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demi portion

  • Un président charlatan et des élites perverses.

     

    Said RADJEF 06 07 2012

    Malheureusement, il n’y a pas que Bouteflika qui soit atteint de la folie des grandeurs. C’est presque toute la classe politique algérienne qui est profondément touchée par cette maladie. L’Algérie est le seul pays au monde ou l’opposant est opposant non pas pour proposer un projet de société, une sortie de crise sans tragédies, mais il est opposant par orgueil, par ignorance et souvent par cupidité…Nos opposants sont justes opposants pour remplacer le régime en place, pour demander à la junte de les accepter comme interlocuteurs privilégiés, pour fuir le peuple et prendre une place de choix dans cette Algérie d’en haut. Si nous avions une opposition digne de ce nom, est ce que des caporaux incultes auraient eu l’audace de diriger des universitaires comme un troupeau de moutons, est ce que Ben Bella aurait élevé la voix pour malmener et humilier Debaghine, Ferhat Abbas, Ben Youcef Benkhedda, est ce que Bouteflika aurait existé de nos jours pour se comporter comme Néron ? lire la suite