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  • personne ne viendra tant que le regime de bananes séniles reste au pouvoir

    La blague de la semaine : La diaspora algérienne de silicon valley prochainement à Alger pour promouvoir les start-up ,Le retour des cerveaux…

    Poste par Rédaction LQA

               
    Silicon Valley de Blida
    Samedi 3 décembre à 22:26

     LE FINANCIER

    Une quarantaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de la célèbre technopole de San Francisco, Silicon Valley, se rendront en février prochain à Alger pour la mise en place d’un projet d’accompagnement des startup (entreprises innovantes) algériennes.

    Dans ce cadre, un forum devrait regrouper notamment les ministères respectivement de l’Industrie et de la Poste et des TIC, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (Ansej), des banques et la délégation des technologues algériens de Silicon Valley, a indiqué à l’APS l’ambassadeur d’Algérie à Washington, M. Abdallah Baali.

    La diaspora algérienne qui prendra part à cette rencontre sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google, Cisco, Oracle, Intel, Hewlett-Packard, ainsi que d’Algériens qui sont patrons de leur propre société technologique tel M. Belgacem Haba, surnommé «l’homme aux 200 brevets d’invention» dans la microélectronique.

    Selon le président du Conseil d’affaires algéro-américain, M. Smail Chikhoune, durant les deux jours de ce forum, il s’agira d’élaborer une «feuille de route» à moyen et long termes avec un programme bien défini pour promouvoir en Algérie les jeunes entreprises, en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies.

     

    En effet, explique-t-il, pour aider les jeunes Algériens détenteurs d’idées dans le domaine des technologies à créer leur startup et doter celle-ci d’un potentiel de croissance, «il ne suffit pas de leur accorder une aide financière uniquement et de les lâcher dans la nature sans aucun accompagnement ni suivi».

    Les conditions de réussite et d’expansion de ces entreprises de nouvelles technologies, poursuit-il, dépendent aussi, fondamentalement, d’une aide en matière d’expertise en management et d’un accompagnement professionnel multidimensionnel à travers, notamment, le «coaching », qui permet à la personne «coachée» d’approfondir ses connaissances et d’améliorer ses performances pour la croissance de son entreprise. Et c’est à ce niveau que l’expertise des spécialistes algériens de la principale technopole américaine devra intervenir.

     

    Pour la mise sur pied de ce projet, il sera proposé, entre autres, au cours du forum d’Alger, la création d’un fonds d’investissements dont le rôle consiste à financer à la fois les start-up et le coaching des experts. Les ressources financières de ce fonds pourraient provenir de financements de l’Etat, des banques ainsi que des entreprises de tout secteur, lesquelles pourraient prendre des participations dans le capital de la start-up laquelle, finalement, est une potentielle future PME en cours de gestation.

    FONDS D’INVESTISSEMENTS

    Qui plus est, a observé M. Chikhoune, l’Algérie dispose de solides jeunes compétences en matière des nouvelles technologies, qui doivent être encouragées par une politique qui favorise les idées innovantes.

    A ce propos, il ne manque pas de relever que lors d’une visite effectuée en octobre dernier à Alger par une délégation du département d’Etat et de jeunes entrepreneurs américains sur le partenariat en matière d’incubation d’entreprises, il a été question de choisir, à l’issue de cette rencontre, une start-up algérienne sur les 15 participantes, pour suivre un stage au niveau d’un incubateur d’entreprises et d’une université à Detroit (Michigan).

    Selon M. Chikhoune, sur les projets exposés par les 15 jeunes candidats algériens spécialisés dans les TIC, cinq (5) start-up ont présenté des projets innovants qui étaient d’une telle excellence, notamment dans le domaine du software, qu’il avait été extrêmement difficile de les départager et dont le candidat de Djelfa a été finalement retenu par la partie américaine.

    Outre l’élite algérienne de la Californie, qui concentre le plus gros des entreprises de technologies de pointe américaines, il est également prévu, dans les prochaines étapes, d’associer les technologues algériens des autres parties des Etats-Unis pour développer les entreprises des nouvelles technologies en Algérie.

    Pour le président de l’USABC (US-Algeria business council), il faudrait s’inspirer de la méthode adoptée depuis bien longtemps par l’Inde et la Chine dont les gouvernements demandent à leur élite scientifique vivant à l’étranger de parrainer les «jeunes pousses» technologiques locales et, aussi, de créer des entreprises dans leur pays d’origine.

     

    Souhila H.

  • c'est une blague,poisson d'avril2011 de la part des rosbifs!!!!!!

    Vos dates de livraison, vous savez…

    Par Hakim Laâlam  
    Email : laalamh@yahoo.fr

    Une étude britannique classe l’Algérie dans la catégorie des pays
    à «moyen risque terroriste».

    Purée ! Même là, on est mal classés !

    Moi, depuis que j’ai appris la chose, j’ai les jambes moins lourdes, je me sens plus léger et j’en gambade de joie ! Les rames du futur tramway seront désormais montées à Annaba, en partenariat avec le français Alsthom. Wallah que c’est une avancée énorme. C’est une avancée très… avancée ! Nous savons tous maintenant, puisque nous avons été pris publiquement à témoin par le ministère des Transports, que les rames du tram et du métro seront montées chez nous. C’est une garantie ! Autant tenir quelque chose. A défaut d’avoir sous la main, tout de suite ce f… métro ou cet encore plus f… tram en mode «circulation», accrochons-nous – que dis-je ? — agrippons-nous très fort à ces rames qui seront fabriquées bientôt à l’est de notre cher et beau pays. Et les autorités, pas avares pour un sou en matière de détails, ont tenu à nous préciser que ces fameuses rames montées en Algérie commenceront à être livrées en… 2013. Aïe ! Mes jambes tout à l’heure légères et frétillantes se sont soudain remises à peser plus lourd. Une date a donc été avancée par Tou ? 2013 ? Moi, dès qu’une date de livraison est avancée par l’un de nos officiels, surtout ceux en charge de nos transports en commun, j’ai des doutes et je prends peur. Avant de promettre des rames montées en Algérie en 2013, je rappelle qu’ils nous avaient aussi promis un métro pour l’année 1990, puis 1995, puis 2000, puis fin 2006, puis début 2008, puis milieu 2009, et, dernièrement, le Premier ministre en personne s’est engagé sur cette question du métro en annonçant fièrement une date de mise en circulation. 2011. Alors, des rames promises pour 2013, j’en mâchouille mes moustaches. Ce qui, chez moi, est un signe de profonde incrédulité. D’ailleurs, je ne vois vraiment pas pourquoi nos chères, très chères autorités prennent encore la peine de nous communiquer des délais de livraison ? Se fatiguent à s’auto-fixer des dates-butoirs ? M’enfin ! Affranchissez-vous de cette corvée, que diable ! Libérez-vous de cette torture ! Allégez-vous de ce fardeau ! Et si c’est par rapport à nous que vous vous mouillez ainsi en avançant des dates que vous ne tenez jamais au demeurant, nous tenons à vous rassurer. Cépalapeine ! Ça ne fait rien, yal' khawa ! Que le métro soit prêt en 2011, ou que les rames soient fabriquées en Algérie dès 2013, je puis vous assurer qu’au fil du temps, des années, des décennies et presque du quart de siècle passé à attendre, nous nous en foutons un peu de savoir quand ce serpent mythique, cette chimère sortira de terre. Alors, de grâce, épargnez-nous vos dates taïwan ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
    H. L.