Arrêtez cet homme ! | |
Par Hakim Laâlam Email : laalamh@yahoo.fr |
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Dans la guerre totale entre le système et la CNCD. Ali Yahia Abdennour fait un geste d’apaisement. Il libère … … 30 000 policiers ! Maintenant, la plaisanterie a assez duré ! Il faut l’arrêter ! Par quel moyen, je ne sais pas. Mais il faut absolument l’arrêter ! Il est devenu un danger public. Une menace pour la sécurité des personnes et des biens. Un facteur de déstabilisation grave. Une source de problèmes quotidiens pouvant déboucher sur des conséquences dramatiques. Il n’y a pas encore eu de morts, mais on compte déjà des blessés, de nombreux blessés. Je ne comprends d’ailleurs pas comment les services en charge de la sécurité publique, d’habitude assez prompts dans ce genre d’affaires, n’aient pas encore réagi et ne se soient pas saisis de son cas. D’autant plus qu’il est désormais prouvé que cet homme est un dangereux récidiviste. Toutes les localités et villes où il se rend sont en ébullition, flirtent avec l’émeute généralisée et sont le théâtre pas très artistique de rixes violentes, sanglantes et désastreuses pour l’image du pays. Au moment où nous jurons sur tous les toits du monde que l’Algérie n’est ni la Tunisie, ni l’Egypte, ni la Libye, ni le Yémen, encore moins la Syrie, lui, avec ses agissements, à travers les vents de révolte violente qu’il provoque par ses seules sorties sur le terrain, est en train de porter un coup fatal à notre diplomatie et à notre manière éclairée et savante de mener les réformes. Le seul fait que ce monsieur-là mette le nez dehors et annonce se rendre dans une salle de meeting est un acte à classer dans le registre «Atteinte à la sûreté de l’Etat et de la nation». Et si au moins le gus sortait comme tout le monde, juste pour se promener, pour humer l’air et ensuite rentrer tranquillement chez lui faire la sieste. Non ! Ça serait trop beau ! Lui, fier comme un paon inconscient, sort et pousse sa sortie déjà dangereuse en elle-même jusqu’à parler ! Oui, M’sieur ! Il ose parler, haranguer les foules et attiser ainsi le feu de la fitna. On l’a vu à Constantine où il a déclenché une bataille rangée entre dérangés. On l’a encore vu à Bouhnifia où il a provoqué un… bain de foule où l’on n’a pas fait que s’embrasser. Et l’on vient encore de le vérifier à Alger. Là, il n’a même pas respecté la Maison de Sidi Saïd, s’y invitant et y suscitant ensuite des rixes et des empoignades qu’aucune personne normale et bien élevée, invitée de surcroît dans la maison d’un hôte aussi accueillant n’oserait provoquer. Lui, pourtant l’a fait ! D’où mon appel urgent que je réitère : il faut arrêter Abdelaziz Belkhadem. Par ses seules sorties, il est en train de mettre le pays à feu et à sang. Rabbi yestar ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. |
Commentaires
allez vous faire foutre sales trahisons ,l'algérie ;elle est bien mais sans vous