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  • ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE ? Sofiane Djilali dénonce Ghoul et compères


     

    A peine installée, ne voilà-t-il pas que la commission de supervision des élections présidentielles reçoive la toute première réserve quant à la régularité du scrutin du 17 avril prochain.

    M. Kebci - Alger (Le Soir)
    En effet, cette entité a été destinataire, hier, d’une requête du candidat à cette présidentielle inhérente à de graves dépassements, opérés par des ministres en poste et relayés par la télévision publique et une chaîne privée.
    Sofiane Djilali, puisque c’est de lui qu’il s’agit, n’y est pas allé par quatre chemins en exhortant le président de ladite entité à «assumer ses responsabilités, sans faux fuyants ni complaisance, auxquels nous ont malheureusement habitués les fonctionnaires désignés». Et de solliciter une intervention à l’effet de mettre fin à ce dévoiement des moyens de la République par des ministres et des responsables de parti au pouvoir peu soucieux, selon lui, de «morale et d’éthique». Des ministres et des chefs de parti que le président de Jil Jadid nommera puisqu’il accuse tour à tour, Amar Saâdani, Amar Ghoul et Amara Benyounès de s’adonner à de fausses déclarations, des mensonges et des manipulations répercutés longuement par la télévision nationale, censée être publique. Ce par qui ces personnes, poursuit-il, sont en train de porter atteinte au processus pré-électoral, démontrant que le trafic officiel a d’ores et déjà démarré. Ce qui participe à l’objectif de préparer l’opinion publique par un matraquage systématique et un chantage malsain, à l’imposition par la force aux Algériens d’un quatrième mandat pour le Président, lui-même silencieux sur la suite des événements. Et à Sofiane Djilali d’étayer ses accusations par le bénéfice de Amar Ghoul, ce samedi, de pas moins de 7 mn de temps de parole en plein JT du 19h en langue française et du 20h en langue nationale pour faire la promotion de la candidature du président de la République, usant du mensonge en annonçant l’entame de l’opération de collecte des signatures pour ce faire. Ce qui s’est révélé un mensonge puisque hier, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales a démenti catégoriquement tout retrait des formulaires de signature par le président de la République, démontrant, selon toujours le président de Jil Jadid, «le grave dérapage de Ghoul et de l’instrumentalisation du Président, par son entourage».
    M. K.

  • La Fédération des consommateurs dénonce l'anarchie dans la commercialisation des véhicules neufs

     

     

    La Fédération algérienne des consommateurs (FAC)  a dénoncé samedi à Alger "l'anarchie" et les "irrégularités" qui caractérisent  la commercialisation et le service après vente des véhicules neufs en Algérie.        

     

    « Depuis l'entrée en activité de notre fédération fin 2011, nous recevons  quotidiennement une dizaine de requêtes de la part de citoyens qui dénoncent  l'anarchie et les irrégularités enregistrées dans la commercialisation et le  service après vente de véhicules neufs », a expliqué le responsable de la FAC  pour la région centre du pays, M. Mustapha Zebdi, lors d'une conférence de presse.         

    Selon lui, la réglementation régissant l'exercice de l'activité de commercialisation  des véhicules neufs doit être "impérativement" revue pour mettre fin aux "nombreuses"  infractions commises par "des pseudos concessionnaires qui, en réalité, ne sont  que des importateurs de véhicules neufs ".        

     Les retards dans les livraisons de véhicules, allant de quelques semaines  à quelques années, figurent, a-t-il dit, parmi les plus récurrentes infractions  commises par les concessionnaires automobiles activant sur le marché national.        

     

     "Nous avons enregistré un cas où le client a attendu quatre ans pour  recevoir son véhicule qu'il avait pourtant payé à la commande", a-t-il déploré,  rappelant que la loi en vigueur fixait le délai de livraison d'un véhicule neuf  à 45 jours.      

    Le responsable de la FAC pour le centre du pays a relevé, par ailleurs,  la non conformité des contrats de vente et les bons de commandes délivrés par  certains concessionnaires automobiles, qui "souvent ne mentionnent pas les  délais de livraison".         

    "Pendant que des clients attendent de longues durées pour réceptionner  leurs véhicules, des revendeurs se voient livrer rapidement jusqu'à 20 véhicules  à la fois pour les écouler sur le marché parallèle et encaisser des bénéfices  importants", a fait savoir M. Zebdi.

    "Pendant que des clients attendent de longues durées pour réceptionner  leurs véhicules, des revendeurs se voient livrer rapidement jusqu'à 20 véhicules  à la fois pour les écouler sur le marché parallèle et encaisser des bénéfices  importants", a fait savoir M. Zebdi0

    Cette association a également dénoncé le fait que les  concessionnaires contraignent l'acheteur algérien à payer la totalité de la  valeur du véhicule dès la commande, alors que la loi l'autorise à ne verser  que 10% du montant global du véhicule.       

      La possibilité de réviser à la hausse le prix du véhicule durant le  délai de livraison pour "soi-disant : une augmentation de la valeur de l'euro",  ainsi que le non respect des caractéristiques (couleur, gentes) mentionnées  sur le bon de commande, sont les infractions, entre autres, évoquées par le  responsable de la FAC.         

    Les infractions citées par M.Zebdi comprennent aussi le manque  de pièces de rechange, l'éloignement des rendez-vous pour les prestations liées  au service après vente, le mauvais accueil au niveau du service clientèle des  concessionnaires et la publicité mensongère, particulièrement sur les  délais de livraison.        

     Interrogé sur la nationalité des concessionnaires qui ne respectent  pas la réglementation algérienne, il a expliqué qu'ils sont " principalement  de nationalités françaises et coréennes ", sans pour autant mentionner le nom  du constructeur.       

      Il a enfin indiqué que 80% des cas d'infraction pour lesquels la fédération  est intervenue ont été réglés à l'amiable alors que les 20% restant ont été  soumis à la Justice.         

    A la fin du 1er trimestre 2012, l'Algérie a importé 102.720 véhicules  pour une valeur de 97,73 milliards de dinars (1,32 Mds de dollars), en hausse  de 21,55% par rapport à la même période en 2011.

     

    APS

     

  • Le FFS dénonce les provocations et les harcèlements contre les résidents

    Affaire de la cité Bois des pins




     
    Le FFS, via son groupe à l’APW d’Alger, a dénoncé, mercredi 17 août, la « répression », les « provocations » et les « harcèlements » dont sont victimes les résidents de la cité Bois des pins à Hydra. Ces derniers sont en conflit depuis plusieurs semaines avec les autorités autour d’un projet de construction d’un parking sur un espace vert.

    Dans une déclaration rendue publique, le FFS a également dénoncé l’atteinte à l’environnement à travers ce projet de parking. Le FFS, dont une délégation s’est rendue sur les lieux pour s’entretenir avec les résidents, s’est interrogé aussi sur le silence des responsables et le mépris de l’appareil judiciaire. « Malgré tous les soutiens dont ont bénéficié les habitants, malgré une mobilisation citoyenne courageuse en ce mois de chaleur et de jeûne, aucun « responsable » n’a estimé nécessaire de geler le projet et proposer une solution à même de calmer les esprits », a‑t‑il relevé.  Le parti a appelé les autorités à lever « immédiatement » le dispositif policier mis en place au niveau de la cité.

    Le FFS est l’un des rares partis à avoir réagi à la situation de la cité Bois des pins dans le quartier huppé d’Hydra. Autre parti à avoir réagi, le PT : Louisa Hanoune, secrétaire générale du parti, a récemment pointé du doigt « la mafia », qu’elle accuse d’être derrière ce projet. Les habitants ont déposé une plainte contre les autorités mais ont été déboutés par la justice. A ce jour, aucun officiel ne s’est exprimé sur le dossier.