Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

russe

  • Des sociétés chinoises basées en Algérie impliquées dans la vente d'armes pour Kadhafi .

     


     
    Des lance-roquettes auraient été livrés à Kadhafi en juillet.

    Selon le quotidien canadien The Globe and Mail, paru dimanche, la Chine a offert d'énormes quantités d'armes au colonel Mouammar Kadhafi en juillet et a mené des conversations secrètes sur leur livraison via l'Algérie et l'Afrique du Sud.

    Des documents en la possession du journal canadien suggèrent que des entreprises chinoises implantées en Algérie auraient par ailleurs participé à des négociations de ventes d’armes pour le régime de Kadhafi. Le journal soutient que les compagnies d'armements chinoises contrôlées par l'Etat étaient prêtes à vendre des armes et des munitions pour un montant d'au moins 200 millions de dollars (150 millions d'euros) à la fin de juillet, passant outre aux sanctions de l'ONU.

    Graves soupçons sur l'Algérie et l'Afrique du Sud

    The Globe and Mail ne confirme pas que les armes ont été livrées, mais il cite des dirigeants du nouveau régime à Tripoli selon lesquels les documents renforcent leurs soupçons sur de récents agissements de la Chine, de l'Algérie et de l'Afrique du Sud. Omar Hariri, chargé des affaires militaires au sein du Conseil national de transition (CNT), a examiné les documents et conclu qu'ils expliquent la présence de nouvelles armes sur le terrain, affirme le quotidien. "Je suis presque certain que ces armes sont arrivées et ont été utilisées contre notre peuple", a indiqué Hariri, selon le quotidien. Les documents ont été découverts dans un dépôt d'ordures dans le quartier de Bab Akkarah, à Tripoli, où habitaient plusieurs des plus fidèles partisans du colonel Kadhafi, écrit le journal. Ces révélations viendront s'ajouter au faiseau de soupçons et d'accusations du CNT, notamment l'histoire de transit d'armes par un port algérien, vite démentie par Alger. Surtout si l'on sait que l'Algérie et l'Afrique du Sud sont les plus importants pays africains à n'avoir pas encore reconnu le Conseil national de transition libyen.

    Des conseillers militaires de haut rang de Mouammar Kadhafi se sont rendus à Pékin à la mi-juillet, où ils ont rencontré les responsables des entreprises China North Industrie Corp (Norinco), China National Precision Machinery Import&Export Corp (CPMIC) et China Winxing Import & Export Corp., ajoute-t-il. Les firmes chinoises ont offert tous leurs stocks d'armes et ont proposé d'en fabriquer davantage si nécessaire, indique The Globe and Mail.

    Contrat établi avec l’Algérie ?

    Les Chinois ont insisté sur la nécessité d'observer la discrétion et recommandé que "les contrats soient établis avec l'Algérie ou l'Afrique du Sud, pays avec lesquels la Chine a déjà travaillé", selon les documents cités par le journal. Les firmes chinoises ont également relevé que beaucoup des armes demandées par la délégation libyenne se trouvaient déjà dans les arsenaux de l'armée algérienne et pouvaient être transportées immédiatement de l'autre côté de la frontière, affirme le journal.

    Selon les documents trouvés, les deux parties ont évoqué notamment la livraison de camions lance-roquettes et de missiles antichars. Les Chinois auraient également offert des missiles sol-air QW-18, comparables aux Stinger américains, capables d'abattre des avions à basse altitude, ajoute-t-il. Vendredi, lors d'une rencontre à Paris avec le numéro deux du CNT, Mahmoud Jibril, le vice-ministre des affaires étrangères chinois, Zhai Jun, a demandé à l'organe politique de la rébellion de "garantir réellement les intérêts des entreprises chinoises en Libye". La Chine, seul membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU à ne pas avoir reconnu officiellement le CNT, "respecte le rôle important du CNT en Libye, avec lequel elle est prête à maintenir des contacts étroits, afin de promouvoir des relations sino-libyennes amicales", a déclaré M. Zhai, selon l'ambassade de Chine en France.

    Pékin dément

    "Les compagnies chinoises n'ont pas fourni d'équipements militaires à la Libye, de manière directe ou indirecte." Le ministère des affaires étrangères chinois a démenti l'information du quotidien canadien The Globe and Mail, selon lesquellesPékin avait proposé des armes au colonel qui se battait pour la survie de son régime. Mais le régime de Mouammar Kadhafi a bien pris contact avec des sociétés chinoises. "En juillet, le gouvernement de Kadhafi a envoyé quelqu'un en Chine à l'insu du gouvernement chinois pour prendre contact avec des membres de sociétés intéressées", a déclaré Mme Jiang Yu, le porte-parole de ce ministère.

    Agences

  • l'invite' russe accuse l'algerie sa se passe qu'on algerie!!!!!! foutez moi, dehors ces russes !!!!

    Vimpelcom menace le gouvernement algérien de poursuites judiciaires

    Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte


    zoom | © D.R

    Les Russes de Vimpelcom ont menacé samedi le 09 octobre l’Algérie de poursuites judiciaires si celle-ci décidait de nationaliser Djezzy.

    Le rebondissement dans cette affaire est intervenu 48 heures après que Vimpelcom ait exigé pas moins de 8 milliards de dollars pour céder Djezzy au gouvernement algérien.

    Le patron de Vimpelcom, Alexander Izosimov, a déclaré au Financial Times qu'il pourrait recourir à une action en justice si le prix offert par l’Algérie pour le rachat de Djezzy reste « insuffisant ».

    «Si le gouvernement algérien effectue des mouvements ou extrait des actifs – nationaliser et autres –, nous essayerons de défendre nos intérêts», a-t-il encore précisé.
    Le géant russe, nouveau propriétaire d’Orascom Telecom, a fixé mercredi dernier à 7,8 milliards de dollars le prix de vente de Djezzy.
    "Nous sommes tout à fait ouverts à une vente si l'acquisition se fait à un prix normal, si cela se fait pour un prix équitable", a déclaré dans ce sens le patron du géant russo-norvégien Vimpelcom, Alexander Izosimov.
    Le prix équitable, a-t-il dit, "se situe quelque part aux alentours de 8 milliards de dollars".
    "C'est 7,8 milliards de dollars", précisément, a-t-il ajouté, selon l'AFP, en marge des entretiens d'hommes d'affaires russes avec les Algériens dans le cadre du forum russo-algérien organisé à l'occasion de la visite d'une journée du président russe Dmitri Medvedev à Alger.
    Mais l'Etat Algérien avait refusé de payer une telle somme estimant que Djezzy ne valait pas plus de 3 milliards de Dollars.

     


     

  • que trafiquent les russes en algerie avec sawasiri!!!!!!!!

    Les nouveaux propriétaires russes font une estimation: Huit milliards de dollars réclamés pour Djezzy

    par Yazid Alilat

    Le chiffre est tombé hier, peut-être bien tôt, sur la somme dont le nouveau propriétaire d'OTA (Orascom Télécoms Algérie), filiale jusqu'à dimanche dernier du holding égyptien OTH, le groupe russo-norvégien, veut le vendre à l'Etat algérien.

    Le directeur général de Vimpelcom, Alexander Izosimov, présent à Alger avec la délégation d'hommes d'affaires qui accompagne le président russe Dmitri Medvedev, a proposé à l'Algérie de céder l'opérateur de la téléphonie mobile en Algérie, Djezzy, à «un prix équitable», environ 8 milliards de dollars.»

    Nous sommes tout à fait ouverts à cela (une vente) si l'acquisition se fait à un prix normal, si cela se fait pour un prix équitable», a-t-il affirmé en marge du forum russo-algérien organisé à l'occasion de la visite d'une journée du président russe Dmitri Medvedev à Alger. Selon le patron de Vimplecom, le prix équitable pour la vente de Djezzy à l'Algérie, qui a fait valoir son droit de préemption, se situe quelque part aux alentours de 8 milliards de dollars».» C'est 7,8 milliards de dollars», précisément, a-t-il ajouté. Vimpelcom avait annoncé l'achat de 100% de l'italien Wind et 57 % de l'égyptien Orascom, au milliardaire égyptien Naguib Sawiris pour un prix de 1,8 milliard de dollars afin de créer le 5e groupe mondial des opérateurs de mobiles. Orascom Telecoms Holding est la maison mère de l'opérateur Djezzy.»Si le gouvernement (algérien) insiste, nous serons naturellement prêts à considérer la vente de cet actif au gouvernement», avait-il, dans un premier temps, déclaré aux journalistes qui accompagnent le président Medvedev.»Il est difficile de faire des prévisions. Pour nous, il est important que les relations entre la compagnie et le gouvernement (algérien) se normalisent», avait ajouté le magnat des télécoms. Les déclarations du patron de Vimplecom confirment les informations selon lesquelles des négociations ont été déjà entamées avec l'Algérie pour la cession de Djeezy. Mais, dans la tourmente de ces déclarations sur l'avenir de OTA, le ministre de l'Industrie, de la petite et moyenne Entreprise et de la Promotion de l'investissement, M. Mohamed Benmeradi, avait un peu tempéré mardi, les ardeurs des uns et des autres. «Tout changement dans l'actionnariat d'Orascom Telecom Holding (OTH) ne saurait remettre en cause les engagements déjà pris de céder Orascom Telecom Algérie (OTA) à l'Etat algérien». Cité par l'APS, M. Benmeradi avait même affirmé que «les négociations en cours entre l'Etat algérien et les propriétaires du groupe OTA n'étaient pas du tout remises en cause». Pour lui, «ce sont deux opérations distinctes. La première concerne une transaction entre deux holdings internationaux et la seconde concerne une procédure de cession de droits d'une société (de droit algérien), officiellement engagée entre les deux parties suite à la décision de l'Etat algérien d'exercer son droit de préemption prévu par la législation nationale sur les cessions d'actions de la société OTA, envisagée par la société mère». Les déclarations de M. Benmeradi sont, en fait, ballotées par un flot d'informations sur cette cession de Djezzy qui a fait couler beaucoup d'encre, et susciter énormément de convoitises. En tout cas, le prix de cession que propose Vimplecom est autant un ballon sonde qu'une première (sur) estimation de la valeur de OTA, alors que certaines sources ont déjà fait savoir que l'Algérie aurait suspendu, à la veille de la visite du président russe à Alger, l'opération d'estimation de la valeur de Djezzy, confiée à un cabinet conseil algérien.

    Par ailleurs le pétrolier russo-britannique TNK-BP s'intéresse au rachat des actifs de BP en Algérie, a annoncé hier son directeur, Mikhaïl Fridman, membre de la délégation économique qui accompagne le président russe Dmitri Medvedev, pour une visite d'une journée à Alger, rapporte l'AFP. «Nous voudrions que l'avenir des actifs algériens de BP soit décidé de manière positive», en faveur de TNK-BP, a-t-il déclaré à la presse. Le ministre russe de l'Energie Sergei Shmatko a cependant indiqué que le groupe Sonatrach envisageait lui-même d'acquérir les actifs de BP. «Le gouvernement algérien envisage sérieusement la possibilité d'acquérir indépendamment les actifs pour la Sonatrach», a-t-il dit. La Russie et la Sonatrach sont en train d'en parler actuellement, a-t-il dit, soulignant que de toute manière aucune décision ne devrait être prise avant un ou deux mois. La TNK-BP pourrait proposer un échange d'actifs à Sonatrach. «Nous n'écartons pas que la TNK-BP fasse une offre appropriée sur un échange d'actifs», a-t-il ajouté. Le groupe BP, en quête de liquidités après la marée noire du Golfe du Mexique, souhaite vendre ses actifs en Algérie et des négociations seraient déjà en cours avec TNK-BP. M. Fridman a estimé que le soutien du gouvernement algérien était «d'une importance décisive», tant pour l'affaire de BP que pour Djezzy. «Sans soutien politique, nous avons peu de chance de succès dans un pays pas facile comme l'est l'Algérie», a-t-il estimé. Maxim Barsky, l'un des hauts dirigeants de TNK-BP a indiqué que le Premier ministre Vladimir Poutine avait récemment envoyé une lettre au gouvernement algérien exprimant son souhait d'un développement des activités du groupe dans ce pays.

    Des opérateurs économiques russes ont affiché, hier à Alger, leur volonté de saisir les opportunités d'affaires qu'offre l'Algérie pour renforcer les relations bilatérales dans le domaine économique.

    Intervenant, lors des ateliers thématiques organisés en marge du forum d'affaires algéro - russe, la représentante des entreprises russes de la construction, Mme Liudmila Skachkova a indiqué que les entreprises russes activant dans ce secteur «sont prêtes à nouer d'éventuelles relations de partenariat avec les entreprises algériennes». Mme Skachkova, également membre du Cercle d'amitié algéro-russe, a insisté sur la nécessité «de renforcer les relations d'affaires entre les deux pays», estimant qu'elles «sont appelées à s'intensifier davantage».

     Approché par l'APS, en marge d'un atelier, M. Nick Markarov, représentant du groupe IMS, spécialisé dans les appareils de comptage, a précisé que le but de sa visite en Algérie était de trouver des partenaires algériens dans ce domaine et de leur transférer le savoir-faire de cette filière. Pour sa part, M. Alexandre Tymar, chef de projet, en Algérie et au Maghreb, dans la société énergétique russe Technopromexport, a expliqué que «ces rencontres revêtent une grande importance pour le développement des relations économiques entre l'Algérie et la Russie, notamment dans le domaine de l'énergie».

    Bouteflika s'est entretenu hier avec le président de la Fédération de Russie, M. Dmitri Medvedev, en visite officielle d'une journée. Les ministres des Affaires étrangères des deux pays, MM. Mourad Medelci et Serguei Lavrov, ont assisté à cet entretien. Le président Medvedev, qui est arrivé peu auparavant pour une visite officielle d'une journée en Algérie, est accompagné d'une importante délégation comprenant des membres du gouvernement, de hauts responsables de la Fédération de Russie et des hommes d'affaires qui prendront part au forum économique algéro-russe et à une exposition de produits russes qui se tiendront en marge de cette visite. Les deux chefs d'Etat devaient procéder à l'examen de la coopération bilatérale et à un échange de vues sur les questions d'actualité régionale et internationale. Il est prévu, également, la signature d'accords bilatéraux dans différents domaines.