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traitre

  • Mr le sinistre de la santé,c'est vous qui mentez à tous les médias ,on est sur le terrain et preuves à appui.

    Il qualifie "d’affirmations mensongères" les propos du porte-parole du SNPSP

    Djamel Ould Abbès-syndicat des praticiens : la polémique

    Le ministre de la Santé et de la réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès s’est dit « étonné », lundi 26 septembre des propos tenus hier par le porte‑parole du Syndicat national des praticiens de la Santé publique (SNPSP), faisant état du « mutisme de la tutelle » et de la « fermeture des portes du dialogue » par le ministère. « Le ministère s'inscrit en faux contre ces affirmations mensongères, dénuées de tout fondement et procédant d'une mauvaise foi manifeste dans la mesure où ce syndicat, à l'instar de l'ensemble des syndicats agréés activant dans le secteur, a été rendu destinataire en date du 15 septembre dernier, d'un courrier officiel relatif au dialogue social », indique un communiqué du département d’Ould Abbès.
     
    Hier, Lyes Merabet, porte‑parole du SNPSP, a déploré qu’aucune séance de travail n’a été tenue entre le syndicat et la tutelle depuis l’accord signé le 19 mai entre les deux parties et portant sur la prise en charge des revendications exprimées par les travailleurs du secteur qui avaient observé une grève illimitée. Amendement du statut, promotion au grade supérieur, prime de garde et de contagion ainsi que de nombreux problèmes dans l'application du régime indemnitaire constituent les principaux points soulevés par le syndicat. « Le dernier écrit qu'on a laissé au niveau du ministère date de la mijuillet. On avait demandé une audience pour relancer les réunions de travail et pour qu'on rappelle à M. le ministre ses engagements par rapport à tous ces points lors de la réunion du 19 mai. Il nous avait demandé de patienter jusqu'à la date du 30 juin », a affirmé Lyes Merabet qui fait état d’une « rupture de dialogue » avec la tutelle.
     
    Mais Djamel Ould Abbès suggère que les motivations du SNPSP pourraient être d’ordre politique. « Malgré ces déclarations qui ne semblent pas obéir à des considérations strictement socioprofessionnelles en s'inscrivant à contre sens de la volonté de dialogue », le ministère réitère sa « conviction que seul un dialogue assumé et responsable peut permettre au système national de santé d'être au rendezvous de toutes les attentes », note le communiqué. En guise de sa bonne foi, le ministère a annoncé l’installation d’un comité ad hoc chargé des relations avec les syndicats. Ce comité a pour mission d'engager en permanence le dialogue et la concertation avec les syndicats ainsi que d'examiner les plates‑formes de revendications qui lui sont soumises, selon la même source. Les premières rencontres avec les syndicats débuteront le jeudi 6 octobre 2011. Un calendrier sera ensuite proposé pour les futures rencontres, précise le communiqué.
     
    Lors de sa conférence, le Dr Lyes Merabet n’a pas exclu un éventuel retour à la grève. « On a donc décidé, d'un côté de relancer la tutelle pour renouer le dialogue, et d'un autre, de réunir nos adhérents dans le cadre des assemblées générales pour leur donner la parole. Ce sont eux  qui devront décider de l'action qui devrait être adoptée prochainement », a‑t‑il déclaré.
  • Les journalistes Fawzi et les rapports de force DRS- présidence

     

     


    La bonne école
    Au début des années 90, les clans mafieux du pouvoir algérien ont créé, de toute pièces : « Des commandos médiatiques » pour légitimer un coup d’Etat et pour diaboliser tout opposant à leur pouvoir totalitaire. Ces cohortes médiatiques étaient recrutées, instrumentalisées et manipulées par lesservices d'un certain colonel Zoubir. Les : « Intellectuels et « Démocrates », hommes et femmes, étaient notoirement connus par les Algériens pour leur appartenance aux plus hautes sphères du sérail algérien. Il s’agissait de rabatteurs du pouvoir et d’opposants de l’opposition.
    Qui serait naïf au point de croire que Mohamed Benchicou et Mohamed Abassa, alias Mehdi el Djazaïri, puissent écrire, le premier : «Une imposture algérienne», accuser Bouteflika de toutes les trahisons et de tous les vices et, Mohamed Abassa, l’auteur de : «Poutakhine», qui accuse Khalida Toumi, la ministre de la culture, d’avoir été imposée par des : «Lobbies sionistes», sans avoir de puissants parrains hauts placés dans la hiérarchie militaro-terroriste et politico-financière algériennes ? La sortie : «D’une imposture algérienne», du livre de Mohamed Benchicou, bien qu’interdit, a bénéficié d’un matraquage médiatique, y compris par des journaux notoirement connus pour être aux ordres et à la solde du pouvoir, sans précédent dans l’histoire culturelle algérienne. Le titre interdit à nécessité plusieurs tirages pour répondre à la demande. L’auteur persécuté a animé d’innombrables rencontres de dédicaces dans toute l’Algérie. Est-ce là les marques d’une persécution ?
    «Poutakhine», le livre de Mehdi el Djazaïri va-t-il bénéficier du même matraquage publicitaire et du même engouement des lecteurs algériens ?
    Les Algériens sont conscients que les clans qui composent leur Etat-mafieux traversent une zone de fortes turbulences : politiques, économique et sociale. Depuis 1958, face aux crises, les brigands politiques algériens règlent leurs comptes par la violence, par l’intermédiaire de commandos armés de Kalachnikov et des intellectuels spécialisés dans des appels aux crimes, la flétrissure des victimes, la glorification des assassins et la légitimation de leurs odieux crimes.
    Mehdi el Djazaïri a accusé Khalida Toumi d’avoir été imposée comme ministre par : Des lobbies sionistes . Et, les autres ministres, qui les a imposés ? L’Algérie n’est pas un Etat démocratique, donc ce n’est pas le peuple qui les a désignés ?
    En fait, depuis 1958, les gouvernements algériens obéissent, au doit et à l’œil de tyrans invisibles. Le régime algérien est l’un des plus parfaits et des plus réussis régimes : «Néo-colonialistes» d'Afrique. Cependant, la haute trahison des dirigeants algériens et l’histoire d’Algérie ne seront jamais révélées ni écrites par des intellectuels du sérail, trop accoutumés à manger dans les mains de leurs mafieux maîtres.
    In http://ecrivainsmaghrebins.blogspot.com/2009/11/
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    Samedi 26 septembre 2009
    Le colonel « Faouzi », le vrai parrain de la presse algérienne, dégommé!
    Le Quotidien d’Algérie.


    Nous apprenons que le colonel « Faouzi », le chef d’orchestre de la presse « indépendante » algérienne, et qui lui dictait ce qu’elle devait écrire, aurait été renvoyé dans ses foyers, pour user de cette formule toute militaire.
    Cet officier du DRS avait remplacé le Général « Hadj Zoubir », lequel avait été recruté dès se mise à la retraite, par Issaad Rebrab, comme directeur de la communication de CEVITAL. Un geste éminement symbolique, et tout aussi éloquent.
    Le Colonel « Faouzi », se revèlera encore plus efficace que son predecesseur, puisqu’en plus de gérer avec brio l’évènement sécuritaire, se distinguera, durant ces dernières années dans un savant dosage de reglements de comptes, distillant l’intox et l’info au gré du vent qui soufflait tantôt en faveur d’un clan, et tantôt en faveur de l’autre.

    C’est lui qui donnait le feu vert à ses journalistes « d’investigation » patentés, pour traiter de tel scandale, ou en étouffer un autre. [Omar D. : comme Salima Tlemçani n’est-ce pas ?]

    Homme lige des vrais patrons du DRS, et redoutable manipulateur, en plus de ses prérogatives médiatiques, le Colonel « Faouzi » avait d’autres cordes à son arc, puisque sa puissance s’étendait jusques au coeur des ambassades algériennes à l’étranger, où il avait la haute main sur les antennes du DRS au sein de ces représentations.
    Son éviction laisse supposer que le clan des frères Bouteflika vient de prendre une autre piece maîtresse dans l’échiquier.
    Cette mesure pourrait avoir un lien direct avec les récentes et gravissimes révélations des journaux « Echourouk » et « El Khabar », sur des malversations commises par des proches du clan présidentiel, et même sur des reflexions du Président faites à un ministre lui reprochant de prendre 20% de commissions là où les autres ministres n’exigeaient que 5%. Cette fuite d’un savon, passé en plein conseil des ministres, aurait provoqué un conflit frontal entre le clan des frères Bouteflika et le dernier carré des irréductibles du DRS.
    Mais rien n’indique que Salat el djanaza a été dite.
    Affaire à suivre.
    DB
    In http://khiwani.dzblog.com/
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