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communique

  • Communiqué de la chaine satellitaire Al Magharibia


    La chaîne satellitaire « Al Magharabia tv », informe ses fidèles téléspectateurs qu’en date du 30 Janvier 2012, la société britannique “British telecom”, avec laquelle elle est liée par un contrat, consistant à assurer la diffusion de ses programmes, lui a fait savoir que des pressions ont été exercée sur la société intermédiaire, avec laquelle sous traite la société «British Telecom», pressions provenant d’un des pays du Maghreb, concernant le contenu des programmes de la chaîne «Al Magharibia Tv»

    Cinq jours après cet appel, à savoir le dimanche 5 Février, l’arrêt de diffusion des programmes de la chaîne a prit effet, sur le satellite Atlantic bird 7 (sur Nilesat). La direction de la chaîne Al Magharabia tv a pu savoir, grâce à ses investigations, que la décision d’arrêter la diffusion de la chaîne « Al magharibia Tv » était en effet une décision prise par une des sociétés sous-traitantes avec la compagnie «British Telecom», basée au Moyen-Orient , par ailleurs il est à signalé que la direction d’ Al Maguaribia Tv est en possession d’informations précises, qui révèlent que cette société intermédiaire aurait pris la décision d’arrêter la diffusion en raison des pressions exercées sur elle par l’un des Etat du Maghreb.

    A cet effet « Al magharibia Tv » rappelle qu’à cette période précise, le journal égyptien Al dustur, citant des sources diplomatiques fiables au Caire, avait révélé que l’ambassade d’Algérie en Egypte avait déposé une plainte officielle auprès du ministère des Affaires étrangères pour protester contre la diffusion de la chaîne «Al Magharibia Tv » sur le satellite égyptien Nilesat , sous prétexte que la chaîne TV, ravive la sédition et la zizanie entre les algériens et appelle les citoyens à la résistance contre les autorités algériennes et incite aux émeutes et à la révolution contre le régime au pouvoir en Algérie.

    « Al magharaibia Tv » condamne fermement ces pratiques arbitraires, qui visent à museler ce support médiatique qui a pu dans une période record à faire entendre sa voix et atteindre des millions de téléspectateurs dans la région du Maghreb

    « Al Magharibia TV », poursuivra les procédures juridiques qui s’imposent afin de faire valoir ses droits légitimes de compensation pour les pertes occasionnées par l’arrêt de la diffusion de ses programmes, et dévoiler les parties impliquées dans cet acte arbitraire et les mettre devant ses responsabilités.

    « Al magharibia Tv » remercie ses chers téléspectateurs et toutes les personnalités politiques et les responsables de la société civile du Maghreb pour leur intérêt et le soutien apporté à la chaîne pendant cette crise, et réaffirme ses engagements envers eux et renouvelle son attachement à travers ses divers programmes d’informations, à rester fidèle à ses engagements, à savoir faire d’ « Al Magharabia tv » une chaîne qui fait du professionnalisme son cheval de bataille en garantissant la liberté d’expression, tout en permettant aux différentes opinions de s’exprimer, sans oublier son devoir de défendre les valeurs humaines, en particulier, les valeurs de liberté, d’égalité, de tolérance et des droits de l’homme.

    "Direction d’Al Magharibia TV"

  • COMMUNIQUE : LE C.D.I.C.S BOYCOTTE

     

     

     

    لجنة الدفاع لمعتقلي المراكز الأمنية

     

    بسم الله الرحمان الرحيم

     

    COMMUNIQUE

     

    LE C.D.I.C.S BOYCOTTE

     

    Le Comité de défense des Internés des Camps du Sud, loin du jeu des uns et des, et fort d’une douloureuse et mémorable expérience, par la voix de son Porte parole Monsieur Nourredine BELMOUHOUB déclare qu’il ne prendra pas part à aucune élection, pour les raisons fondées et motivées.
    Ayant répondus à l’appel et accompli le 26 Décembre 1991 leurs devoirs d’électeurs, les Internés des camps du sud furent victimes après l’arrêt du processus électoral d’une injuste et abusive déportation, suivie d’un internement hors de tout cadre légal dans des lieux irradiés. Aujourd’hui exclus de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, ils vivotent sans droits, et à leur modeste et humble manière, ils continuent de servir leur pays en attendant que justice soit faite.
    Après avoir été les victimes de la première violence que fut l’arrêt du processus électoral, les internés de Reggane, Oued Namous et In M’guel ont été regrettablement et incompréhensiblement ignorés autant par le Senat et l’Assemblée nationale, que par les partis politiques, les Ligues des droits de l’homme, l’Ordre national des avocats algériens, les Institutions de l’Etat et par le mouvement associatif.

     

    P/Le Bureau Exécutif
    Le Porte parole du C.D.I.C.S
    M. Nourredine BELMOUHOUB