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encore un mafioso à alger

 

Coopération : Le MAE italien demain à Alger

Le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, effectuera demain une visite officielle en Algérie, à l’invitation de son homologue algérien, Mourad Medelci, a indiqué, hier, un communiqué du ministère des Affaires étrangères.



Cette visite prévue depuis au moins plusieurs semaines permettra, selon la même source, aux deux ministres de « procéder à un examen exhaustif de l’état des relations bilatérales », comme elle « fournira l’opportunité pour un échange de vues et d’analyses sur un certain nombre de questions d’actualité régionale et internationale ». Les entretiens prévus entre MM. Frattini et Medelci devraient également porter sur la préparation du deuxième sommet algéro-italien qui aura lieu à Alger avant la fin de l’année. L’annonce de la venue à Alger de Franco Frattini avait, rappelle-t-on, été faite au mois de mai dernier par Stefania Craxi, la secrétaire d’Etat italienne aux Affaires étrangères, lors d’une conférence de presse animée conjointement avec Abdelkader Messahel, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, en marge d’une rencontre algéro-italienne sur le développement de la PME-PMI qui avait eu lieu à Alger.

L’Algérie et l’Italie ont, rappelle-t-on, signé le 27 janvier 2003 à Alger un traité d’amitié, de bon voisinage et de coopération qui prévoit des consultations annuelles entre les plus hauts responsables politiques des deux pays. Depuis novembre 2007, date de la tenue du premier sommet algéro-italien à Alghero en Sardaigne, les leaders des deux pays ne sont toutefois pas parvenus à respecter le calendrier des rencontres de haut niveau fixé par ce traité d’amitié. Dans le souci, sans doute, d’exclure l’idée que ces reports successifs de ce deuxième sommet algéro-italien ont pour origine un éventuel différend politique, M. Messahel avait expliqué que le séisme qui a endeuillé la région d’Aquila en avril 2009 et les calendriers politiques serrés des dirigeants des deux pays sont les principaux facteurs ayant milité en faveur d’un ajournement de la rencontre entre Abdelaziz Bouteflika et Silvio Berlusconi.



Par Z. C.

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