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Présidence à risque



Par Maâmar Farah
Ben Bella, premier président algérien, ne termine pas son mandat suite au redressement révolutionnaire du 19 juin 1965.
Son successeur, Boumediène, n’achève pas sa mission et meurt à l’hôpital Mustapha fin 1978.
Chadli Bendjedid, le président de la décennie quatre-vingt, «démissionne» au cours de son second mandat.
Mohamed Boudiaf prend les rênes du pouvoir en 1992. Il est assassiné à Annaba en juin de la même année.
Après le court passage de Ali Kafi, Zeroual est élu le 15 novembre 1995 au suffrage universel parmi quatre candidats. Il se retirera en février 1999 et ne terminera pas son mandat.
Bouteflika est sur le point d'achever son troisième mandat mais il est à bout de souffle et gouverne à partir d'un fauteuil roulant.
Y a-t-il une malédiction qui traîne du côté d'El Mouradia ou est-ce ce peuple si compliqué et si difficile qui «achève» ses présidents sans pitié ?
maamarfarah20@yahoo.fr

«Et malgré ça, ils sont de plus en plus nombreux à vouloir accéder à El Mouradia ? Ce sont les «candidats kamikazes» !
Tata Aldjia

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