Le Syndicat interprofessionnel de la presse et des médias de la Confédération nationale du travail (SIPM-CNT, France) a exprimé hier « son entière solidarité avec ses collègues de Radio El Bahdja, d’Alger, empêchés de pénétrer sur leur lieu de travail suite à une journée de grève début mars ».
« En Algérie, en France comme dans le reste du monde, nous refusons la précarisation, la répression devant nos justes revendications et exigeons des conditions de travail dignes », indique le SIPM dans son communiqué rendu public. Le SIPM exige « la réintégration immédiate des journalistes injustement sanctionnés » et déclare rester « attentif au déroulement de ce conflit de travail et aux négociations qui seront engagées avec la direction ».
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