Reprise de la conciliation
Le ministère de la santé invite le syndicat national des praticiens de santé publique à reprendre la négociation. Une réunion de conciliation est prévue le mercredi 17 03 2010 à 14h00.
Praticiens hors la Loi !!! gouvernement menteur,les praticien on fait des sint in aupres du ministere de la sante' et palais du gouvernement et jusqu'a la presidence, et ont ete' reprime'par CRS. ils ont voulu discuter et aujourdhui ces derniers repondent aux journalistes et par des medias lourds (entv) que nous sommes hors la loi drole de loi !!!!!!!!!!! la palme du grand betisier revient a zerhouni nounou la gaffe la deux revient ouyahia qui parle a lui meme sans interlocuteur,la troisieme revient a chakib qui ne sait pas; et 4 revient belkhadem tout le temps avec ses coups fourre's fln. ......ect
«Les grévistes sont mes collègues et mes amis et je leur reconnais le droit de protester, la grève est un droit constitutionnel, cependant, interdire les soins et refuser de sauver des vies humaines n’est plus constitutionnel ! C’est de la non-assistance à personne en danger.» C’est par ces mots que le ministre répondra aux questions des journalistes sur la grève des praticiens spécialistes de la santé publique et des médecins généralistes.
«La justice a reconnu l’illégalité de ce débrayage, c’est fini. Maintenant, nous appliquerons la loi !» a-t-il expliqué en marge du Salon sur le générique. Ne se contentant pas de cette déclaration, il est allé jusqu’à accuser «ses amis grévistes» de tous les maux. «La plupart des grévistes exercent en ce moment dans des cliniques privées, c’est la réalité ! Ils ont l’habitude d’exercer dans des cliniques privées et de bouder les établissements publics. En temps normal, ils ne viennent pas à l’hôpital, ils sont ainsi toujours en grève non déclarée !» Saïd Barkat a estimé que les protestataires «ont eu plus qu’ils n’ont demandé» et que «des motivations personnelles» font persister la grève. «Il y a des choses admissibles et d’autres inadmissibles. Ce sont nos enfants et nous les avons aidés et avons fait ce que nous pouvions. Ils ne le disent jamais, pourquoi ? Ils croient encore la presse, celle-ci allume le feu», a-t-il encore précisé. «Je souhaite vraiment qu’il n’y ait aucun gréviste mais ce qui se passe en ce moment est hors la loi !» Répondant aux questions des confrères, le ministre dira qu’aucun hôpital n’est à l’arrêt et que tout fonctionne normalement. «Les portes du dialogue sont ouvertes», ajoutera-t-il.
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