collègues du MAE dont il a brisé la carrière et ce ne sont sûrement pas les deux ou trois collègues, qu'il a "pistonnés" pour des considérations purement régionalistes, qui pourraient me contredire.
EN 1995, il a agressé, à l’arme blanche, M. Abdelkader Taffar, le Secrétaire Général du Ministère des Affaires Etrangères.
Pour beaucoup moins que ça, de pauvres bougres ont été radiés des effectifs du MAE mais le Ministre de l’époque, M. Dembri, qui avait lui-même assommé d’un coup de poing un de ses collaborateurs, lorsqu’il était ambassadeur au Canada, avait étouffé « l’affaire »,
Il a fait sa Carrière à l'ombre de son beauf et continue à se nourrir de son sang.
Selon des connaissances communes, il a, à plusieurs reprises, fait intervenir sa soeur auprès de son défunt mari pour qu'il fasse du mal à des personnes qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam, uniquement pour satisfaire l'instinct morbide et la rancune du frère de son épouse, qu'il n'aimait pas. Qui aime les mauvaises gens ?
Même leurs propres enfants, paraît-il, n'en sont pas fiers, parce qu'ils savent que ce sont eux, en définitive, qui "trinquent" souvent pour les actes répréhensibles de leurs parents indélicats. N'est ce pas ?
Comme le dit un de nos bons vieux dictons :"Que Dieu nous protège jusqu'à ce que la terre nous recouvre, dans l'estime et le respect des nôtres et d'autrui".
Une dernière question avant de tourner définitivement cette page peu glorieuse: qu'aurait-il fait lui, qui a été parachuté au MAE directement à un poste de responsabilité, si quelqu'un avait saboté sa carrière ?
Je saisis cette occasion pour rendre un vibrant hommage aux milliers de cadres algériens qui servaient, tous secteurs confondus, le pays, rien que le pays loyalement et avec un dévouement et un désinteressement exemplaires mais qui ont été victimes de l'ostracisme et de la persécution des différents Services de Sécurité, exclusivement à la solde du régime, dont "l'ennemi" numéro 1 étaient ses cadres propres et compétents et les intellectuels, qui refusent sa logique prédatrice et non pas les milliers d'activistes islamistes qui semaient librement la haine, propageaient leur doctrine rétrograde dans les mosquées, les écoles et les espaces socio-culturels du pays et investissaient massivement les différentes institutions de la République, minée par la corruption et la cupidité de ses dirigeants trop occupés par l'accumulation primitive de biens matériels.
Pouvoir et ambition aveugles, que de crimes odieux ont été commis en votre nom !
Post-Scriptum : C'est le Clan d'Oujda qui m'a Tuer
Publié le 07/01/2008 à 12:00 par cestleclandoujdaquimatuer
Lorsque, dans mon précédent Post-Scriptum, intitulé :"C'est le Clan d'Oujda qui m'a tuer", j'ai dit :"l'heure de la relève a sonné", j'exprimais, en toute humilité, une conviction forte et profonde que je sais, partagée par l'écrasante majorité de nos concitoyens, écoeurés de voir le pays, plus de 45 ans après son Indépendance, encore entre les mandibules rouillées de ceux qui sont, d'une manière ou d'une autre, responsables de tous les drames que le peuple algérien a subis depuis 1962.
Je suis convaincu, tout comme vous d'ailleurs, que les conditions objectives sont aujourd'hui, plus que jamais, réunies pour qu'un changement générationnel dans la Direction du pays puisse se produire dans la sérénité nécessaire et les membres influents du Clan d'Oujda le savent pertinemment mais ils cherchent à mettre la nation devant le fait accompli, dans le seul but de continuer à "jouir" de l'influence et des avantages matériels considérables que leurs fonctions respectives actuelles leur procurent.
En effet, alors que la plupart des pays d'Asie, d'Afrique, d'Amérique Latine et d'Europe Centrale et Orientale, qui étaient dans une situation politique, économique et sociale pire ou similaire à la nôtre, avaient pacifiquement ou au prix d'une violence minimale, effectué la mue nécessaire à leur adaptation aux exigences du XXIième siècle, l'Algérie recule tragiquement, dans tous les domaines, au point gravissime où les quelques acquis démocratiques engrangés depuis Octobre 1988, au prix d'énormes sacrifices consentis par des patriotes sincères, sont aujourd'hui sérieusement menacés par un régime que le Président Sarkozy dit "préférer à celui des talibans" ( bien triste comparaison, qui nous rappelle celle, aussi grave du "moins mauvais candidat" ) et dont le Président nage à contre-courant de l'Histoire.
Même les "Apprentis-Présidents" ( Chadli et Zéroual ), dixit "l'Apprenti-Dictateur", n'avaient pas osé franchir ce seuil infâme. Bien au contraire, le "Général Major", Liamine Zéroual est le père de la Constitution "libérale" de 1996, qui pose aujourd'hui problème au "Commandant" Abdelkader.
La majorité silencieuse doit donc briser son silence pour imposer "le changement, maintenant" car tous les jours que le clan d'Oujda passera encore aux commandes du rafiot "Algérie", grâce à la ruse et à la duplicité, vont accentuer sa dérive.
Les classements et notes attribués à l'Algérie , ces dernières années, par différentes institutions internationales, sont révélateurs de l'état peu reluisant du pays, dans de nombreux domaines.
Si chacun de nous prend sur lui de relever le défi simple de rappeler à ses amis et proches que " le changement est possible, maintenant" et de leur demander de faire de même avec leurs amis et proches et ainsi de suite, nous serons, d'ici à Janvier 2009, des milliers , des centaines de milliers voire même des millions à porter cette volonté commune, enfouie dans notre mémoire collective meurtrie et à la voir se matérialiser.
Les milliards de dinars algériens, qui vont servir, sans aucun doute, au financement occulte de la campagne démagogique et populiste pour le 3ième mandat, menée à tambour battant par Belkhadem et ses alliés de l'ex-FIS, des zouis et du FLN, tendance islamiste, et qui seront puisés, comme pour la campagne de 2004, de la cagnotte constituée grâce à l'exploitation sauvage des ressources naturelles non renouvelables du pays par les compagnies étrangères et la Sonatrach, ne pourront pas arrêter le tsunami social en gestation car, dans ce pays, les bonnes volontés sont encore beaucoup plus nombreuses que le Clan d'Oujda ne le croit.
Je suis convaincu, tout comme vous d'ailleurs, que les conditions objectives sont aujourd'hui, plus que jamais, réunies pour qu'un changement générationnel dans la Direction du pays puisse se produire dans la sérénité nécessaire et les membres influents du Clan d'Oujda le savent pertinemment mais ils cherchent à mettre la nation devant le fait accompli, dans le seul but de continuer à "jouir" de l'influence et des avantages matériels considérables que leurs fonctions respectives actuelles leur procurent.
En effet, alors que la plupart des pays d'Asie, d'Afrique, d'Amérique Latine et d'Europe Centrale et Orientale, qui étaient dans une situation politique, économique et sociale pire ou similaire à la nôtre, avaient pacifiquement ou au prix d'une violence minimale, effectué la mue nécessaire à leur adaptation aux exigences du XXIième siècle, l'Algérie recule tragiquement, dans tous les domaines, au point gravissime où les quelques acquis démocratiques engrangés depuis Octobre 1988, au prix d'énormes sacrifices consentis par des patriotes sincères, sont aujourd'hui sérieusement menacés par un régime que le Président Sarkozy dit "préférer à celui des talibans" ( bien triste comparaison, qui nous rappelle celle, aussi grave du "moins mauvais candidat" ) et dont le Président nage à contre-courant de l'Histoire.
Même les "Apprentis-Présidents" ( Chadli et Zéroual ), dixit "l'Apprenti-Dictateur", n'avaient pas osé franchir ce seuil infâme. Bien au contraire, le "Général Major", Liamine Zéroual est le père de la Constitution "libérale" de 1996, qui pose aujourd'hui problème au "Commandant" Abdelkader.
La majorité silencieuse doit donc briser son silence pour imposer "le changement, maintenant" car tous les jours que le clan d'Oujda passera encore aux commandes du rafiot "Algérie", grâce à la ruse et à la duplicité, vont accentuer sa dérive.
Les classements et notes attribués à l'Algérie , ces dernières années, par différentes institutions internationales, sont révélateurs de l'état peu reluisant du pays, dans de nombreux domaines.
Si chacun de nous prend sur lui de relever le défi simple de rappeler à ses amis et proches que " le changement est possible, maintenant" et de leur demander de faire de même avec leurs amis et proches et ainsi de suite, nous serons, d'ici à Janvier 2009, des milliers , des centaines de milliers voire même des millions à porter cette volonté commune, enfouie dans notre mémoire collective meurtrie et à la voir se matérialiser.
Les milliards de dinars algériens, qui vont servir, sans aucun doute, au financement occulte de la campagne démagogique et populiste pour le 3ième mandat, menée à tambour battant par Belkhadem et ses alliés de l'ex-FIS, des zouis et du FLN, tendance islamiste, et qui seront puisés, comme pour la campagne de 2004, de la cagnotte constituée grâce à l'exploitation sauvage des ressources naturelles non renouvelables du pays par les compagnies étrangères et la Sonatrach, ne pourront pas arrêter le tsunami social en gestation car, dans ce pays, les bonnes volontés sont encore beaucoup plus nombreuses que le Clan d'Oujda ne le croit.