non chagement 18h52 02 oct. 2010 les "brûleurs" de désespoir ! Tweet La seule unanimité qu’il y a dans le pays en ce moment et que tout le monde veut foutre le camp. Des nombreux paumés laissés-pour-compte aux cadres sup bien "assimilés" en passant par une classe moyenne ... la suite La seule unanimité qu’il y a dans le pays en ce moment et que tout le monde veut foutre le camp. Des nombreux paumés laissés-pour-compte aux cadres sup bien "assimilés" en passant par une classe moyenne fatiguée d’avoir le cul coincé entre deux chaises, tous veulent quitter le pays. Passé le verbiage très nationaliste que nous prêche sans modération tous les conseillers du grand bluff national, une chose est certaine ils sont en train d’emballer du vide. La nouvelle race des aventuriers de l’impossible, nommés très "poétiquement" harragas (brûleurs), est là pour nous confirmer que le malaise est profond. Des hommes et des femmes sont prêts à affronter les pires assauts des flots de la mer en furie pour échapper au quotidien d’une triste vie sans avenir. Beaucoup, par dépit, ont sauté à l’eau, très peu ont pu mettre pieds-à-terre sains et saufs la-bas dans ces terres devenues sanctuaires. Partir dans ces conditions, c’est plus que mourir un peu… une vraie hécatombe qui n’est qu’à son commencement. Lien permanent Tags : marre, non chagement 0 commentaire
18h52 02 oct. 2010 les "brûleurs" de désespoir ! Tweet La seule unanimité qu’il y a dans le pays en ce moment et que tout le monde veut foutre le camp. Des nombreux paumés laissés-pour-compte aux cadres sup bien "assimilés" en passant par une classe moyenne ... la suite La seule unanimité qu’il y a dans le pays en ce moment et que tout le monde veut foutre le camp. Des nombreux paumés laissés-pour-compte aux cadres sup bien "assimilés" en passant par une classe moyenne fatiguée d’avoir le cul coincé entre deux chaises, tous veulent quitter le pays. Passé le verbiage très nationaliste que nous prêche sans modération tous les conseillers du grand bluff national, une chose est certaine ils sont en train d’emballer du vide. La nouvelle race des aventuriers de l’impossible, nommés très "poétiquement" harragas (brûleurs), est là pour nous confirmer que le malaise est profond. Des hommes et des femmes sont prêts à affronter les pires assauts des flots de la mer en furie pour échapper au quotidien d’une triste vie sans avenir. Beaucoup, par dépit, ont sauté à l’eau, très peu ont pu mettre pieds-à-terre sains et saufs la-bas dans ces terres devenues sanctuaires. Partir dans ces conditions, c’est plus que mourir un peu… une vraie hécatombe qui n’est qu’à son commencement. Lien permanent Tags : marre, non chagement 0 commentaire