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  • ALGERIE:Mais où est donc DOK ?

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    Question. Le taux de réussite au baccalauréat, cette année, n’a été que de 44,72%, en baisse par rapport à l’année dernière où il avait atteint 58,84%. Que s’est-il passé en un an ? Une fuite dans les cerveaux ? Non, selon le nouveau ministre de l’Education, «le taux de l’année dernière était politique». C’est-à-dire que devant les vagues de contestation, on a donné le bac même à ceux qui ne le méritaient pas. Quelle est la valeur d’un bac dans ces conditions ? Il faut demander à Benbouzid qui, après 14 ans à l’Education, est aujourd’hui sénateur. D’ailleurs, l’aveu du nouveau ministre ressemble à celui de ce ministre qui avait affirmé que «cette fois-ci, les élections seront honnêtes». Ce qui voulait dire que celles d’avant ne l’étaient pas. Quelle est la valeur d’une élection  ? Il faut demander à DOK, le ministre de l’Intérieur, qui, lui, était sénateur avant d’être ministre.

    On a oublié la question, mais où est donc DOK ? Selon les uns, il est toujours ministre de l’Intérieur ; selon les autres, il est en vacances en Tunisie. Selon d’autres encore, il serait malade mais pas en France, sinon on l’aurait vu à la télévision en train de manger des gâteaux. Enfin, selon L’Expression, le quotidien qui sait tout, la somptueuse villa de DOK à Oran, près du Sheraton, aurait été cambriolée, ce qui expliquerait l’absence du ministre, occupé à tenter de récupérer son écran 3D volé.

    Mais si c’est vrai, le problème est sérieux : comment peut-on cambrioler la villa du chef de la police ? Il n’y a plus de valeurs, c’est comme le bac ou les élections. C’était quoi la question déjà ? Oui, est-ce que les gâteaux que Sellal a servis devant la télévision sont des gâteaux algériens ? Ont-ils été importés d’Alger et est-ce Gaïd Salah qui les a amenés avec lui ? Non, ce n’était pas la question. Où est donc DOK ? Il prépare les prochaines élections. Les résultats ? Comme le bac, tout dépend du sujet.

     

    Chawki Amari
  • ce que vous dites mais c'est pas ce que vous faites ,awe fakou!!

    Les Etats-unis n'interfèrent pas dans les affaires politiques internes de l'Algérie rassure Henry S, Ensher.

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    le 26.06.13 | 16h59 Réagissez

    Les Etats-unis n'interfèrent pas dans les affaires  politiques internes de l'Algérie a indiqué mercredi à Alger l'ambassadeur des  Etats-unis, Henry S, Ensher.

    "Nous n'avons aucune position, aucune préférence pour un parti et les Etats-unis n'ont aucun rôle à jouer" dans les affaires politiques internes  de l'Algérie, a déclaré M. Ensher, lors d'un point de presse organisé au siège  de son ambassade consacré au programme éducatif "Leaders de demain".

    L'ambassadeur américain en Algérie a expliqué la position de son pays, suite aux informations selon lesquelles il aurait reçu des représentants de  partis politiques algériens pour s'enquérir de la situation du pays.  "Nous avons des contacts avec les différents responsables du gouvernement  algérien, des membres de la société civile dont les partis politiques ainsi  que des représentants du secteur de l'éducation et de l'enseignement supérieur  pour avoir une meilleure compréhension de l'Algérie", a-t-il précisé.  Il a tenu à noter que " Washington doit avoir des faits pour pouvoir adopter une politique vis-à-vis de l'Algérie et n'importe quel ambassadeur là  où il se trouve essaye de comprendre le pays dans lequel il vit". 

    M. Ensher a fait observer, dans ce sens, que "l'Algérie fait la même chose à travers son formidable ambassadeur aux Etats-unis qui rencontre de nombreux américains pour mieux comprendre ce qui se passe là-bas".  "Leaders de demain" est un programme, qui s'inscrit dans le cadre  de l'Initiative de partenariat au Moyen-Orient (MEPI).

    El Watan avec APS
  • no moment

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  • Libérer les Palestiniens des mensonges de Bernard-Henri Lévy (II)

     

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    In http://blog.mondediplo.net

    mardi 20 novembre 2012, par Alain Gresh

    L’homme est entré à Gaza sur les tourelles d’un char israélien début 2009, lors de l’opération « Plomb durci ». Il n’a rien vu à Gaza, aucun crime, aucune violation du droit international. Pour justifier une opération qui a fait plus de 1 400 morts du côté palestinien (en majorité des civils), il a utilisé les mêmes arguments, les mêmes mensonges qu’invoquait l’armée française durant la guerre d’Algérie — ces arguments que défendaient le général Bigeard, à qui le gouvernement de gauche rend hommage ce 20 novembre, et certains intellectuels de l’époque (oui, il existait des intellectuels affirmant que la torture n’était pas pratiquée en Algérie).

    J’avais, dans un précédent papier, appelé à libérer les Palestiniens des mensonges de Bernard-Henri Lévy. Il remet cela aujourd’hui, dans une de ses chroniques du Point (22 novembre), intitulée « Obscénités ».

    « Remettons les choses en place. Tsahal a évacué Gaza, unilatéralement, sans conditions, en 2005, à l’initiative d’Ariel Sharon. Il n’y a plus, depuis cette date, de présence militaire israélienne sur ce territoire qui est, pour la première fois, sous contrôle palestinien. »

    Premier mensonge. Gaza reste, pour les Nations unies, un territoire occupé. La seule différence, c’est que les geôliers sont hors de la prison, pas à l’intérieur. Mais ils ne soumettent pas seulement le territoire à un blocus, ils empêchent Gaza d’exporter ses productions agricoles et, comme le rappellel’ONU, 35 % des terres cultivables et 85 % des eaux pour la pêche sont partiellement ou totalement inaccessibles aux Gazaouis en raison des restrictions israéliennes.

    « Les gens qui l’administrent et qui, par parenthèse, ne sont pas arrivés par les urnes mais par la violence et au terme — juin 2007 — de plusieurs mois d’un affrontement sanglant avec d’autres Palestiniens, n’ont plus avec l’ancien occupant l’ombre d’un contentieux territorial du type de celui qu’avait, mettons, l’OLP de Yasser Arafat. »

    S’il y a eu une guerre civile interpalestinienne, le Hamas a gagné des élections démocratiques en 2006, en Cisjordanie et à Gaza. Et que veut dire : les gens qui administrent (Gaza) n’ont pas de contentieux territorial avec Israël ? C’est à peu près le langage que tenaient les Américains pendant la guerre du Vietnam, lorsqu’ils disaient que le Nord-Vietnam n’avait aucun contentieux territorial.

    L’enjeu, rappelons-le, est l’édification d’un Etat palestinien indépendant que le gouvernement israélien rejette.

    « Des revendications d’un Arafat comme de celles, aujourd’hui, de Mahmoud Abbas, on pouvait estimer qu’elles étaient excessives, ou mal formulées, ou inacceptables  : au moins existaient-elles et laissaient-elles la possibilité d’un accord politique, d’un compromis, alors que, là, avec le Hamas, prévaut une haine nue, sans mots ni enjeux négociables — juste une pluie de roquettes et de missiles tirés selon une stratégie qui, parce qu’elle n’a plus d’autre but que la destruction de l’“entité sioniste”, est une stratégie de guerre totale. »

    Excessives, les revendications d’un Mahmoud Abbas qui réclame 22 % de la Palestine historique ? Et, contrairement à ce que prétend notre « philosophe », il n’y aura aucun accord politique possible tant que les gouvernements israéliens rejetteront l’application du droit international et le retrait d’Israël de tous les territoires occupés. Quant à la position du Hamas, BHL la déforme totalement. S’agissant de la recherche d’une solution politique, le Hamas est bien plus modéré qu’Avigdor Lieberman, ministre des affaires étrangères israélien et militant d’extrême droite notoire. Paradoxalement, si Lieberman avait été élu dans un pays européen, BHL serait le premier à demander son boycott par les autorités françaises.

    « Et quand Israël, enfin, s’avise de cela, quand ses dirigeants décident de rompre avec des mois de retenue où ils ont accepté ce qu’aucuns autres dirigeants au monde n’ont jamais eu à accepter, quand, constatant, de surcroît, dans l’effroi, que le rythme des bombardements est passé d’une moyenne de 700 tirs par an à presque 200 en quelques jours et que l’Iran a, par ailleurs, commencé de livrer à ses protégés des FAJR-5 pouvant frapper, non plus seulement le sud, mais le cœur même du pays, et jusqu’aux faubourgs de Tel-Aviv et Jérusalem, ils se résolvent à réagir — que croit-on qu’il se passe  ? »

    Encore un mensonge. Comme en 2008, c’est le gouvernement israélien qui a rompu la trêve. Entre juin 2008 et novembre 2008, le cessez-le-feu régnait, et c’est l’assassinat par l’armée israélienne de militants palestiniens à l’intérieur de Gaza qui déboucha sur une escalade. La simple consultation des rapports hebdomadaires des Nations unies sur la situation à la frontière, en octobre-novembre 2012, montre que, à chaque fois, ce sont des assassinats ciblés israéliens qui ont entraîné l’engrenage de la violence.

    « Le Conseil de sécurité des Nations unies, que l’on a rarement vu, ces derniers mois, si prompt à la détente, se réunit dans l’urgence pour débattre, non de l’éventuelle disproportion, mais du principe même de la légitime défense israélienne. Le ministre des Affaires étrangères britannique, à qui l’on ne souhaite pas de voir la partie sud de son pays sous le feu d’une organisation reprenant le sentier de la guerre terroriste, menace l’Etat hébreu de perdre, en faisant son travail de protection de ses citoyens, les maigres derniers soutiens qu’il a la bonté de lui reconnaître sur la scène internationale. »

    « La responsable de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, commence par dédouaner le Hamas d’attaques fomentées pour partie, selon elle, par d’“autres groupes armés” et ne trouve à déplorer, dans le plus pur style tartufe du renvoi dos à dos des extrémistes-des-deux-bords, qu’une “escalade de la violence” où, comme dans la nuit hegelienne, toutes les vaches sont devenues grises »

    Ces déclarations européennes ne doivent tromper personne. Tout le monde sait que, depuis des années, l’Union européenne développe des relations bilatérales avec Israël, indépendamment de l’action de ce pays dans les territoires occupés, indépendamment de la construction quotidienne de colonies, indépendamment de la violation régulière des droits humains.

    « Le Parti communiste, en France, exige des “sanctions”. Les Verts, que l’on n’a guère entendus, ni sur la Syrie, ni sur la Libye, ni sur les centaines de milliers de morts des guerres oubliées d’Afrique ou du Caucase, clament que “l’impunité d’Israël doit cesser”. Des manifestants “pacifistes”, qui ne daignent pas, eux non plus, sortir de chez eux quand c’est Kadhafi ou Assad qui tuent, descendent soudain dans la rue — mais c’est pour dire leur solidarité avec le seul parti qui, en Palestine, refuse la solution des deux Etats, donc la paix. »

    « Et je ne parle pas de ces experts ès conspiration qui, confortablement installés dans leur fauteuil d’éditorialiste ou de stratège en chambre, ne veulent voir dans cette histoire que la main démoniaque d’un Netanyahou trop heureux d’une nouvelle guerre qui va faciliter sa réélection. Je n’entrerai pas dans des comptes d’apothicaire remontrant à ces ignorants que tous les sondages, avant la crise, donnaient Netanyahou déjà largement gagnant. Je ne m’abaisserai pas à confier à des gens pour qui, de toute façon, quoi qu’il fasse, Israël est l’éternel coupable, ce qui, si j’étais israélien, me dissuaderait, moi, de voter pour la coalition sortante. »

    Vous l’avez compris, BHL n’est pas confortablement installé dans son fauteuil, et si l’armée israélienne envahit Gaza, nul doute qu’on le verra sur un char israélien. Quant à la dimension électorale de l’action, elle est évidente, même si elle n’est pas la seule dimension de cette intervention. Car, contrairement à ce qu’écrit notre « philosophe », l’avance de Nétanyahou ne l’assurait pas du tout de la victoire. Quant au vote de BHL, il irait sans doute à l’opposition, celle qu’incarnent M. Olmert et Mme Livni, ceux-là mêmes qui ont mené la guerre de 2006 contre le Liban et de 2008-2009 contre Gaza, avec l’appui, rappelons-le, du mouvement La Paix maintenant.

    « Et quant à rappeler à ces petits malins que, s’il y a une manœuvre, une seule, aux sources de cette nouvelle tragédie, c’est celle d’un establishment Hamas qui est prêt à toutes les surenchères et toutes les fuites en avant, et qui est décidé, en réalité, à lutter jusqu’à la dernière goutte de sang du dernier Palestinien plutôt que d’avoir à rendre le pouvoir, ainsi que les avantages qui vont avec, à ses ennemis jurés du Fatah — à quoi bon  ? »

    Le plus étonnant, c’est que, comme le reconnaissent divers journalistes israéliens bien plus courageux que BHL, le Hamas tente, depuis cinq ans, de faire appliquer le cessez-le-feu, mais il fait face à des groupes radicaux qui se nourrissent du désespoir palestinien (et qui sont armés, entre autres, avec du matériel issu des arsenaux libyens que plus personne ne contrôle).

    « Face à ce concert de cynisme et de mauvaise foi, face à ce deux poids deux mesures qui fait qu’un mort arabe n’est digne d’intérêt que si l’on peut incriminer Israël, face à cette inversion des valeurs qui transforme l’agresseur en agressé et le terroriste en résistant, face à ce tour de passe-passe qui voit les Indignés de tous pays héroïser une nomenklatura brutale et corrompue, impitoyable avec les faibles, les femmes, les minorités et enrôlant ses propres enfants dans des bataillons de petits esclaves envoyés creuser les tunnels par où transiteront les douteux trafics qui vont les enrichir encore, face à cette méconnaissance crasse, en un mot, de la nature réelle d’un mouvement dont “Les protocoles des sages de Sion” sont un des textes constitutifs et que son chef, Khaled Mechaal, dirigeait jusque récemment depuis une confortable résidence à Damas, il n’y a qu’un mot  : obscénité. »

    « Obscénité » : BHL fait sans doute référence à ses propres « arguments » pour justifier l’injustifiable.

    Sur BHL, lire notre dossier en ligne « L’imposture Bernard-Henri Lévy ».

  • israel seme la tempete et les usa recolte un embassadeur tué!! a cause de ces va-nu pieds,ces apatrides à qui leur prophete moise les a abadonner..r

    L’ambassadeur et trois fonctionnaires US en Libye tués

    Un film anti-Islam met le feu aux poudres

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    Des centaines de personnes ont manifesté, hier, dans plusieurs pays arabes contre un film jugé insultant envers l’islam, qui a déjà provoqué une attaque contre l’ambassade américaine en Libye, faisant quatre morts, dont l’ambassadeur.

    Ce dernier et trois fonctionnaires ont été tués, mardi soir, dans une attaque armée contre le consulat à Benghazi, en Libye. Ce film, réalisé par un Israélo-Américain, avait donné lieu également à une manifestation devant l’ambassade américaine au Caire, lors de laquelle des protestataires avaient remplacé le drapeau américain par un étendard islamique. La mort de l’ambassadeur illustre, une fois de plus, l’incapacité des autorités libyennes à assurer la sécurité dans le pays, où des milices armées font la loi, près d’un an après la chute du régime de Mouammar El Gueddafi. Elle intervient également alors que le Congrès général national (CGN), la plus haute autorité politique du pays, devait élire hier le chef du gouvernement, dont la principale tâche sera justement de mettre en place une armée et une police professionnelles. Ce film a ainsi pu mettre le feu aux poudres en Libye, mais pas seulement, puisque la contestation, certes pacifique, s’est propagée dans plusieurs pays.

    En Tunisie, une centaine de militants salafistes, hommes et femmes, portant les étendards noir et blanc de cette mouvance, se sont massés sur le bord d’une route, en face de l’ambassade des Etats-Unis, située sur les berges du Lac nord (10 km au nord de Tunis). Ils ont dénoncé le film américain Innocence of Muslims (L’innocence des musulmans), qui se veut une description de la vie du prophète Mahomet et évoque notamment les thèmes de l’homosexualité et de la pédophilie. Il est signé par un Israélo-Américain qui décrit l’islam comme un «cancer». Des renforts policiers étaient déployés, tandis qu’un véhicule militaire montait la garde et des motards patrouillaient autour de l’ambassade, un bâtiment casemate habituellement très sécurisé. Au Maroc, entre 300 et 400 personnes ont manifesté à proximité du consulat des Etats-Unis à Casablanca, la plus grande ville du pays, a constaté un photographe de l’AFP. Ces manifestants, des jeunes dans leur grande majorité, se sont regroupés à 200 m du consulat, sous forte présence policière, d’après la même source.

    L’appel à manifester avait été lancé de manière spontanée, sans intervention d’une organisation, et s’est propagé via les réseaux sociaux, notamment. Virulents, les jeunes scandaient «Mort à Obama», mais aucun incident n’a été déploré, selon le photographe de l’AFP. Plusieurs centaines de personnes ont également manifesté devant l’ambassade des Etats-Unis à Khartoum, a indiqué un responsable à l’ambassade, en assurant que personne n’était entré dans l’enceinte du bâtiment. Les manifestants, rassemblés à l’initiative d’un groupe se présentant sous le nom de Jeunes Soudanais, «réclamaient des excuses immédiates et le retrait imminent de la vidéo de YouTube». Ils exprimaient également leur mécontentement à propos de la position du pasteur américain très controversé, Terry Jones, qui a défendu le film, selon ce responsable. Dans les Territoires palestiniens, des dizaines de personnes ont manifesté à Ghaza contre les Etats-Unis, brûlant des drapeaux américains.

    Les participants ont incendié, devant le siège de l’ONU à Ghaza, des drapeaux américains et des photos du pasteur Terry Jones qui avait brûlé en public un exemplaire du Coran. «Ce film est la preuve manifeste qu’il y a une politique occidentalo-sioniste pour insulter l’islam de toutes les manières possibles», a déclaré à l’AFP un des organisateurs du rassemblement, Khaled Al Azzabat. Un porte-parole du Hamas, qui gouverne la bande de Ghaza, Fawzi Barhoum, a condamné sur sa page facebook «la diffusion d’un film contre notre prophète Mahomet, un acte honteux, raciste et offensant pour tous les musulmans du monde», y voyant «le produit de la culture de haine des musulmans incarnée par la politique américano-sioniste». Des extraits de Innocence of Muslims, un long métrage américain à petit budget, avec des costumes d’amateur, un scénario confus et des décors artificiels ont été diffusés sur internet ou des chaînes de télévision privées burs-feb/cco.                                             
     

    R. I.