Monsieur le Premier Ministre, vous avez répondu dimanche aux députés, qui perçoivent une rémunération quatre fois supérieure à celle d’un professeur d’université en fin de carrière, relatifs au bilan socio-économique 2004/2009 et au futur programme du gouvernement 2010/2014. Mais permettez-moi de vous faire remarquer que ces réponses ne sont pas apaisantes, ni même rassurantes pour l’intérêt national. Monsieur le premier Ministre, avec tout le respect que je dois à votre haute fonction, permettez-moi de vous poser mes propres questions, celles qui ne vous ont pas été posées.
¨ L’urgence algérienne : Allez-vous continuer à gouverner sans le peuple ? Ne pensez vous pas que la réforme doit impérativement et prioritairement toucher le système politique rentier ? ¨ Notre dépendance : Le pétrole va-t-il suffire pour nous nourrir ? Quelles sont les réserves exactes du pétrole et du gaz ? ¨ Budget national : Quel est le montant exact de nos réserve de change déposées à l’étranger ? Qu’en sera t-il si la dépréciation du dollar devait continuer dans le temps ? ¨ Vos dernières mesures : Ne faites-vous pas fausse route ? ¨ Pouvoir d’achat : Avez-vous un plan pour le citoyen ? ¨ La corruption : n’est-elle pas déjà invincible ?
(A lire dès minuit dans le nouveau site de débats)