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les hommes de l'ombre d’algerie

  • LES HOMMES DE L'OMBRE D’ALGERIE

     

    Samedi 7 août 2010 6 07 /08 /Août /2010 23:14

     

    Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux le Très Miséricordieux

     

    LES HOMMES DE L'OMBRE D’ALGERIE

     

    Ribaat


     

    Ch'ban 1431/ Aout 2010

     

    Portrait robot fichées sur ces hommes de l’ombre et connues de tous, criminels décédés pour les uns, encore en activité tyrannique pour d’autre. Coupables de massacres des musulmans et de l’injustice en terre islamique d’Algérie. Admirez ces visages de la mort : tête de petite pédale ou bien gonflé de graisse, ils en disent long sur leur rapacité et leur avidité du pouvoir et de l’argent par le massacre et la tyrannie du TAGHOUT mécréant en Algérie.

     

     

    1/ Portrait Robot fichées sur internet des généraux criminels 

     

    1 Mafia généraux Tewfik, Larbi Belkhir et Smaïn

    Les généraux du Taghout Tewfik, Larbi Belkhir et Smaïn

     

     

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    Les deux plus grands criminels de l'histoire de l'Algérie, les ex-enfants de troupe française colonisatrice : Khaled Nezzar et Mohamed Lamari

     

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    Les généraux Kamel Abderrahmane, Fodil Cherif et Saïd Bey

     

     

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    Les généraux Guenaïzia, Touati "elmokh" et Gheziel


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    Le général Djenouhat, Le colonel Ali Tounsi le flic numéro 1 et le général Khelifa Rahim

     

    « Les uns sont encore en activité, les autres sont en retrait pas à la retraite. Ils se relayent sur le pouvoir selon les conjonctures et les alliances. Ils sont dangereux. Leur neutralisation ne peut être que salutaire pour l'Algérie. »

     

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    Général Major Smain LAMARI Chef de la DCE (Direction de contre-espionnage)

    L'artisan du plan de  l'assassinat du président Boudiaf, Smain LAMARI est avec Mohamed Lamari,  Fodil Cherif et Abdelmajid,  l'exécutant des décideurs.

     

    Né à Alger en 1941 et décédé le 27 août 2007, était Général major et directeur de la sécurité intérieure algérienne du Taghout et responsable de la mort de plusieurs milliers de musulmans d’Algérie. Des années 1980 à sa mort, il est l'un des hommes les plus influents du régime Algérien apostats et tyrannique.

    Originaire de Beni Slimane dans la région de Titteri, en 1961 il s'engage dans l'ALN a l'indépendance il fait un court passage dans la police puis s’engage dans la marine national.

    En 1973 il suit une formation spéciale pour obtenir le grade de sous-lieutenant, il a toujours évolué dans les services opérationnels.

     

    En 1989 le général Betchine, qui ne le porte pas dan son cœur, le limoge sans raison apparente, le lieutenant-colonel Smain LAMARI va se plaindre a Larbi Belkheir, chef du cabinet du président Chadli, quelques jours plus tard, il est nommé inspecteur général de la direction de la sécurité de l'Armée, passé sous le contrôle de Tewfik.


    Après le départ a la retraite de Betchine, Smain est nommé chef du département du contre-espionnage, sous les ordres direct du général Tewfik, un poste qu'il occupe jusqu'a aujourd'hui.

     

    Smain fut chargé par Larbi Belkheir d'organiser l'assassinat du président Boudiaf en juin 1992.

    En 1999 il est chargé par Belkheir d'organiser la reddition des éléments de l'armée Islamique du Salut ( AIS ) dirigé par Madani MERZAG, et faire passe le projet officiellement sous le nom de la nouvelle politique du pion président Bouteflika, les algériens qui ont voté naïvement  ne savaient  pas que cette accord avec les vrais terroristes (les espions de l’armée) du parti dissous est en réalité le retour au bercail des centaines d'agents de la DRS infiltrés chez les véridiques moudjahidin valeureux pour contrôler les groupes islamiques armées est salir l’image de l’Islam par des massacres d’innocents, ce que ce pion de Bouteflika ignore apparemment !?,  L'accord signe avec les vraies terroristes n'est que la signature de fin de mission pour ces agents des services secret dirigé aujourd'hui par les criminels Tewfik et Smain. 

     

    Responsable des missions d’espionnage et d’attaque terroriste contre les moudjadins et surement des civils, il est proche du général de corps d'armée Mohamed Mediène, plus connu sous le pseudonyme de « Toufik », patron du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) du taghout, les services Taghout de renseignement algériens. Avec ce dernier et le général Khaled Nezzar il s'oppose en 1991 à l'arrivée au pouvoir du Front islamique du salut (FIS) en soutenant l'interruption du processus électoral. À partir de 2000, il tend un piège par des négociations entre l'armée algérienne et l'Armée islamique du salut (AIS), bras armé du FIS, qui veut la reddition des moudjahidin de l'AIS et « la politique de concorde civile » du pion président Bouteflika qui échouera, en effet aujourd’hui 2010 le Jihad contre le taghout d’Algérien continue !

    Homme de l'ombre, secret (sa photo n'a jamais été publiée dans la presse algérienne que voici plus haut, le chauve à lunette, portable à l’oreille), il est un des hommes fort du pouvoir. Décédé le 27 août 2007 des suites d'une maladie pour laquelle il était suivi à l'Hôpital Ain Naâdja, il est enterré au cimetière El Alia.


    En juillet 2008, le journal La Stampa l'implique dans l'affaire de la mort de Pierre Claverie et des moines de Tibehirine, ceux-ci ayant été assassinés dans le cadre d'une « stratégie de la tension » pour salir et le mettre sur le dos des groupes moudjahidines qui essai de faire tomber ce régime tyrannique du Taghout d’Algérie.

    C'été l'homme de liaison entre la DST  (service secrets Française) et la  DRS / DCE et notamment du général Philippe Rondot, coordinateur des renseignements français au ministère de la Défense à Paris.


    Oh homme du DRS et DCE, Allah n’est pas inattentif à ce que vous faite, quel bonne nouvelle pour les opprimées !

     

     

     

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    Larbi Belkheir Chef de Cabinet du pion Bouteflika

    Né à Frenda dans l'ouest Algérien en 1937 ce fis de caïd était un enfant de troupeaux harki (troupe alliée de la colonisation française)  comme son père, il a toujours servi sa mère patrie : la France, il rejoint l'ALN en 1958 (Promotion Lacoste) au poste frontière de Garn El Halfaya ( sud de Kef ) en passant par la base de FLN à Tunis; il n'a donc jamais porté les armes contre les troupes coloniale, Belkheir a été affecté au camp d'instruction de Oued Meliz (près de Ghardimaou). Il était chargé de former le 45éme Bataillon.

     

    En compagnie d'un autre enfant de troupeaux harki Guenaizia il a tenu la fameuse réunion avec les officiers de l'ALN à la frontière Tuniso-algérienne destiné à répartir les tâches à la tête du commandement de l'armée.


    A l'indépendance il est capitaine et chef de sous groupement stationné à Constantine, on l'envoie s'instruire à  l'école d'état-major en URSS et devient directeur de l'infanterie


    1965- 1975 : chef d'état- major à Ouargla et enfin chef d'état-major à la 2e région militaire pendant dix ans. Région militaire commandée par Chadli Bendjedid


    1975 - 1979 : il obtint le grade de Commandant, et dirige l'ENITA (l’École National des Ingénieurs et Technicien d’Algérie) la ou fut tenu le conclave ou il a été décidé l'intronisation de  Chadli Benjdid a la tête de l'état Algérien du Taghout et non au siège du Conseil de la Révolution, comme on a laissé croire.


    Larbi Belkheir a fait l'essentiel de sa carrière sous l'ombre de Chadli qui est également  ancien officier de l'armée Française, il le rejoint logiquement à la présidence et obtint le poste de chef du haut conseil de sécurité et de la défense  (HCS) en 1979. Pendant dix ans, (1979 - 1990) il occupe les postes suivants : Chef du HCS, secrétaire générale de la présidence et enfin directeur  de cabinet du président Chadli.

    Il  s'occupe à diviser les services secret Algériens du taghout, la S.M, commandé par Kasdi Merbah, car Belkheir savait qu'il fallait diviser pour régner, il commence par saboter  puis dissoudre la DCSM (Direction central de la sécurité Militaire) grâce au soutiens de ses hommes placé aux postes stratégique des services, il crée la DRS (Département des Renseignements et de la Sécurité) et met a sa tête son homme de main a l'époque  le Colonel  Tewfik en 1990.


    Juin 1991 : en prévision de coup d'état contre Chadli, il se proclame ministre de l'intérieur dans le gouvernement de Sid Ahmed Ghozali pour ne pas éveiller les soupçons et charge le ministre de la défense Khalled Nezzar d'organiser le coup d'état.

     

    Après l'assassinat de Mohamed Boudiaf a Annaba en Juin 1992, par le sous-lieutenant Lambarek Boumaarafi.  Larbi Belkheir qui était parmi les instigateurs du meurtre du président, se retire de la scène politique, en juillet, pour se consacrer entièrement à ses affaires.


    Mais il reste en contacte permanent avec les autre décideurs ces derniers organisent en Juin 1998 l'assassinat du chanteur de la cause Berbère Matoub Lounes pour chasser Zeroual de la présidence de la république.


    Fin 1998, sa résidence à Hydra est le siège des tractations entre le nain de jardin pion Bouteflika et les généraux pour la désignation de celui ci  à la présidence de l'état du Taghout.

    En décembre 2000; il devient le chef de cabinet du pion Bouteflika malgré le refus de ce dernier de le nommer officiellement à ce poste, il a du céder sous les pressions de si Larbi.


    Larbi BELKHEIR est  l'homme araignée,  il est le proche confident des espions militaires terroristes infiltrées dans la résistance des moudjahidin malgré eux à l’époque, il a ses pions dans tous les camps. Il a mené les négociations avec le FIS en 1991.


     Il est l'agent de l'Elysée (la France) par excellence, c'est l'homme de main de Jacque ATTALI, le conseiller politique de François MITTERAND, il a appuyé la France sur maintes et un dossier délicat concernant sa politique algérienne. Un de ses frères est d'ailleurs  un militaire haut gradé dans les services se sécurités de l'armée française, ce dernier a jouer un rôle important pendant le règne de  Mitterrand.

    C'est  aussi, l'homme de la " déboumedianisation". Il a activement contribué à effacer, tous ce qui avait attrait à l'Algérie de Boumédienne alors qu'il a fait l'essentiel de sa carrière en prêtant allégeance à ce dernier.

    C'est le serviteur attentionné de la famille du président Chadli. Il se rapproche de la seconde épouse de Chadli, Hlima Bendjedid, et devient ainsi un intermédiaire influent. Un "Chayate" (servile laudateur ) par excellence, Il a été  le point nodale des familles Chadli / Bourekba / Lahouel .


    Il nomme et il gomme les gens qui font partie du système. Avec Hlima,  Larbi forme un duo terrible qui sévira pendant longtemps jusqu'à ce que Chadli somme sa femme de ne plus s'immiscer dans la politique.

    Belkheir à toujours su profiter des occasions qui se présentait tels un DIABLE AUX AGUETS, c'est lui qui a repêché Smain LAMARI (qui est actuellement un des décideurs)  quand le général Betchine l'avait viré en 1990. L'actuel patron des services secrets,  Mediene dit  Tewfik, a une dette envers lui, Belkheir l'a mis à  la tête de ce département.


    Il est le parrain de  la Mafia  politico-financière algérienne du Taghout, en 1992 il prend sa retraite pour s'occuper de ses affaires entre Alger et les grandes capitales occidentales.

    Pendant cette période, il a su se faire petit et faire oublier les doutes qui entaché ses mains sur l'assassinat de Boudiaf. 


    Son retour en force actuellement avec son poulain Bouteflika, prouve que sa retraite fut intentionnelle et rentre dans le cadre d'une stratégie élaboré par un cabinet noir qui préside aux ordres tyrannique du pays.

    Tous le monde sait sur Alger, que c'est lui le principal ciment et jointure entre Bouteflika et les généraux Algériens. 
     
    Comme par enchantement, le général fait un revirement total de position et apporte sa caution au candidat nain de jardin Bouteflika, Belkheir avait passé auparavant beaucoup de temps pour convaincre Nezzar, de la nécessité de l'avoir comme président de la république.  


    Après quelque « gaffes » du président pion Bouteflika, Belkheir décide de s'approcher de la présidence pour mieux surveiller son poulain au visage sombre qu'il a imposé aux décideurs  et faire la jonction entres le président et le pouvoir réel Algérien de la mafia des généraux. Belkheir est actuellement directeur du cabinet du président Bouteflika  Il a tissé un réseau de relation extrêmement puissant et efficace dans le monde entier, surtout en France.


    Larbi Belkheir été donc le vrai président de l'état Algérien du Taghout.

    Considéré par le quotidien français Le Figaro comme « le parrain du régime (algérien) depuis les années 1980 ».


    Il passe la main en 2009 suite à son état de santé. Des rumeurs insistantes sur sa mort en mars 2009 ont été démenties le 21 avril 2009 par sa famille. Il est décédé le 28 janvier 2010 à Alger, des suites d’une longue maladie à l'hôpital militaire de Aïn Naadja d'Alger.

    Il a été longtemps chef de cabinet noir des présidents pions Chadli Bendjedid et Abdelaziz Bouteflika, et il était ministre de l'Intérieur du Taghout lors de l'assassinat du président Mohamed Boudiaf à Annaba le 29 juin 1992


    Après l’assassinat du président Houari Boumediene, il commença à se donner une couverture d'homme politique avec l’approbation intéressée du président Chadli Bendjedid. C'est dans les locaux de l'école militaire qu'il dirigeait, l'ENITA, que s'étaient réunis les militaires afin de choisir le successeur de Boumediene.


    Le rôle influent que Belkheir et son ami de toujours le colonel Kerboub joue dans les plus hautes sphères de l'État algérien du Taghout leur ont valu le surnom de « parrain » (sous-entendu de la mafia militaro-pétrolière algérienne).


    Après l'arrivée du général Liamine Zéroual à la tête de l'État algérien du Taghout en 1994, Belkheir quitte le pays pour la Suisse.

    Zéroual doit ensuite quitter le pouvoir suite aux luttes de pouvoir dans l'état-major tels des CHACALS ET VAUTOURS AUTOUR DE CARCASSE EN PUTEFRACTION, suscitée principalement par Mohamed Mediene qui voulait prendre le dessus sur l'ami de Zeroual, Mohamed Betchine. Le pouvoir revient au pion Abdelaziz Bouteflika, Belkheir rentre en Algérie, il sert d'interface entre les militaires et le nouveau président du Taghout.

    Suite à sa perte d'influence face au véritable chef actuel du Taghout en Algérie, le pion président Bouteflika qui est à la tête de toutes les institutions, le nomme en 2005 ministre d'État et ambassadeur d'Algérie au Maroc. Une décision interprétée à l’époque comme une mise à l'écart de l'homme connu pour son influence au sein des cercles dirigeants.

    Ce misérable est décédé le 28 janvier 2010 à Alger, après avoir lutté pendant plusieurs mois contre une maladie grave qui l'avait obligé à effectuer plusieurs séjours pour soins en Europe. Les craintes de poursuites judiciaires à l'étranger avaient contraint le général à la retraite à effectuer ses soins à l'hôpital militaire de Aïn Naadja d'Alger.

     

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    Général Major Khaled NEZZAR

    C'est le porte parole des décideurs, c'est une grande gueule ! Admirez son visage, il multiplie les conférences de presse et les déclarations officielles pour justifier la position de l'armée Algérienne  du Taghout a l'égard de l'interruption du processus électorale et ses conséquences sur le pays depuis dix ans.

    Khaled Nezzar est né en 1937 à Seriana dans les Aurès, son père sous-officier est retraité de l'Armée Française polythéiste, il est issu donc d'une famille aisé, contrairement à ce qu'il prétend dans ses mémoires,  au lieu de rejoindre  le maquis comme ses camarades pour combattre l'occupant. Comme l'a fait son camarade de classe Benaceer Abdelwahab a l'âge de 15 ans. 

     

    Il intègre, par contre, dès son jeune âge, l'école militaire des enfants de troupe puis en 1956 il rejoint le 13ème régiment de tirailleur algérien à Landeau ( en Allemagne ), comme Larbi Belkheir et Mohammed Touati  il "rejoint" l'armée de libération national avec le grade de sous officier de l'armée Française, aujourd'hui on sait que l'enfant de la "promotion Lacoste" a infiltré les rangs des moudjahidin pour  occuper des postes stratégique à la tête de l'armée Algérienne du Taghout après l'indépendance.     

    en 1988 il est commandant chargée des forces terrestres ( CFT ) , il réprime durement  les manifestations et émeutes d'octobre 1988 en ordonnant aux forces de sécurité d'ouvrir le feu sur les jeunes manifestants, ( plus de  500 morts), il est nommée juste après ministre de la défense national, après l'interruption du processus électorale dont il fut l'un des artisans il est membre du  HCE  ( Haut Comité d'Etat )  présidé par Boudiaf jusqu' a son assassinat en Juin 1992 par les généraux putschiste.

     

    Khaled Nezzar est officiellement en retraite depuis juillet 1993, il s'occupe de gérer sa grosse fortune qui est estimé a plusieurs milliard de francs,  prélever  sur la rente pétrolière du pays, les ventes des produits industriels et sur les commissions de vente des armes pour l'Algérie.

     

    Il s'est découvert dernièrement une âme d'auteur il a rédigé en trois ans quatre livres, a défaut d'écrire  un best seller le général Nezzar est un bien un sériel keller !

     

     

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    Mohammed LAMARI Général des corps d'Armée

    Le plus " Fou " des généraux mafieux, il doit son ascension a sa grande gueule et a son audace mais sûrement pas a ses compétences et sa bravoure.

     

    Mohamed Lamari est né a Alger le 7 juin 1939, mais il est originaire de Biskra, avant de rejoindre l'ALN en 1961 au Maroc quelques mois avant la signature des accords de cessez le feu, c’est un homme massif au regard autoritaire et aux manières cassantes. Issu de l'armée française coloniale durant la guerre d'Algérie il avait suivi une formation à l'école de cavalerie de Saumur en France.

    A l'indépendance,  il a été officié instructeur, avant d'occuper le poste de chef d'état major dans les différentes unités opérationnelles qu'a eu à diriger l'Ex président Liamine Zeroual.

    Le président Boudiaf se méfiant de lui ordonna sa mise en retraite en mars 1992, mais son ordre n'a jamais été exécuté, au contraire les généraux putschiste lui ont confié le commandement du COLAS (Centre Opérationnel de la lutte Anti- subversifs) dans la foulée il est promu Général de corps d'armée le 1er Novembre 1993.


    Mohammed Lamari  se distingua lors de la réunion des chef d'états majors et des commandants des régions militaires a la fin du mois de décembre 1991 juste après l'annulation des résultats du premier tour des élections législative, en approuvant les idées du ministre de la défense a l'époque Khalled NEZZAR, sa loyauté fut très vite récompensé à l’image des soldats romain à césar polythéistes.

    Aujourd'hui il est l'un des décideurs du sort de tous le peuple Algérien maltraité.

     

    On l'appel " l'éradicateur" car il prône l'éradication total des groupes croyants armés islamique alors que d'autres généraux majors mécréants comme Belkheir et Touati préfèrent utiliser ces cellules terroristes infiltrées chez la résistance musulmanes pour se maintenir au pouvoir et continuer à utiliser le prétexte et monumentale mensonge du « terrorisme islamique » sur les civils, afin de salir l’Islam et dans le même coup avoir le soutien de mécréants du Nord.

     

    Il rejoint l’Armée de libération nationale (ALN) en 1961. Il suivra plus tard une formation d'artilleur à l'Académie militaire de Frounze (ex-URSS), puis d'officier d'état-major à l'Ecole de guerre de Paris.

    Tour à tour officier d'instruction, directeur d'école, commandant d'unités opérationnelles, chef de région militaire, Mohamed Lamari se distingue tout particulièrement en janvier 1992 lors d'un conclave réunissant prés de 200 officiers, où il demande, de façon tonitruante, au président Chadli Bendjedid de démissionner. Il estimait, après la victoire du FIS aux législatives de décembre 1991, que la gestion du « péril islamiste» passait avant tout par le départ du président.

     

    Écarté un moment par le président Boudiaf en 1992, il est chargé de la création d'une « task-force » anti-terroriste de 15 000 hommes. Le commandement de celle-ci lui vaudra de prendre la direction de l'état-major en juillet 1993 dans la foulée de la nomination du général Liamine Zeroual au poste de ministre de la Défense.

     

    Depuis, il est au centre de toutes les promotions militaires. Il est promu au grade de général de corps d’armée et devient de fait le ministre de la Défense lorsque Liamine Zeroual est désigné à la présidence de la République du Taghout Algérien qui succombera bientôt Inchallah sous le sabre tranchant de la justice de l’Islam au RETOUR DU KHALIFA APPELE MOHAMMED DE MEDINE UN DES SIGNES DE LA FIN DES TEMPS ET UNE BONNE ANNONCE POUR LES OPPRIMEES INCHALLAH. 

     

     

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    Général Major FODIL  CHERIF Chef de la 1ére Région Militaire

    Ancien de l'armée coloniale française, il était membre des  S.A.S (Service Administrative de Surveillance) mise en place après les accords d'Evian sur le cessez le feu, comme le reste des généraux du cabinet noir, le maintient de Fodil Cherif dans le club très fermé des généraux décideurs,  est la preuve incontestable, de la solidarité des anciens sous officiers de l'armée Française 


    Originaire de sidi Bel Abbes, dans l'Oranie, il commande la première région militaire depuis 1998, après le départ du général Said Bey accusé de négligence grave par Zeroual,  il est  pressenti au poste de chef d'état Major après le départ éventuel en retraite de son mentor le général major Mohamed Lamari. 

    Que de dire de plus sur cette homme,  c'est l'un des exécutants du cabinet noir, ce n'est pas vraiment un cerveau ni un stratagème comme Belkheir, Touati ou Tewfik.

     

     

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    Général Major Saheb Abdelmajid Commandant 4éme Région

    Le général Major Abdelmajid est originaire de la grande Kabylie, lui aussi est un enfant de l'armée Française, il a "rejoint" l'ALN comme les autres généraux harkis en 1961 à quelque mois de l'indépendance, il a toujours occupés des fonctions stratégiques pour veiller aux intérêts des décideurs.

    Il suit une carrière militaire conventionnel, chef d'état major de la 4 ème région militaire ( le  Sahara ) puis chef de département à l'état major avant de retrouver  la 4éme région militaire au remplacement du général Major Abdelhamid Saidi mort dans un accident de voiture suspect.

     

    C'est l'homme qui surveille l'or noir (le pétrole)  pour les généraux Mafieux et affairistes.

     

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    Ali Tounsi, né en 1936 et mort assassiné le 25 février 2010 par son propre régime tels des chacals, est un militaire directeur général de la Sûreté nationale algérienne.


    Ali Tounsi, colonel dans l'armée, est nommé chef de la police nationale algérienne du taghout en mars 1995 par Liamine Zeroual, alors président du pays. Le 25 février 2010, il est abattu dans son bureau du quartier-général de la police à Alger au cours d'une réunion par un de ses proches, le colonel Chouaib Oltache, 66 ans. Il a été enterré le 26 février 2010 au cimetière d'El Alia à l'est d'Alger. Une Fin bien misérable pour les diables.

     

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    Général Major, Mohamed Lamine MEDIENE dit "Tewfik", Chef de la D.R.S

    Le plus énigmatique de la liste non exhaustifs des généraux mafieux, c'est normal le général major Médienne dit Toufik a passé toute sa vie dans les services secrets Algériens.

     

    Né en 1939 à Gueznet dans la petite Kabylie, il grandit à saint Eugène ( Bologhine ) il rejoint les rangs de l'ALN en 1961 dans l'est algérien quelques mois avant la signature du Cessez le feu, a l'indépendance il intègre la direction des services secrets ou on l'envoie en stage de formation en URSS au sein du KGB.

    De retour il noue d'excellentes relations avec le futur président de la république Chadli Benjdid et son chef de cabinet noir Larbi Belkheir dans la 2 ème Region militaire. En 1978 il est capitaine et homme de confiance de Chadli, il réintègre la direction centrale de la SM et prend la tête de la sous direction de la sécurité de l'armée sous le commandement du général Lakehal Ayat directeur Central de la sécurité militaire.

     

    En 1987, sous l'influence de sa belle famille, le président Chadli signe un décret pour lequel le sous lieutenant - colonel Tewfik est désigné pour la succession du général Hocine benmalem à la tête de la DADS (département des affaires de défense et de sécurité) il aura sous sa coupole tous les services de sécurité du pays (Police, Gendarmerie, Sécurité militaire)

     

    Après le départ (mutation) de Lakhal Ayat, il devient directeur central de la sécurité de l'armée en remplacement du général Betchine, la démission de ce dernier en octobre 1990 lui permet de mettre sous sa coupe tous les services de sécurité en créant la D.R.S (Direction du renseignement et de la sécurité).

    Le général Major Mediene toufik est le patron des patrons des services secret Algérien du Taghout depuis plus de douze ans, il a détourné des milliards de dollars et a orchestré plusieurs opération de "nettoyage", il s'est occupé entre autres  d'organiser l'assassinat de Boudiaf en juin 1992 et de Kasdi Merbah un an plus tard avec son adjoint à l'époque le général Smain

     

    Cet amateur de cigares qui apparaît rarement en public possède, par le biais de ses réseaux et de sa fonction, un puissant ascendant sur les médias, les partis politiques, les lobbies d’affaires et les différents courants de l’armée. 

     

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    Général Major Mohamed TOUATI "elmokh" Chef du conseil de  Sécurité à la Présidence du pion Bouteflika.


    Mohammed Touati est un homme lettré, sans aucun doute, le conseiller diabolique du cabinet noir on le surnomme "el -Mokh" ou le cerveau. 


    Il est né en 1936 en Kabylie, il intègre l'école militaire des enfants de troupe et se distingue entre 1957 et 1958 alors qu'il était sous officier dans l'armée coloniale française, en commandant à Tadmait des massacres sanglants contre les populations musulmanes en représailles aux embuscades tendu par la résistance de l'ALN contre les soldats français polythéiste, à l’image des américains polythéistes actuelle en Afghanistan.

     

    Trente ans après  en 1985, pendant l'inauguration d’un C.E.M dans son village natal, il a été reconnu par des anciens résistant de la région, il a faillit  être lynché par la population local si ce n'est l'intervention des sages du village.

     

    A l'indépendance, il est chef d'état major de la gendarmerie national puis chef d'état major de la troisième région militaire sous le commandement d'un autre sous officier de l'armée Française,  khaled Nezzar et enfin conseiller du ministre de la défense national du Taghout puis conseiller du chef d'état major Mohamed LAMARI.


    En 1989 il met un pied sur la scène politique en fondant le R.C.D ( Rassemblement pour la Démocratie et la Culture ) du TAGHOUT et s’installe en  mettant le Dr said Saadi à la tête du partie, Touati est l'artisan de l'assassinat du chanteur de la cause berbère Matoub LOUNES, il a chargé le député R.C.D  Nouredine  Ait Hamouda  ( le fils  du colonel Amirouche ) et sa milice d'exécuter l'ignoble tâche pour déstabiliser le président Zeroual et le pousser à la démission.

     

    Depuis trois ans Touati est le Chef du Conseil de sécurité à la présidence de  la république un poste crée spécialement pour lui par son ami Larbi Belkheir que vous connaissez à présent.

     

    On le surnomme El Moukh. Un "cerveau" sous la casquette d'un des généraux les plus influents de l'armée algérienne. Cette réputation d'"intellectuel", le général-major Mohamed Touati, la doit à son profil à facettes multiples de militaire, d'analyste politique et de juriste.


    L’image de "militaire qui réfléchit", cet ancien officier de gendarmerie, issu des rangs de l'armée française coloniale, qu'il a quittée en 1961, la doit aussi au fait d'être l'un des rares généraux en exercice à publier ses réflexions politiques. La première fois, fait inédit dans les annales de l’armée algérienne, au lendemain des émeutes d'octobre 1988: il publie alors dans le quotidien gouvernemental El Moudjahid une réflexion sur la Constitution et le rapport de l'armée à la politique. Cette opinion avait précédé le retrait de l'ANP du FLN, alors parti unique, et l'adoption d'une constitution consacrant le multipartisme, en 1989.

    Les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-unis ont inspiré sa dernière intervention médiatique. C'est en sa triple qualité de conseiller militaire du chef de l'Etat, de président du Haut Conseil de Sécurité et de "représentant du ministère de la Défense", qu'il livre sa vision du rôle de l'Algérie dans la lutte internationale contre la résistance musulman es dans le monde. Une implication productive dans le domaine du renseignement contre l’Islam.

     

    Kabyle, originaire de Achouba (région d'Azzefoun), le général-major Touati a fait sa carrière militaire dans la gendarmerie, l'administration du ministère de la Défense, et l'État-major. Il a la réputation d'être l'idéologue par excellence de la politique d'éradication de la résistance des moudjahidin, appliquée après l'interruption du processus électoral, en janvier 1992. Alors conseiller du ministre de la Défense Khaled Nezzar, poste qu’il occupe après avoir été directeur des opérations à l'état-major (1989-1991), il prend une part active dans la destitution du président Chadli Bendjedid, l'arrêt du processus démocratique et l'interdiction du Front islamique du salut (FIS).

     

    Cette réputation de chef de file des "éradicateurs", courant politique du taghout bourée d’injustice opposé à l'existence de la justice de l’Islam pour les peuples en particulier en Algérie, est donc leurs cauchemar. Touati sera la figure de loup de la CDN, la Commission de « dialogue » national, mise en place par le HCE pour définir les modalités d'une transition politique avec la participation du FIS interdit. À ce titre, il rendra notamment visite en prison à Abdelkader Hachani, assassiné à Alger en 1999.

     

    Paradoxalement, cet ancien magistrat militaire, qui a défini avec l'actuel patron de l'ANP, le général de corps d'armée Mohamed Lamari et le général Abdelmadjid Taright, aujourd'hui à la retraite, la politique de "concorde civile" du pion Bouteflika qui a permis de faire rentrées au bercaille des mécréants algériens près de 6000 espions et hypocrites de l’armés massacreurs de musulmans sans défense (infiltrées dans les lignes des moudjahidin à l’époque) depuis son entrée en vigueur, en 1999. C'est ce même "éradicateur" qui souligne, en 1993 dans El Djeïch, revue interne de l'armée: « (...) le phénomène islamiste apparaît comme un nouveau choix de société et non comme un accès de fièvre sociale, culturelle et économique gérable par des remèdes superficiels, aussi violents soient-ils, ou par des antalgiques politiques (...). »


    « aussi violents soient-ils » VOYEZ BIEN COMMENT LES DIABLES GLISENT LES MOTS POUR SALIR L’ISLAM, ce démon semble oublier qu’il fait partie de la mafia des généraux qui ONT PERPETREES LE MASSACRES DES INNOCENTS QUI VEULEN T LA JUSTICE DE L’ISLAM EN TERRE D’ALGERIE,  ont ne le répétera jamais assez.

     

    Partisan d'une recomposition autoritaire de la scène politique, le général Touati reste un des principaux "décideurs politico-militaires". Partisan d'un islam modifié, intégré dans le jeu du Pouvoir, il défend en petit comité l'idée d'un "rôle à la turque" pour l'ANP. Dans son esprit comme dans l'idée d'autres chefs militaires, il s'agit pour elle d'être "le garant de la constitution". En clair, d'être l'ultime maître du jeu politique du Taghout.

     

    CEPENDANT LA LUMIERE DE L’ISLAM NE PEUT SE MELANGER AU TENEBRE DU TAGHOUT.

     

     

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    Général Major Abdelmalek GUENAIZIA

    C'est le meilleur ami de Nezzar, ils ont fait les quatre cents coups ensemble, des coups bien sûr portés contre les musulmans d’Algérie.

     

    Ancien sous- officier de l'armée Française coloniale, il rejoint l'ALN en 1958, dans le cadre de sa mission ( Promotion Lacoste ) d'ou sa discrétion maladive sur son passé. A l'indépendance, il occupe différentes fonctions dans l'armée :

     

    Chef de bataillon, chef de groupement, adjoint chef de la 2éme région militaire sous Chadli Benjdid, c'est la ou il revoit son ancien camarade de la promotion Lacost, Larbi Belkheir, puis il devient directeur central du matériel, commandant des forces aériennes et enfin chef d'état major de l'armée

    Entre 1990 et 1999, il est  ambassadeur d'Algérie en Suisse, ou il s'occupait de préparer une retraite dorée pour les généraux mafieux en vaillant sur leurs comptes en banques dans la capital Helvétique, aujourd'hui  il est officiellement en retraite.  

     

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    Général Kamel Abderrahmane

     

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    General Saïd Bey


    Et bien d’autre mafia des généraux, liste non exhaustif :

    Gheziel general

    Djenouhat general

    Khelifa Rahim general


    2/ VIDEO ET TEXTES SUR CES MAFIAS D’ALGERIE

    Après ces preuves évidentes et Contrairement au lavage de cerveau des Médias-Mensonge et de la complicité d’écoles de France et du reste de la planète, Voici ici et ailleurs toute la vérité sur l’histoire de l’Algérie en 2 Vidéo du « Livre de l’Algérie » de 1988 à 2010. Documentaire fait spécialement par des chercheurs honnête et craignant leur Seigneur, qu’Allah vous récompense, amine. En effet ici est le dernier puzzle de la vérité cher lecteur vous apprendrez que les égorgeurs du peuple été des espions déguiser en faux musulmans et de secte à la solde de l’armée Algérienne Athée,  infiltré chez les pieux moudjahidines monothéistes. Ceci afin que les généraux aux ventres et visage bien gonflé de la corruption, règne au pouvoir en salissant l’image de l’Islam, des gouvernements du nord en sont les cerveaux programmeur et alliées du taghout algérien afin d’empêcher toute établissement d’un Etat Islamique Mondiale depuis la mise à la porte forcé du Khalifa de la Oummah Musulmane Mondial Abdulmecit de Turquie en 1924 par les mécréants en particulier Ataturk.

     

    Du site http://www.ansar-alhaqq.net/

    Par Abou IShaq “Saif Al Masloul”

    Télécharger la version PDF suivante :

    TEXTE PDF: http://www.load.to/4kyFyAgEDO/kitab_al_jazair.pdf

    VIDEO:  http://les-tyrans-de-ce-monde.over-blog.com/8-categorie-10538573.html

     

    YA ALLAH DONNE LE RANG DE MARTYR A TOUTES LES VICTIMES MUSULMANS ET MUSULMANES D’ALGERIE A CAUSE DE SMAIN LAMARI, FODHIL CHEIF, LARBI BELKHEIR, ALI TOUNSI ET TOUT LES AUTRES.

     

    AMINE

     

    Il y a-t-il encore des doutes sur l’Etat Algérien Actuelle ?