les bus du cous ca va !!!bien sur vous avez renvoyer les étudiants à pieds malgré l'emeute, et mettreà abrit vos bus de peur que l' emeute les brulent!!!!!!!
Le premier ministre a symboliquement un pied dehors. Son cours économique est détricoté par des mesures en faveur de l’importation et de l’informel. Son impopularité atteint des sommets. Mais la position du président Boutéflika, qui peut lui sortir l’autre pied, s’est affaiblie en 2010 avec les affaires de corruption de son clan. Statut quo entre deux « ambulances ? »
Les émeutes de la jeunesse exclue n’ont pas produit en Algérie, d’effets politiques à chaud. En Tunisie, il a fallu une semaine de manifestations spontanées après le coup de tonnerre de Sidi Bouzid pour mettre en route les élites syndicales, associatives et l’opposition politique au régime de Zine Ben Ali. Rien de tout cela en Algérie. Le ministre de l’intérieur, Daho Ould Kablia, se félicite de ce que personne ne soit en mesure, dans son pays, de faire jonction avec les émeutiers : « la tentative de récupération a échoué. Ceux qui disent qu’il va falloir encadrer ce mouvement et le canaliser se trompent lourdement » a-t-il déclaré sur le site Algérie Plus. En conséquence, « la même feuille de route continue » épilogue t’il. Il y’a pourtant des raisons d’en douter. Le premier ministre Ahmed Ouyahia est en très mauvaise situation. Il n’a pas signé le communiqué du conseil interministériel –sans images – qui prenait les décisions « anti crise » et a du subir la plupart des options de réponses dictées par la présidence. L’annonce par Mustapha Bendaba, ministre du commerce, rétablissant à la télévision les pratiques du commerce au noir à la fin d’une réunion avec les fournisseurs d’huile et de sucre, est un désaveu direct. Dans le même sillage Daho Ould Kablia a pris des libertés pour déclarer, toujours sur Algérie Plus « Personnellement, j’ai toujours avancé l’idée qu’on ne peut engager que les batailles qu’on est sûrs de gagner. La bataille de l’informel doit faire l’objet d’une stratégie du moyen et du long terme (…) On a essayé de le maîtriser il y a deux ans en imposant le chèque mais on a reculé car pour imposer le chèque il faut avoir des structures qui répondent (…) est-ce que c’est réalisable tout de suite ? Moi, je dis non. Ca viendra progressivement ». Désavoué par ses ministres sur le front de la lutte contre l’informel, il a du également avaler la couleuvre de la promotion des importations du sucre et de l’huile avec la levée des droits de douanes et de la TVA. Des mesures qui visent, dans le premier cas, ouvertement l’industrie locale de raffinage du sucre, dominée par le groupe Cevital.
Une question d’interprétation des évènements
« La tendance dans les situations de crise est de faire bloc au début » rappelle un ancien ministre. La suite est d’un autre cru. Ahmed Ouyahia est t-il capable de s’approprier toutes les mesures et de continuer comme s’il n’avait pas été démonisé ? « Bien sur. Son parcours n’atteste pas d’une grande rigueur de principe. Et si le président ne lui demande pas de remettre le tablier, il ne le fera pas » pense l’ancien ministre. Ahmed Ouyahia est donc très affaibli, mais pas nécessairement chancelant. Son sort dépendra alors de la lecture des évènements faite par le président de la république. Pour Said Medar, analyste politique, le scénario le plus probable est que « Boutéflika interprète les émeutes comme un complot contre lui, comme l’a laissé entendre Belkhadem avant de nuancer son propos. Il ne pensera pas alors que le départ de Ouyahia va régler sa précarité. Il pourrait même penser le contraire s’il se persuade qu’il y’ a la main des services dans ces émeutes ». Le clan présidentiel a pris beaucoup de coups en 2010. Sous le feu des enquêtes économiques du DRS (département du renseignement et de la sécurité), il a du subir l’effondrement de sa mainmise sur Sonatrach et son « pilotage » des gros contrats d’équipement comme l’autoroute Est-Ouest. Abdelaziz Boutéflika s’est séparé de deux ministres clés de sa gestion, Chakib Khelil et Nourredine Zerhouni, et a du se résoudre à mettre en semi retraite Hamid Temmar (aujourd’hui ministre de la prospective), un autre point d’appui au sein du gouvernement. Les émeutes de la jeunesse démunie peuvent lui offrir l’occasion d’une revanche clanique sur la partie du gouvernement qui obéit à d’autres fidélités, à commencer par le premier ministre. Les jours d’après indiquent qu’il n’en aurait pas l’énergie. Mais pas pour autant la volonté.
Commentaires
je voudari dire que les problemes des praticie,s de la santé public en algerie neccessite une implication multilaterale des administrations dans ce pays probleme relatif au logements au satatuts exemple dans notre EPSP le soit disant statut actuell ne touche que 4 medecins sur les 22 que compte l etablissement public
de plus se preocuper des infrastructures comme acheter des radio ultra moderne se doter de belles polycliniques et de belles ambulances alors que le medecin ne touche que 30 000 DA par mois montre le desinteressement de la tutelle du facteur humain qui lui est t plus important que touts ces materiel importé en devises fortes et a qui ils ne profites qu une minorité privilegier
j estime que le statut actuelle des praticiens de la santé public auquel aucun medecin n adhere montre une veriritable exclusion des acteurs concernés par ce statuts que sont les medecins generaliste qui sont le pilier de toute politique de santé dans tout les pays du monde
je pense que ce statut doit etre changer en collaboration avec les veritables representant des praticiens de la santé public que sont le snpsp
merci 22 janvier 2011