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la femme post-8 Mars

 

 

L'ignoble crime des deux Constantinois à l'encontre des deux petits garçons kidnappés, violés puis tués et jetés dehors, a de quoi choquer chacun, même un repenti vétéran du GIA. Si cet acte remet au centre la problématique sexuelle dans les pays conservateurs, il a surtout reposé la question de la peine de mort. Faut-il exécuter froidement ces deux détraqués par voie de justice  ? Ou les mettre en détention à vie, sachant qu'en prison, ils vont payer chèrement leur crime, les détenus, même les plus sanguinaires, détestant ce genre de criminels en se déchaînant régulièrement contre eux.

Une punition à vie plutôt qu'une sanction brève ? Rappelons que la peine de mort, si elle existe toujours dans le code pénal, a été suspendue conformément aux moratoires en vigueur dans le monde. Si l'on exécute les deux psychopathes de 21 et 38 ans, il faudrait alors aussi revenir sur ces terroristes qui, pendant des années, ont violé, égorgé, dépecé et même brûlé vivants des enfants. La folie morbide est certainement la même et il est très peu probable que la question de l'application de la peine de mort soit soumise à un référendum populaire. Mais contrairement à ce qui a été écrit, ce ne sont pas des pulsions animales qui ont poussé ces deux hommes à commettre cet acte sans nom, puisque les animaux ne font pas ce genre de chose.

Ce sont bien des pulsions humaines, monstrueuses mais humaines, et à ce titre, les hommes, contrairement aux femmes, sont seuls capables de commettre de telles atrocités. On ne comprend d'ailleurs toujours pas pourquoi l’on accuse encore les femmes de tous les maux, les confinant au foyer comme des esclaves filles du diable à qui il ne faut donner aucun gramme de pouvoir. On vient de voir où le pouvoir des hommes a conduit deux petits garçons. Les violeurs sont des hommes, les terroristes, les tortionnaires, les policiers tabasseurs, les généraux et les corrompus aussi. Laissez de la place aux femmes, la vie sera probablement moins cruelle.

 

Chawki Amari

Commentaires

  • Le déficit affectif

    Madame Lagarde (FMI) a dit : Une seule main ne peut pas applaudir.

    C'est vrai, une seule main ne peut pas applaudir mais elle peut gifler.

    D'où tenez-vous, Madame Lagarde, qu'on fait des dépenses publiques ? Nous ne dépensons dans ce sens que pour acheter la paix sociale, jamais pour des projets d'envergure.

    Il faut éponger la dette publique. A ne pas confondre avec le déficit public, au sens de Maastricht. Laissons mourir les cancéreux. Abolissons le sur-endettement du quidam lambda qui a vu son épargne spoliée par l'inflation...

    Quand on aime, on ne compte pas. Et quand on n'aime pas, on gifle. Une seule main suffit. Même pour un aller-retour.

    C'est ce que je disais, dernièrement, à mon épouse, Madame la Science :

    -Tu te rends compte ? Il y a des hommes qui battent les femmes...

    Elle me répondit, d'un ton las :

    -C'est une manie détestable. Quand je pense au pauvre mari qui a plusieurs femmes, ça en fait des corrections.....ça en fait du déficit affectif....

    Elle a raison mais je n'ai pas osé lui dire qu'il y a beaucoup de gens surendettés et qui on un découvert à la banque.

    Même à la banque du sperme, il y en a qui sont à découvert. Putain...c'est pas drôle, la vie.

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