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  • boutef et drs c'est eux qui faut inculpés

    Les hauts cadres impliqués sont nommés par le Président avec l’accord du DRS

    Quand le DRS et la Présidence feignent de découvrir l'ampleur de la corruption en Algérie

    Depuis quelques mois, les révélations sur les affaires de corruption se multiplient en Algérie. Le DRS, via son service de police judiciaire, créé il y a quatre ans, multiplie les enquêtes et les perquisitions. Plusieurs contrats signés durant la dernière décennie, notamment dans le secteur de l’énergie, sont scrutés à la loupe. L’ouverture d’enquêtes à l’étranger, notamment en Italie et au Canada, sur les conditions d’attribution douteuse de contrats pétroliers en Algérie, a poussé la justice algérienne à communiquer, en annonçant des enquêtes et des commissions rogatoires internationales.
    Des personnalités, considérées comme proches de la Présidence, à l’image de Chakib Khelil, sont impliquées dans ces affaires. Le président Bouteflika, après avoir longtemps observé le silence, a décidé de communiquer sur des affaires, qui, parfois, s’apparentent à des attaques contre sa personne pour l’empêcher de briguer un quatrième mandat en 2014. « S'agissant des tentatives d'enrichissement illicite et au préjudice des deniers publics et des droits de la communauté nationale, la loi s'appliquera dans toute sa rigueur, car l'Etat est déterminé à imposer le sérieux et l'intégrité dans le travail et n'hésitera pas à demander des comptes à toute personne coupable aux yeux de la loi, tout en veillant à recouvrer les droits spoliés », a promis M. Bouteflika, le 19 mars, dans un message adressé aux participants à un séminaire sur l'Armée de libération nationale (ALN), organisé à Tébessa.
    « La justice jouit aujourd'hui de la compétence qui la conforte dans son action », a ajouté le président Bouteflika. « Nos devoirs imposent à l'Etat d'être fort et d'exercer pleinement son pouvoir dans le respect des lois de la République, de manière à rassurer sur ses capacités à protéger la vie, les biens et la dignité des citoyens », a assuré le chef de l’Etat.
    Dans cette question de la corruption, les choses semblent se dérouler à un rythme rapide. Même la justice, qui a généralement besoin de beaucoup de temps pour instruire des affaires, veut montrer qu’elle travaille. Des magistrats ont été envoyés à l’étranger pour enquêter. Des perquisitions ont été menées à Alger. Et, selon nos confrères d’El Watan de ce mercredi 27 mars, de hauts cadres du secteur de l’énergie et l’ancien ministre Chakib Khelil ont reçu des convocations des juges en charge de l’affaire liée à l’attribution du contrat de construction de la centrale électrique de Hadjret Ennous à SNC Lavalin. Un contrat dans lequel on retrouve le nom de Farid Bedjaoui, considéré comme un proche de Chakib Khelil.
    Mais toute cette agitation pose un problème. Tout le monde le sait : à de rares exceptions près, les hauts cadres de l’administration et des entreprises publiques sont nommés par le président de la République, après une enquête du DRS. Mieux, dans chaque ministère et au niveau de chaque grande entreprise, au moins un gradé du DRS exerce comme « conseiller ».
    Lors de l’affaire de l’autoroute Est-Ouest, un colonel du DRS, conseiller du ministre de la Justice pendant les faits, était directement impliqué. Depuis, il a été mis à la retraite, sans jamais avoir été inquiété par la justice.
     

    Dans le même dossier, Amar Ghoul est toujours aux commandes du ministère des Travaux publics. Il prévoit même de lancer de nouveaux projets routiers et autoroutiers, à coups de milliards de dollars. Pourquoi le président Bouteflika ne lui demande-t-il pas se démissionner pour laisser la justice faire son travail en toute transparence, comme il l’a promis aux Algériens ? Les exemples similaires sont nombreux. Il est difficile de croire que l’agitation actuelle autour des affaires de corruption soit une véritable opération « mains propres » destinée à limiter ce phénomène.

  • A Dubaï, Farid Bedjaoui prépare sa défense et menace d’impliquer de hauts responsables algériens Samir Allam

     

    Farid Bedjaoui, principal suspect dans les affaires de corruption à Sonatrach, se trouve actuellement à Dubaï, aux Emirats arabes unis. Poursuivi en Italie et au Canada, le neveu de Mohamed Bedjaoui sait que la justice va finir par le rattraper.
    Certes, son extradition depuis les Emirats arabes unis sera plus difficile à obtenir que depuis un pays occidental. Mais il sait que la justice italienne finira par le rattraper, d’autant que d’autres scandales de corruption pourraient éclater dans ce pays. En plus de Saipem, Farid Bedjaoui aurait également aidé Astaldi, une autre compagnie italienne, à obtenir des contrats en Algérie.
    Grâce aux multiples commissions obtenues dans des contrats en Algérie et aux sommes engrangées via le fonds d’investissement Rayan Investment, à qui Sonatrach a confié 2 milliards de dollars, la fortune de Farid Bedjaoui et de ses frères est estimée à plus de 2,5 milliards de dollars.
    Les frères Bedjaoui ont touché des commissions sur plusieurs gros contrats en Algérie : l’autoroute Est-Ouest, les chemins de fer, l’énergie et l’eau. Grâce à ces sommes, ils possèdent des biens dans de nombreux pays : Canada, France, Espagne, Emirats arabes unis, etc. Aujourd’hui, le spectre de la faillite plane sur la famille.
    Selon nos sources, Farid Bedjaoui a tenté d’entrer en contact avec les autorités algériennes pour « négocier ». Mais ses émissaires n’ont eu aucune réponse encourageante. En cette période, où les enquêtes sur les scandales de corruption se multiplient, tout le monde cherche d’abord à se protéger. Mais Farid Bedjaoui estime qu’on lui fait porter le chapeau dans des affaires de corruption dans lesquelles beaucoup de personnes en Algérie, dont de hauts responsables toujours en poste, sont impliquées, selon les mêmes sources. A des visiteurs qu’il a reçus chez lui, il y a quelques jours, il a affirmé qu’il ne tomberait pas seul. S’il est pris par la justice, il dénoncera ses complices…
  • commentaires sur l'algerie sur le post au dessous

    akfadou07   le 03.04.13 | 12h23

    Les frasques de Chakib

    Bizzare effectivement. Car j'ai lu ou entendu aux infos que echakkib a vendu son logement de la cite chaabani pour la Modeste Somme de 30 milliards.

     

    La sociale pour la Révo   le 03.04.13 | 12h22

    Khelil est-il vraiment venu en Algér...

    On peut essayer de concevoir qadrat (gamilat) allah pour organiser achkayar par télépathie, ou par Mobilis, Djezzy et Nedjma. Mais beaucoup de fantômes, dénommés aussi citoyens, affirment l'avoir aperçu, ... la suite

     

    Moh la Science   le 03.04.13 | 11h27

    Le parapluie à la mode Medelci

    -M. Mourad MEDELCI, Ministre des Affaires Etrangères : Azul, Professeur, je viens vous consulter à Guezgata car l’affaire est d’importance.

    -Professeur Qibu : Pourquoi vous et pourquoi ce parapluie.

    -M. Mourad MEDELCI : Les affaires pleuvent bas. Voilà pour le parapluie. Pourquoi moi. Les affaires sont étranges. Ce n’est pas le propos. Le propos est que beaucoup de nos gouvernants ont démissionné en regard des scandales à répétition. D’autres ont pris des vacances pures et simples sans billet de retour. Je suis à la recherche de nouveaux talents, du sang neuf, des jeunes pour restructurer le pays. Et sans faire de poésie, l’Algérie est un mouroir qui dans mes bras va choir.

    -Professeur Qibu (très modeste) : Vous avez été bien inspiré de frapper à notre porte car nous avons du pétrole à Illoula Oumalou et nous avons des idées. Notre village regorge de talents comme un peu partout en Algérie. Cela fait peine à voir autant de compétences inexploitées.

    -Citez-moi quelques exemples

    -Professeur Qibu : je commence par Da Cha3vanne Oua3li qui a un doctorat en biologie marine. Aucun employeur n’en a voulu. Il s’est reconverti en bistrotier et le voilà qui sert des coups de rouge.

    Autre exemple : Notre serveuse, Jolie Môme, qui a un doctorat en économétrie, vous savez ; les mathématiques appliquées à l’économie. Aucune banque, aucune compagnie d’assurance n’en a voulu. Motif : elle ne porte pas de soutien gorge ce qui fait que quand elle marche, sa poitrine tressaute. Cela est de nature à perturber les hommes, ce qui est inadmissible dans un pays où les femmes sont, d'ordinaire, battues. Je ne comprends pas, car, moi, quand je marche, mes couilles tressautent aussi et ça n'a pas l'air de beaucoup déranger les gens.

    Nous avons, également, une foultitude de compétences comme Monsieur Newstiti qui excelle dans la chose nucléaire, Monsieur l’Andalou, un rescapé de la guerre civile d’Espagne, fin connaisseur des corridas et du combat rapproché, et un tas d’autres sujets brillants.

    -M. MEDELCI : Et vous ?

    -Professeur Qibu (très, très, très, très modeste) : je suis médecin

    -M. Mourad MEDELCI : et votre ami, Sa Piété ?

    - Professeur Qibu : Un vieux qui enseigne depuis 40 ans et qui ne veut pas partir. Il cherche un 5ème mandat. Il n'a pas son bac mais il a son Certificat d'Etudes et maîtrise admirablement les tables de multiplications. Nous avons fêté son Certificat d'Etudes à Pigalle dans un bordel clandestin. Belle époque…de la bière et des putes.

  • no moment

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  • Un parapluie contre la boue

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    Il fait beau mais les coups bas vont pleuvoir, c'est ainsi qu'un journaliste a résumé l'année à venir, où il faut s'attendre absolument à tout, sauf à des méthodes modernes et démocratiques d'affrontement. C'est d'ailleurs tout le paradoxe de cette prévision, les coups bas viennent d'en bas, mais la pluie d'en haut, et l'absurdité verticale du propos renseigne sur cette difficile période qui débute, l'Algérie ne sachant pas faire simple. De fait, chaque information, confirmation ou démenti sera à prendre avec beaucoup de précautions, chaque affaire à observer avec infiniment de recul et chaque dossier à décortiquer sous tous les angles.

    Mais pourquoi les affrontements sont si opaques et tordus ? Parce que quand un homme veut dire quelque chose à un autre homme, il le dit à son voisin, sachant que les voisins rapportent tout, surtout les mauvaises nouvelles. Quand un homme a un problème avec un groupe, il frappe d'abord sa femme, sachant qu'une femme est coupable, surtout si elle n'a rien fait. Enfin, quand un groupe a un problème avec un autre groupe, il envoie ses soldats, laissant le général dans le poste de commandement avec ses trois puces, Mobilis, Djezzy et Nedjma.

    Petit exercice avant d'entrer dans la violente campagne qui s'annonce, comment lire ces informations : Chakib Khelil a quitté l'Algérie et la DGSN ne l'a pas arrêté parce que la justice ne le lui a pas demandé, mais a arrêté le cambrioleur du Palais de justice d'Alger pendant que l'appartement de Khelil était visité par le DRS, qui possède aussi la prérogative judiciaire et des officiers dans les aéroports. Une infinité de lectures s'offrent, dont celle-ci, réservée aux familles, le DRS, la DGSN, la justice et la Présidence sont les 4 enfants d'un même couple, qui a fui le pays en barque il y a longtemps. En fait, peut-être que la vraie question est celle-ci : Khelil est-il vraiment venu en Algérie ?

     

    Chawki Amari
  • Amal Triki, la première dame d'Algérie

     

    Amal Triki, la première dame d'Algérie
             
    Madame Amal Triki, je ne désire nullement vous attaquer en usant d'Internet. Pourquoi le ferais-je ?
     
     
         Lorsque Boutef a secoué le joug de l'occupant et remporté la victoire, il n'a pas remarqué  que les Barbus tissaient leur toile en silence et avec méthode afin de tenter d'imposer une dictature plus sauvage encore que la sienne. Les Barbus ne sont plus à Alger, ni à La Redoute et ni au Clos-Salembier. Amal, la fille du diplomate algérien au Caire YahiaTriki n'était pas faite pour demeurer parmi des hommes sans foi (enfin ils ont la leur) ni loi. Soit, mais alors pourquoi n'est-elle pas à Alger puisque les Barbus semblent éliminés du paysage politique à Alger? En tous les cas, le peuple ne connaît pas Amal.
    Amal Triki, la première dame d'Algérie
         Boutef est né en 1937. Il s'est marié en 1990 à l'époque où les Barbus allaient entrer en scène (ou à peine plus tard en 1992). Calculons, il avait 53 ans et cette union est restée sans descendance. 53 ans, un peu tard pour faire des enfants, admettons, mais pourquoi pas ? Jusqu'à présent, je n'ai pas réussi à obtenir l'année de naissance de Madame.
         Amal Triki devenue Mme Bouteflika, se fondra dans la nature. Elle n'est jamais apparue aux côtés de son mari ni ne figure officiellement dans son entourage. Elle a préféré l'exil à l'atmosphère délétère de son pays.
         Nous savons bien qu'elle n'a pas l'allure d'une Carla Bruni mais elle a un rang à tenir. 
     
         Mohamed Benchicou a signé la biographie secrète du président Bouteflika : « Une imposture algérienne ». Lisons l'écrivain :"Nous apprenons que Bouteflika a été très proche de sa maman. Cette adoration est-elle à l'origine du curieux célibat d' Abdelaziz ? Bouteflika ira jusqu'à dissimuler son mariage. Amal Triki, la première dame d'Algérie

    La rue Duc des Cars où eut lieu le mariage secret.

    Il se maria un vendredi d'août 1990 dans un appartement de la rue Duc-des-Cars, à Alger. Il épousa Amal Triki, fille du diplomate Yahia Triki, alors premier conseiller à l'ambassade d'Algérie au Caire. L'acte de mariage a été établi ce jour-là par un agent de la mairie de Sidi-M'hamed dépêché spécialement à l'appartement de la rue Duc-des-Cars. Amal Triki devenue Mme Bouteflika se fondra dans la nature. Elle n'est jamais apparue aux côtés de son mari, ni ne figure officiellement dans son entourage."


         Faut-il le dire et le répéter, la première dame d'Algérie ne vit pas dans son pays ? Mariage blanc peut-être mais
                   Amal Triki  vit à Paris.




         Lorsque je mets en scène des hommes politiques algériens, mon jet littéraire quotidien s'épuise. Je lis :
    "L'Algérie exige toujours la repentance de la France pour la colonisation". Je réponds :
    Alors que fait la première dame d'Algérie à Paris ?
     
    http//:esmma.free.mde4/ddcars.htm
    Encore une image "stratégique" ! Sur cette photo (prise du Viaduc par Gérald), on voit en même temps le sommet de la rue Duc-des-Cars (à gauche) et le départ des escaliers qui "descendent" à sa source, c'est-à-dire la rue du Docteur-Trolard. Le bloc du milieu comprend lui aussi des immeubles à double accès, avec une entrée haute et une autre sur un palier des escaliers Trolard. Au fond de la rue, on reconnaît l'ancien garage Yvars (petit immeuble blanc, à gauche). Un peu plus loin, les trois fenêtres superposées appartiennent à l'école des filles de la rue d'
    Estonie. 
    Merci à ESMMA.
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    A tout péché miséricorde. 
         Madame Amal Triki Bouteflika, nous ne nous connaissons pas. Si nous nous rencontrions, nous pourrions peut-être nous entendre car je ne sais rien de vous. Je ne désire nullement vous attaquer en usant d'Internet. Il existe tant et tant de sujets sur lesquels nous aurions l'opportunité de discuter ou de disserter !
         Aimez-vous les auteurs français ? Aimez-vous la musique ? Chopin ou Brahms ? Aimez-vous Brahms ? Tiens, c'est un titre de Françoise Sagan. Avez-vous lu Sagan ? Avez-vous lu Camus ? Les Noces, pour moi, de tout petits essais et un chef-d'oeuvre. Et Proust avez-vous cheminé sur son long chemin du temps perdu ?  Quant à Gide, après avoir bien circulé dans ses Nourritures terrestres, peut-être entreprendrez-vous, comme moi, de longs voyages ?Je n'oublie point Céline, ce géant de la littérature française qui avait, lorsqu'on le relit, cent ans d'avance. Ses erreurs, son antisémitisme, je les rejette et j'aurais tant voulu qu'il fût sans tache.
         J'ai vécu 24 ans à Alger et j'ai vécu près de 50 ans à Paris ou très près de Paris. Avant-hier le 07 avril 2011, ma femme et moi, nous nous sommes promenés près des quais de la Seine, et avec un groupe d'amis –anciens collègues- nous avons visité l' Hôtel de Beauharnais rue de Lille puis nous avons déjeuné à la Ferme Saint Simon. Paris au printemps fait partie de nos délices après des hivers  toujours trop gris. Mais Alger me manque. Alger ma ville d'autrefois.
         Votre mari a longtemps fait propagande contre la France mais c'est en France -le redirai-je encore ?- qu'il vient se faire soigner. Je sais que nous ne devons point nous interroger au sujet de sa vie privée, néanmoins pour ses adversaires, tous les coups portés sont les bons. Pensons au prince de Talleyrand qui affirmait : « Il y a une arme plus terrible que la calomnie, c'est la vérité ».
         Madame, irez-vous vous aussi vous promener durant ce printemps précoce dans les rues de Paris, vous attarderez-vous devant les échoppes des bouquinistes, vous installerez-vous à une terrasse et regarderez les Parisiens se hâter, rêverez-vous peut-être sur un banc du jardin du Luxembourg , (Ah, le Luxembourg, mon parc préféré) mais votre ville, Alger, sera bien loin de vous. Vous y penserez comme on évoque une ville lointaine. Alger, c'est un autre monde qui n'est point le vôtre. C'était le mien.
     
    Ainsi tout change, ainsi tout passe;
    Ainsi nous-mêmes nous passons,
    Hélas ! sans laisser plus de trace
    Que cette barque où nous glissons
    Sur cette mer où tout s'efface.
     
         Dites-moi madame, que cette musique est belle. En poésie "c'est un choix heureux de mots et un croisement habile des rimes."
         Ainsi Alphonse de Lamartine passe dans nos vies. Loin d'Alger, nous passons, nous glissons, tout s'efface -parfois aussi des images d'Alger- , plus de trace, que de vagues souvenirs. Alger que j'évoque en vain pour vous, Alger, dites-moi donc que vous n'en avez cure puisque vous vivez aujourd'hui dans une des plus belles villes du monde.     
     
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    "De quoi je me mêle" s'interroge un lecteur distingué, un lecteur qui fantasme sur les dames de France et qui semble oublier que le but de cet article est LA REPENTANCE. Je lui redis donc que la première dame d'Algérie vit à Paris alors que sa place est à Alger. La première dame de France ne vit pas à Rome mais à Paris. C'est tout.
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    Nacera :

    Est-il nécessaire de bouquiner tant d'auteurs pour être dignement Algérien ?
    Un simple coup de balayage amnésique peut rendre un être humain international.
    Mais, je pense que la personne qui a écrit et pose tant de questions, répond plutôt à Victor-Lévy Beaulieu :
    "Ecrire est une tentation de diversion et acte insensé d'oubli de soi".
         Puis-je, Nacera, répondre :Tant  d'auteurs pour être dignement Algérien ? Des auteurs j'en cite bien peu mais je n'ai pas lu Victor-Lévy Beaulieu. Etre dignement Algérien. Algérien, qui ? Moi ? Mais non je suis français.
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         Vous avez cru en votre Algérie nouvelle et c'est une minorité qui s'enrichit. A eux les résidences et les belles voitures. A vous les cacahuète et les logements de misère. Je ne me mêle pas ou plus des affaires politiques en Algérie puisque je n'y vis plus et que je n'ai pas la nationalité algérienne, en revanche je ne comprends pas comment Eva Joly ose se présenter à la présidence de la République française. J'accepte l'accent de Marseille ou de Lille mais pas un accent étranger, ni moi-même ni les autres Français et actuellement dans les sondages, elle est créditée d'un pourcentage de deux points.

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         Durant ses quelques heures dans la capitale algérienne, Illary Clinton a offert le soutien des Etats-Unis pour mener à bien les élections législatives attendues du 10 mai, organisées suite aux réformes politiques du président Bouteflika.
         Gageons que ces réformes donneront des logements aux jeunes qui désirent fonder un foyer. Il n'y aura point de miracle mais les pauvres connaîtront moins de misère. Un bruit court avec insistance en France : Les élus, les ministres et les généraux d'Algérie préparent un repli en Europe et particulièrement en France car ces élections ne seront plus manoeuvrées par le Pouvoir.
         Le monde arabe évolue. Nous verrons. Le spectacle terrifiant que nous offre la Syrie (la Syrie que je connais) n'est pas encourageant.
          La Syrie. J'ai mal. Saint Paul a eu la vision du Christ vers Damas.Selon Wikipedia Damas fut l'un des berceaux du christianisme et vit saint Paul prononcer ses premières prédications, notamment dans l'église d'Ananie, la plus vieille de Syrie (aujourd'hui dans le quartier chrétien de Bab Touma).
     
     
    Amal Triki, la première dame d'Algérie
     

     
    J'ai visité la ville de Damas que j'ai aimée. Quelle chance j'ai eu d'avoir pu visiter ces pays arabes avant qu'ils ne sombrent dans la folie. N'avons-nous point connu une telle folie, nous, les Européens durant la guerre de 14 - 18 et la guerre de 39 - 45 ?

    (Relevé dans Wikipedia)

    Fait exceptionnel, la salle de prière de la Grande mosquée des Omeyyades (Damas) contient un tombeau : celui de Jean-Baptiste, cousin de Jésus.  Lorsque les Arabes conquirent la ville en 635, ils y trouvèrent en plein centre la grande basilique Saint-Jean Baptiste, qui abritait le tombeau supposé de ce Saint. Un dignitaire chrétien de la ville vint demander au calife qu'il épargne ce sanctuaire chrétien et les califes successifs préservèrent durant soixante-dix ans le grand sanctuaire chrétien. Lorsque Al-Walid Ier décida de transformer l'église en mosquée, en 705, il épargna le tombeau chrétien et fit construire la mosquée autour.
     
    Amal Triki, la première dame d'Algérie
     

         J'ai visité la grande mosquée des Omeyyades et j'ai prié devant le tombeau de saint Jean-Baptiste. Je mesure la chance que j'ai eue.

    source:http://la-redoute-et-le-clos.skyrock.com/2990064071-Amal-Triki-la-premiere-dame-d-Algerie.html

  • La crêpe aux 1000 trous

     

     

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    75 accusés, 50 parties civiles et 300 témoins dont trois ministres, c'est le casting monstre du procès en appel de l'affaire Khalifa qui s'ouvre aujourd'hui à Blida. Pour mémoire, l'affaire avait démarré en 2003, à la fin du premier mandat de Bouteflika, après que la Banque d'Algérie eût constaté un trou de 3,2 milliards de dinars dans la banque privée. Et pourtant, pour un trou estimé à plusieurs milliards de dollars et qui devrait être qualifié de gouffre, la justice algérienne ne semble pas pressée d'ouvrir un procès. C'est pour cette raison que le principal responsable du secteur, l'ex-ministre de l'Energie, n'a pas été inquiété ni même convoqué et a pu tranquillement quitter l'Algérie. Comment a-t-il pu partir ? Ce n'est pas très important, qui vit en Algérie sait combien de trous il y a, sur les routes pour y tomber ou dans les administrations pour s'y faufiler, y compris dans les palais de justice où de petits cambrioleurs peuvent entrer se servir comme dans un café.

    Comme le beghrir, la fameuse crêpe aux 1000 trous, l'Algérie a fini, en cette glorieuse fin de mandat présidentiel, par toucher le fond du trou, devenue capitale de l'incompétence et du détournement, un trou noir qui absorbe lumière, matière, temps, espace, hommes et idées neuves. Mais, qu'est-ce que le contraire du trou ? C'est une autre anomalie topologique, une bosse, un dos d'âne ou ralentisseur, surplus de matière qui pose un tout autre problème, comme celui que vient de poser Mohamed Mechati, rare survivant du groupe historique des 22, en soutenant le front du refus d'un quatrième mandat. S'étant toujours appuyé sur la famille révolutionnaire et son rôle d'historique, l'actuel Président va avoir du mal, cette fois-ci, à passer au rouleau compresseur une bosse de cette taille. Seule solution, utiliser encore une fois la justice afin de mettre la bosse Mechati au trou pour non-conformité avec la platitude.

     

    Chawki Amari