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Le train est passé, M. Temmar !

 

Par Maâmar Farah
Tiens, tiens ! L’un des apôtres de l’ultralibéralisme vient subitement de plaider pour la reconstruction de l’industrie… publique ! Nous aurions pu croire M. Temmar s’il n’était pas justement en train de vendre les meilleures unités d’un secteur public dont il découvre soudainement l’utilité ! Reconstruire une sidérurgie publique après avoir bradé Sider et évoquer l’industrie du ciment après avoir «donné» Meftah relève de la déraison ! Et pour la pétrochimie, ne faut-il pas rappeler aussi l’abandon d’Asmidal ? Non, M. Temmar, nous ne vous croyons plus. Pour la renaissance du grand rêve industriel algérien, il nous faut d’autres hommes. Parmi ceux qui n’ont pas fait pleurer les ouvriers algériens ! (Billet publié le 11 octobre 2008)
maamarfarah20@yahoo.fr
«Ce type n'est-il pas l'un des trois “imposés” par les Américains ? C'est Louisa qui l'affirmait récemment. Ce qui est bizarre, c'est qu'il n'a rien vendu aux Yankees durant sa grande opération de bradage ! Remarque que l'autre “imposé”, le Chakib, a largement compensé ce manque de... tact !»
(Tata Aldjia)

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