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la justice

  • La justice déclare illégale la grève des postiers


    Après une semaine de protestation, la sentence est tombée : la justice a déclaré illégale la grève déclenchée par les travailleurs des bureaux de poste depuis mercredi dernier.
    Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Les postiers mettront-ils fin à leur mouvement ? Les bureaux de poste risquent en effet de rouvrir, ce matin, après une semaine de protestation. Le mouvement de grève a été déclaré hier, illégal par la justice, a indiqué, Nekkache Mourad, président du Syndicat national autonome des postiers (SNAP). Suite à quoi, le Syndicat a réuni, hier dans l’après- midi, son conseil national pour décider du maintien ou non de la grève.
    «Nous allons nous réunir pour discuter de l’évolution de la situation et décider si nous allons poursuivre la protestation et des suites à donner à notre mouvement» a déclaré le président du SNAP. Selon ce dernier, le mouvement a été suivi dans 39 wilayas, avec un taux de suivi avoisinant les 70%.
    Pour rappel, l’appel à la grève n’a été lancé par aucun syndicat. Les travailleurs ont décidé spontanément de ce mouvement qui a fortement perturbé les bureaux de poste.
    Ces derniers exigent l’application de l’effet rétroactif des augmentations de salaires à compter de 2008, l’application de la nouvelle grille des salaires à compter du mois de janvier dernier, l’amélioration des conditions de travail ainsi que l’attribution de la prime annuelle des travailleurs.
    Afin de ne pas pénaliser ses 17 millions de clients, la direction d’Algérie Poste a fait appel à ses responsables pour tenir les guichets dans quelques bureaux de poste.

  • Apres 38 jours de grève de la faim – Secteur de la justice

     

     

    Après 38 jours de grève de la faim , les travailleurs du secteur de la justice dont l’ état de santé se détériore en jour en jour sont toujours livrés à eux-mêmes à la maison des syndicats de Dar El Beida en cette période de chaleur .

     

    Complètement abattus, les traits titrés, le corps inondé par les sueurs, ils luttent désespérément contre la grande fatigue pour nous parler péniblement, la chute du poids est alarmante .

     

    Le comité de soutien tient à témoin la société civile et l’opinion nationale sur le refus des autorités à assister des personnes en danger parmi lesquelles deux sont des mères de famille qui affrontent la mort lente sous le silence et l’indifférence de la tutelle qui à la place du dialogue multiplie les pratiques répressives à l’encontre non seulement des travailleurs syndicalistes mais aussi à l’encontre des membres du comité de soutien aux grévistes de la faim .

     

    La présidente du comité

    Yamina Maghraoui

    http://dzactiviste.info/apres-38-jours-de-greve-de-la-faim-secteur-de-la-justice/

  • Procès d’Oslo : une certaine idée de la justice

    Par : Mustapha Hammouche

    Dans le procès du tueur de l’île d’Utoya, les fanfaronnades de l’accusé. Si le consensus contre la retransmission télévisée des audiences est manifeste chez les Norvégiens, c’est toujours un spectacle édifiant de voir une vraie justice en action.
    Entendre un citoyen estimer qu’il est bon de montrer à ce criminel haineux que la Norvège lui donne la possibilité de s’expliquer, voir une juge récusée suite à la publication préalable, sur facebook, d’un commentaire relatif au traitement que mérite l’assassin des soixante-dix-sept jeunes… Tout cela constitue, pour des justiciables sevrés de vraie justice comme nous, un véritable voyage dans une autre galaxie, une galaxie de droit.
    Il n’est pas nécessaire de l’observer à partir du tiers-monde pour être épaté par l’avance prise par le droit en Scandinavie et sa citoyenneté sur le reste du monde. C’est peut-être pour cela que la possibilité de suivre un tel procès constitue une opportunité pédagogique, autant pour ceux qui ont l’infortune de subir une justice conçue comme outil d’abus de pouvoir que pour ceux qui ont la chance de pouvoir en user comme un instrument de leurs excès.
    D’abord, le cas norvégien rappelle l’obligation de justice pour la victime comme pour le bourreau, et tout autre échappatoire ne peut constituer qu’au mieux un faux-fuyant ou, au pire, un déni de justice. Autant la souffrance des victimes vaut bien un procès qui les aide à apprivoiser leur malheur, autant les accusés ont le droit de s’expliquer, voire de se justifier, sur leur geste, si abominable soit-il.
    Il est impossible, devant un tel fait de justice, de ne pas songer au cas de déni de justice que constitue l’opération de “déjusticialisation” des crimes de terroristes menée sous le couvert de la “réconciliation nationale”. La pilule reste difficile à avaler, même après avoir été dissoute dans un référendum. Peut-être plus encore pour avoir été enveloppée dans un plébiscite. De quel droit une majorité aurait-elle, pour son confort politique ou sécuritaire, toute latitude de priver une catégorie de citoyens de leur droit à la vérité et à l’équité et de dispenser des coupables de rendre compte de leurs méfaits ?
    Déjà que les Algériens n’ont pas le sentiment d’être protégés par une justice jouissant elle-même de l’autonomie que lui assurerait le respect hypothétique de ses propres règles. Une justice dont on use autoritairement pour réprimer la contestation, pour briser les grèves, pour couvrir les intouchables, ne peut pas rassurer.
    Après le procès d’Oslo, les Norvégiens qui se sentent concernés par le drame d’Utoya — autant dire tous les Norvégiens — repartiront très probablement soulagés d’avoir vu (la) justice se faire. Les victimes aussi, même si la souffrance survivra au procès. Et la Norvège pourra ainsi poursuivre sa vie de société de justice, avec ses effets apaisants sur la population.
    En cela, ce genre de procès est captivant pour nous ; non pas dans ce qu’il traite d’un cas significatif, mais dans ce qu’il “réconcilie”, c’est le cas de le dire ici… avec une idée de la justice.

  • L'algerie n'applique pas les lois , pas de justice, une république bananiere

    Noureddine Benissad. Juriste, vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme

     

    "La loi sur les associations est anticonstitutionnelle?"

     

    El Watan,

     

    En dépit de l’opposition de la majorité des partis politiques et des organismes de la société civile, la nouvelle loi sur les associations a été adoptée dans le cadre des réformes politiques. Noureddine Benissad, juriste et vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme, met le doigt sur les atteintes à la liberté de l’association régies par cette loi tant décriée.

     

    - En tant que vice-président de la Laddh, quelle lecture faites-vous des dernières lois adoptées dans le cadre des réformes politiques ?

     

    Tout d’abord, le problème réside en ces réformes politiques annoncées de toutes parts. Dire que les réformes sont venues de manière spontanées, ça ne correspond pas à la réalité. En revanche, le pouvoir en place a commencé à parler de réformes lorsque les pays de la région ont vécu des événements exogènes, à savoir le Printemps arabe. Cependant, le gouvernement a distillé un discours pour annoncer les réformes politiques répressives dans la forme et dans le fond. Est-ce que le toilettage des textes juridiques implique des réformes politiques ? Ces dernières exigent la dissolution de l’Assemblée, mettre en place un gouvernement provisoire, préparer des élections libres, chose qui n’a pas vu le jour. Autre anomalie, on élabore des lois et on parle de réformes sans préciser de timing. Tout est fait dans la hâte et dans l’anarchie. D’ailleurs, entre les avant- projets de loi et les projets de loi, il y a de flagrantes modifications. Ceci ne reflète que les divergences et le dysfonctionnement dans la vision globale au niveau du pouvoir. En plus de la différence des tendances politiques au sein du gouvernement, je citerai le rôle de l’armée. Il existe un pouvoir occulte que la Constitution n’a pas prévu, mais qui interfère dans tout le fonctionnement du système. D’ailleurs nous ne savons même pas quelle nature veut-on donner au régime politique ? Parlementaire, présidentiel, semi-présidentiel ? Après le Printemps arabe, tous les systèmes présidentiels ont abouti à ce qu’on a vu maintenant. Pas de séparation entre les pouvoirs exécutif et législatif, concentration des pouvoirs, absence de contre-pouvoir : cela engendre tout simplement une catastrophe.

     

    - Quels sont les articles de la loi nouvellement adoptée, contestés et considérés comme une atteinte à la liberté des associations ?

     

    La loi a été mise en place dans l’objectif de contrôler l’activité des organismes de la société civile, déjà muselée, et freiner l’émergence d’une société civile dynamique. La loi en question impose l’agrément pour tout individu désireux de créer une association. On est passé du système déclaratif à un système d’agrément. Le premier consistait en le dépôt de dossier pour ,récupérer un récépissé qui autorise la création de l’association, ce qui était plus simple. Avec l’avènement de la nouvelle loi, un agrément est exigé pour commencer à activer. De prime abord, on ne constate aucune volonté de faciliter les choses en ayant recours à une administration qui contrôle avec une série d’enquêtes et des procédures bureaucratiques. Deuxième anomalie : le nombre d’éléments exigé est revu à la hausse. Il est passé de 15 membres à 25 pour pouvoir créer une association. Alors que l’association est un contrat régi par le code civil qui stipule qu’il faut au moins deux personnes. Ceci est une violation de la loi civile algérienne. C’est anticonstitutionnel.

     

    - Que réserve la loi pour le financement des associations ?

     

    Toutes les associations sont assujetties au contrôle d’un commissaire aux comptes. En règle générale, il doit être exigé pour les associations qui bénéficient d’une aide publique importante, afin de justifier les dépenses. Mais une petite association de quartier n’a pas les moyens de payer un commissaire aux comptes ! Même le financement étranger est interdit, car auparavant, il fallait seulement obtenir une autorisation du ministère de l’Intérieur. Le problème est que les institutions de l’Etat perçoivent des financements extérieurs ! Autre violation de la loi : la coopération et l’adhésion à des réseaux internationaux sont tributaires d’une autorisation du ministère de l’Intérieur. Dorénavant, les associations algériennes ne pourront être affiliées aux associations étrangères qu’à condition que l’Etat algérien ait un accord intergouvernemental avec le pays de l’association étrangère. Si cette dernière n’est pas régie par la loi de son pays, les associations algériennes ne peuvent collaborer avec elle. Ceci est une atteinte aux principes de l’indépendance de l’association. Dans les pays voisins, la société civile est très active et représente son pays à l’échelle internationale. Dans notre cas, on va se retrouver sur le plan international avec une société civile désignée par le gouvernement. Ce que j’appelle «l’opposition choisie» ou la politique de la chaise vide. Par conséquent, les organismes de la société civile ne pourront faire un vrai travail de lobbying à l’étranger.

     

    - Tout le monde décrie l’article 40…

     

    Ils ont introduit un article dangereux (article 40) qui stipule que toute association peut être suspendue ou dissoute dès lors qu’on s’ingère dans les affaires internes du pays et porte atteinte à la souveraineté nationale. C’est aberrant !

     

    - Ces affaires internes sont-elles bien définies ?

     

    Non. En droit, ceci est une notion très vague. Par exemple, parler des droits de l’enfant, du chômage, de la corruption, pourrait être interprété comme ingérence dans les affaires internes du pays. Ceci ouvre la voie à l’arbitraire. Le gouvernement doit comprendre que l’association peut-être un contre-pouvoir et, à la fois, une passerelle de régulation entre le gouvernement et le citoyen. Dans une démocratie, il faut qu’il y ait un pouvoir et un contre-pouvoir qui activent dans le cadre de la loi et de la Constitution.

     

    - Quel est le sort des associations existantes ?

     

    Selon la nouvelle loi, les associations qui existent doivent se mettre en conformité avec la loi, c’est-à-dire refaire leur dossier, alors que c’est un droit acquis.

     

    - L’argument retenu par les auteurs de cette loi est le risque d’ingérence sur les plans politique et religieux…

     

    C’est un argument qui ne tient pas la route. Ceci est un prétexte pour justifier la limitation de l’exercice des libertés. Le droit à l’association est un droit fondamental consacré par la Constitution algérienne. De plus, l’Algérie a ratifié toutes les conventions internationales, nous sommes donc tenus d’appliquer ces lois et de se soumettre à des mécanismes du contrôle de l’ONU. Et puis, il n’y a pas eu d’association en Algérie traduite en justice pour financement extérieur ou activité contre les intérêts du pays.

     

    - Que pensez-vous du régime spécial consacré aux associations religieuses ?

     

    Dans le monde entier, les associations religieuses sont régies par un dispositif spécifique pour faire la part des choses entre les activités caritatives et celles ayant trait aux partis politiques, notamment ceux à caractère religieux.

     

    Bio express :

     

    Né le 1er avril 1957 à Bouira, Me Noureddine Benissad effectua ses études primaires et secondaires dans sa ville natale. Il poursuivit ses études universitaires à Alger puis à Paris 7. Il a obtenu un magistère en criminologie à l’université d’Alger. Père de trois enfants, Me Noureddine Benissad est membre de la Ligue algérienne de la défense des droits de l’homme (aile Bouchachi), depuis 20 ans, et son vice-président depuis trois ans. Avocat depuis 1989, il fait partie du Conseil de l’ordre des avocats d’Alger. Son père est Mohand Amokrane, instituteur connu à Bouira, qui a contribué à la formation de plusieurs centaines de cadres.

    Lamia Tagzout

  • au clan oujda,aux moudjahidines tawaine,au non élus ,aux généraux corrumpus

    A ceux qui nous gouvernent...

    Par |à la police hagarine

    Messieurs les pourris au pouvoir à Alger depuis 50 ans. Vous êtes le clan de Boussouf, Boumediene et Bouteflika, le vrai clan des vrais 3 B. Vous avez fait quoi pour cette pauvre Algérie ?

     

    Avez-vous… 

    Créé le FLN et l’ALN ? Non.

     Combattu les Français avec des armes ou même avec un crayon ? Non. 

    Négocié l'indépendance de l'Algérie ? Non. 

    Aidé les combattants du FLN de l'intérieur avec de l’argent et des armes ? Non.

    Protégé les leaders du FLN et de l ALN avec les moyens dont vous disposiez ? Non. 

    Avez-vous…

    Mené des opérations contre les armées françaises ? Non. 

    Eté blessés pendant la guerre d'Algérie contre la France ? Non. 

    Eté arrêtés ou capturés par les forces armées françaises? Non.

    Eté torturés ? Non 

    Avez-vous…  

    Préparé les manifs du 17 octobre en France ou celle du 11 décembre ? Non. 

    Eté kidnappés par les services spéciaux français ? Non. 

    Eté l'objet d'une opération d'élimination de la part des services secrets français ? Non.

    Versé  votre sang pour cette pauvre Algérie ? Non. 

    Avez-vous…

    Respecté la volonté des Algériens après 1962 ? Non. 

    Respecté les droits humains les plus élémentaires des Algériens? Non. 

    Permis l'émergence d'un pays Algérie fort de ses hommes et ses richesses ? Non. 

    Respectez la légalité ? Non.

    Permis un enseignement digne aux enfants algériens ? Non.

    Permis l’expression libre des Algériens pour leur épanouissement ? non

    Avez-vous… 

    Instauré une justice équitable et impartiale en Algérie ? Non. 

    Mis en place des institutions étatiques de droit ? Non.

    Formé les agents de l'Etat au respect et l’application de la loi ? Non. 

    Utilisé les richesses de l'Algérie pour le bien des Algériens ? Non. 

    Avez-vous…

    Conscience du mal que vous avez fait ? Non.

    Avez-vous au moins une conscience ?

    Osiris Dzeus

  • De nouveaux dossiers de dilapidation du foncier transmis au parquet Plusieurs élus et responsables de la capitale devant la justice






    Par : NEILA B., Liberté, 28 juillet 2010

    Quatre personnes dont un élu au niveau de l’APC de Baba Hassan ont été présentées avant-hier devant le procureur de Cheraga sous les chefs d’accusation “dilapidation du foncier, faux et usage de faux”.

    Les faits remontent à l’année 2006 quand cet élu, selon l’enquête, a falsifié des décisions d’octroi de lots de terrain agricole signées en 2002 du nom de l’ancien P/APC, alors décédé. L’enquête a relevé aussi que le mis en cause avait falsifié un autre acte d’octroi d’un terrain agricole dans la commune de 1 000 m2 qui a été revendu à plusieurs personnes.
    Le juge d’instruction auprès du même tribunal a ordonné leur libération provisoire et a demandé une enquête complémentaire.
    A savoir que la section de recherches de la gendarmerie de la wilaya d’Alger a transmis récemment à la justice plusieurs dossiers au niveau de la capitale concernant le détournement de terres agricoles alors que d’autres enquêtes sur ces affaires sont déjà en cours.
    En effet, un lourd dossier concernant la dilapidation du foncier agricole, faux et usage de faux dans la commune de Birkhadem est en instruction au niveau du tribunal d’Hussein Dey. Le dossier a été récemment transmis à la justice par la section de recherches de la gendarmerie d’Alger. Aucune information n’a infiltré sur le contenu du dossier vu que “l’enquête judiciaire est toujours en cours” mais selon les informations en notre possession, l’enquête a duré plus de 18 mois et a relevé plusieurs infractions, notamment le détournement des terres agricoles de leur vocation initiale. Plusieurs élus et responsables ont été mis en cause dans cette affaire, au nombre de 103 personnes.
    Il est important de signaler aussi que ce n’est pas la première fois que la justice enquête sur cette commune, qui a connu plusieurs détournements de ses terres agricoles depuis l’année 1995. Plusieurs projets douteux ont été réalisés par certains responsables qui se sont succédé au fil des années à la tête de cette commune.
    Le tribunal auditionnera prochainement plusieurs agriculteurs, des responsables locaux et autres personnes, en majorité des cadres de l’Etat, qui ont bénéficié de décisions illégales d’octroi de lots de terrain sur des terres agricoles, signées par les élus de cette APC.
    Plusieurs coopératives immobilières ont été réalisées dans cette commune sur des terres agricoles.
    D’autre part, plusieurs enquêtes ont été ouvertes ces deux dernières années par la Gendarmerie nationale concernant le détournement du foncier agricole et notre source affirme que la section de recherches d’Alger vient d’achever une enquête “brûlante” sur le détournement du foncier à Bordj El-Kiffan.
    Le P/APC a été entendu par les enquêteurs ainsi que plus de 40 autres personnes et le dossier sera transmis prochainement à la justice. Dans le même sillage, l’enquête sur le détournement du foncier au niveau de la commune de Khraïcia est toujours en cours et vu la complexité du dossier, les enquêteurs ont fait un véritable travail de fourmi durant toute une année pour boucler ce dossier et le présenter enfin à la justice. Près de 57 personnes dont des élus locaux ont été entendus dans cette affaire.
    Récemment, la chambre d’accusation près le tribunal d’Hussein Dey à Alger a ordonné la mise sous mandat de dépôt du P/ APC de Bouzaréah et du chef de service technique de l’APC ainsi que le président et le directeur financier d’une coopérative immobilière.
    Les accusés sont poursuivis pour faux et usage de faux, dilapidation du foncier agricole, construction illicite et escroquerie. L’enquête a été menée par la section de recherches d’Alger.