Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

out

  • ALGERIE ,OUT,KO

    said ,boutef,dictature

  • Algerie: parti tawain triste

    AU LENDEMAIN DU DÉPART D’OUYAHIA DU GOUVERNEMENT
    Le siège du RND tristement vide

     

    10h54. Siège national du RND. Ben Aknoun. C’est le calme plat. Seul le préposé à la réception, deux ou trois employés, un militant de la base à Alger-Centre et un membre du bureau national se trouvaient à l’intérieur. L’onde de choc du remplacement d’Ahmed Ouyahia par Sellal à la tête du gouvernement est fortement ressentie. 
    Abder Bettache (Alger – Le Soir) - Contrairement aux autres jours de la semaine, où une présence militante est remarquée, hier, quarante-huit heures après le départ d’Ahmed Ouyahia du gouvernement, le siège national du RND était désert. Autre signe qui ne trompe pas : dans le parking du siège, d’habitude occupé par les véhicules des «hauts» responsables du parti et qui, dans d’autres circonstances, grouillait de monde, où seulement trois véhicules étaient garés. Même décor au niveau de la réception qui se trouve au premier étage. Un calme olympique y régnait. Le va et vient, d’il y a quelques jours voire quelques semaines a vite laissé place aux claquements de portes. Ce jour, un vent frais soufflait sur Ben Aknoun. Signe de changement de saison, tant attendu. Le «réceptionniste» passe en revue les commentaires de la presse de ce mercredi. En attendant qu’on lui donne le feu vert, pour qu’on soit reçu par un responsable du parti, il lit attentivement un article de presse ayant trait au devenir de l’ex-Premier ministre. Les conséquences du départ d’Ahmed Ouyahia de la tête du gouvernement se ressentent à tous les niveaux. Moins de cinq minutes après notre demande d’audience, l’accord est donné. «Ça sera M. Bouzeghoub qui va vous recevoir», nous dit-on. Le chargé des élus au sein du bureau national et non moins président de la Commission nationale de préparation des élections locales est le seul responsable national à être ce jour-là au siège du parti.

     

    «Ouyahia nous a manqué» 
    Chargé par le secrétaire général du parti pour préparer les locales de novembre prochain, M. Bouzeghoub est en contact permanent avec les cadres du parti. «Le retour d’Ouyahia redonnera du souffle à notre parti et aux militants», nous dira d’emblée cet ancien officier supérieur de l’ANP. Sexagénaire, Mohand Tahar Bouzeghoub s’attelle depuis juin dernier à réunir les conditions à même de «permettre au parti de retrouver son lustre d’antan». L’enjeu est de taille. La bataille électorale de novembre déterminera, selon lui, les «contours des échéances politiques prochaines ». Pour notre interlocuteur, «c’est à ce niveau que tout se jouera». Bouzeghoub refuse l’idée de défaite du parti après le changement opéré à la tête du pays. Le retour d’Ouyahia à la gestion des affaires du parti, aux yeux de ce responsable, dont on dit qu’il est très proche d’Ahmed Ouyahia, «sera d’un apport considérable». «Il a servi son pays. Aujourd’hui, le temps est venu pour qu’il serve son parti qui à son tour servira le pays», dira-t-il, avant d’ajouter : «La seule période où M. Ouyahia était avec nous, c’était en mai 2006 et juin 2008. Durant ces deux années, nous avons démontré de quoi nous étions capables et la preuve a été donnée. Nous avons sensiblement amélioré le niveau de notre représentation locale. Mais Ouyahia nous a manqué ces dernières années.» Une absence que ce responsable n’a pas voulu expliciter. Il ressort nettement des propos de Bouzeghoub que les résultats enregistrés par le RND lors des dernières législatives et qualifiés de «mitigés» ne sont toujours pas oubliés. Bref, ce cadre du parti rejette l’idée, selon laquelle, son parti accuse les conséquences du remplacement de son secrétaire général à la tête du gouvernement. Selon lui, «l’enjeu est ailleurs» et «l’apparence ne reflète pas la réalité». Notre interlocuteur réitère ses propos : «Ouyahia nous a manqué. C’est un monsieur qui se donne entièrement à son travail.»
     A. B.

  • Une fondation qui dérange

    L’idée de la création d’une fondation dédiée à la Garde communale ne serait pas bien vue par bien des cercles.
    Ces derniers y voient la «main» du camp éradicateur qui voudrait, selon eux, saborder la politique de réconciliation nationale. Remarque dont ne veulent pas entendre les agents de ce corps qui, à travers cette initiative, veulent pérenniser leur combat noble pour la sauvegarde de la République du péril islamiste. Et ce, à plus forte raison, disent-ils, que ledit corps est appelé à être dissous ou tout au moins ses éléments «dispersés» à travers les entités économiques et autres administrations.

    souce;le soir dz

  • quesque les rosbifs peuvent faire ,des betises comme les amerloques ou les frenchies!!!!!!

     

     

    Les britanniques séduits par plusieurs "possibilités d'affaires" en Algérie

    Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte


       	L'Algérie regorge de possibilités d'affaires dans  des secteurs qui intéressent les compagnies britanniques. 
    zoom | © D.R

    L'Algérie regorge de possibilités d'affaires...

    Imprimer Envoyer à un ami Flux RSS Partager

    "Le marché algérien est absolument encourageant, il y a de nombreuses  possibilités pour les compagnies britanniques en Algérie et ce, dans plusieurs  secteurs clés de l'économie", a déclaré mardi à  Londres, Susan Haird directrice générale adjointe de l'agence gouvernementale  britannique de développement du commerce extérieur et de l'investissement. 

    "En octobre dernier, j'ai effectué une visite de travail en Algérie  qui m'a permis d'avoir des discussions avec des responsables algériens et des  hommes d'affaires britanniques présents dans ce marché. Ce que j'ai vu là-bas  est absolument encourageant et j'ai parlé aux hommes d'affaires britanniques  des riches possibilités que recèle ce pays", a-t-elle encore souligné. 

    Pour Susan Haird, "le marché algérien était relativement inconnu des britanniques en dépit du fait que ce pays est le plus grand en méditerranée et le second  en Afrique en terme de superficie, mais il y a un très grand potentiel en Algérie  et ce marché commence à peine à s'ouvrir", a-t-elle ajouté. 

    Elle a souligné dans ce contexte que la mission de son agence est de faire  en sorte que les compagnies britanniques présentes en Algérie ne manquent de  rien et bénéficient des meilleures conditions pour mener leurs missions avec  succès."Il s'agit également de les orienter vers les opportunités à saisir dans  ce pays", a-t-elle précisé.  

    "Ces dernières années, les échanges commerciaux entre les  deux pays ont enregistré une nette hausse en dépit du climat économique en Grande  Bretagne et l'Algérie est devenue un important fournisseur d'énergie du Royaume-Uni",  a-t-elle fait savoir en  dernier lieu.   

    El Watan
  • no moment

    20101111.jpg