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les hommes de l'ombre

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http://les-tyrans-de-ce-monde.over-blog.com/article-les-hommes-de-l-ombre-d-algerie-55081833.html

Commentaires

  • Les manipulateurs sont parmis nous - comment faire face? boite a idees!

    Les 30 critères du manipulateur, extraits du livre " Les manipulateurs sont parmi nous" d' Isabelle Nazare-Aga.
    1.Il culpabilise les autres au nom du lien familial, de l'amitié, de l'amour, de la conscience professionnelle
    2.Il reporte sa responsabilité sur les autres, ou se démet des siennes
    3.Il ne communique pas clairement ses demandes, ses besoins, ses sentiments et opinions
    4.Il répond très souvent de façon floue
    5.Il change ses opinions, ses comportements, ses sentiments selon les personnes ou les situations
    6.Il invoque des raisons logiques pour déguiser ses demandes
    7.Il fait croire aux autres qu'ils doivent être parfaits, qu'ils ne doivent jamais changer d'avis, qu'ils doivent tout savoir et répondre immédiatement aux demandes et questions
    8.Il met en doute les qualités, la compétence, la personnalité des autres : il critique sans en avoir l'air, dévalorise et juge
    9.Il fait faire ses messages par autrui
    10.Il sème la zizanie et crée la suspicion, divise pour mieux régner
    11.Il sait se placer en victime pour qu'on le plaigne
    12.Il ignore les demandes même s'il dit s'en occuper
    13.Il utilise les principes moraux des autres pour assouvir ses besoins
    14.Il menace de façon déguisée, ou pratique un chantage ouvert
    15.Il change carrément de sujet au cours d'une conversation
    16.Il évite ou s'échappe de l'entretien, de la réunion
    17.Il mise sur l'ignorance des autres et fait croire en sa supériorité
    18.Il ment
    19.Il prêche le faux pour savoir le vrai
    20.Il est égocentrique
    21.Il peut être jaloux
    22.Il ne supporte pas la critique et nie les évidences
    23.Il ne tient pas compte des droits, des besoins et des désirs des autres
    24.Il utilise souvent le dernier moment pour ordonner ou faire agir autrui
    25.Son discours paraît logique ou cohérent alors que ses attitudes répondent au schéma opposé
    26.Il flatte pour vous plaire, fait des cadeaux, se met soudain aux petits soins pour vous
    27.Il produit un sentiment de malaise ou de non-liberté
    28.Il est parfaitement efficace pour atteindre ses propres buts mais aux dépens d'autrui
    29.Il nous fait faire des choses que nous n'aurions probablement pas fait de notre propre gré
    30.Il fait constamment l'objet des conversations, même lorsqu'il n'est pas là

  • Le lobby juif, voilà l’ennemi !

    À Alger, Pascal Boniface ne tourne plus autour du pot : enfin un mec qui ose !

    Publié le 25 novembre 2008 à 18h44 • 161 réactions • Imprimer

    Ce Pascal Boniface est très fort. Certes, on peut ne pas partager ses tropismes. Mais enfin, en quinze ou vingt ans de présence laborieuse dans le débat public, sa seule contribution originale a été de constater qu’il y avait en France plus de musulmans que de juifs et à appeler son ex-parti, le PS, à en tirer les conséquences qui s’imposaient. Et après tout, à l’exception peut-être d’un certain cynisme, on ne peut pas reprocher grand-chose à ce raisonnement. Pour le reste, Boniface a réussi à être l’un de ces « experts » généralistes dont les médias raffolent en énonçant des banalités bien-pensantes ou des sottises sur toutes sortes de sujets allant de la guerre en Irak aux JO (l’un de ses fonds de commerce favoris). Boniface, c’est le type qu’on a pris l’habitude de voir ou d’entendre à tout bout de champ sans que plus personne ne se souvienne quand il est apparu et pour quelle raison. Il fait partie du décor. Au bout du compte, il n’est que l’un des multiples imposteurs qui pullulent sur les ondes et écrans – et, à vrai dire, plutôt une « roue de secours » qu’un « bon client ». Pas le plus talentueux, il est vrai, ce qui confère un côté vaguement mystérieux à sa trajectoire. Il faudrait un Balzac pour imaginer la somme de combines, calculs, intrigues et autres coups qui l’ont rendu incontournable. Après tout, mettre un pied dans toute porte qui s’entrouvre et ne plus lâcher, c’est un talent.

    Il ne faut jamais désespérer de personne. Pour une fois, Boniface a fait preuve d’un courage réel en disant tout haut ce que la majorité des gens n’oseraient même pas penser tout bas. Non seulement, il proclame qu’il y a en France un lobby juif1 mais, ce qui est plus surprenant de sa part, que celui-ci doit être un modèle pour les Arabes et les musulmans. Lesquels, a-t-il déploré, « ne disposent pas d’un lobby en Occident, capable de corriger l’image erronée de l’Islam, alors que des célébrités médiatiques s’emploient à ternir leur image ». (Pas d’énervement, la liste arrive !) Sans doute aviez-vous noté que « les médias occidentaux en général, et européens en particulier, en répandent une image déformée en alimentant l’amalgame entre l’islam (religion) et les mouvements islamistes (politiques ou terroristes) » ? Boniface vous dit ce qu’on vous cache : « Ces campagnes hostiles à l’islam sont commanditées par des intellectuels et des journalistes connus dans la sphère française, comme Bernard-Henri Lévy, Alain Finkielkraut et Philippe Val. » Saluons le fait qu’il ne cède pas à une vision étroitement ethnique, puisque Val est pris dans la rafle – sans doute comme crypto-juif. Et puis, il y a les traitres, ces musulmans qui contribuent à cette campagne anti-musulmane, comme Mohammed Sifaoui, qui lui aussi « bénéficie de l’appui des médias ». Le lobby a le bras long.

    On notera de surcroît l’audacieuse conception de la vie publique qui affleure dans les propos de Boniface : si on comprend bien, il conseille aux musulmans d’utiliser les mêmes méthodes, ce qui semble signifier dans le contexte qu’ils devraient mener des « campagnes hostiles aux juifs ». Peut-être même pourrait-il être le Val des musulmans et prendre la tête de ce contre-lobby. Voilà en tout cas un esprit libre qui ne se couche pas devant le politiquement correct. D’ailleurs, il a payé le prix fort : « En France, il y a un puissant courant hostile aux Arabes et à l’Islam, et si tu n’en fais pas partie, il fait tout pour te faire taire. Ils ont ainsi tenté de me tuer professionnellement », a-t-il encore affirmé. Heureusement que nos médias, plus que sourcilleux sur la liberté d’expression, continuent à donner la parole à ce rebelle, dont toutes les citations sont extraites de l’article de Chawki Freïha, publié à Beyrouth sur le site mediarabe.info.

    Quelques esprits chagrins trouveront que les propos de Boniface ne sont pas si courageux que ça. Il est vrai qu’il les a prononcés à Alger, dans le cadre du forum « Monde arabe et Choc des civilisations » organisé le 5 novembre par le quotidien arabophone El Khabar dans le cadre du Salon du Livre. Boniface en a profité pour faire la promotion de la traduction arabe de son livre Est-il permis de critiquer Israël ? – un titre qui dénote un certain humour. Poser une question aussi iconoclaste, voilà qui révèle une pensée particulièrement « dérangeante ». D’ailleurs, il dérange, Boniface. La preuve, selon Chawki Freïha, « le livre était officiellement interdit au Salon du livre mais bien présent sur les étalages ». La preuve aussi que, contrairement à la France, l’Algérie est un pays libre. Au moins, là-bas, il n’y a pas de lobby juif.

    PS : Je lance un appel solennel à tous les membres actifs ou dormants du lobby : de grâce, épargnez-nous les trémolos et l’indignation. Un imbécile ne fait pas plus une bête immonde qu’une hirondelle le printemps. Inutile d’en faire un martyr. Il n’y a qu’une chose à faire de Pascal Boniface : en rire.

  • Un ministre algérien affirme que le «lobby juif» a porté Sarkozy au pouvoir

    Dans une interview lundi au quotidien «El Khabar», Mohamed Cherif Abbés a déclaré que le chef de l'Etat doit son élection au «lobby juif» en France. Et s'étonne des réactions suscitées.

    obama aussi

    A cinq jours de l’arrivée de Nicolas Sarkozy en Algérie, c’est le genre de déclaration impardonnable. Dans une interview au quotidien algérien El Khabar, le ministre des Moudjahiddines, Mohamed Cherif Abbés estime que le chef de l’Etat français doit son élection au «lobby juif» et insiste sur «les origines du président français et les parties qui l’ont amené au pouvoir».

    Mercredi, Mohamed-Cherif Abbas s’est déclaré «étonné et mécontent» des réactions suscitées par ses propos, sans les démentir formellement. Il ajoute qu’il «ne peut assumer les spéculations irresponsables d’un quelconque journal sur un chef d’Etat ami, plus spécialement à la veille de sa visite en Algérie».

    Dans l’interview publiée lundi et disponible en ligne, le dirigeant algérien indique également que la composition du gouvernement d’ouverture est le «résultat d’un mouvement qui reflète l’avis des véritables architectes de l’arrivée de Sarkozy au pouvoir, le lobby juif qui a le monopole de l’industrie en France».

    Mohamed Cherif Abbés estime qu’une relation de parité entre Paris et Alger «n’est pas envisageable, les Français ne sont pas prêts, et en particulier durant le mandat de M. Sarkozy». Un peu plus loin, il précise: «Si la France ne reconnaît pas les crimes qu’elle a commis en Algérie, une normalisation ou une réconciliation n’est pas envisageable. Les relations ne dépasseront pas le cadre des échanges commerciaux. Parler d’un traité d’amitié ou de réconciliation sans excuses ?….impossible.» La venue du président français est, selon, une «visite de courtoisie, sans plus, qui vise à garder les relations bilatérales actuelles en attendant de voir ce que nous réserve l’avenir».

    Le ministre exprime ensuite des réserves sur le projet d’Union méditerranéenne que Nicolas Sarkozy entend lancer entre le Maghreb et l’Europe. «Il cherche une politique qu’il peut “sarkoziser” et je crois qu’il s’est un peu précipité. […] La position de l’Etat n’a pas changé, il ne reconnaît pas ces projets car il ne connaît pas leur contenus.»

    Enfin, il déclare que la «venue d’Enrico Macias est une provocation», comme l’a été celle, à ses yeux, de Hamlaoui Mekachera, l’ex-ministre délégué aux Anciens combattants de Jacques Chirac.

    Lundi, le chanteur français a précisé qu’il ne se rendrait finalement pas en Algérie, son pays natal.

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