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Djilali Mehri fait expulser plusieurs familles de leur immeuble à Oran

 

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L'immobilier dans la ville d'Oran attise les convoitises d'une nouvelle mafia

Plusieurs familles sont menacées d'expulsion dans des quartiers très huppés de la ville d'El-Bahia notamment dans celui du Plateau. D'autres ont été déjà expulsées par des méthodes pour le moins douteuses.

Ainsi au Plateau, plusieurs familles ont reçu des décisions de justice lancées à partir du sol français les sommant de quitter les lieux. Et les exemples sont nombreux, ils touchent toutes les communes de la wilaya d'Oran. Le plus amblématique : celui des locataires de l'immeuble du boulevard de la Soummam en plein centre de ville qui ont été expulsés de leur appartement par une décision de justice alors que l'immeuble en question appartenait à Siffan, une société française. Le comble c'est que l'actuel propriétaire ne dispose pas d'acte administratif dudit immeuble, selon les résidents qui nous ont informés de la  transaction frauduleuse de vente qui a été effectué par un notaire français au profit de Mehri Djillali, propriétaire d’une chaîne hôtelière le Royal et Ibis. Mehri a fait expulser plusieurs familles, dont celle d'un grand moudjahid, le défunt Ali Cherif. Bon nombre de structures sanitaires appartenant à la Sonatrach ont par ailleurs été récupérées par la même occasion.

Cette nouvelle filière d'enrichissement est née à Oran avec la complicité des responsables indélicats des services des enregistrements des domaines qui connaissent bien la filière puisqu'ils opèrent de l'intérieur et les exemples des décisions de justice d'expulsion sont  tellement nombreuses qu'on ne peut les citer toutes ici.

Medjadji H.

Commentaires

  • Permettez-moi de réagir en tant qu’Algerienne ayant été victime d’injustice de la part de l’état algérien. Donc avec les idées claires.
    SINCEREMENT en tant que citoyen si vous achetez un bien , vous voulez l’exploiter….
    Pourquoi Monsieur MEHRI n’aurait pas le droit de le faire ???????????
    Parce qu’il est riche ????????
    N’est ce pas injuste envers lui ???
    JE N’AI PAS SA RICHESSE mais j’aimerai l’avoir
    Et je pense que je ferai comme lui
    J’acheterai des biens que je réhabiliterai que je rendrai propres et beau
    C’est ce qu’il a fait dans pas mal d’endroits en créant des emplois bien payé.
    Il a même rendu un désert fertile….
    Est-ce que l’état algérien à fait ça ??? NON
    Je ne connais pas Monsieur MEHRI, j’aimerai le connaître pour le remercier du bien qu’il apporte à l’Algérie
    Il est facile de sortir de l’Algérie pour lui mais il ne sort jamais l’Algérie de lui
    Il aime son pays et toutes les parties de l’Algérie
    Il ne fait aucune distinction de région
    Il est du sud mais il aime l’ouest , il vit dans le centre et construit aussi à l’EST
    Connaissez-vous son association DHAOUIA du nom de sa mère
    Cette association sauve des centaines d’enfants et même adulte de la maladie
    Il les soigne à l’étranger dans les meilleurs hôpitaux et lui se fait soigner à ALGER
    Ne soyez pas jaloux (hassoudine)
    Est-ce que les habitants de cet immeuble d’ORAN sont propriétaire ???????? NON
    Comment ont-ils eu ces appartements ????
    Est-ce un crime que les français qui avaient cet immeuble veuillent le vendre ??
    EST-CE UN CRIME QU’UN ALGERIEN VEUILLE RACHETER UN BIEN EN ALGERIE ???
    Si j’achete une maison, je veux l’habiter et si quelqu’un veut y habiter avec moi , je me révolterai.
    C’est un bien privé vendu à un privé !!!!!!!!!!!! c’est tout
    Et n’importe qui d’entre nous aurait la même réaction !!!
    C’est normal que des français choisissent un NOTAIRE FRANÇAIS pour signer la vente
    Et puis l’acte administratif n’arrive pas aussi vite
    Il faut du temps pour l’enregistrer et SURTOUT EN ALGERIE ou tout va DOUCEMENT
    Je suis pauvre , je n’ai jamais pu faire fortune mais si j’avais pu , je n’aurai jamais refusé de devenir riche pour mes enfants , ma famille , mes amis ….
    Et vous êtes tous comme moi !!!
    Laissez cet homme en paix , il a fait plus pour l’algérie que tous les hommes d’état qu’on a eu et qui ont juste ouvert des comptes en Suisse avec l’argent du gaz et du pétrole
    Monsieur Mehri est un commerçant
    Il achete , il vend, et prend sa commission
    Comme le boulanger , comme l’épicier , comme le boucher ………………
    Pourquoi ça vous choque ?????
    je lui souhaite d'en gagner plus pour pouvoir nous en faire gagner à nous un peu
    je me demande si cet immeuble a été garder par ces habitants dans un parfait état comme les vieux immeubles qu'on peut voir en france , très vieux immeubles MAIS PROPRE !!!!
    ça m'étonnerai !!!!!!!!!!!!!!!!!!
    on verra ce que MEHRI va en faire
    il a quand même retapé tout un quartier à ORAN
    et excusez moi mais les ordures et les rats à ORAN ne derangent pas beaucoup les citoyens !!!!!

  • Algérie : Djilali Mehri mêlé à un scandale de corruption avec Ericsson
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    rafik tayeb

    En Suède, depuis quelques jours, le groupe Ericsson est secoué par deux affaires de corruption dont une concerne directement l’Algérie. Selon la radio publique suédoise, qui a révélé l’information, l’équipementier de télécommunication a embauché l’homme d’affaires et ancien député proche du mouvement islamiste Hamas, Djilali Mehri, pour pouvoir négocier et obtenir des contrats en Algérie.

    Le début de la collaboration entre les deux parties remonte à 1996. L’accord signé entre les deux parties prévoit notamment que M. Mehri «fournira à Ericsson toutes les aides et la coopération, l'information nécessaire pour la réussite des soumissions (aux projets) ou dirigera la négociation…», selon un document dont «toutsurlalgerie.com» s’est procuré une copie.

    Selon des documents émanant du groupe suédois, Djilali Mehri a collaboré avec Ericsson sur plusieurs projets, notamment ceux liés à des contrats dans le GSM avec l’opérateur historique Algérie Télécom. Des échanges de courriers confirment l’implication de l’homme d’affaires dans des négociations sur des projets de plusieurs centaines de millions de dollars. En échange, le «consultant» obtenait des rémunérations sur les contrats obtenus pouvant atteindre 10% du contrat. M. Mehri aurait obtenu au moins 20 millions de couronnes suédoises (environ 2,5 millions d’euros) pour ses prestations. On ignore si la collaboration entre les deux parties se poursuit actuellement.

    Au moment où nous mettons en ligne, Djilali Mehri, en voyage à l’étranger selon un membre de son entourage, était injoignable pour commenter ces informations.

    «toutsurlalgerie.com» met à la disposition de ces lecteurs les documents émanant de la compagnie suédoise Ericsson et mettant en cause l’homme d’affaires algérien, Djilali Mehri.

  • Algérie : «L’éternelle» transition
    RABEH KHALIL
    12 2002


    Les scandales se succèdent, derniers en date : l’affaire Orascom et les implications de l’homme d’affaires émirati, Ali Mohamed al-Shorafa ; le projet de réformes économiques, initié par le président Bouteflika et piqué par le premier ministre Benflis, nouveau patron du FLN, piétine ; la centrale syndicale menace de descendre dans la rue à la rentrée ; le blanchiment d’argent à travers les groupes qui poussent comme des champignons, éclabousse le pouvoir. Les langues se délient. Partout en Algérie, on ne parle que de la résurrection du “ Trésor de guerre du FLN ” qui a coûté la vie à plusieurs leaders algériens.



    En dépit des efforts médiatiques déployés à la veille et après les dernières élections législatives pour améliorer l’image du pays, la situation reste floue en Algérie. “ L’illisibilité politique ainsi que les tiraillements au sommet nous rendent de plus en plus réticents ”, précise un banquier français à Alger. Le diagnostic de Cheikh Khaled ben Sakr al-Qassimi, vice-président du Groupe émirati Gibca, associé à la holding algérienne Union Bank Group, est beaucoup plus amer. “ Qualifier notre compatriote, Al-Shorafa, qui a investi en Algérie au moment où , tout le monde évitait de s’aventurer dans ce pays, d’étranger, de faux-frère qui répand l’intégrisme, est une attitude honteuse ”, souligne l’homme d’affaire qui ajoute : “ Ce n’est pas encore trop tard pour se désengager , car nous n’avons pas l’intention de payer le prix des règlements de comptes des clans au pouvoir ”.

    Si tu parles , tu meurs

    Face à ce constat décourageant, l’élite au pouvoir attribue ce flou et ces dérapages à la période de transition qui prédomine depuis quelques années. “ Cette transition qui a trop duré, n’est que le porte-chapeaux sur lequel tous les maux de l’Algérie sont accrochés ”, nous disait un jour, l’ancien premier ministre réformateur, Mouloud Hamrouche. Le problème est beaucoup plus grave, s’accordent à dire les analystes politiques algériens, affirmant qu’il existe actuellement dans le pays des groupes d’intérêts plus forts que l’Etat. Ceux-ci ont pour seule et unique devise “ Si tu parles, tu meurs ”. C’est aussi de l’avis de Karim Mahmoudi, président de la Confédération des cadres de la finance et de la comptabilité. Victime, il y a environ un mois d’un attentat avorté, ce courageux continue de recevoir des lettres de menace et d’intimidation sans que les autorités répondent jusqu’ici à sa demande de protection. Dans une interview accordée à notre confrère algérien Le Matin, Mahmoudi a indiqué “ qu ‘il ne croit pas à la version des tueurs au sens idéologique du terme. Il y a des gens qui doivent avoir bien des intérêts à défendre ”.
    Les fuites considérables des capitaux, d’une part, et l’afflux des investissements louches, en provenance plus particulièrement de Suisse, de l’autre, ont ravivé l’histoire sanglante du “ Trésor de guerre ” du FLN. Trésor réparti entre les comptes cochés sur listes rouges et les sociétés écrans allant de Houston jusqu’à Curaçao. Certains établissements européens chargés d’enquêter sur le blanchiment d’argent, laissent comprendre que les grands groupes qui ont émergé ces dernières quatre années en Algérie, auraient servi plus précisément à blanchir graduellement ce trésor de guerre. Des groupes tels que CEVITAL, de l’homme d’affaires Issâad Rebrab (élu manager de l’année 2002 et homme proche de Bouteflika) ; Khalifa Group, du golden boy Abdel Moumen Khalifa (dont le père fut un proche d’Ahmed Ben Bella) ; Union Bank Group de Brahim Hadjas ou Mehri Group, appartenant à l’homme d’affaires énigmatique franco-algérien Djillali Mehri, sont dans la ligne de mire de tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin aux réseaux de blanchiment d’argent dans les pays du tiers-monde.
    Néanmoins, il est très difficile jusqu’à présent de trouver les moindres preuves permettant l’inculpation de ces groupes. Cela s’applique également aux sociétés écrans appartenant aux généraux, touchant à tout, des hydrocarbures, en passant par les contrats publics finissant avec les marchés du sucre, de la farine, des médicaments, etc…. Dans cet ordre de constatations, un organisme britannique spécialisé, estime que l’argent blanchi cette dernière décennie sur le marché algérien varie entre 15 et 20 milliards de dollars. Et que les milliardaires actuellement en vue aussi bien à Alger que dans les autres grandes cités, ne font pas partie du capitalisme traditionnel algérien qui ne dépasse pas les douze familles. Cela dit, la majorité des grosses fortunes en émergence sont issues des sphères del’Etat où elles ont bénéficié d’un soutien inconditionnel pour se faire de l’argent.

    Les casse-tête de Benflis

    L’ex-directeur de campagne d’Abdelaziz Bouteflika risque, après les dernières élections législatives, de devenir son plus farouche adversaire. Le premier ministre qui dirige désormais le plus fort parti politique du pays se voit d’ores et déjà dans la course à la présidentielle. Avec l’appui de certains généraux influents de l’armée, notamment les ennemis jurés de Bouteflika, il compte réussir, d’une part, quelque uns de ses paris économiques et sociaux et, de l’autre, faire oublier les échecs de son précédent cabinet, conduit en réalité à travers le palais présidentiel d’Almouradia. Ali Benflis, qui a su, contrairement à son précdécesseur technocrate, Ahmed Benbitour, sauver sa tête à plusieurs reprises, veut à tout prix briller avant l’arrivée de l’échéance présidentielle de 2004. Le seul risque de remise en cause qu’il encourt, reste la contestation de son action de la part du président de la République.
    Ce dernier peut à tout moment le limoger. Mais cette probabilité devient aujourd’hui moins évidente, notamment après que Benflis soit devenu l’homme fort du parti le plus fort d’Algérie, avec bien entendu, le soutien et la bénédiction de la grande partie du pouvoir réel, l’armée.
    Parallèlement, le chef du gouvernement est censé marquer plusieurs points significatifs, aussi bien dans les domaines interne qu’externe. Il doit avant tout gagner son pari consistant à concrétiser son programme de privatisation annoncé récemment. Benflis est obligé de vendre 20 établissements au secteur privé avant la fin de l’exercice en cours et surmonter les obstacles qui l’entravent avec le défi lancé par l’UGTA ( Union Générale des travailleurs algériens) qui l’a menacé de descendre dans la rue à la rentrée pour défendre les acquis sociaux. L’entourage de Bouteflika affirme que Benflis panique déjà et craint une telle confrontation qui pourrait se transformer cette fois en bain de sang. Par ailleurs, ce dernier est contraint de s’engager dans une course contre la montre pour drainer les investisseurs étrangers qui traînent les pieds faute de transparence et de la faiblesse du marché financier. Surtout lorsqu’on sait que les sociétés cotées en Bourse d’Alger se comptent sur les doigts d’une seule main.
    Le scandale lié aux investissements de l’homme d’affaires émirati Ali Mohamed al-Shorafa qui éclabousse non seulement Bouteflika de par son amitié avec ce dernier, mais aussi Benflis qui a facilité à son entreprise United Eastern Group (UEG) l’octroi d’importants marchés tels que : Orascom,le développement de l’aéroport Houari Boumediène, le port de Djenjen, la zone franche de Bellara et la construction de 100.000 logements, pourrait compromettre la carrière de l’ambitieux premier ministre. Dans cette foulée, on évoque déjà le nom de son éventuel concurrent à la présidence, l’ancien premier ministre, Sid Ahmed Ghozali, qui vient de témoigner récemment à Paris en faveur du général Khaled Nezzar dans l’affaire Habib Souaïdia.

  • Vive el oued souf et la famille mehri djillali que dieu te protege toi et ta famille tu as rapporté la baraka en Algérie faite comme lui travailler et arreter de critiquer construisez l'Algérie et respecter le pays aux 2 millions de martyrs je veux que nous algériens soyons les africains honorables et sérieux vive l'Algérie et oued souf

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