zembla
-
no moment
-
hakim laalam
Les délégations algériennes à l’étranger, la
théorie des lacets et l’homme aux pieds nus !
Par Hakim Laâlam
Email : laalamh@yahoo.frLe financier du GSPC abattu à Boudouaou.
Il l’a payé Klash !
La commission vient d’être installée. Et depuis qu’elle est installée, elle travaille d’arrache-pied. Ah ! Oui ! Vous avez raison ! J’ai oublié de vous préciser en préambule de quelle commission il s’agissait. C’est la C.M.C.D.A.E. La Commission de Maîtrise et de Contrôle des Délégations Algériennes en déplacement à l’Etranger. Cette structure est chargée de présenter aux autorités un plan de durcissement des procédures de maîtrise et de contrôle des nôtres lorsqu’ils voyagent en groupe. Bien évidemment, il y a la méthode classique. La confiscation des passeports. Une méthode qui vient, une nouvelle fois, de montrer ses limites avec l’affaire des danseurs de ballet réfugiés au Canada. Priver un Algérien de son passeport dès son arrivée sur un sol étranger, c’est bien, mais c’est loin d’être suffisant. Il est clair que la confiscation d’un tel document ne semble pas constituer un véritable drame pour son détenteur légal. Généralement, au bout de quelques années d’efforts soutenus, il s’en procure un neuf. D’une autre couleur. La commission réfléchit, donc, à confisquer les lacets de chaussures des membres de délégations algériennes à l’étranger. Une fois dans leurs chambres d’hôtel, le jour de leur arrivée dans une ville étrangère, un responsable fait la tournée pour récupérer tous les lacets de toutes les chaussures de tous les Algériens de la délégation. Sans lacets, il est plus difficile aux candidats à la fugue de… fuguer. Du moins, c’est ce que croient les membres de la C.M.C.D.A.E. Sauf qu’en l’état actuel de ses travaux, la commission se retrouve devant un écueil de taille. Qui confisquera ses lacets au monsieur déjà chargé lui-même de recueillir les lacets des autres ? Parce que rien n’interdit d’imaginer que le préposé officiel à la confiscation des lacets soit, lui aussi tenté par la fugue. Consciente de cette éventualité, il semblerait que la Commission s’achemine vers une recommandation ferme. Désormais, le préposé à la confiscation des lacets de ses camarades de mission devra impérativement voyager pieds nus. Ça a des avantages certains. Dans les aéroports, plus besoin de présenter les passeports. A tous les coups, vous reconnaîtrez la délégation algérienne, c’est celle dont l’un des membres marche pieds nus. Mais en même temps, cette technique présente de graves désavantages. Imaginez un peu une mission algérienne en Sibérie en plein hiver. Le gars pieds nus, il y a de fortes chances pour qu’il ne retourne pas en Algérie avec le reste de la délégation, qu’il reste là-bas. Et pas de son plein gré, le macchabée ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L. -
ould abass je m'enfoutiste!!!!! on va les tabassés comme les autres médecins et dentistes on la fait 3fois pourquoi pas une 4eme bled miki.
Aucune date n’a encore été fixée mais les syndicats des hospitalo-universitaires devraient être
UNE RÉUNION EST PRÉVUE AVEC OULD-ABBÈS
Les hospitalo-universitaires jugeront sur pièce«rapidement» reçus par le ministre de la Santé.
Le Professeur Djidjeli, président du Syndicat national des professeurs et docents en sciences médicales, considère néanmoins que la rencontre n’est pas une fin en soi. Il s’agira de juger sur pièce et d’analyser les réponses que la tutelle donnera aux revendications des hospitalo-universitaires. Après l’assemblée générale tenue mardi dernier par les deux syndicats représentant les hospitalo-universitaires, le chef de cabinet d’Ould-Abbès a pris attache avec les présidents des syndicats dans une tentative d’apaisement. Il leur a expliqué que si le ministre de la Santé n’avait pas répondu à leurs nombreuses sollicitations, ce n’était pas par mépris mais parce que plusieurs chantiers étaient ouverts au niveau de la tutelle. Il leur a promis une rencontre dans les prochains jours. En organisant mardi dernier une assemblée générale, les hospitalo-universitaires ont dénoncé l’attitude de la tutelle. Le Pr Djidjeli avait affirmé que plusieurs correspondances avaient été adressées au département d’Ould-Abbès sans qu’aucune réponse soit donnée. Le syndicat interpellait la tutelle notamment sur les conditions de travail mais également sur les concours de chefferie d’unité. L’assemblée générale avait alors à l’unanimité décidé d’adresser un autre courrier au ministre de la Santé, le mettant en demeure d’ouvrir le dialogue. N. I.