Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

tlemcen

  • no moment

    20121213.jpg

  • qui croire MAE ? pas crédible du tout.

    Le MAE dément l'entrée d’El Kadhafi en Algérie

    Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte

    le 27.08.11 |

    Le ministère des Affaires étrangères a démenti samedi, "de la manière la plus catégorique", l'information relayée par certaines rédactions et agences de presse sur le passage en Algérie d'un convoi de véhicules en provenance de Libye.

    Interrogé par l'APS au sujet de cette information, le porte-parole du  MAE, M. Amar Belani, a déclaré que "depuis quelques mois, l'Algérie est ciblée  par un flot de fausses informations, dont le caractère fallacieux a été à maintes fois prouvé", soulignant qu'"il en est de même pour l'information diffusée par l'agence Mena au sujet de véhicules Mercedes qui auraient prétendument franchi la frontière algéro-libyenne". 

    "Cette information, a affirmé le porte-parole, est dénuée de tout fondement et nous la démentons de la manière la plus catégorique".

    Vendredi, l’agence officielle égyptienne Mena, citant des sources militaire libyenne rebelle, a affirmé qu’un convoi de six Mercedes blindées, qui pourrait transporter de hauts responsables libyens est passé vendredi de Libye en Algérie.

    "Six Mercedes blindées sont entrées ce matin vendredi dans la ville de Ghadamès", a affirmé la Mena en citant une source du conseil militaire libyen dans cette localité, située à la frontière avec l'Algérie. 

    "On pense qu'elles (les voitures) transportent de hauts responsables libyens, possiblement Kadhafi et ses fils", a poursuivi cette source.

     

    R.B avec APS
  • incompétence quand tu nous tiens!!!!!


    OULD ABBÈS AUX MÉDECINS RÉSIDENTS
    «La suppression du service civil me dépasse»

    Alors que le Collectif autonome des médecins résident a claqué la porte de toutes les commissions de négociations, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, avoue, pour la première fois, que «l’abrogation du service civil dépasse ses prérogatives et celles de son collègue de l’Enseignement supérieur».
    Le ministre s’exprimait hier, dans une déclaration à la Radio nationale. Il faut dire qu’un dialogue de sourds caractérise les pourparlers entre les résidents et les deux tutelles dont ils dépendent. Tout en soulignant le non-agrément de la représentation des résidents, l’invité de la radio a fait savoir que «les résidents qui ont été pris en charge dans leur formation gracieusement pendant 26 à 28 ans devraient patienter encore».
    Institué par les dispositions du décret 99-176 du 2 août 1999 fixant les modalités d’accomplissement du service civil des praticiens médicaux et l’article 17 de l’ordonnance du 15 juillet, modifiant et complétant la loi du 11 février 1984, relative au service civil, «sa suppression est l’affaire du gouvernement qui devrait examiner et étudier cette proposition dans l’éventuelle adoption d’une nouvelle loi», a-t-il indiqué. Cependant, selon le ministre, «le débat ne se fera au gouvernement que s’il est motivé par des arguments et des preuves tangibles».
    «Cette question de suppression de service civil sera peut être réglée quand l’équilibre sera établi dans la couverture sanitaire entre le Nord et les régions du Grand Sud et les zones isolées du Nord et de l’intérieur du pays», a-t-il signifié.
    Néanmoins, le premier responsable du département de la santé, propose «d’améliorer l’organisation du service civil en instituant des incitations consistant à faire bénéficier les médecins affectés de logements en collaboration avec le département de l’Intérieur, leur assurer des plateaux techniques et des encouragements financiers après l’aval du Premier ministre et du président de la République».
    «Cela sans compter les augmentations dues au nouveau régime indemnitaire. Et pour couronner le tout, ces décisions entreront en vigueur avant le 30 juin prochain», a-t-il ajouté.

    Mohamed BOUFATAH