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Ils nous ont volé l’Algérie du mesk eleil, du chaabi, l’Algérie du courage et du respect, mon Algérie du temps des jasmins, des baba Salem et des zerna

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Nous n'avons plus le droit de mentir pour se montrer aux autres nations, que nous avons uns société propre, gentille, accueillante et débordante de chaleur. L'Algérie de 2010, n'est plus cette société généreuse des mes grands parents, une société de valeurs et de principes: EL-HACHEMA..... LAKDAR....... EL-KALMA..... LE-FHAMA......... DRAFA. Etc. En plus de ses valeurs, l'Algérie était belle avec ses rosiers, ses jasmins, ses coquelicots, ses casbahs, ses palmiers, ses montagnes, son désert, sa Méditerranée, etc. L'Algérie de mes grands parents a fait face avec courage et bravoure a 132 années de colonisation, face a toutes les stratégies de décomposition et de déconfiture visant a déraciner mes grands parents, l'Algérie était restée attachée à sa culture, son histoire, sa religion, ses mœurs, a son Algérie profonde. Elle était inflexible face a face a son destin. L'Algérie de mes grands parents ne reconnait plus mon Algérie à moi; une Algérie des barricades, de clôture métalliques, de portes blindées, de couvre feu permanent, mon Algérie a perdu ses rosiers veloutes, son jasmins, son mesk eleil, ses mandarines, ses oranges, son deglet nour, ses casbahs, son chaabi, son baba Salem, son zerna… Il ne reste de l'Algérie de mes grands parents qu'un souvenir lointain qui se perd à l'horizon pour ne plus exister dans l'Algérie de mes enfants. L'Algérie de mes grands parents était assassinée par confiance au lendemain de sa gloire. Elle était belle, jeune, forte, douce, intelligente, courageuse, réservée, adorable et confiante, heureuse de voir ses enfants scander TAHYA EL DJAZAIR.

48 ans d’oppression, de destruction, de confiscation…

Ces criquets d'Oujda, ces étranges de frontières, ces malfaiteurs, ces bandits, ces falsificateurs, ces voyous ont transformé la joie d'un peuple a un deuil permanent, ces ennemis de l'Algérie de mes grands parents n'ont aucune traçabilité dans l'histoire de mon histoire, n'ont aucune relation avec mon islam, ma culture, ma langue, mes origines, la couleur de mes terres. Mon Algérie est meurtrie, elle souffre le martyrs entre un despotisme qui la gouverne et un peuple qui agonise. Tous ce qui a été dit dans ce guide n'est qu'une partie de la vérité, une vérité amère, une vérité a l'image de nos dirigeants. Dans la pratique: la femme algérienne est accostée dans les bus, dans la rue "des hommes de 65 ans se comportent d’une manière obscène au passage de n'importe quel sexe féminin et de n'importe quel âge. Ceci est le résultat d’une politique d'Etat vide de moralité et de sens, 48 années d’improvisation, d'essais, de torture, de confiscation, d'oppression, de répression, d'absence de liberté, de destruction, de falsification, de déculturation, de colmatage, de cirque, de rabotage, de trabendiste, de n'importe quoi. Nous devrions remettre l'Algérie sur les rails de 1962, restituer son indépendance, mettre le pays sur une gouvernance démocratique avec un vrai parlement, une justice au dessus de tous, le partage des richesses, la liberté d'expression et de pensée, une administration au service de l'Algérie, donner la chance a tous les algériens pour travailler l'Algérie . Mon Algérie est jalouse de l'Algérie de mes grands parents. Mon Algérie a peur de ne plus communiquer avec l'Algérie de mes enfants. L’Algérie de mes enfants n'auront pas la malchance de connaitre la gouvernance sous la dynastie d’Oujda. Ma mission est d’effacer de la mémoire collective le passage de cette dynastie après leur condamnation par contumace.

DEMOSOS

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