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drogue.

  • Quand les destruktors se sucrent...


    Par Maâmar Farah
    Et vas-y que tu me donnes pour que l'Etat te donne, vire-moi du fric ou je te vire tout court. Rencontres à Paris : c'est pratique mais versement en Suisse, ça fait chic ! Tous les secteurs d'activité ont été touchés. Voilà aussi pourquoi tous les soumissionnaires nationaux à la compétence avérée et aux moyens solides ont été écartés de la course.
    Voilà pourquoi et comment, on a marginalisé le cadre algérien, tué des centaines d'entreprises, fermé des usines et détruit des pans entiers de notre industrie ; voilà pourquoi on a poussé des milliers de cadres à fuir vers l'étranger. Importons, importons de tout, n'importe quoi, pourvu que ça casse le produit algérien, pourvu que ça place des sommes colossales à l'étranger... C'est un plan national de destruction systématique et ce n'était pas seulement une question d'idéologie ou de mauvais choix. Les destruktors ne sont pas sadiques : ils ne détruisaient pas pour le plaisir. Ils se faisaient grassement payer. De l'argent sale comme ces 197 millions d'euros qui auraient été versés par l'italienne Saipem à des responsables algériens. Des noms, nous voulons des noms !
    maamarfarah20@yahoo.fr
    «Un lecteur a demandé à mon neveu des détails sur Sihem Lavabo. Il veut tout savoir sur elle. Il demande une chronique sur le sujet. Je n'autorise pas mon neveu à parler de cette dévergondée, sauf s'il me refile 7 millions pour changer la vieille télé. Quoi, corruption ? C'est mon neveu chéri, non ?»
    (Tata Aldjia)