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  • ALGERIE:Mais où est donc DOK ?

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    Question. Le taux de réussite au baccalauréat, cette année, n’a été que de 44,72%, en baisse par rapport à l’année dernière où il avait atteint 58,84%. Que s’est-il passé en un an ? Une fuite dans les cerveaux ? Non, selon le nouveau ministre de l’Education, «le taux de l’année dernière était politique». C’est-à-dire que devant les vagues de contestation, on a donné le bac même à ceux qui ne le méritaient pas. Quelle est la valeur d’un bac dans ces conditions ? Il faut demander à Benbouzid qui, après 14 ans à l’Education, est aujourd’hui sénateur. D’ailleurs, l’aveu du nouveau ministre ressemble à celui de ce ministre qui avait affirmé que «cette fois-ci, les élections seront honnêtes». Ce qui voulait dire que celles d’avant ne l’étaient pas. Quelle est la valeur d’une élection  ? Il faut demander à DOK, le ministre de l’Intérieur, qui, lui, était sénateur avant d’être ministre.

    On a oublié la question, mais où est donc DOK ? Selon les uns, il est toujours ministre de l’Intérieur ; selon les autres, il est en vacances en Tunisie. Selon d’autres encore, il serait malade mais pas en France, sinon on l’aurait vu à la télévision en train de manger des gâteaux. Enfin, selon L’Expression, le quotidien qui sait tout, la somptueuse villa de DOK à Oran, près du Sheraton, aurait été cambriolée, ce qui expliquerait l’absence du ministre, occupé à tenter de récupérer son écran 3D volé.

    Mais si c’est vrai, le problème est sérieux : comment peut-on cambrioler la villa du chef de la police ? Il n’y a plus de valeurs, c’est comme le bac ou les élections. C’était quoi la question déjà ? Oui, est-ce que les gâteaux que Sellal a servis devant la télévision sont des gâteaux algériens ? Ont-ils été importés d’Alger et est-ce Gaïd Salah qui les a amenés avec lui ? Non, ce n’était pas la question. Où est donc DOK ? Il prépare les prochaines élections. Les résultats ? Comme le bac, tout dépend du sujet.

     

    Chawki Amari
  • Algerie un malade mental :

    DAHO OULD KABLIA AU SUJET DES DÉPASSEMENTS PENDANT LA CAMPAGNE :
    «Aucun impact sur les élections»

    Les dépassements relevés par les deux commissions chargées de la supervision et de la surveillance des élections n’entacheront pas le déroulement du scrutin. L’affirmation est du ministre de l’Intérieur.
    Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Invité de la Chaîne I, Daho Ould Kablia a donné son appréciation du déroulement de la campagne électorale, estimant, une fois de plus, que cette dernière avait timidement commencé avant d’atteindre sa vitesse de croisière. Les commissions de surveillance de supervision des élections, dit-il, ont effectué leur travail dans «de bonnes conditions» puisque, dit-il, une première expérience a déjà été tentée à l’occasion des législatives. Ces deux instances ont eu à trancher au sujet de plusieurs litiges et dans beaucoup de cas de dépassements. Des cas qui n’ont eu, ajoute-t-il, aucun impact sur la crédibilité des élections. Il assure cependant que la neutralité de l’administration est assurée pour ces élections. Interrogé au sujet de la loi sur les communes, le ministre de l’Intérieur a déploré le fait que beaucoup de partis et même des faiseurs d’opinions n’ont pas lu le texte et affirment que les prérogatives du président d’APC ont été réduites. «En donnant la prérogative de distribuer les logements aux chefs de daïra, on a protégé les présidents d’APC qui sont en première ligne dès qu’il y a contestation d’une liste de bénéficiaires », répond le ministre qui affirme que les élus jouissent de toutes les prérogatives qui leur donnent la possibilité de mener à bien les projets inscrits dans le cadre de leurs communes. Il a rappelé que durant le quinquennat dernier, une enveloppe de 65 milliards a été allouée pour réaliser les projets présentés par les APC et que 37,5 milliards de dinars du fonds commun des collectivités locales ont été utilisés pendant le dernier quinquennat pour résorber le déficit des communes. Ould Kablia est formel : aucune APC n’était déficitaire en 2011 et 2012 puisque l’Etat a pris en charge leurs dettes, rappelant que la mauvaise gestion était souvent à l’origine de cette situation et que la qualité des élus dépendait des partis politiques qui définissent les critères.
    N. I.

  • ce vieux corbeau de malheur DOK,il instutialise à lui tout seul" la corruption"


    Hadjer Guenanfa        http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcT4jtdy--CYU7W_3tpOX6nVJlbcR7-_EExt498TADPxv3v1Kj-eqQ

    Le ministère de l’Intérieur a refusé d’accorder l’agrément à l’Association nationale de lutte contre la corruption (ANLC), a‑t‑on appris, ce dimanche 4 novembre auprès de son secrétaire général, Khelil Moumène. Ce dernier a reçu, le 29 octobre, une correspondance du ministère qui a justifié son refus d’accorder l’agrément par le non‑respect de la nouvelle loi sur les associations. Mais aucun article de loi n’a été cité dans ce document, selon M. Moumène. « On a été à cheval sur les procédures. On a respecté le nombre des fondateurs, celui des wilayas, etc. On a fait un PV de l’assemblée générale. Un huissier de justice était présent », explique Khelil Moumène. Les fondateurs de cette association ont prévu d’organiser une conférence de presse mardi pour parler de « cette interdiction arbitraire », selon eux. L’Association nationale de lutte contre la corruption est composée notamment de militants de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (Laddh). Cette organisation avait déjà mis en place, en 2011, une cellule de lutte contre la corruption et pour la protection des deniers publics. Khelil Moumène se dit surpris par cette interdiction en contradiction avec le discours officiel sur la lutte contre la corruption.

  • baghaloun kabiroun

    Daho Ould Kablia l’a déclaré hier

     

    “Le marché noir de la devise ne nous dérange pas”

    Par : Souhila HAMMADI

    Le ministre de l’Intérieur a reconnu que les prochaines élections locales ne captent pas l’intérêt des électeurs ni de la classe politique. Selon lui, un taux de participation de l’ordre de 40 à 45% serait correct.

    Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales a animé, hier au Palais des nations, à l’issue de la rencontre avec les cadres de l’administration locale, sa deuxième conférence de presse en moins d’une semaine. S’il n’a éludé, cette fois-ci, aucune question, le débat a porté naturellement sur l’actualité dont la volonté de l’État de venir à bout du commerce au noir avant le mois du Ramadhan 2013. Il s’agissait alors de savoir si cette guerre contre l’informel sera élargie au marché parallèle de la devise étrangère. “Il est facile d’éradiquer le marché noir de la devise en une seule journée. Mais le citoyen y trouve son compte tant qu’il n’existe pas de bureaux de change”, a répondu Daho Ould Kablia. “C’est une activité illégale, certes, mais je ne vois pas d’inconvénient à ce qu’elle soit éradiquée ou qu’elle soit maintenue. C’est un problème mineur”, a-t-il poursuivi, assurant que ceux qui activent dans cette filière “sont identifiés et peuvent prémunir contre la fausse monnaie”.
    Au chapitre des élections locales du 29 novembre prochain, le ministre de l’Intérieur a reconnu que ce rendez-vous ne capte pas l’intérêt des électeurs ni de la classe politique. Selon lui, un taux de participation de l’ordre de 40 à 45% serait correct.
    Il a révélé aussi que plus de la moitié des formations politiques en lice pour des sièges dans les Assemblées communales, a déposé moins de 50 listes électorales. “Certains partis politiques participent avec deux ou trois listes. C’est symbolique”, a-t-il commenté. “On dit que Ould Kablia est un producteur industriel de partis politiques. Je ne produis rien. J’applique la loi”, s’est-il défendu. Sur la fiabilité du fichier électoral, le ministre a indiqué que les services de son département font, chaque année, un toilettage des listes. “C’est extrêmement difficile car qui dit 20 millions d’électeurs dit nécessité de mener 20 millions d’enquêtes. Nous règlerons ce problème quand nous aurons un fichier électoral uniforme, établi sur la base de supports électroniques”. Interpellé sur les inscriptions collectives des militaires sur les listes électorales, il a invoqué la loi organique portant régime électoral qui autorise cette démarche pour tous les corps constitués. “Ceux qui sont contre les inscriptions collectives sont les partis politiques pour lesquels les militaires ne votent pas pour leurs accointances avec des groupes qu’ils ont combattus”, a-t-il déclaré tout de go.
    M. Ould Kablia a expliqué que la délivrance de passeports biométriques, qui sera généralisée au plus tard le 25 novembre 2015, est “liée à la mise en place des plates-formes techniques et des équipements appropriés. Jusqu’à présent, les circonscriptions administratives de la capitale en sont dotées, ainsi que deux daïras par wilaya”. Il a indiqué que sur 221 108 demandes de passeport biométrique introduites, 2 800 ont reçu un avis défavorable et 205 288 ont été agréées. Plus de 189 200 documents de voyage normalisés ont été déjà délivrés tandis que 13 017 sont en cours de traitement.

     


    S H

     

  • Réformes à rebours

     

    Par : Mustapha Hammouche

    Le Conseil des ministres du “nouveau” gouvernement, le second de l’année, s’est enfin tenu. Et le plan d’action de l’Exécutif a été adopté.
    Pourquoi un plan d’action et non un programme de gouvernement (.) ? Parce que cet Exécutif, dont la quasi-totalité des membres a été désignée sur des critères politiques, est réputé pour être un gouvernement de “technocrates” et d’action. Le programme du gouvernement, c’est le programme du Président.
    Dans notre contexte, il n’y a pas plus politique que la désignation d’un ministre. Mais pas politique au sens républicain du terme. Si le gouvernement est là pour l’action qui met en œuvre le programme du Président, et les ministres sont auditionnés pour rendre compte de leurs performances exécutives, à quoi sert donc l’Assemblée nationale ? Du point de vue du programme du gouvernement et des modalités de sa mise en œuvre, à rien. Ou plutôt si !  À la formalité exécutive qui consiste à voter les lois qui soutiennent l’action du gouvernement. Le programme étant celui du Président élu en 2009, il n’y a pas de raison d’attendre des “surprises” de ce côté-là. À moins que le changement ne se décline ici en termes d’efficacité, ce qui signifierait qu’il suffit de rebaptiser un gouvernement de “politique”, de “gouvernement de technocrates”, pour que l’équipe améliore son rendement exécutif.
    Que le Président soit seul responsable de l’Exécutif est, depuis 2008, constitutionnel. Mais la Constitution révisée n’a pas clairement exclu le Parlement de l’inspiration du programme de gouvernement et de son contrôle. Mais nous sommes dans une situation de fait de désarmement politique du législatif qui a le choix entre l’approbation machinale ou la crise.
    Dans le gouvernement actuel, “coordonné” par un Premier ministre “non partisan”, mais au demeurant très politique, il n’y a pas de rapport entre l’assortiment politique — au sens partisan — de l’Assemblée nationale et le mixage gouvernemental. Le message est clair : si les partis majoritaires soutiennent le Président, ils doivent soutenir son programme sans revendiquer le droit d’être aux commandes des instruments de sa mise en œuvre.
    Tout cela est concevable en tant que situation politique de fait. Mais le problème se pose lorsqu’on se rappelle que le pays est supposé avoir entamé, depuis le 15 avril 2011, un processus de réformes. Ce tacite principe qui fait de l’Exécutif l’unique pouvoir formel devient alors incompatible avec le couplet sur les réformes “approfondies”, reproduit depuis un an et demi.
    Dans le contexte actuel, les “réformes”, cela ne peut s’entendre que dans le sens d’un surplus de démocratie, c’est-à-dire d’une réhabilitation de la fonction législative et, par conséquent, de la voix du peuple. Or, une conception “technocratique”, ou plutôt une labellisation “technocratique” du gouvernement qui vise à supplanter sa nécessaire légitimité parlementaire, c’est le contraire de la démocratie, et donc le contraire de “réformes”.
    Certes, les lois dites “de réformes” ont déjà montré que les réformes en question empruntaient le sens inverse de celui qu’on prête, de nos jours, à la notion de réforme. Ce sont justement ces lois qui ont permis “l’élection” d’une APN dont le président reprenait avant-hier le fameux couplet sur la pertinence démocratique de nos “réformes”. Il saluait, en fait, du haut du  perchoir, une réforme à rebours.

  • blabla ,c'est vous le retardataire avec les tadjanous-les tahragdjanous ,les vieux carcans qui n'ont pas fait de revolution

    Il s’est montré sceptique sur la célébration du cinquantenaire

    “Nous sommes en retard de 50 ans”

    Par : Nadia Mellal

    Le ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia, a estimé, hier, au forum de Liberté, que les résultats de la célébration officielle du cinquantenaire de l’Indépendance seront “mitigés”. Le ministre Ould Kablia a indiqué d’entrée qu’“il y a l’évènement et ce qui est attendu de l’évènement”.
    “Le but de cette manifestation étant de réchauffer la flamme patriotique auprès des jeunes”, dit-il. Mais, selon lui, “les résultats à ce propos seront mitigés”. Ce qui signifie, estime-t-il, qu’“on n’arrivera pas à réchauffer la flamme patriotique chez les jeunes d’aujourd’hui”. Son argument est que “nous sommes en retard de 50 ans”.
    “Et ce n’est pas aujourd’hui qu’on va dire aux jeunes que la Révolution est sacrée”, explique-t-il, avant de préciser sur sa lancée : “Les jeunes d’aujourd’hui sont préoccupés par autre chose, pas par la Révolution.”
    Pour étayer ses propos, le ministre a parlé du film réalisé à l’occasion du Cinquantenaire sur l’un des héros de la Révolution, en l’occurrence Mustapha Benboulaïd. “Prenez dans la rue dix personnes, posez-leur la question, vous  constaterez que neuf d’entre elles ne connaissent ni Benboulaïd, ni Si El-Haouès, ni Amirouche.”
    Évoquant les écrits liés au Cinquantenaire, le ministre de l’Intérieur a indiqué qu’il “les a lus tous” et qu’il les classe en deux catégories : “Il y a les écrits d’acteurs de la Révolution qui sont subjectifs et il y a ceux des historiens.” Évoquant les écrits des historiens, il relèvera qu’ils ont “ramassé des bribes chez les acteurs et l’ennemi d’hier et ont tenu un discours partial”. Ce qui sous-entend que malgré les moyens humains et matériels colossaux consacrés à cet évènement, les résultats seront insatisfaisants. Aussi, et pour pallier cette situation, le ministre préconise que l’école “inculque aux élèves dès leur jeune âge le sens civique et les valeurs patriotiques”.  De même qu’il recommande qu’un bilan soit fait sur les cinquante ans de l’Indépendance. “Qu’est-ce que nous avons fait et qu’est-ce qui reste à faire, nous n’avons qu’une seule chance pour faire cette évaluation”, dit-il. Dans le même ordre d’idées, le ministre déplore les échanges acerbes entre les acteurs et témoins de la Révolution : “Ce que je déplore, ce sont ces disputes de chartriers où les uns lancent des accusations à d’autres.”
    “La Révolution a été une grande œuvre d’hommes, et tout ce qui est humain ne peut pas être parfait”, dit-il.

  • du blabla,comme tjrs

    Le ministre de l’intérieur évoque la situation sécuritaire

    “On ne peut pas s’avancer sur le nombre de terroristes”

    Par : Karim Kebir

    L’invité du Forum de Liberté a abordé le dossier sensible de la sécurité en indiquant que le “volet sécuritaire est totalement maîtrisé dans les villes”.

    Alors que Washington considère  qu’Aqmi reste une menace sécuritaire importante à l’est d’Alger et aux frontières sud du pays, Alger tente de rassurer. “En matière de terrorisme, la situation à l’intérieur du pays est stable pour ne pas dire en régression”, a estimé hier à Alger le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia.
    Comme son prédécesseur, Yazid Zerhouni, il concède, cependant, que plus le nombre de terroristes diminue, plus la tâche pour le combattre avec les moyens utilisés jusque-là s’avère “ardue”.
    “C’est vrai qu’il y a parfois des pics, comme ce qui s’est passé avant-hier (attaque des GGF, ndlr)”, a admis Ould Kablia, invité du Forum de Liberté. Selon le ministre, les gardes-frontières ont été “piégés”. “Ils ont reçu un appel, selon lequel il y a une infiltration de contrebandiers… Ils ont été surpris alors qu’ils étaient en nombre réduit”, a-t-il expliqué.
    Mais en dépit de ces actions sporadiques, Ould Kablia trouve matière à  satisfaction concernant le volet sécuritaire, notamment dans les villes où la situation est “totalement maîtrisée”. “Ce qu’il y a lieu de dire en matière de sécurité des villes, la question est totalement maîtrisée et ça c’est important car l’objectif des actions dans les villes, pour les terroristes, est d’ordre politique”, a-t-il dit. “L’armée continue à veiller (...) Il y a quatre ou cinq wilayas sensibles où il y a ratissage”, a-t-il ajouté. Mais, contrairement à Zerhouni qui situait le nombre de terroristes en activité autour de 300 éléments en 2009, Ould Kablia, lui, refuse de se hasarder à avancer quel que chiffre. “On ne peut pas avancer de chiffres concernant le nombre  de terroristes”. Seule certitude : “Une grande action est menée contre les réseaux de soutien ; il y a beaucoup de résultats…Il y a un très grand nombre de démantèlement de casemates”, soutient Ould Kablia qui rappelle que le rapport américain sur le terrorisme “relève une lutte soutenue des autorités algériennes et obtient des résultats”. Interrogé sur la situation à l’extrême sud du pays, Ould Kablia a affirmé que c’est l’Armée nationale populaire qui assure la prise en charge des réfugiés fuyant le nord Mali, comme Bordj Badji-Mokhtar.
    Et concernant la sécurité, il a assuré qu’“elle est bien prise en charge”, même s’il admet que “le degré de tolérance zéro n’existe pas”. À la question sur l’attentat de Ouargla, Ould Kablia a indiqué que les autorités algériennes connaissent les commanditaires “qui sont de l’extérieur”.
    Cet attentat serait l’œuvre du Mujao. “On n’a pas réussi à leur mettre la main dessus, mais on cherche à établir la nature des liens avec l’intérieur”.
    Par ailleurs, à propos du rapport américain sur les libertés religieuses, Ould Kablia a estimé qu’“il n’y a pas d’atteinte à la liberté religieuse”.
    “Dans notre pays, il y a une loi, mais nous avons des actions de prosélytisme… Certains viennent notamment des USA ; ils viennent en touristes et encouragent les Algériens à se convertir”.
    Autre problème : certains lieux de culte sont parfois créés de façon inappropriée, selon lui. “Mais si vous parlez d’atteinte à notre religion, cela n’existe pas dans le rapport…”, a-t-il ironisé, allusion peut-être aux non-jeûneurs.

  • Fausses peurs et vrai foutage de gueule !


    Par Hakim Laâlam  
    Email : laalamh@yahoo.fr Le changement à la tête du gouvernement se précise. Ouyahia
    serait appelé à d’autres fonctions.

    Ambassadeur en Turquie ?

    Là, j’avoue, je suis intrigué. Intrigué par cette soudaine et terrifiante peur exprimée par Daho Ould Kablia face à l’éventualité d’une abstention massive aux prochaines législatives. Comment est-ce possible ? D’où le ministre des gaz lacrymos qui pleuvent sur Laghouat a-t-il puisé ce sentiment de peur de l’abstention ? Je me creuse les méninges comme d’autres — les pontes du régime — creusent le déficit de la Sécu en se faisant prendre en charge pour soins à l’étranger et je n’ai toujours pas d’explication à cette peur panique que Daho dit ressentir face au risque d’abstention en mai prochain. Pas de réponse, mais des questions. Des questions à profusion. Où sont passés les bus ? Comment ça, quels bus ? Mais les bus, bon Dieu ! Les bus des rendez-vous électoraux. Les bus des meetings décrétés populaires. Ceux qui raflaient par fournées pleines des électrices et des électeurs de leurs campagnes et villes, et les déversaient dans les centres de vote, la mine joviale, le pas alerte et la main prête à dégainer le bulletin de l’isoloir et à le glisser triomphalement dans l’urne ? Où sont passés les caméras de l’ENTV sillonnant tout le pays, se pointant à cinq heures du matin devant les écoles et jurant qu’à cette heure-là, trois heures avant l’ouverture du scrutin, le taux de participation était déjà de 60% ? Où sont passées ces foules énooooooormes qui poussaient comme un seul homme le portail rachitique d’un primaire, jusqu’à en dessouder les gonds, qui couraient comme des dératés vers les classes, certains perdant leurs sandales dans la cavalcade, mais n’en arrêtant pas pour autant leur sprint de peur de ne pas figurer dans le JT de la mi-journée ou dans les envois ponctuels faits toutes les dix minutes par des reporters en extase face à ce déferlement patriotique ? Où sont passés ces mères et pères de famille qui affirmaient à deux centimètres de l’objectif de la caméra, nous donnant à voir sous tous les angles leurs furoncles et leurs taches brunes, qu’ils «n’auraient loupé ce grand jour pour rien au monde» ? Ya Daho Khouya ! Tout cela ne s’est quand même pas évaporé d’un coup, subitement, tout à coup, subrepticement en veux-tu-en-voilà ? Je suis sûr que ta peur de l’abstention n’est pas vraiment justifiée. Tu n’as pas été suffisamment… renseigné. Ce qui, je le conçois, est un comble pour le chef de la police. Du calme, mon Daho, du calme ! Appelle le chef de parc du régime. Lui doit savoir dans quel garage secret sont stationnés les fameux bus. Téléphone aux directeurs de la culture dans chaque région, et ils te diront eux aussi où sont entreposés tous les Ghaïta-Band du système, ceux qui, au coup de baguette magique, iront animer comme de beaux diables les places publiques. Allons ! Allons ! Mon Daho. Je ne peux pas croire qu’un grand garçon comme toi qui a mis tant de fois à mal et à terre l’abstention en ait soudain peur aujourd’hui. Non ! Je ne peux définitivement pas le croire. Je me refuse à le croire. Et je fume du thé pour rester éveillé à ce cauchemar qui continue.

  • Ould Kablia remet en selle l'ex-FIS

     

    Par
     
    Dahou Ould Kablia joue avec le feu Dahou Ould Kablia joue avec le feu

     

    S'exprimant sur les ondes de la radio Chaîne III, le ministre de l'intérieur, Dahou Ould Kablia, invite l'ex-FIS à se reconstituer en toute légalité à l'étranger et ses militants à grossir les rangs de l'alliance présidentielle. Il exhorte par ailleurs le peuple algérien a ne pas se tromper "de monde"...

     

    Décidément, l’islamisme s’invite à toutes les sauces aigres du pouvoir. Jamais depuis les réformes lancées par Bouteflika et adoptées sans surprise aucune par son parlement "beni oui oui", les islamistes n’ont autant parlé, fait parler d’eux, rempli les journaux, les ondes et la télévision, hanté l’alliance présidentielle. Ils deviennent, pour ainsi dire, la référence principale des législatives. Le scénario cauchemardesque de 1990 semble être remis en place par le pouvoir à bout de souffle qui, pour se légitimer, encore et toujours, agite la menace des partis islamistes qu’il agrée entre temps au nom de la légalité constitutionnelle, pour en faire un chantage électoral. lire la suite..........

    http://www.freealgerie.com/debat-du-jour/244-ould-kablia-remet-sur-la-selle-lex-fis.html

  • AVEC CE MALADE MENTAL, TU CAUSES!!!!!!!

     

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    Photo sondage

    Pensez-vous que les prochaines élections seront «libres et sans fraudes» comme l’a souhaité le ministre de l’Intérieur Daho Ould Kablia ?

  • Belkhadem sur les plates-bandes d’Ould Kablia

    Le chef de la daïra de Sougueur vient de geler la décision d’attribution de 309 logements sociaux sur, dit-on, instruction de… Abdelaziz Belkhadem.
    Se trouvant dans cette localité, dans la matinée de lundi, pour une visite familiale, le SG du FLN a été, en effet, saisi par des contestataires de ladite liste à qui il a promis d’intervenir auprès du wali. Promesse tenue, puisque la décision du gel leur a été signifiée peu de temps après, au grand dam des bénéficiaires. Reste à savoir si ces interférences sont du goût de Daho Ould Kablia, le ministre de l’Intérieur qu’on dit pointilleux sur le respect de ses prérogatives.

  • DOK en mode vibreur

     

     

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    On pourrait croire au débat constructif quand le ministre de l’Intérieur discute avec les sénateurs sur le choix du mode de scrutin, proportionnel ou majoritaire, à liste ouverte ou fermée. Mais ce serait comme si l’on ne connaissait pas l’obsession du régime à truquer les élections avec tous les modes possibles et imaginables, du correcteur orthographique à la perceuse électrique en passant par l’imposition des mains, la fouille au corps électoral ou le gang bang, viol collectif des urnes. De fait, parler de mode de scrutin en oubliant la fraude organisée est comme demander à un aveugle s’il préfère des lunettes Giorgio Armani ou Dolce Gabbana.

    Un luxe que l’Algérien ne peut se permettre tant que ses dirigeants lui confisquent encore sa voix et son avis. D’ailleurs, DOK a tenu, dans la foulée, à rappeler que le mode de scrutin majoritaire avait fait gagner le FIS en 1991 avec seulement 3 millions de voix, mais 150 sièges aux législatives. Là aussi, il a oublié de rappeler que des partis démocrates demandaient un scrutin à la proportionnelle qui aurait accouché d’une Assemblée hybride, mais sans majorité nette. Sur un point seulement, celui-ci, unilatéralement décidé sans concertation, l’Algérie n’aurait peut-être pas basculé dans sa sombre séquence historique et DOK n’aurait jamais existé.

    Maintenant qu’il est là, grâce à la dérive terroriste et au repêchage des vieux recalés de l’ancien système, il aurait tout intérêt à réactiver les commissions d’enquête sur la fraude électorale au lieu d’ergoter sur le sexe des anges et de l’urne. Parce que, en tant que ministre de l’Intérieur, il va bientôt entrer dans l’histoire par la petite porte en étant le responsable de la prochaine fraude électorale. Son nom, comme celui de ses prédécesseurs, sera apposé à la longue liste des dirigeants algériens qui ne croient ni à la démocratie,
    ni au consentement, ni au XXIe siècle.

    Chawki Amari
  • DOK ,la décadence.....folie.....!!

     

    La blague de la semaine : Ould Kablia met en garde le CNT libyen

    Ould Kablia met en garde le CNT libyen
    “Tout ce que vous direz sera retenu contre vous !”

    Par : F. A.
    Liberté 12 juillet 2011 Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, a tenu, hier, à rappeler à l’ordre le Conseil national de transition (CNT), contre tout excès de langage. Dans sa réponse à une question de Liberté, en marge de l’ouverture de la 11e session du Comité bilatéral algéro-malien, sur les accusations réitérées par les membres du CNT contre l’Algérie qui, selon eux, continue à soutenir Kadhafi, M. Ould Kablia a fait appel au jargon hollywoodien : “Attention ! Tout ce que le CNT dira pourra probablement se retourner contre lui.” C’est donc la formule choisie par M. Ould Kablia pour mettre en garde le CNT que l’Algérie ne sera pas tendre avec lui dans le cas où il arriverait à prendre le pouvoir en Libye. Au sujet de savoir si la crise libyenne a permis la prolifération d’armes aux frontières, le ministre s’est voulu, cette fois-ci, plutôt rassurant. C’est “trop exagéré”, selon lui, de dire que la frontière est inondée d’armes. “Notre frontière est bien sécurisée”, a-t-il ajouté.