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ould abbass

  • incompétence quand tu nous tiens!!!!!


    OULD ABBÈS AUX MÉDECINS RÉSIDENTS
    «La suppression du service civil me dépasse»

    Alors que le Collectif autonome des médecins résident a claqué la porte de toutes les commissions de négociations, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, avoue, pour la première fois, que «l’abrogation du service civil dépasse ses prérogatives et celles de son collègue de l’Enseignement supérieur».
    Le ministre s’exprimait hier, dans une déclaration à la Radio nationale. Il faut dire qu’un dialogue de sourds caractérise les pourparlers entre les résidents et les deux tutelles dont ils dépendent. Tout en soulignant le non-agrément de la représentation des résidents, l’invité de la radio a fait savoir que «les résidents qui ont été pris en charge dans leur formation gracieusement pendant 26 à 28 ans devraient patienter encore».
    Institué par les dispositions du décret 99-176 du 2 août 1999 fixant les modalités d’accomplissement du service civil des praticiens médicaux et l’article 17 de l’ordonnance du 15 juillet, modifiant et complétant la loi du 11 février 1984, relative au service civil, «sa suppression est l’affaire du gouvernement qui devrait examiner et étudier cette proposition dans l’éventuelle adoption d’une nouvelle loi», a-t-il indiqué. Cependant, selon le ministre, «le débat ne se fera au gouvernement que s’il est motivé par des arguments et des preuves tangibles».
    «Cette question de suppression de service civil sera peut être réglée quand l’équilibre sera établi dans la couverture sanitaire entre le Nord et les régions du Grand Sud et les zones isolées du Nord et de l’intérieur du pays», a-t-il signifié.
    Néanmoins, le premier responsable du département de la santé, propose «d’améliorer l’organisation du service civil en instituant des incitations consistant à faire bénéficier les médecins affectés de logements en collaboration avec le département de l’Intérieur, leur assurer des plateaux techniques et des encouragements financiers après l’aval du Premier ministre et du président de la République».
    «Cela sans compter les augmentations dues au nouveau régime indemnitaire. Et pour couronner le tout, ces décisions entreront en vigueur avant le 30 juin prochain», a-t-il ajouté.

    Mohamed BOUFATAH

  • Entraves à l'élection des sections ordinales Ould Abbès provoque le courroux du corps médical,

     

    c'est pire que barkat barakat,que 2 -lire tou,  occupe toi ,des indemnités des medecins qui attendent depuis 2006,? ma djiche bezef deja andek passé trouble avec khalifa........

       	Ould Abbès, ministre de la Santé

    zoom | © Souhil B.

    Les médecins électeurs ont été empêchés d’accéder aux bureaux de vote installés au sein des établissements de santé à Blida, Tlemcen, Oran et Annaba.

    Les élections pour le renouvellement de la moitié des membres des bureaux régionaux des conseils de l’Ordre des médecins, des pharmaciens et des chirurgiens-dentistes se sont déroulées avant-hier à travers les différentes régions du pays malgré l’interdiction du ministère de la Santé pour l’organisation de ces élections.Une décision inattendue et inexpliquée, selon les membres de l’Ordre des médecins.«Une institution de l’Etat qui a ses propres fonctionnements réglementaires. Les sections ordinales nationales et régionales sont autonomes et n’admettent aucune interférence, sauf les lois majeures de la République. Le ministre de la Santé n’a ni le droit d’annuler ni de reconnaître des élections», a tenu à souligner le docteur Bekat Berkani, président de l’Ordre des médecins d’Alger, tout en précisant que le dépouillement de l’opération pour les 18 candidats à renouveler est toujours en cours.

    «aucun fondement juridique»

    Selon le docteur Barkat, ces élections se sont normalement déroulées sur l’ensemble des wilayas en présence des huissiers de justice à l’exception des régions de Blida, Tlemcen, Oran, Annaba.«Les médecins électeurs ont été empêchés d’accéder aux bureaux de vote installés au sein des établissements de santé. Ce qui n’a aucunement perturbé l’organisation de cette élection puisque certains bureaux ont été délocalisés pour permettre aux médecins de voter», dit-il.Et d’ajouter : «L’opération sera réorganisée dans les prochains jours pour les régions où le scrutin n’a pas eu lieu.» Le conseil national de l’Ordre de déontologie médicale se réunira en session première pour décider des modalités d’organisation et cette fois-ci sans l’aide des d’administration», a-t-il précisé.

    Le docteur Bekat estime que la décision du ministère transmise par fax mardi dernier à la veille de cette élection, demandant le report de l’élection en raison de la non-tenue de l’assemblée générale regroupant tous les élus (1000) des trois ordres, à savoir médecins, pharmaciens et chirurgiens- dentistes, n’est pas fondée. «Il aurait été plus judicieux de saisir le conseil au moins un mois avant la date de l’élection qui était fixée depuis le 9 juillet dernier. Nous considérons cette décision comme une sanction», a-t-il indiqué, avant de préciser que les trois sections du conseil national de déontologie médicale ont décidé de maintenir l’élection à l’issue d’une réunion organisée mercredi.  

    «Cette décision administrative est inconcevable et inadmissible», estime un membre du conseil de l’ordre.«Elle n’a aucun fondement juridique», relève un praticien de santé publique.Du côté du ministère de la Santé, l’on se contente de signaler que la décision d’annulation de ces élections est motivée par des impératifs réglementaires.         

    Djamila Kourta
  • Ould Abbès saborde les élections des conseils de l’Ordre des Médecins!!!!! sans comment


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       	Ould Abbès est accusé de vouloir "caporaliser" l'Ordre des Médecins ! 

    zoom | © D.R

    Ould Abbès est accusé de vouloir "caporaliser"...

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    Aujourd’hui devaient se tenir à travers tous le pays les élections pour le renouvellement de la moitié des membres des bureaux régionaux des Conseils de l’Ordre des médecins. 

     Le vote est prévu depuis juillet et, comme toutes les fois précédentes depuis le décret de 1992 qui institut ces Conseils de déontologie médicale, les dispositions avaient été prises avec les Directions de wilayas de la santé qui ont toujours abrité les opérations du scrutin. 

    Mais qu’elle n’a a pas été la surprise des praticiens membres des bureaux de vote lorsqu’ils se sont vus refuser jeudi  matin l’accès des DSPS à El Tarf et à Annaba. Des sources dignes de foi ont affirmé que des instructions ont été données par SMS aux Directeurs de wilaya pour renvoyer les organisateurs et les votants qui ont fait le déplacement en venant parfois de très loin. 

    Le Président du bureau de vote d’El Tarf est abasourdi. "Comme d’habitude, j’ai pris contact avec le DSPS il y a plusieurs jours et il m’a dit qu'il n'y a aucun problème.  Alors j’ai envoyé les convocations aux médecins, pharmaciens et dentistes de toute la wilaya. Ils sont venus et on les fait voter dans ma voiture devant la DSPS !", a-t-il confié à El Watan. 

     Contacté par téléphone, le Pr. Ayadi Abdelaziz, président du conseil régional d’Annaba, est furieux.

    "Nous sommes outrés par le comportement du Ministre de la Santé. Envoyer un fax la veille des élections pour arrêter l’opération de vote et ordonner de ne pas apporter aide et assistance aux Conseils de l’Ordres des médecins, cela est scandaleux. Nous ne sommes pas des clandestins, nous sommes une institution de l’Algérie. Et en plus, les élections ont été annoncées par voix de presse en juillet dernier ", a-t-il déclaré à El Watan.  

    A la question de savoir ce qui peut motiver une telle brusquerie, le Pr. Ayadi a répondu :  "Ils veulent régenter l’Ordre. Ils veulent le caporaliser comme il l’ont fait pour l’Union Nationale des Médecins. Il est incompréhensible que cela puisse se passer encore ainsi en 2010" !  

    Slim Sadki