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L'or algérien entre les mains des voleurs.

Corruption/Algérie :

09-04-08_12_34_09.jpgLe gouvernement algérienne et depuis quelques années fait des efforts considérables dans la lutte contre la corruption, et les derniers dossiers mis à jours par les différents services de sécurité ; militaires et civiles, témoignent que l’engagement pris par le président Bouteflika d’éradiquer ce fléau, combien est –il dangereux pour l’économie nationale et particulièrement pour la justice sociale et la paix civile, et le moins qu’en puisse dire, il est plus que sérieux.

Les affaires de corruption sont gravement enregistrées dans tous les secteurs : L’énergie, les mines, le transport, la douane, l’agriculture, la santé,  les banques,  la culture, la justice, la sureté nationale, etc… les unes sont déjà sur la table des juges, d’autres sont en cours d’enquêtes et d’autre sont soit en instance, ou carrément en attente : Pourquoi ? peut être en attente d’une instruction politique.

Le dossier de Enor, l’entreprise d’exploitation des mines d’or en Algérie, qui exploite les mines de Tirek/Amesmassa dans la Wilaya de Tamanrasset, objet d’une ou plutôt de plusieurs enquêtes diligentées par les services de sécurité militaires « le DRS, et la Brigade économique et financière », la justice algérienne « Cour d’Alger et de Tamanrasset, et la police judiciaire de Ouargle, sur les ordres de la cour de Tamanrasset, n’aboutaient pas, malgré que certaines de ces enquêtes ont étés ordonnées par le président de la république en personne.

Les médias algériens ont signalés et à plusieurs reprises les actes criminels des responsables de Enor, l’entreprise étrangère d’exploitation des mines d’or en Algérie, qui par une diabolique opération d’arnaque ont coutés au trésor public la sommes colossale de plus de 100 millions de dollars.

Malgré que tous les indélicats intervenants et les perfides décideurs ont étés informé suffisamment à temps pour mettre cette bande de voleurs et d’arnaqueurs hors d’état de nuire, et protéger les banques algériennes, donc, le trésor public.

L’ex ministre de l’énergie et des mines, Mr Chakib Khelil, L’ex Président directeur général de la Sontrach, et le directeur de Sonatrach Aval, le directeur général de Enor, l’ONPM, et la banque extérieur d’Algérie  ont été tous avertis par écris, que les responsables étrangers de Enor et particulièrement MM, Douglas Perkins, ex Pdg de Enor et de Gma resources, Kens Norris, ex Directeur des opérations, et Pierre la Belle, directeur des approvisionnements, et Gautier directeur des finances et de la comptabilité, préparent une opération pour arnaquer l’Algérie. Mais, tous ont fait la sourde oreille.

Enor, l’entreprise étrangère d’exploitation des mines d’or en Algérie, qui est née après l’ouverture du capital de Enor/Algérie aux capitaux étrangers, et venue très mystérieuse et énigmatique de Gma resources dans le capital de l’entreprise algérienne, et à la hauteur de 52 % des actions. Et depuis cette opération que le moins qu’on puisse dire qu’elle est clandestine, la gestion de cette entreprise ce d’une manière archaïque, anarchique,  et complètement à coté des lois de la république. Et le comble est arrivé en 2007, avec la déclaration de tous les responsables algériens et étrangers liés directement ou indirectement à la gestion des mines et particulièrement celles de Tirek/Amesmassa ont annoncés que Enor a découvert le plus grand gisement d’or à ciel ouvert d’Afrique prés celui du Congo ! Et que celui-ci va produire plus de 4500 kg d’or par ans. Alors, qu’il n’y a pas plus d’or à Amesmassa que l’or découvert par les Russes et la Sonarem dans les années 70 du siècle dernier.

Des sommes colossales ont été mises par le tresor public via la banque extérieur d’Algérie, à la disposition des responsables algériens et étrangers pour mettre en activité ce gigantesque gisement d’or, qui n’excite que dans l’esprit arnaqueur de Mr Douglas Perkins et ses complices.

Les ordres de Bouteflika, président de la république pour combattre acharnement la corruption, et punir impitoyablement les corrompus, doivent être exécutés, et le plutôt sera le mieux.

Croyez moi, Monsieur le président, que : lever l’état d’urgence est une bonne, même, une très bonne action, mais combattre la corruption et poursuivre les corrompus sont encore meilleure. Et à ce moment, 90 % des manifestants qui veulent marcher à Alger ou ailleurs, rentreront chez eux.

Commentaires

  • z Algérie est un pays musulmans, qui possède les quatre saisons et une richesse lumineuse (la bénédiction du dieu) d’après un expert en économie, l’Algérie à les moyens de prendre en charge 300 millions d’habitants, avec une vie meilleur et acceptable, Malheureusement, avec seulement 35 millions d’habitants on se retrouve dans une situation regrettable, Pour cela, Je me suis forgé une conviction, arrivant à une seule conclusion concernant mon pays : le problème de notre chère pays ne se pose pas au niveau de notre président de la république, d’où une partie importante de ceux qui ont atteint une certaine position dans la société qui peuvent réunir une fortune, même au détriment des citoyens ordinaires. Ils n’hésiteront pas une seule seconde pour effectuer des pillages, ou même de marcher sur des cadavres, partout où c'est possible. Ils vendront le pays et sa population pour l'argent, le prestige et la prospérité , Notre société est atteint d’une maladie de l’égoïsme.

  • Mascara : des peines de 6 mois à un an de prison à l’encontre des émeutiers

    El Watan, 24 octobre 2012

    Le tribunal de Mascara a rendu, hier, son verdict dans le procès des 15 émeutiers.

    Des peines allant de 6 mois de prison avec sursis à un an de prison ferme ont été prononcées par tribunal à l’encontre de 10 jeunes émeutiers. Quatre personnes ont été condamnées à un an de prison ferme, deux à six mois de prison fermes et quatre autres à six mois de prison avec sursis. Les cinq derniers ont bénéficié d’un acquittement.

    Des militants du Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC) étaient, hier, à Mascara. Ils sont venus de divers horizons, notamment de Ouargla, El Oued, El Bayadh, Oran, Tiaret, Oued R’hiou (Relizane) et de Maghnia (Tlemcen). L’objectif : apporter leur soutien aux présumés émeutiers écroués par le parquet de Mascara, jeudi 11 octobre, pour les chefs d’inculpation «attroupement illégal», «trouble à l’ordre public», «destruction de biens publics» ainsi que «coups et blessures volontaires contre des agents de l’Etat».

    En tout, a-t-on appris, ils sont une vingtaine de jeunes qui ont comparu devant le juge au tribunal de Mascara. Seules les personnes munies de convocation ont eu droit d’accès à la salle d’audience. Même les journalistes ont été interdits d’accès. «Ce sont les ordres !», nous répondra un policier.

    A l’intérieur du tribunal comme à l’extérieur, un important dispositif sécuritaire a été déployé. Sous les regards des policiers, les manifestants, dont des femmes, des hommes et des jeunes, encadrés par les membres du CNDDC, pendant toute la matinée, ont scandé des slogans hostiles au pouvoir. Certains brandissaient également des pancartes où on pouvait lire : «Le peuple réclame l’indépendance de la justice», «Non à la répression» et «Libérez les chômeurs», entre autres ont tenu à porter la photo du défunt Sahnoune Ahmed, décédé le 9 octobre 2012, lors de son interpellation par des policiers à Mascara. Dans l’après-midi, plus précisément à 15h, les manifestants, dont les membres du CNDDC, se sont dispersés dans le calme, sans incident.
    Abdelouahab Souag

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