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corrumpu

  • Liste d'interventions extérieures des usa


    Premier tir américain sur le front lorrain avec un canon de 75 Modèle 1897 français, le 9 février 1918 près de Bathelémont-lès-Bauzemont (Meurthe-et-Moselle). La douille éjectée est encore en l'air qu'un nouvel obus est déjà introduit dans le canon. Ce canon pouvait tirer 6 à 20 obus par minute. Chaque obus à balles contenait 280 billes de plomb.
    Débarquement le 6 juin 1944 à Omaha Beach.
    Une brigade de la 3e division blindée des États-Unis sur la ligne de départ de l'offensive terrestre de la guerre du Golfe de 1991.

    Notes et références

    1. Révolution refusée : Le Canada et la révolution américaine, Musée de la Guerre du Canada [archive]
    2. (en) One Step At A Time [archive], Tom Bartlett, novembre 1965
    3. (en) Jack Sweetman, The Landing at Veracruz: 1914, Annapolis, MD: Naval Institute Press, 1968
    4. (es) Jesús Silva Herzog, Breve historia de la Revolución mexicana. II. La etapa constitucionalista y la lucha de facciones., Mexico : Fondo de Cultura Économica, coll. « Popular », 1960 (cité de mémoire)
    5. Conservative Coup in Nicaragua 1926 Armed Conflict Events Data [archive] consulté le 11 mars 2009
    6. Jean Moulin, US Navy, tome II, 1945-2001, Marines éditions, 2004
    7. (en) Operation Classic Resolve [archive], Global Security

    Bibliographie

    • William Blum, Les Guerres scélérates : Les interventions de l'armée américaine et de la CIA depuis 1945, Parangon, 2004 (ISBN 2-84190-116-5)
    • Charles-Philippe David, Louis Balthazar et Justin Vaïsse, La politique étrangère des États-Unis : Fondements, acteurs, formulation, Les Presses de Sciences Po, 2008 (ISBN 2-7246-1080-6)
    • http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_op%C3%A9rations_militaires_impliquant_la_France_depuis_2000
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    • Les limites de l'interventionnisme

      L'interventionnisme économique est une stratégie qui cherche à doser la part du marché et celle de l'état. Les débats sont vifs concernant le niveau de ce dosage, permettant de compenser notamment les effets pervers de chacun des systèmes. Ce niveau varie selon le contexte et selon les objectifs poursuivis. C'est ainsi que la mondialisation économique, qui fait elle même l'objet de controverses sur ses avantages et inconvénients, limite certaines marges de manœuvre de chaque État pris individuellement. Cela conduit au développement, certes encore embryonnaire, d'organisations ayant suffisamment de légitimité pour jouer un rôle interventionniste supranational.

      Le même débat existe pour l'interventionnisme politique, concernant les limites de la souveraineté des États et, pour ce qui concerne la prise de décision des interventions, entre l'unilatéralisme et le multilatéralisme.

      L'économiste français Jean-Paul Fitoussi précise que « généralement, l'intervention de l'État accroît l'efficacité économique chaque fois qu'il existe une externalité, qu'elle soit positive ou négative, c'est-à-dire une conséquence non intentionnelle et non médiatisée par le marché sous forme de prix sur d'autres agents d'une activité d'un agent privé »1.

      Notes et références

      1. Jean-Paul Fitoussi, La démocratie et le marché, Grasset, 2004, p. 59.

      Voir aussi

      Bibliographie

    • Ludwig von Mises, Interventionnisme, 1940, [lire en ligne]

    Articles connexes

  • Saïd Bouteflika : La disgrâce

     

     

     

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    zoom | © Photo : H. Lyès / Archives
     
     

    Les pouvoirs exorbitants détenus par le frère cadet de Abdelaziz Bouteflika et non moins conseiller spécial à la Présidence ont fini par agacer les hautes autorités du pays qui, tout porte à le croire, ont décidé de reprendre les choses en main.

    Président bis, vice-roi, éminence grise du clan présidentiel... le frère cadet et conseiller spécial du président de la République, Saïd Bouteflika, accumule officieusement de larges prérogatives et une influence considérable dans bien des domaines. Il s’est progressivement bâti un pouvoir exorbitant à l’ombre de la présidence de son frère. Une omnipotence qui s’est manifestée remarquablement depuis l’hospitalisation du président  Abdelaziz Bouteflika, le 27 avril dernier, au Val-de-Grâce. Le conseiller spécial nommé sur décret non publiable s’est révélé comme un personnage central dans la gestion de la maladie du Président. A partir de Paris, au chevet de son frère-Président, il est à la manœuvre.


    Haute main sur les dossiers


    C’est lui qui a imposé le rigoureux black-out sur l’état de santé du Président. Il aurait verrouillé la communication. Il a veillé scrupuleusement à distiller des informations à dose homéopathique orchestrant dans le même temps une offensive politico-médiatique contre toutes les voix critiques et tenté de les «faire taire». Il aurait fait barrage aussi à des tentatives de montrer les images de Abdelaziz Bouteflika. Des sources assurent que le frère cadet du Président malade aurait même «dissimulé» aux plus hautes autorités du pays des informations liées à l’état de santé de son frère. C’est lui également qui aurait donné des «instructions», depuis un hôtel parisien, aux officiels algériens pour «rassurer» l’opinion publique avec des éléments de langage soigneusement repris en chœur par des relayeurs d’Alger. «Le Président va bien et continue de suivre quotidiennement les dossiers et le fonctionnement des affaires de l’Etat», entonnent ses partisans. En faisant prévaloir l’aspect privé et familial du patient, le très spécial conseiller a gardé la haute main sur un dossier d’une extrême importance, car il engage l’avenir politique du pays. Cette centralisation de l’information et de la communication aurait agacé en haut lieu. Les agissements de Saïd Bouteflika commençaient sérieusement à «embarrasser» les décideurs, notamment des chefs militaires, alors que l’évolution de l’état de santé du Président détermine l’évolution politique du pays. Ainsi donc, il aurait fallu attendre quarante-six jours d’hospitalisation et une gestion médiatique largement contestée pour voir de hauts responsables de l’Etat enfin se rendre pour la première fois à Paris pour rencontrer le président de la République dans les salons des Invalides.

    La veille du déplacement du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, accompagné du chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah, un bulletin de santé avait été rendu public par deux médecins militaires accompagnant Bouteflika à Paris, affirmant que le chef de l’Etat était plus gravement malade que ce l’on faisait croire. C’est un accident vasculaire cérébral (AVC) et non pas un accident ischémique transitoire (AIT) comme l’avait annoncé le professeur Rachid Bougherbal le jour du transfert du chef de l’Etat à Paris. Subitement, le ton change.
    La phrase de Sellal au sortir des Invalides «son état de santé semblait correct», n’est pas passé inaperçu.

    Renversement de situation ? D’aucuns y voient une reprise en main par l’Etat du dossier de la maladie du Président, et un holà signifié au frère cadet de Bouteflika. Une mise à l’écart. La maladie du Président n’est plus une affaire familiale, mais plutôt celle de l’Etat. Serait-ce ainsi le début de la fin de ce tout-puissant conseiller qui, aux yeux de nombreux observateurs, incarnait le pouvoir de l’ombre ? Après des années de règne exponentiel, la disgrâce. Ancien agitateur syndical, Saïd Bouteflika est devenu un personnage central dans le dispositif du pouvoir à la faveur du retour de son frère aîné aux commandes du pays. Pesant dans le choix des nominations aux postes-clés dans différentes institutions de l’Etat et tissant des liens avec les milieux d’affaires et politique, il a su asseoir un pouvoir dont les frontières restent toujours indéfinies. Son nom se retrouvera cependant cités par plusieurs cercles dans les scandales de corruption qui ont éclaté sporadiquement depuis des mois et c’est ce qui a sans doute sonné la fin d’une influence jusqu’ici décrite sans limite.

    Hacen Ouali
  • Journal "le Monde" : Un torchon, pour quelques dollars de plus ?

     

     
    Hier j'avais exprimé mon indignation de voir le journal "Le Monde" vendre des pages de pub au plus fort prix en sachant que l'argent vient du pillage d'un pays où le chômage et la pauvreté font des ravages.
    Jusque là nous espérions que la férocité du marché dans le domaine des médias épargnerait des journaux qui semblaient avoir des principes et un minimum de moralité tant leur ligne éditoriale nous séduisait grâce à la probité intellectuelle d'un bon nombre de leurs journalistes et collaborateurs.
    Quand j'avais écrit hier ma chronique* je n'avais pas encore eu l'information que les journalistes-actionnaires du journal  "Le Monde" avaient exprimé leur indignation contre leur direction pour avoir publié le dossier sur l'Algérie sans indiquer qu'il ne s'agit que d'un publireportage d'une entreprise commerciale de communication. 
    Naturellement, je ne peux que prendre acte de la saine réaction des journalistes-actionnaires du journal "le Monde" qui n'admettent que le prestige de leur média soit comparable à la réputation d'un torchon dont les gestionnaires ne se posent pas de problème de conscience pour gagner de l'argent.
    Je les salue au passage.  
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    Hocine Mahdi

    Le 4 juillet 2012

  • boutef avec la complicité du monde et son publireportage à la noix

    “Publireportage” du “Monde” : L’ANEP aurait dépensé plus de 16 milliards de centimes !!!!!

    L’ANEP aurait dépensé plus de 16 milliards de centimes

    le 05.07.12

    Belle opération pour donner une bonne image de l’Algérie à la veille de la célébration du 50e anniversaire de l’indépendance ? Trop chère pour un simple lifting publicitaire ?

    Les avis divergeront certainement lorsqu’on apprend que le publireportage de 16 pages publié le 3 juillet dernier, dans l’un des suppléments du quotidien français le Monde, «a dépassé la bagatelle d’un million et demi d’euros», nous affirment des sources bien informées. En convertissant ce montant, on obtient l’équivalent de 160 000 000 de dinars, soit 16 milliards de centimes.
    Nos sources indiquent que «la publication du publireportage dans l’un des plus influents quotidiens de France résulte d’un partenariat établi directement entre l’ANEP et le journal le Monde».

    Cette transaction ne fait pas l’unanimité au sein de l’ANEP. «Avec une telle somme, nous pouvions réaliser beaucoup de choses, comme des films ou des documentaires. Ce qui m’attriste dans cette histoire, c’est qu’à chaque fois, on se fait leurrer et on n’apprend pas les leçons», déclare, amère, une de nos sources. D’autre part, notre confrère Dernières Nouvelles d’Algérie (DNA) a publié, hier, sur son site web, un entretien avec Marie Hourtoule, la journaliste auteur du dossier «Spécial Algérie», paru dans le supplément «Stratégies internationales», dont elle est rédactrice en chef. Elle affirme que la signature du contrat remonte à quelques mois entre l’agence de communication Mediaction International et la direction du quotidien le Monde. «Nous avions soumis une proposition pour un supplément économique sur l’Algérie à l’occasion du 50e anniversaire de l’indépendance et la direction du Monde a donné son accord», souligne-t-elle.

    Marie Hourtoule affirme s’être rendue en Algérie après les élections du 10 mai. Elle a rencontré des ministres pour une série d’entretiens.
    Toujours selon DNA, l’entretien avec le chef de l’Etat s’est réalisé à travers une correspondance. «J’ai soumis mes questions à l’avance et les services de la Présidence m’ont alors transmis les réponses du président Bouteflika.» Plus loin, Marie Hourtoule dit ignorer le montant du publireportage.
    Bsikri Mehdi

  • hamel

    Photo sondage

    Pensez-vous que la décision de la DGSN de ne pas autoriser la création d’un syndicat de policiers est une bonne chose ?

    oui pour un syndicat autonome.

  • BOUGUERRA SOLTANI Prendre le relais de Abassi Madani

    08032012.jpgimages (1).jpg abou.jpgfillou,despote,salafiste,méchant,corrumpu,suisseIl a, aux premières aurores, c'est-à-dire au «fedjr» de sa longue et désormais ancienne-future carrière politique, commencé par corrompre à dessein son ancestral nom de famille, en lui donnant une dissonante musicalité islamiste, mal ponctuée par l’arythmie à deux temps du suffixe choisi «Abu» et du préfixe «Djerra», qui signifie pour ceux qui ne le savent pas encore, « le père de la traîne »! 
    Il a effectivement traîné en longueur devant les différents mangeoires et râteliers du pouvoir, en avalant depuis près d’un quart de siècle, des résidus de sauces d’entrisme et de césarisme, à la périphérie de coalitions à géométrie variable, que lui a gracieusement aménagé un pouvoir en perte d’altitude politique et en manque flagrant d’inspiration esthétique. Il vient surtout de réussir un énième grand écart politique, en s’érigeant en porte-parole d’une «coalition électorale» qui vient tout juste de venir au monde, avec l’objectif ostensiblement affiché d’une re-conquête du pouvoir par les urnes, alors qu’il n’a pas encore quitté la toujours juteuse «Alliance présidentielle» . Une troïka dorénavant bien inutile pour bénir ses fulgurantes ascensions verticales et ses nombreux reniements horizontaux, dont le dernier en date, sous forme d’exfiltration, va sans aucun doute précipiter dans un processus de décomposition non programmé. Lui, c’est l’inénarrable et intarissable Bouguerra Soltani, ancien imam coincé entre une licence es-premières amours de poésie bachique de la «Djahilia» (anté–islamique) et un tardif doctorat d’Etat sur la littérature de la «Sahwa» (l’éclaircie islamiste), ancien député, ancien secrétaire d’Etat, plusieurs fois ancien ministre dont une fois ministre d’Etat et indétrônable futur successeur depuis 2003, du cheikh Mahfoud Nahnah, le père spirituel de la branche algérienne des Frères musulmans ! Bouguerra Soltani s’est surpris le dimanche 5 mars, lors d’un bref passage dans sa ville d’adoption, Constantine, à paraphraser le célèbre «I have a dream» prononcé un jour de 1963, par le non moins célèbre Martin Luther King devant le Lincoln Memorial à Washington. Notre cheïkh y caresse secrètement le fol espoir et le rêve insensé de devenir désormais entre chien et loup, l’un des continuateurs de l’œuvre inaccomplie de Abassi Madani. Le «frère» Bouguerra a rêvé les yeux ouverts, de reprendre l’édification d’un Etat islamiste là où le père de l’ex-FIS l’a abandonné, forcé et contraint. Un processus qui renouerait symboliquement son cours, par son intention de faire défiler au cours de la nuit du 10 au 11 mai prochain dans le ciel franc et pur de la capitale, non pas un «Allahou Akbar» calligraphié au rayon laser par d’habiles et machiavéliques pyrotechniciens, mais les chiffres suivis de plusieurs zéros matérialisant la nouvelle revanche sur le sort des islamistes de «sa» coalition. Une coalition dont il se fait momentanément le soi-disant éclairé et désintéressé apôtre, avant de la soumettre à ses insatiables et féroces appétits politiques, encore inassouvis et intacts, malgré ses états de service politiques multiformes déclarés et surtout clandestins. Décidément, les islamistes algériens de tous bords, en panne d’idées novatrices pour revitaliser les espaces désertifiés de notre pays par leur indigence managériale avérée et leur seule soif de revanche toujours intacte, n’ont que les solutions qui ont déjà lamentablement échoué dans le passé à nous proposer et leurs seuls yeux à nous prêter pour « pleurer sur les ruines », comme ont su si bien le faire les poètes de la «djahilia» si chers à notre vénérable cheikh Bouguerra, devant les campements encore fumants de leur bien-aimée. «Qifa nabki …» semble être leur seul programme politique. Malheureusement, nous ne pouvons même plus contempler les ruines encore charbonneuses de notre bien-aimée Algérie, car les idéologues qui ont conçu leurs grilles de lecture des réalités, sont des cheikhs à la cécité biologique confirmée et à l’infirmité politique avérée : du cheikh Abdelhamid Kachk en Egypte au cheikh Bennazzouz Zebda en Algérie !... Pour étayer sa capacité à être le premier à annoncer de sa voie gutturale mal policée les chiffres officiels définitifs avant ceux proclamés par l’Etat algérien, Soltani joue comme à son habitude aux fanfarons : la capacité de «sa» coalition à faire remonter au niveau national et avant le réseau officiel du ministère de l’Intérieur les chiffres des dizaines de milliers de bureaux de vote, à un chiffre après la virgule près ! Là, les gesticulations, l’esbroufe et la vantardise du cheikh s’offrant un statut futur de cheikh-président qui règne sans avoir à gouverner, proche de celui de son ami Ghannouchi de Nahdha en Tunisie, sont perceptibles à l’œil nu, car la tâche échappe à ses réelles capacités techniques à faire et surtout à ne pas faire, malgré l’utilisation de technologies sophistiquées dont il dit pouvoir doter ses troupes, ce jour-là. Pour pouvoir le faire, il faut s’improviser aussi puissant et autrement plus machiavélique encore que ne l’a été le FIS en 1991 qui a été le seul et unique parti à devancer le défunt Larbi Belkheir alors ministre de l’Intérieur, dans l’annonce des résultats. Il doit surtout jouir de plus d’autonomie vis-à-vis des mangeoires du pouvoir, ce dont Soltani ne peut hélas se targuer, habitué qu’il est au lucre et au luxe ininterrompu des résidences de Suisse, du Clubdes- Pins et d’ailleurs. Il doit surtout être en mesure d’inventer des procédés et techniques de fraude électorale bien plus sophistiquées que celles qui l’étaient déjà à l’époque, du bulletin tournant et du djelbab tournoyant, utilisées avec une redoutable efficacité par le FIS! Et là ses passages dans les différents départements ministériels qu’il eut à manager,sont là pour attester de la nullité proche de zéro de ses apports… au pays ! Autre écueil qui bloquera les appétits et l’ascenseur politique multidirectionnel du cheïkh : la galerie des personnalités qui voudront faire un coup d’Etat au ministre de l’Intérieur de la République en cette soirée tant attendue du 10 mai 2012,sera bien fournie : en plus d’Ahmed Ouyahia, l’ancien compagnon de fortune de Bouguerra qui défendra bec et ongles les chiffres du ministre Ould Kablia, deux autres enturbannés se bousculeront sérieusement au portillon de l’arrivée des courses : Belkhadem, le nationaliste ancien futur islamiste, qui a déjà déclaré à maintes reprises qu’ «il n’avait pas besoin de faire campagne, car le FLN gagnera le match» et le revenant Abdellah Djaballah, jadis docile lièvre de Bouteflika, redevenu ambitieux moudjahid, grâce à l’air frais du maquis politique qu’il s’est allègrement offert depuis et à «l’attestation communale» et au «certificat de virginité politique» avec le pouvoir, qui manque terriblement au dossier de candidature du cheïkh Abû Djerra. Sans compter le discret et dangereux Menasra… Devant ces anciens et nouveaux poids lourds qui considèrent à raison plus qu’à tort, que la coalition de Soltani n’est qu’un ramassis de renégats et d’infidèles au code d’honneur des «vrais» islamistes qu’ils seraient, que restera-t-il du «père de la traîne» Abu Djerra et de ses ambitieux compagnons ? Un tas d’ossements à l’avenir conjugué au passé et deux versets du Saint Coran pour accompagner six pieds sous terre, la ré- inhumation politique de leur dépouille, elle aussi en voie de décomposition avancée au sens propre, figuré et politique du terme. «Ressusciteriez-vous les morts, alors qu’ils sont déjà ossements !» (Oua hal touhyou el mawta oua houm iidham ?» ou encore le verset 78, de la sourate Yacine que je laisse le soin à nos chouyoukh de trouver, consulter, lire et méditer ! 
    M’hand Kasmi

  • Mr le sinistre de la santé,c'est vous qui mentez à tous les médias ,on est sur le terrain et preuves à appui.

    Il qualifie "d’affirmations mensongères" les propos du porte-parole du SNPSP

    Djamel Ould Abbès-syndicat des praticiens : la polémique

    Le ministre de la Santé et de la réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès s’est dit « étonné », lundi 26 septembre des propos tenus hier par le porte‑parole du Syndicat national des praticiens de la Santé publique (SNPSP), faisant état du « mutisme de la tutelle » et de la « fermeture des portes du dialogue » par le ministère. « Le ministère s'inscrit en faux contre ces affirmations mensongères, dénuées de tout fondement et procédant d'une mauvaise foi manifeste dans la mesure où ce syndicat, à l'instar de l'ensemble des syndicats agréés activant dans le secteur, a été rendu destinataire en date du 15 septembre dernier, d'un courrier officiel relatif au dialogue social », indique un communiqué du département d’Ould Abbès.
     
    Hier, Lyes Merabet, porte‑parole du SNPSP, a déploré qu’aucune séance de travail n’a été tenue entre le syndicat et la tutelle depuis l’accord signé le 19 mai entre les deux parties et portant sur la prise en charge des revendications exprimées par les travailleurs du secteur qui avaient observé une grève illimitée. Amendement du statut, promotion au grade supérieur, prime de garde et de contagion ainsi que de nombreux problèmes dans l'application du régime indemnitaire constituent les principaux points soulevés par le syndicat. « Le dernier écrit qu'on a laissé au niveau du ministère date de la mijuillet. On avait demandé une audience pour relancer les réunions de travail et pour qu'on rappelle à M. le ministre ses engagements par rapport à tous ces points lors de la réunion du 19 mai. Il nous avait demandé de patienter jusqu'à la date du 30 juin », a affirmé Lyes Merabet qui fait état d’une « rupture de dialogue » avec la tutelle.
     
    Mais Djamel Ould Abbès suggère que les motivations du SNPSP pourraient être d’ordre politique. « Malgré ces déclarations qui ne semblent pas obéir à des considérations strictement socioprofessionnelles en s'inscrivant à contre sens de la volonté de dialogue », le ministère réitère sa « conviction que seul un dialogue assumé et responsable peut permettre au système national de santé d'être au rendezvous de toutes les attentes », note le communiqué. En guise de sa bonne foi, le ministère a annoncé l’installation d’un comité ad hoc chargé des relations avec les syndicats. Ce comité a pour mission d'engager en permanence le dialogue et la concertation avec les syndicats ainsi que d'examiner les plates‑formes de revendications qui lui sont soumises, selon la même source. Les premières rencontres avec les syndicats débuteront le jeudi 6 octobre 2011. Un calendrier sera ensuite proposé pour les futures rencontres, précise le communiqué.
     
    Lors de sa conférence, le Dr Lyes Merabet n’a pas exclu un éventuel retour à la grève. « On a donc décidé, d'un côté de relancer la tutelle pour renouer le dialogue, et d'un autre, de réunir nos adhérents dans le cadre des assemblées générales pour leur donner la parole. Ce sont eux  qui devront décider de l'action qui devrait être adoptée prochainement », a‑t‑il déclaré.