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louche

  • outardes pour les qataris sur le sol algerien, pas catholique charlie!!!

    Un lâcher d’outardes dans un pays de grues
    immobiles ou l’histoire revisitée de Bécassine !

    Par Hakim Laâlam  
    Email : hlaalam@gmail.com
    Affaire du harcèlement sexuel à la Chaîne TV4. La juge
    pourrait se montrer clémente envers le présumé coupable.
    Elle prononcerait le verdict en…

    … tamazight !

    J’évoquais ici même, hier, la problématique de l’Algérie devenue un vaste stand de tirs. Et voilà que l’actualité immédiate vient donner un sérieux et drôle coup de booste à cette question. Dans un scénario réellement kafkaïen, des journalistes algériens ont été embarqués ces dernières heures vers la région d’El- Bayadh pour y assister et témoigner d’un lâcher d’outardes par des Emiratis. Depuis, dans les journaux et sur la Toile, s’est ouvert un débat féroce où chacun défend ses arguments bec et ongles (oui ! oui ! Je sais qu’elle est facile celle-là). Les Emiratis ont-ils lâché des outardes chez nous pour repeupler une population à plumes décimée ou pour mieux la tirer ensuite ? Et pour épaissir cette problématique volatile déjà fort capiteuse, ne voilà-t-il pas qu’un autre débat s’est instauré en filigrane. Il semblerait que si les Emiratis procèdent au repeuplement des populations outardes, les Qataris, eux, continuent de chasser impunément l’oiseau-viagra dans des zones d’accès interdites aux Algériens eux-mêmes. Il faut lire à ce propos le reportage du journal Liberté. Je ne sais pas si c’est moi qui délire, mais j’ai l’impression fort décalée et un brin désagréable de suivre un épisode de Pêche, Chasse et Nature, sur TF1,à 2 heures du mat’, mais là, animé par des Emiratis et des Qataris, et dont le tournage se déroulerait en Algérie ! Par quel phénomène hallucinant, cette terre, souveraine, je crois, se retrouve ainsi partagée entre des bataillons d’Emiratis «repeupleurs» et des commandos de Qataris «décimeurs» ? Par quel point d’accès ces invasions étrangères et armées se sont-elles introduites chez nous ? Quand on sait que le citoyen lambda qui aurait l’outrecuidance d’atterrir sur un aéroport de son pays avec dans ses bagages un simple télescope ou un paire de talkies-walkies jouets risque de se faire serrer, comment des mecs enturbannés ont-ils pu se faire parachuter chez nous, avec armes, bagages et oiseaux ? Je ne dis pas que cette question m’empêche réellement de dormir, je ne dis pas non plus que la guerre entre «réimplanteurs» d’outardes et assassins de ce volatile me passionne au point de remettre en liberté mon chardonneret et d’acheter le dernier DVD d’Allain Bougrain-Dubourg, mais tout de même ! Je suis curieux de savoir ce que cache cette guerre fratricide entre frères arabes dans les déserts et zones humides algériennes. Et puis, au fond, comment ne pas être curieux d’une guerre que se livreraient deux puissances étrangères sur mon sol, hein, comment ? J’ai moi aussi le droit de m’intéresser de temps à autre à la main de l’étranger, n’est-ce pas ? Tout en fumant du thé pour rester éveillé à ce cauchemar qui continue.
    H. L.

     

  • alliance assurance ,pas du tout crédible ,poussée tres vite avec quel argent!! et maintenant operation action , louche ,pas catholique !! cour des compte c'est votre travail

     

    L’opération de souscription des actions d’Alliance-Assurances est un succès
    “Nous avons raison de faire confiance au marché”

    Par : Meziane Rabhi

    L’opération de souscription à l’appel public à l’épargne avec introduction de l’action à la cote officielle de la Bourse d’Alger, lancée par Alliance-Assurances, qui s’achève aujourd’hui, aura connu un retentissant succès.
    Lundi, la compagnie privée d’assurances avait placé 93% des actions mises en vente pour son introduction à la Bourse d’Alger. Plus de 1 660 000 actions ont été vendues sur 1,8 million d’actions émises. “Nous sommes à 85% sans les institutionnels”, a indiqué Mohamed Djellab, P-DG de la banque CPA qui pilote cette opération. “Nous avons de très fortes chances de dépasser les 100%”, a-t-il estimé lors d’une soirée organisée à Alger par le Forum des chefs d’entreprise (FCE) pour inciter les chefs d’entreprise à souscrire aux actions d’Alliance-Assurances. “Nous avons raison de faire confiance au marché”, a souligné le P-DG d’Alliance-Assurances, Hassen Khelifati,  précisant que “l’opération a permis aussi  de casser certaines idées reçues”. Et pour cause, elle a été bouclée grâce notamment à une bonne réaction des petits porteurs qui ont débordé la part de 33,4% qui leur était réservée. Un bon signe pour la Bourse d’Alger. La naissance, certes modeste à cette échelle de capitalisation, d’un actionnariat populaire n’est pas une bonne nouvelle uniquement pour Alliance-Assurances qui pourra compter sur un volant d’actionnaires plus large et plus mobile. “Les particuliers nous ont donné une belle leçon”, a affirmé M. Hassen Khelifati.
    Durant cette soirée, seules 3 200 actions ont été souscrites par les patrons présents. Mais le P-DG d’Alliance-Assurances, Hassen Khelifati n’a pas caché son optimisme concernant l’opération. “Nous allons terminer dans les délais et peut-être dépasser les 100% du nombre d’actions à souscrire”, a-t-il dit.
    Pour sa part, le président du FCE, Réda Hamiani, a qualifié l’opération “d’événement historique”. C’est en effet la première fois qu’une société privée décide d’ouvrir son capital via la Bourse d’Alger.
    Le P-DG d’Alliance-Assurances a aussi apprécié le travail accompli par les banques, notamment le CPA, chef de file de l’opération. “Elles ont fait un travail extraordinaire”, a relevé M. Khelifati, estimant qu’un partenariat privé-public est possible. “C’est de notre
    responsabilité de jeter les bases de la Bourse
    d’Alger”, a souligné le P-DG d’Alliance-Assurances, regrettant le silence des autres organisations patronales qui n’ont pas répondu à son appel, alors qu’il les a saisies par écrit pour se déterminer par rapport à l’opération. Même symbolique, leur réaction aurait donné une autre image du secteur privé, accusé de rentier par les pouvoirs publics.
    Les retombées de la réussite d'une telle opération sont d'abord sur le marché et l'économie algérienne à travers le rétablissement de la confiance entre le marché et les entreprises algériennes notamment privées. Le P-DG d’Alliance-Assurances a beaucoup insisté sur la solidarité du privé algérien, qui, malheureusement, ne s’est pas exprimé comme il se doit lors de cette opération. Pour sa part le directeur général de la Commission d’organisation et de surveillance des opérations boursières (Cosob) a estimé que l’économie algérienne a besoin d’un marché financier “pour qu’elle puisse marcher sur deux pieds”. “Notre économie est une économie d’endettement. Elle marche sur un seul pied. Nous avons besoin d’un marché financier pour qu’elle puisse marcher sur deux pieds. Une économie qui marche sur deux pieds va plus vite et produit plus de croissance”, a-t-il expliqué.
    M. Noureddine Smaïl a indiqué que
    les pouvoirs publics ont approuvé la réforme du marché financier. “Elle sera mise en œuvre
    en 2011, avec comme objectif la création d’un véritable marché financier à Alger”, qualifiant le bilan de dix années de la Bourse de “médiocre”. “Notre marché manque de services d’investissement, comme corporate finance, la gestion d’actifs, les métiers titre… les banques ne les ont pas développés”, a regretté le DG de la Cosob, révélant que “plus de cent entreprises algériennes réunissent les conditions d’entrée en Bourse. Elles sont donc éligibles à la Bourse d’Alger”.

  • quesqu'ils foutent ,les russes en algerie ,pas a cause de ota , c'est louche!!!

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    Le P-DG de Vimpelcom évoque une revente à Alger
    Les Russes prêts à céder Djezzy pour 8 milliards de dollars

    Par : Nabila Saïdoun

    Le patron de VimpelCom, en bon homme d’affaires, se dit disposé à céder Djezzy, mais il place la barre très haut en exigeant 8 milliards de dollars.

    Très diplomatique dans sa manière de procéder, le Russe Alexander Izosimov ne tient visiblement pas à entrer en conflit avec les autorités algériennes avant même d’avoir foulé le sol algérien. “VimpelCom pourrait céder Djezzy au gouvernement algérien si nécessaire”, commence par déclarer Alexander Izosimov, patron du géant russo-norvégien VimpelCom, qui fait partie de la délégation accompagnant le président russe Medvedev en visite hier à Alger.
    à travers ses propos rapportés par l’AFP, il semblerait que le patron de VimpelCom serait disposé à “céder l’opérateur mobile d’Algérie Djezzy au gouvernement algérien après avoir acquis la majorité des parts de son propriétaire égyptien Orascom Télécom Holding”. Une déclaration lourde de sens qui ouvre plusieurs pistes de travail. à commencer par celle qui dirait que Sawiris n’a pas scellé définitivement le sort de Djezzy. Ceci expliquerait d’ailleurs les 51,7%, désormais détenus par VimpelCom, mais pas plus. Or, aujourd’hui même, M. Izosimov demande environ 8 milliards de dollars pour céder Djezzy, tout en qualifiant ce montant de “prix équitable”. Une offre vraisemblablement trop élevée par rapport à ce que les Algériens seraient prêts à dépenser pour récupérer cet opérateur de téléphonie mobile au nom du droit de préemption. Serait-ce là une manière pour le patron de VimpelCom de placer la barre haut pour dissuader les Algériens qui ne sont pas prêts de mettre plus de 3,7 milliards de dollars ? “Nous voudrions conserver avec plaisir cette compagnie (Djezzy) comme l’un de nos actifs et gérerons ces actifs parce que ce marché a sans aucun doute du potentiel”, a souhaité Alexandre Izosimov tout en concédant, dans une attitude très prudente, qu’“il est difficile de faire des prévisions”. Convaincu que cela nécessite des préalables, le nouveau propriétaire sait pertinemment qu’il ne pourra jamais travailler sans l’aval du pays hôte, surtout que la partie algérienne campe sur sa position pour ce qui est de Djezzy. Mardi, le ministre algérien de l’énergie rappelait, à ce propos, que le gouvernement algérien entendait faire valoir son droit de préemption, dans le cadre de la vente conclue entre Naguib Sawiris et le groupe russo-norvégien VimpelCom.
    Ceci l’amène inéluctablement à dire : “Pour nous, il est important que les relations entre la compagnie et le gouvernement (algérien) se normalisent”. Il n’est, d’ailleurs, pas fortuit que l’annonce du rachat de VimpelCom (annoncé lundi dernier), 100% de l’italien Wind et 51% de l’égyptien Orascom, intervienne juste avant la visite du président russe. Mais, selon des indiscrétions, les Algériens ne sont pas prêts à changer d’avis sur la question et semblent maintenir le statu quo jusqu’à nouvel ordre. Sawiris est loin d’être sorti d’affaire même si un pas est franchi dans le règlement de ce conflit. Il ne faut surtout pas perdre de vue que l’entreprise a eu deux rappels d’impayés au fisc, avec 600 millions de dollars qui ont été versés fin avril et, maintenant, les impôts réclament, à nouveau, 230 millions de dollars. De plus, le DG de Djezzy a été convoqué la semaine dernière par la police dans le cadre d’une enquête sur des allégations d’infraction à la législation sur les changes.