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  • tartag pire que toufik

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  • c'est les terros qui frappent les médecins,la hogra aussi, les enseignants, augmentation des prix ,le chomage,les bois des pins,ect... ,incompétence de notre gouvernement,ET voila les USA qui intervient pour soutenir le régime de banane qui nous gouverne

    1 175 terroristes arrêtés en 2010

    Ce que dit le Département d’Etat sur la lutte contre le terrorisme en Algérie



     

    Dans sa guerre contre les groupes islamistes armés, l’Algérie continue de marquer de nombreux points. Selon le rapport du Département d’État américain sur le terrorisme en 2010, le gouvernement algérien a réussi à bloquer l’arrivée de flux d’argent destiné aux éléments terroristes. Le rapport, publié en fin de semaine passée, salue la coopération algéro‑américaine dans la lutte contre le financement des groupes armés. « L’Algérie est membre du groupe de travail pour la région MoyenOrient et Afrique du Nord pour la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme », note le rapport consulté ce samedi 20 août par TSA. Seul bémol, l’Algérie n’a pas réussi à légiférer pour geler les avoirs des terroristes en dépit du fait qu’elle a ratifié la convention internationale relative au financement du terrorisme.

    Le rapport du Département américain indique que les habitants de Kabylie ont obligé les terroristes à libérer des otages sans aucun versement de rançon, en organisant des manifestations. Les groupes armés ont libéré cinq otages dans cette région sans aucune contrepartie financière, précise le rapport américain. Les terroristes se vengeaient à chaque fois en organisant des attaques armées.  Le rapport américain estime qu’Al‑Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) constituait une grande menace dans les régions montagneuses de l’est algérien. Cette organisation s’attaque aux services de sécurité et aux civils. Pour le Département d’État américain, les groupes terroristes ont échoué dans leur stratégie par rapport aux années 1990. « Les groupes armés ont mené des opérations, sans trop de succès », est‑il écrit dans le rapport. En dépit de ces échecs, les terroristes ont continué à commettre des attentats kamikazes et des embuscades dans les régions de l’est d’Alger.
     
    Le rapport précise que l’Algérie connaissait une recrudescence des attentats terroristes depuis le début de l’été, notamment durant le Ramadhan. Mais cette recrudescence n’est pas aussi importante que celle qu’a connu le pays durant les années 2008 et 2009, note le rapport. La même source explique ce retour des attentats par les tentatives des terroristes de riposter aux attaques menées par les services de sécurité et l’armée dans les wilayas de Tizi Ouzou et de Boumerdès. « Les groupes terroristes algériens ont adopté la méthode irakienne avec des prises d’otages et des attentats kamikaze », selon le rapport. Les services de sécurité ont arrêté 1 175 terroristes en 2010 alors que le Tribunal de Boumerdès a prononcé des peines de mort contre six terroristes pour meurtre et appartenance à des groupes terroristes, ajoute le rapport. Alger a refusé d’accorder la grâce à 120 terroristes dans le cadre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale en raison de ses craintes de voir ces éléments reprendre leurs activités terroristes, toujours selon le  même rapport.
     
    Dans le cadre de la lutte contre le terroriste au Sahel, le rapport salue également les efforts de l’Algérie en vue de créer un instrument régional de coopération régionale avec les pays de cette région, devenue fief d’Aqmi. Des réunions ministérielles et des rencontres des états‑majors des armées de la région ont eu lieu. Un centre militaire a été créé à Tamanrasset en 2010 et un autre centre d’échange d’informations a été également lancé pour lutter contre le terrorisme au Sahel.
     
    Selon le rapport américain, l’Algérie ne se contente pas d’un traitement sécuritaire de la lutte contre le terrorisme. Le gouvernement a mobilisé les mosquées et les radios du Coran, multiplié les appels contre la violence et exhorté les terroristes à la reddition. Le rapport note le rôle des mosquées et des médias pour convaincre des dizaines de terroristes de descendre des maquis. Le gouvernement a renforcé son contrôle sur les mosquées et les discours des imams pour lutter contre l’extrémisme religieux, ajoute le rapport qui relève la coopération algéro‑américaine dans la lutte contre le terrorisme et l’échange d’informations ainsi que dans la formation de policiers, magistrats, douaniers sur le crime électronique, la contrebande et les techniques de lutte contre le terrorisme.
  • lire aussi, c'est trops pour la lecture, mais revenez et faites des pauses le blog maintenant vous le connaissez ,merci

     

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  • les dessous d'une vache qui prend la pillule,pas de lait!!!!!!!

    Les laiteries privées crient au scandale et la Fédération des producteurs de lait accuse l’Onil de discrimination. 1 500 tonnes de poudre de lait ont été distribuées ce lundi aux producteurs étatiques (Giplait) et à deux laiteries privées. Les autres producteurs privés qui attendent leur quota, pourtant payé à l’avance depuis le début du mois d’octobre, demeurent toujours en rupture de stock.
    Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) -Bien que ce stock de poudre de lait récemment importé couvre seulement une semaine de production des laiteries étatiques (Giplait) et deux jours de production pour les deux producteurs privés qui ont pu, à la différence des autres, bénéficier d’un petit stock, il est vraiment aberrant, aux yeux de Abdelwahab Ziani, d’agir de la sorte dans une conjoncture de crise. En effet, le président de la section agroalimentaire de la Confédération des industriels et des producteurs algériens (CIPA) pense qu’il est discriminatoire d’approvisionner les laiteries publiques et certains producteurs privés en poudre de lait, et laisser «à sec» les autres laiteries privées qui attendent la livraison de leur quota, payé à l’avance depuis le début du mois d’octobre dernier. «Nous déplorons cette manière de faire.» Depuis que l’Onil gère les quotas de poudre de lait, la filière s’est complètement clochardisée », a-t-il souligné, non sans soutenir qu’il aurait été plus sage d’importer 15 000 tonnes de poudre de lait au lieu des 1 500 tonnes en question, approvisionner l’ensemble des producteurs sans exception et selon les besoins de chacun, afin de permettre une production régulière jusqu’à la fin de l’année. Cela, insiste-t-il, aurait d’une part diminué la tension chez les producteurs, et d’autre part, mis fin à la pénurie dont souffrent les consommateurs.
    Etouffer la pénurie le temps d’un Aïd et d’un week-end prolongé
    Selon des indiscrétions, l’approvisionnement des laiteries publiques et seulement des deux plus grands producteurs privés connus sur le marché répond à un souci d’étouffer la crise le temps d’un Aïd et un week-end prolongé, surtout au niveau du centre du pays où une pénurie ne peut pas passer inaperçue. Il semblerait même que l’Onil n’ait pas été seule dans la prise de cette décision. Cette mesure, affirment des sources proches, vient «d’en haut». S’agissant de la décision de l’Etat de réduire la facture d’importation de la poudre de lait, qui est à l’origine de cette crise, comme le soutiennent certains producteurs, Abdelwahab Ziani semble avoir une tout autre opinion que le président du Comité interprofessionnel de la filière lait, Mahmoud Benchkour. Pour rappel, ce dernier avait récemment soutenu qu’il ne s’agit point d’une pénurie de lait et d’un manque d’approvisionnement en poudre, mais plutôt d’un dysfonctionnement dans la distribution et dans la production, accusant certains producteurs de détourner les quantités de poudre de lait de leur usage initial pour la fabrication de fromages, yaourts et autres dérivés. Sur ce chapitre, Abdelwahab Ziani pense que certains acteurs principaux du secteur, à l’exemple de l’Onil, soutiennent ce genre de propos, pour la simple et bonne raison qu’ils sont loin de la réalité du terrain. «Habituellement, nous importons 140 000 à 150 000 tonnes de poudre de lait. Pour cette année, nous nous sommes entendus sur l’importation de 130 000 tonnes par souci de réduire la facture d’importation et d’encourager la production de lait cru local. Mais il se trouve que devant la baisse drastique du pouvoir d’achat, les consommateurs se sont rabattus sur le lait en sachet pour combler le non-accès à certains produits élémentaires. Ce qui a déclenché, un peu avant le mois de Ramadan, une surconsommation que les producteurs n’arrivent pas à combler avec le stock de poudre disponible. Apparemment, toutes ces données semblent échapper à l’Onil», a-t-il précisé. Le président de la Fédération agroalimentaire rappelle que la Confédération des industriels et des producteurs algériens (CIPA) a été la première à attirer l’attention des pouvoirs publics, il y a quelques années, sur la nécessité d’encourager la production nationale du lait cru, mais réduire l’importation de la poudre de lait sans mettre en place en contrepartie les outils nécessaires pour booster la production locale de lait cru peut s’avérer comme une mesure périlleuse. «Pour encourager la production de lait cru en Algérie, il faut opter pour des subventions directes aux fellahs et aux collecteurs, multiplier le nombre de vaches et les points de collecte… c’est une batterie de mesures à prendre logiquement avant de passer à autre chose», a-t-il enfin ajouté.
    M. M.

  • no moment moh 6