Il fallait chercher des connaissances pour échanger 02 malheureux billets de 20 euros,est-ce la faute au gouvernement??? Qui a placé ces ABRUTIS aux guichets??? Avez vous demandé à voir le chef d'agence??? NON??? On leur donne la chance de faire la pluie et le beau temps,vous vous dites que tout est pareil,NON; Ce n'était que le début peut être de la journée,que serait ce toutes vos vacances;Ce sont ces ÉNERGUMÈNES qu'on les retrouve partout:Mairie,Impots.... qui nous pourrissent le quotidien et non pas le GOUV,c'est eux qu'il faut les éradiquer; ET N'ALLEZ PAS CROIRE QUE JE DÉFENDS LE GOUV.
Vos réactions
Par DZlander le 19/09/2012 | 21:40
Quand j'ai parlé de chèque, il va de soi qu'il ne s'agissait que d'un moyen parmi tant d'autres qui permette justement une certaine traçabilité. Tout ce qui est monétique ou écriture va bien évidemment dans le mème sens, et bien entendu les payements sécurisés par internet. La finalité, encore une fois, c'est de permettre, dans toute transaction financière, la traçabilité en question.Et,pourquoi pas,la détection de fraudes éventuelles. Mais,le cas échéant,leurs auteurs seront-ils appréhendés ? Jusqu'à preuve du contraire, il est permis d'en douter.
Par AZ15 le 19/09/2012 | 18:21
IL N'Y A NI MARCHé PARALLÈLE NI RIEN, LES GENS NE PAIENT PAS LES IMPÔTS ET B A S T A;
Par kyrielle le 19/09/2012 | 17:39
l'explication du conseiller est biaisée car chez nous, seuls les opérateurs économiques ont accès au taux de change officiel mais pour tous le reste il faudrait passer par le marché parallèle naît du disfonctionnement de notre système banquaire. Avec la pseudo-allocation touristique indécente, prise comme exemple, la banque semble dire aux Algériens allez vous approvisionner en devises sur le marché parallèle.
Par farlouni le 19/09/2012 | 17:00
Pourquoi les chèques? pourquoi pas démocratiser les paiements par cartes bancaires/cartes de crédit et par virements!?
Par AZ15 le 19/09/2012 | 16:43
Pardon de m’immiscer,dans les pays développés,ils enlèvent les chèques de la circulation. On est toujours en retard de phase de 2pi.
Par DZlander le 19/09/2012 | 16:04
Ou l'Etat est un Etat fort, et dans ce cas il doit le montrer et rassurer en ne réhabilitant pas seulement le chèque, mais en l'imposant carrément!!! avec tous les moyens que la loi requiert et/ou autorise et quelque soit la réaction, mafieuse ou simplement délinquante, à quelque niveau que ce soit de la hiérachie sociale. L'Etat se doit donc d'imposer le chèque comme il a imposé, avec réussite, la ceinture de sécurité obligatoire. Sinon ce ne serait, une fois de plus, qu'un ballon de baudruche ou un épouvantail qu'on agite chaque fois devant les petits enfants pour leur faire peur. Le reste viendra alors de soi,il faudra ètre conséquent, sans plus, dans la démarche, l'inscrire et la soutenir dans la durée sans faillir; et surtout éviter de faire, comme par le passé, dans le sempiternel "nolens, volens" (ne voulant pas, voulant) qui a causé un préjudice incommensurable au pays en le maintenant dans le "chasse mouche" et la "chique" de l'archaisme et de la régression.
Par Mäki le 19/09/2012 | 14:03
Pour réduire l'ampleur des marchés de change parallèles, Il convient de limiter la demande en devises en augmentant le plafond des allocations touristiques (équivalentes à 150 € actuellement, qui permettent de survivre à peine 2 jours à Madrid ou à Paris) à un seuil de l’ordre de 2 000 € (faire une comparaison avec nos voisins Marocains et Tunisien). Augmenter également le plafond des transferts pour les Algériens résidents à l’étranger, notamment les étudiants, à un seuil au moins équivalent au minimum de ressources exigé pour l’obtention des cartes de séjour dans les pays d’accueil (soit de l’ordre de 5 500 € pour la France par exemple), et enfin assouplir la procédure de transfert de devises pour les entreprises algériennes qui souhaitent envoyer leurs dirigeants ou leurs cadres à l’étranger pour de la prospection commerciale, participation aux foires et aux expositions etc. En effet, si les gens s’approvisionnent en devises sur les marchés parallèles, c’est en raison de la faible quantité de devises que la règlementation leur permet d’avoir via les voies légales. En parallèle, pour éviter les fuites da capitaux, il convient de faire en sorte que le marché algérien soit suffisamment attractif et surtout sécurisant pour que les locaux n’aient pas besoin de mettre leurs fortune (bien ou mal acquise, tel n’est pas le débat)à l’étranger, ou pour qu’au moins les entrées (notamment les IDE) soient supérieures aux transferts. Ainsi, ces personnes préfèreront profiter de faible coût des investissements algériens (foncier, équipements, main d’œuvre) pour mieux faire fructifier leurs capitaux. Or, l’amélioration de l’environnement des affaires en Algérie est une arlésienne qui dure depuis la venu de Boutef aux affaires, et a priori nous ne sommes pas prêts d’en voir le bout. En tous cas et pour revenir aux marchés parallèles, ce n'est pas demain la veille que l'état luttera contre car sinon comment ses pontes pourront changer leur fortunes en DZD ?
Par kyrielle le 19/09/2012 | 12:50
Monsieur le conseiller, nous aimerions que vous nous parliez de votre fameuse planche à billets qui qui a provoqué ces derniers temps une une hausse vertigineuse de l'inflation.
Par kilo le 19/09/2012 | 11:25
Quelques observations sur les déclarations de notre éminent conseiller de la Banque d’Algérie : " Selon lui, l’évolution du marché parallèle de la devise a connu deux phases : l’une antérieure et l’autre ultérieure à l’interdiction par l’État de l’importation de véhicules de moins de trois ans, en 2005 " 1ère observation : L’évolution du marché parallèle est une constante depuis la décennie 1960, liée essentiellement à l’organisation de notre économie, au manque d’imagination des détenteurs du pouvoir et à la persistance et le maintien de cette politique. La gestion réelle de l’économie doit s’inscrire dans le cadre d’un système autre que celui qui qui nous gouverne : Une représentation juste et démocratique de la société de façon à ce que l’élite non soumise prenne le pouvoir réel. 2ème observation : " La réglementation ne permet pas de convertir pour aller acheter à l’étranger des biens immobiliers ou des actifs " Le change parallèle ne concerne pas exclusivement l’acquisition de biens immeubles et des actifs, il est d’abord le résultat d’un manque de confiance des différents opérateurs sur l’état du pays. Exemple : un dignitaire du régime se fait soigner à l’étranger en utilisant le circuit officiel, un citoyen, à qui la BA refuse le transfert médical, sollicite le parallèle et c’est légitime. 3ème observation : " l’offre de devises sur le marché parallèle vient des pensions de retraite des salariés algériens qui ont travaillé à l’étranger " Compléter qu’elle vient aussi, et entre autres, des différentes commissions perçues suite aux attributions des marchés tous les secteurs confondus, et des importations de devises par les sociétés bénéficiaires de contrats et utilisant un personnel non déclarés 4ème observation " C’est aux agences bancaires de faire ce contrôle. S’il y a des opérations illicites par rapport à la réglementation des changes, ce n’est pas à la Banque d’Algérie de faire le gendarme. Il appartient aux pouvoirs publics d’appliquer la législation pénale " C’est facile, alors messieurs de la BA reprenez ce contrôle à priori, l’avez-vous fait dans l’affaire Khalifa ? Pourquoi on va systématiquement au pénal ? A-t-il donné un résultat ? Non, il faut aller vers le civil et récupérer l’argent par tous les moyens légaux. Sinon, vous aurez des opérateurs indélicats qui vous diront qu’est-ce que c’est 12 ans de prison en face de milliards gagnés, c’est même un moyen légal pour blanchir l’argent ! 5ème observation : " Le chèque permet la traçabilité de la transaction. Ce qui permet aux services fiscaux de l’État d’évaluer les activités des opérateurs " Le chèque, la carte de crédit sont d’abord une culture. Ils doivent s’entourer de la confiance du citoyen. Le paiement doit être certain, la justice doit être forte et diligente et les compagnies d’assurances doivent être opérationnelles en produisant les produits nécessaires pour créer et renforcer cette confiance. L’éducation doit introduire l’enseignement adéquat à la formation pratique du citoyen. L’attend fait ? la réponse vient du CNEAP : 6 millions d’analphabètes en 2012 !!