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  • Le docteur Yousfi réélu président du SNPSSP

     

     

    Les spécialistes dénoncent le statu quo

     

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    Les structures du Syndicat national des praticiens spécialistes de santé publique (SNPSSP) viennent d’être renouvelées à l’issue du 6e congrès qui s’est tenu lundi et mardi à Alger.

     

    Outre la reconduction du docteur Yousfi à la présidence du syndicat, le conseil national, regroupant 5 femmes sur 12 membres, a été installé, avec comme principal leitmotiv la lutte pour la concrétisation de la plateforme de revendications qui a constitué le cheval de bataille du syndicat durant le dernier mandat. Dans une conférence de presse tenue hier au siège du syndicat à Alger, le docteur Yousfi a énuméré les résolutions adoptées par les congressistes.
    Le maintien de toutes les doléances qui ont constitué le motif de grèves et autres formes de protestation depuis plus de deux ans a été parmi les plus importantes résolutions. Ainsi, le syndicat continuera à se battre pour la révision du statut particulier des praticiens spécialistes et la levée de la discrimination en matière d’imposition en comparaison avec le régime indemnitaire des hospitalo-universitaires.

    Le SNPSSP continuera également à faire valoir l’application de la carte sanitaire et les mesures incitatives pour les spécialistes afin d’exercer dans les zones enclavées.
    Tout en dénonçant «la complicité de tout un gouvernement» pour faire entrave à la tenue du congrès et les autres mesures de répression décrétées contre des syndicalistes pour avoir participé à des actions de protestation, les spécialistes revendiquent le respect du droit à l’activité syndicale conformément aux acquis garantis par la Constitution. Le congrès a été donc l’occasion de réitérer l’appel à la mobilisation contre les menaces guettant le mouvement syndical.


    Système de santé en déliquescence  


    D’ailleurs, le congrès a adopté une résolution concernant la multiplication des contacts avec les autres organisations syndicales et professionnelles pour une meilleure efficacité sur le terrain.
    En plus de son activité dans l’Intersyndicale de la santé publique, le SNPSSP s’ancre davantage dans le sens du partenariat syndical, et c’est sans surprise qu’il opte pour la poursuite de son activité au sein de la Confédération des syndicats autonomes et de la Coordination des syndicats autonomes pour la défense des libertés syndicales qui tiendra, ce week-end, sa deuxième réunion dans le cadre de la lutte pour la réintégration de Keddad Khaled, président du Syndicat national des psychologues (Snapsy) dans son poste de travail, suspendu pour avoir participé à une action de protestation. Le congrès s’est penché également sur l’état du système de santé.


    Nouvelles adhésions


    S’alarmant de tous les indicateurs qui témoignent d’une situation de «déliquescence», haussée par une pénurie criante en médicaments et autres moyens de prise en charge, le SNPSSP mandate ses structures pour la lutte pour «la sauvegarde du système public qui est sérieusement menacé». Un objectif qui ne peut se réaliser sans la promulgation de la loi sanitaire, en partenariat avec les syndicats autonomes, a précisé le docteur Yousfi.
    Le syndicat a également décidé de poursuivre son créneau lié à l’organisation des journées médicales et scientifiques ainsi que les opérations de jumelage entre les structures de santé «pour plus d’échanges scientifiques et pour permettre aux structures des zones enclavées qui ne disposent pas de services spécialisés d’avoir accès aux compétences des spécialistes, même à titre temporaire et à l’initiative du syndicat».
    A souligner que selon le président réélu, le SNPSSP s’est renforcé avec l’adhésion de 1700 nouveaux militants depuis 2008.


     

     

    Fatima Arab
  • SNPSP lance un appel à la greve le 30.avril.2012

    20.04.2012

    Journée de protestation le 30 Avril 2012

    Le conseil national extraordinaire du SNPSP a repris ses travaux hier 19 avril 2012 à Alger. A l'ordre du jour ont été retenus les points suivants:

    • Plate forme des revendications; État d'avancement et conduite à tenir
    • Dégradation des conditions d'exercice dans les structures publiques de la santé et problèmes de la prise en charge des malades.
    • Intersyndicale des professionnels de la santé.
    • Divers: problème des inscriptions au tableau de l'ordre des chirurgiens dentistes, remboursements des prescriptions médicamenteuses en pratique dentaire, indemnisations des praticiens réquisitionnés pour couverture médicale lors des examens de fin d'année scolaire ou lors des élections.

    Devant le constat établi de la non prise en charge de l'ensemble des points relevant de la plate forme des revendications socioprofessionnelles des praticiens de santé publique, après avoir passé en revue les recommandations des assemblées générales convoquées à cet effet au niveau de l'ensemble des structures de santé sur le territoire national, le conseil national a entériné à l'unanimité de ses membres le recours à la protestation.

    De ce fait, il a été voté:

    • Une journée de grève le 30 04 2012.
    • Trois (03) jours de grève le 07, 08 et 09 mai 2012.
    • L'organisation d'un rassemblement national des praticiens dont la date sera communiquée ultérieurement
  • Au 2e jour de la grève: Les praticiens spécialistes plus nombreux à débrayer

     

    par M. Mehdi, Le Quotidien d'Oran, 

    La moyenne nationale du taux de suivi à la 2e journée de grève des praticiens spécialistes de santé publique, à l'appel du SNPSSP, a atteint 80%, contre 75% au premier jour. «C'est le signe de la détermination des spécialistes à aller jusqu'au bout pour faire aboutir leurs revendications, face à autant de mépris, de mesures répressives et d'intimidations de la part du ministère de la Santé», affirme le président du syndicat, Dr Mohamed Yousfi. Selon notre interlocuteur, certains responsables du ministère de la Santé se sont adonnés à de «la désinformation» en déclarant «à la radio nationale et dans la lettre du secrétaire général du ministère que tous les points de la plateforme de revendications (qui datent de juin 2010, faut-il préciser) des spécialistes ont été réglés ou en voie de l'être». «Si tel était le cas, les grévistes sont donc en train de plaisanter, puisqu'ils revendiquent des choses qui leur ont été accordées», rétorque Dr Yousfi qui accuse le SG du département de Ould Abbas de vouloir «casser le SNPSSP, en déclarant que cette grève a été lancée par le bureau national du syndicat» sous entendant «qu'elle a été imposée au reste des praticiens spécialistes». Le SNPSSP «tient à dénoncer de tels agissements et propos de la part de la tutelle, ce qui contredit pleinement les libertés syndicales». Le Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique «demande l'intervention du président de la République qui, lui, donne des directives dans le sens du dialogue social et d'encouragement des compétences à rester au pays, et c'est tout à fait l'inverse qui est fait au ministère de la Santé. Et, le comble de tout ça, c'est que le ministre de la Santé était en France, il y a deux semaines, pour demander aux spécialistes algériens installés là-bas de revenir travailler en Algérie, alors qu'il est en train de mettre toutes les conditions pour chasser ceux qui sont déjà ici», ajoute le président du SNPSSP. Dr Yousfi en appelle aussi aux élus et aux partis politiques pour réagir à ce déni de droit. Notre interlocuteur dénonce également «la politique de deux poids deux mesures menée par le ministère de tutelle qui s'est comporté différemment avec d'autres mouvements de grève dans la santé, alors que celui des spécialistes a été accueilli par des mesures répressives». Concernant le déroulement de la deuxième journée de grève, Dr Yousfi fait état d'une hausse des taux dans certaines wilayas, comme «Oran (60%, contre 50% hier) et Mostaganem qui passe de 50 à 100%. A Alger, le taux de suivi est près de 80%, Blida, Boumerdès et Ghardaïa (80%), Tizi-Ouzou (85%), Djelfa (70%), Ouargla (85%), Tlemcen (85%), Tiaret (100%), Mascara (70%), Chlef (85%), Aïn Defla et El-Oued (65%), Oum El-Bouaghi et Mila (90%), Sétif, Constantine et Annaba (+80%), et Tébessa (85%)».

  • Education - formation : Le projet de statut particulier présenté le 8 mars au gouvernement

    La mouture finale du statut particulier de l’éducation qui devait être finalisée mercredi dernier au cours de la réunion entre les responsables du ministère de l’Education nationale et les sept syndicats agréés du secteur, a été rejetée par ces derniers qui ont relevé n’avoir pas approuvé ce texte établi par les services de tutelle car « elle contient des lacunes, notamment en ce qui concerne la gestion de la carrière des enseignants ». Un sujet qui a suscité le mécontentement des partenaires sociaux et qui a poussé au report de la présentation de ce projet devant le gouvernement à jeudi prochain.
    Contacté à la fin de la réunion, le secrétaire général du SNAPEST, Méziane Meriane, a indiqué «un seul point a été retenu à l’ordre du jour à savoir la finalisation des suggestions des différents partenaires sociaux sur le statut particulier des travailleurs du secteur. Des propositions ont été formulées au cours de cette rencontre avec les responsables centraux. On procédera à la rédaction de la mouture finale au cours de la semaine prochaine avant sa présentation au gouvernement avant la fin mars. »
    Pour sa part M. Nouar Larbi, secrétaire général du Conseil national des professeurs de l’enseignement secondaire et technique  (Cnapest) a estimé que ladite mouture a répondu aux revendications des enseignants «dans la forme seulement». Le texte qui sera, une fois finalisé, présenté à la direction de la Fonction publique et au gouvernement a porté la création d’un nouveau grade, à savoir le grade de professeur-formateur. Toutefois, précise le SG du Cnapest, il n’y a pas eu d’accord sur la classification. Selon lui, l’enseignant doit passer des catégories 15 à 17 en respectant la grille de salaire, alors qu’il n’est actuellement qu’aux catégories 13, 14 et 15.
    L’autre point, qui n’a pas trouvé écho dans cette mouture, est l’intégration des enseignants de l’enseignement technique dans le même grade que les enseignants du secondaire qui devraient passer de la catégorie 11 à  la catégorie 13. De son côté le secrétaire général de la FNTE-UGTA (Fédération nationale des travailleurs de l'éducation), M Ferhat Chebakh, a souligné que son syndicat a « arraché pas mal d’acquis ». Il estime que  pour la première fois, le ministère de la tutelle « a répondu très favorablement à la plate-forme présentée par la FNTE. Mais ce qui est important aussi, c’est le fait d’avoir de nouveaux postes au niveau du secteur et dans les différents cycles d’enseignements ». M. Chebakh cite dans ce contexte, la création du poste de professeur formateur de l’école primaire, le post de professeur du moyen et du poste de censeur au niveau du collège qui s’occupera de la pédagogie. « Avec toutes ces propositions le secteur connaîtra plus de stabilité à l’avenir », a-t-il notamment indiqué.     
    Sarah SOFI

    pauvre snpsp>>tjrs à la traine>>>attendez le statut est encore en phase de cuisson chez le comité and hoc du ministère des tikherbichines

    le parent pauvre de la santé ,chez  hmimed et dok les introvertis,les mechants , corrumpus ,de la ripoublique,ils faut une bonne greve cyclique 4 jours pour les tréssallir de leur léthargie . comme le snpssp dés demain 3 jour cyclique pour bouger ses fénéants de mauvaises augures

  • Réunion du conseil national



    A l’initiative du Ministre de la santé, le SNPSP a été reçu hier à 18h30 au MSPRH. La réunion de travail présidée par Djamel Ould Abbès en présence du SG et de l’ensemble des cadres centraux du ministère a permis aux deux parties de revenir à l’essentiel ; les raisons du conflit en cours entre praticiens et administration de tutelle  et de passer en revue l’état d’avancement dans la prise en charge des revendications socioprofessionnelles des praticiens de santé publique;

        L'amendement du statut particulier
        Le régime indemnitaire

    A la demande du SNPSP un procès verbal de réunion a été établi.

    Une réunion  du conseil national extraordinaire, en session ouverte depuis le 05 mai 2011, aura lieu à Alger le samedi 21 mai 2011au siège de l'UNPEF.