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Commentaires

  • Reviendre ou pas

    Cessons les supputations maladives et haineuses sur l’avenir incertain de M. le Président. Et de poser mille questions sur une gouvernance usurpée ou putative.

    Eh bien, moi aussi je suis méchant et j’ai une suite pénible dans les idées car, putative ferait référence aux maisons closes dont on enfonce les portes ouvertes et surprendre une République à poil qui s’encanaille. Je dis merde, car s’il y en a qui veulent mourir sur scène, cela ne me déplairait pas de mourir dans les bras d’une femme.

    Que cela soit bien clair : Ce n’est pas une querelle de personnes et, ici, ce n’est pas le journaliste qui est pris en otage.

    Ceux là qui hurlent avec les loups signent d’abord leur discrédit car, nous le savons, ils s’engraissent des opinions des autres, ne rebondissent que sur les propos d’autrui, fourniraient même de la vaseline pour servir le vainqueur quel qu’il soit. Un peu comme les prisonnières servent le vainqueur. Incapables de se forger une opinion propre, nous assomment de nombreuses citations littéraires souvent mal à propos. On pille ce qu’on peut. Et on se masturbe avec la main de l’étranger.

    La question, souventes fois posée n’est pas de savoir si notre Président va reviendre, mais quand. Et dans quelles conditions.

    Il est peut-être reviendé nuitamment ?

    J’eusse aimé qu’il revînt de jour. Les hypocrites se verront, car alors, il eût fallu qu’ils allassent l’accueillir à l’aéroport, qu’ils s’écartassent de son chemin comme des lépreux avec leurs clochettes, qu’ils s’inclinassent et courbassent l’échine. Qu’ils ôtassent leur chéchia ou relevassent leur mini gandoura. En signe d’allégeance.

    Je ne veux pas d’un printemps qui doit sacrifier, encore, 100 000 hirondelles. J’aime l’équilibre et la stabilité.

    Je n’emmerde pas les gens qui ne pensent pas comme moi. Et je le regrette.

    Mais la courtoisie est à ce prix.

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