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moubarek

  • The ex-Wali of El Tarf sentenced to three years in prison


    A sentence of three (3) years' imprisonment was imposed, the court Sunday Ziadia (Constantine), against the former wali of El Tarf, Djilali Arar.

    The latter was charged with "insider trading for a given part in public procurement" and "coalition official," had appeared on May 20 before this court where the prosecution had requested a sentence of 3 years in prison accompanied dÆune fine of 500,000 dinars.

    Ten other people were prosecuted in the same case, for various charges including "corruption and influence peddling", "contrary to procurement regulations", "misuse of corporate assets" and "waste of public money".

    This is the former Director of Housing and public facilities (DLEP) who was sentenced to five years in prison, two suppliers who were sentenced to two years in prison and seven other co-defendants, including officers and employees of the municipal People's Congress (APC) and the Directorate of Education of El Tarf who have been imposed, a sentence of six months firm.

    The prosecutor had requested at the hearing on May 20, against 11 defendants, sentences of six months to five years in prison.
    APS

     

    L'ex-wali d'El Tarf condamné à 3 ans de prison ferme

     

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    Une peine de trois (3) années de prison ferme  a été prononcée, dimanche par le tribunal de Ziadia (Constantine), à l'encontre  de l'ex-wali d'El Tarf, M. Djilali Arar.

     

    Ce dernier, poursuivi pour "délit d'initié en faveur d'une partie donnée  dans la passation de marché public" et de "coalition de fonctionnaire", avait  comparu le 20 mai dernier devant ce tribunal où le ministère public avait requis  une peine de 3 ans de prison ferme assortie dÆune amende de 500.000 dinars.         

    Dix autres personnes étaient poursuivies dans la même affaire, pour  divers chefs d'inculpation dont "corruption et trafic d'influence", "passation  de marchés contraires à la réglementation", "abus de biens sociaux" et "dilapidation  de deniers publics".         

    Il s'agit de l'ex-directeur du Logement et des équipements publics (DLEP)  qui a écopé de 5 ans de prison ferme, de deux fournisseurs qui ont été condamnés  à 2 ans de prison ferme et de 7 autres coaccusés, dont des cadres et employés  de l'Assemblée populaire communale (APC) et de la direction de l'Education d'El  Tarf qui se sont vus infliger, une peine d'emprisonnement de 6 mois ferme.         

    Le procureur de la République avait requis, lors de l'audience du 20  mai dernier, à l'encontre des 11 accusés, des peines de 6 mois à 5 ans de prison  ferme.

     

    APS
  • qui à assassine' le fils d'un candidat aux législatives au pays du pharaon!!!!,je vous le donne en mille -moubarek clan-

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    Egypte : le fils d’un candidat indépendant aux législatives assassiné
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    le 28.11.10 | 15h38 2 réactions
    Le fils du candidat indépendant aux législatives en Egypte,  Sayed Sayed Mohammad a été assassiné dans le nuit de samedi 27 à dimanche 28 novembre.
    zoom | © lesechos.fr

    Le fils du candidat indépendant aux législatives en...

    Le fils du candidat indépendant aux législatives en Egypte,  Sayed Sayed Mohammad a été assassiné dans le nuit de samedi 27 à dimanche 28 novembre.
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    Le fils du candidat indépendant aux législatives en Egypte, Sayed Sayed Mohammad, a été assassiné dans la nuit du samedi 27 à dimanche 28 novembre, dans la circonscription de Matariya au nord-est de la capitale.

    Le jeune assassiné Amr Sayed Sayed, âgé de 24 ans, était en train de coller des affiches pour le compte de son père lorsqu'il a été surpris par des individus.  Ils l’ont  poignardé  à mort et le jeune homme n'a pu survivre à ses blessures.  Les deux agresseurs ont été arrêtés, par la suite, par la police cairote. Et ce qui a été avancé comme une rumeur la matinée du début du scrutin a été confirmé par le ministère de l'Intérieur. Dans un communique rendu public dimanche, il a bel et bien confirmé la mort du jeune homme.

    Par aileurs, plusieurs affrontement ont été signalés à travers tout le territoire du pays. Un homme a également été blessé, dimanche, par balle lors d'affrontements entre partisans de différents candidats dans le delta du Nil. La police a fait usage de gaz lacrymogènes à Qena (Haute-Egypte) pour mettre fin à des affrontements entre sympathisants de candidats rivaux.

    Au nord du Caire, la police est encore intervenue contre des manifestants qui s'étaient rassemblés pour protester contre l'interdiction faite aux délégués d'un candidat d'entrer dans les bureaux de vote pour surveiller le scrutin. Les élections législatives égyptiennes se déroulent, ainsi, dans un climat trés tendu. Les partis politiques qui ont pris part à cette élection redoutent de violents affrontement vers la fin de l’opération de vote.
    Hacen Ouali