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l'algerie libre et démocratique,sans "DRS" et BOUTEF et toute la racaille qui sont autour.

Commentaires

  • l algerie est un pays merveilleux qui a besoin de tous ses fils pour la batir mais pour assurer son develloppement il est temps de mettre fin au reigne de la mediocrite qui dure et perdure depuis 1962 A CE JOUR.
    un coup de balais sur le systeme est une condition necessaire et suffisante pour sauver l algerie de la mediocrite.LE peuple a besoin de liberte de respect et de prosperite. Pour faire une algerie nouvelle avec des idees nouvelles il faut des hommes qui n ont jamais accepter d appartenir au systeme.

  • Nous avons fais beaucoup de commentaires , il nous faut des actions concretes et bien coordonnées . Nous avons perdu beaucoup de temps avec ces fils de putes.

  • Nous sommes gouvernés par des fils de harkis à titre indicatif essayez de vous informer à Meskiana ( ville de Benbouzid ) , le dernier grand pere de celui-ci n'etait autre qu'un "Gaid ou caid " du temps de la France.

  • La ville d'Aïn Beïda est située à 110 Km au sud-est de Constantine sur les hauts plateaux des Sebkhas (1000 m d'altitude). Aïn-Beida signifie en arabe, la source blanche, en raison d'une source abondante qui y jaillit, donnant par minute plus de 400 litres d' eau d'une excellente qualité.

    En 1947 a eu lieu la bataille de loued de Meskiana, ayant opposée l'armée française a la tribu des Haraktas. Après avoir battu les Haraktas au niveau de loued de Meskiana (troupes françaises 65000 soldats contre 25000 Haraktas), la France a établi une garnison connue sous le nom ''Borj El Comandant'' (1848) pour surveiller cette tribu.
    les benbouzid hrakas----- histoire- oui c'est bien des traitres qui nous gouvernet-

    Il est a préciser que les Harktas avaient un état qui s'étendait de la limite de Ain Fakroun '' Chouf Eddaba'' a Hammamat '' Haloufa'' et de '' Chabkat Essalawa'' vers la montagne de '' Tafrent'' pres de Khenchela. Cet etat a ete reconnue par le Tsar '' Nicolas'' de '' Russie''.


    Très vite, a été construite une écurie connue sous le nom de '' Courie Saoudi'' pour la soldatesque française au village nègre. Ensuite se fut le tour de la construction d'une eglise puis de la Merie avec un bon nombre de maisons.

    Tribu des Haraktas

    Harkat avait 4 enfants: Amara, Said, Khanfar et Sïouan. De ces 4 enfants sont nées 4 fractions qui portèrent leurs noms. La tribu des Haraktas comportait avant la bataille de loued de Meskiana plus de 15000 brave cavaliers ainsi que plus de 20000 fantassins. La tribu des Haraktas a été reconnue comme état autonome par le bey de Constantine suite a une bataille qui a durée plus d'un mois au niveau de la montagne de '' Sidi Rguiss'' vers l'année 1805. Avec la victoire française, à partir de 1854, les meilleures terres ont été nationalisées par l'armée française et distribuées aux colons ainsi qu'aux nommés '' Les Benbouzid''. Ces meilleurs terres sont situées a '' Ain Bebouche'', ''Berriche'', ''Mtousa'', ''Meskiana'' et '' Dhalaa''. Les Haraktas pratiquaient la culture céréalière, l'élevage des bovins, les ovins, des chèvres. Également il plantaient des arbres fruitiers et pratiquaient la culture maraichère. Les chameaux se trouvent au niveau du Sahara et ne peuvent pas vivre au niveau des hauts plateaux.
    La nationalisation des terres a contraint les Haraktas a quitter leurs lieux d'habitation pour s'implanter a travers les villes et villages de Ain Beida, Meskiana, Camp Robert, Ain Bebouche, Berriche et autres grandes villes.

    Au milieu de notre siècle, Aïn Beïda est un gros bourg de 7 650 habitants dont 22 % d'européens, qui compte une importante communauté de fonctionnaires.
    Elle constitue une étape importante sur la route des caravanes des tribus Soufi transhumantes qui mènent paître leurs troupeaux de chameaux dans les plaines du nord au printemps, et, à l'automne,
    rejoignent leurs palmeraies d'origine au sud vers Biskra.

    En 1942-43, après le débarquement allié sur les côtes marocaines et algériennes et .l'ouverture du front tunisien sur les arrières des armées germano-italiennes, Aïn Beïda était un des points de passage des convois de matériels et de troupes alliées auxquelles se joignirent rapidement les premiers éléments des forces françaises de l'Armée d'Afrique Aïn Beïda est aussi la ville de garnison du 16 ème régiment de Dragons de 1955 à 1962.

    Importante région productrice de céréales. Aïn Beïda était un pays de culture céréalière extensive. Culture déjà très mécanisée à cette époque, mais de rendement très modeste surtout si les pluies avaient été rares, la ville est surtout réputée pour son marché à bestiaux, le lundi, 2 ème marché animalier du département de Constantine.

    Malgré les rigueurs de son climat,Aïn Beïda jouissait néanmoins d'un préjugé climatique très favorable. L'air, disait-on, y était pur. Il y faisait bon vivre. Aïn Beïda était agencé autour d'une place centrale autour de laquelle étaient disposés l'église, le presbytère, la poste, la mairie, le marché couvert et la salle des fêtes, faisant fonction de cinéma le samedi et le dimanche.

    Un peu excentrés, le Cours et le Square Willigens où l'on pouvait trouver des vestiges de l'époque romaine, bordés d'un côté par le commissariat et le Grand Hôtel d'Orient ou Hôtel Coppolani, de l'autre par la Librairie Namia, le Café Xicluna où officiait le regretté Charlot et devant lequel, à la fraîcheur, le vieux Boudjema dressait son étal de brochettes et de merguez ; un peu plus loin enfin, se trouvaient le Cercle et la Caserne. Après avoir quitté le village dans la direction de Tébessa et avoir
    passé un bordj témoin de l'implantation du village de colonisation,
    apparaissait le cimetière où quelques-uns des nôtres reposent encore,

    (Texte de Alain Audibert rectifié )

  • vive algerie libre

  • BOUTAFLIKA ZEROUAL HAMROUCHE

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