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  • Algerie Enquête sur une enquête

     

    Que ce soit la mort d’Ebossé, les détournements à Sonatrach, la fortune de Saadani, le tabassage de manifestants à Tizi Ouzou ou encore les morts de Ghardaïa et Touggourt, les enquêtes algériennes ont cette particularité de s’éterniser sans jamais arriver à une conclusion. Comme une promesse de réforme ou de relance de l’économie, l’essentiel est dans la formulation et jamais dans le résultat, les artistes de la conjugaison usant toujours du futur conditionnel pour éloigner la vérité et le mauvais sort.

    C’est connu, quand on veut noyer un problème, on crée une commission d’enquête. Et il y aurait, dans le cas algérien, largement de quoi enquêter sur ces enquêtes qui ne vont jamais jusqu’au bout. Peut-être faudra-t-il revenir sur la dernière affaire Air Algérie et la saisie d’un avion à Bruxelles pour une question d’argent non remis, imbroglio judiciaire à propos duquel aucune enquête actuelle ou future ne réussira à expliquer qui est responsable dans ce cas.

    Il est en tout cas difficile d’accuser la main étrangère de vouloir salir le pavillon algérien puisque la partie plaignante, la compagnie privée hollandaise K’Air, est dirigée par un Algérien qui a tenu à répondre à l’ex-PDG d’Air Algérie, un Algérien, à quoi l’APS, agence officielle algérienne, a répondu à son tour, rectifiant le PDG de K’Air ainsi que l’ex-PDG d’Air Algérie qui, à son tour, a chargé la compagnie et sa gestion actuelle.

    Tout le monde aura noté que l’actuel PDG d’Air Algérie n’a toujours rien dit, attendant certainement le résultat d’une enquête à propos du prochain crash de la compagnie prévu cette fois à l’heure. En attendant d’attendre, le président de la République serait encore retourné en France se soigner, en avion bien sûr, mais pas avec Air Algérie. Si ça continue, ils vont finir par le saisir. Combien seront-ils à Alger à accepter de donner de l’argent en caution pour le récupérer ? Bon sujet d’enquête.

    Chawki Amari
  • Ni motards, ni barrages mobiles des services de sécurité, ni rien du tout

    Circulation à très haut risque sur le tronçon infernal de la RN9 entre Souk El Tenine et Kherrata
    Riyad Hamadi

     la securité existe que dans la television el nahar obedience drs


    Le retour des estivants après la fin du Ramadan est synonyme de calvaire pour les automobilistes empruntant le tronçon de la Route nationale (RN) n° 9 entre Kherrata et la station balnéaire de Souk El Tenine, sur la côte est de Béjaia.

    Sur une trentaine de kilomètres, des bouchons interminables se forment chaque jour, dans l’anarchie la plus totale, en l’absence des services de sécurité.

    La route étroite et sinueuse n’arrive plus à contenir le flux d’estivants venant des villes de l’intérieur, comme Sétif, Bordj Bou Arreridj, M’sila et Batna, pour passer quelques heures au bord de la mer. Les habitants des villages situés aux abords de la RN9 trouvent d’énormes difficultés pour se déplacer durant l’été. La RN9, reliant Béjaia, où se trouve l’un des plus importants ports commerciaux d’Algérie, à Sétif, une grande ville de commerce, traverse encore les localités de Souk El Tenine, Les Deux Fontaines (Ait Anane), Darguina et Bordj Mira, un dangereux tunnel de 6 km où les chauffards roulent à grande vitesse et doublent dans les virages, dans l’impunité totale. La traversée de la ville de Kherrata, où l'infrastructure routière n'a pas été développée, nécessite désormais des heures entières !

    Le ministère des Travaux publics n’a pas encore jugé nécessaire la réalisation du dédoublement de ce tronçon infernal ainsi que les contournements, devenus inévitables, des villes de Souk El Tenine et d’Ait Anane où les automobilistes passent parfois des heures entières en raison des bouchons qui se forment cette route.

    La construction de l’évitement de Kherrata sur quelques kilomètres, lancé il y a deux ans, bute sur un problème d’expropriation, qui traîne depuis une année ! Cela illustre la mauvaise gestion du projet et une étude bâclée qui n’a pas tenu compte des expropriations. Le chantier à l’arrêt symbolise l’abandon par les autorités de cette région. L’État y est complètement absent !

    Lancé il y a plus trois ans, le projet de dédoublement de ce tronçon de la RN9, le plus difficile et le plus important, tarde à voir le jour !

    La police et la gendarmerie absentes

    Au manque d’infrastructures routières s’ajoute l’absence totale de la police et de la gendarmerie sur ce tronçon de la RN9 où les accidents de la route sont nombreux. En fait, la police et la gendarmerie se contentent du minimum, avec quatre barrages fixes installés entre Kherrata et Souk El Tenine. Pas de motards, ni de barrages de mobiles ! Les brigades motorisées de la gendarmerie sont absentes et les chauffards agissent à leur guise : excès de vitesse, dépassements dangereux dans les virages, blocages de la route, etc.

    Les automobilistes créent parfois trois files de voitures sur une route à voie unique, empêchant la circulation sur le sens inverse et créant des bouchons interminables. Les motos, nombreuses sur cette route, sont rarement contrôlées par la police ou la gendarmerie. Entre deux barrages fixes des services de sécurité, c’est la jungle ! Les automobilistes sont livrés à eux-mêmes.

    Aux barrages fixes de contrôle, les policiers, café et cigarette à la main, peinent même à organiser la circulation et imposer leur autorité aux automobilistes. Les gendarmes effectuent parfois des contrôles de routine, mais ne tiennent jamais compte par exemple des plaintes des automobilistes sur les comportements dangereux des chauffeurs de poids lourds dans le tunnel de Kherrata et des conducteurs de motocyclettes, qui s’adonnent parfois à des pratiques de cirque en conduisant debout leurs motos sur une route à grande circulation, avec plus de 15 000 véhicules par jour en moyenne ! Durant la saison estivale, ce trafic peut atteindre 25 000 véhicules par jour.

  • La justice algérienne lance 20 mandats d’arrêt contre des personnes impliquées

     Scandales de corruption à Sonatrach   




    Les services d’Interpol ont lancé mercredi dernier des mandats d’arrêt à l’encontre d’une vingtaine de personnes impliquées dans les scandales de corruption à Sonatrach, a-t-on appris ce samedi 10 août de sources judiciaires.

    Ces mandats ont été lancés à la demande de la justice algérienne qui enquête depuis plusieurs mois sur les affaires Sonatrach I et Sonatrach II, selon les mêmes sources.

    Parmi les personnes recherchées figure Farid Bedjaoui, présenté par la presse comme étant le principal intermédiaire dans l’affaire des pots-de-vin versés par la société italienne Saipem pour obtenir des contrats juteux dans les hydrocarbures en Algérie. De hauts cadres de Sonatrach et des responsables dans des groupes pétroliers étrangers, soupçonnés de corruption, sont concernés par les mandats d’arrêts délivrés par la justice algérienne. Nos sources ont refusé de divulguer leur identité, en raison de la sensibilité de l’enquête.

    Par ailleurs, le procureur général près le tribunal de Sidi M’hamed à Alger a adressé une vingtaine de nouvelles commissions rogatoires dans plusieurs pays dont la France, l’Espagne, la Suisse, l’Italie, les États-Unis et Dubaï, dans le cadre des enquêtes sur Sonatrach I et Sonatrach II.
    Scandales de corruption à Sonatrach--La justice algérienne lance 20 mandats d’arrêt contre des personnes impliquées

  • tizi ouzou tjr vol, viol,kindnaping,terro,non jeuneur,l'armé ,ça vous -parait normal!!!! drs

    Tizi Ouzou : enlèvement d’un bébé d’un an à Ath Yenni

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    Un bébé âgé d’une année a été enlevé, puis retrouvé quelques heures plus tard, mercredi 1 août, au village Taourirth Mimoun dans la commune d’Ath Yanni, à une quarantaine de kilomètre au sud-est de Tizi Ouzou, selon des sources locales.


    D’après les informations en notre possession, les ravisseurs ont ligoté la mère du bébé avant de prendre l’enfant de force, vers 23h30.

    Nos sources ajoutent qu’’aussitôt l’alerte a été donnée, les villageois se sont mobilisés pour lancer des recherches dans les maquis environnants.
    Les ravisseurs, dont le nombre est indéfinie auraient pris la fuite vers la forêt de Berekmouch, à la lisière du village Ath Freh, de la commune de larbaâ Nath Irathen.

    Quelques heures plus tard, le bébé a été retrouvé, abandonné dans un poulailler, à 500 mètres environs du domicile familial.

    Un drame qui a été évité à cette famille modeste grâce à la réaction rapide des villageois de Taourirth Mimoun.

     
    Nordine Douici
  • no moment

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  • Le ton monte entre les Autorités Saoudiennes et Air Algérie

    air cousous,pas fiable du tout ,les vrais pilotes sont au qatar,et les techniciens aussi ,les autres ,oeuvres pour sa liquidation ,leur sydicat autonomes pas reconnu!!!!!! ugta=boutef

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       	La dernière sortie médiatique de Wahid Bouabdellah n’a pas manqué de provoquer le courroux de l’ambassade de l’Arabie Saoudite en Algérie

    zoom | © D.R

    Les autorités Saoudiennes sont en colère contre Air Algérie. Et elles n'ont pas tardé à le faire savoir en réagissant mercredi aux accusations de Wahid Bouabdellah, le PDG d’Air Algérie.  

    La sortie médiatique de Wahid Bouabdellah n’a pas donc manqué de provoquer le courroux de l’ambassade de l’Arabie Saoudite en Algérie. Cette dernière a rendu public mercredi un communiqué où elle attaque sévèrement la direction d’Air Algérie.  Et les termes sont on ne peut plus significatifs. Et pour cause, selon les Saoudiens, c’est la "Désorganisation" de la compagnie Algérienne qui a provoqué les malheurs des pèlerins Algériens lors de leur retour de la Omra. 

    L’ambassade Saoudienne réfute ainsi toutes les accusations du premier manager de la compagnie battant pavillon national et l'accuse, à son tour, de rapporter des informations fausses et "non précises".  

    D'abord, selon les Saoudiens, "L’aéroport du roi Abdelaziz de Djeddah n’a fermé ses portes à aucune compagnie aérienne et tous les pèlerins, qui ont réalisé leur pèlerinage cette année, et Dieu merci, sont repartis chez eux dans de très bonnes conditions, en plus des pèlerins algériens qui ont choisi d’autres compagnies aériennes".

    Pour les représentants du Royaume des Al-Saoud en Algérie, les pèlerins Algériens qui ont voyagé avec d'autres compagnies aériennes n'ont nullement vécu des déboires et des galères contrairement à leurs compatriotes qui ont choisi de faire la Omra en faisant confiance à Air Algérie. 

    "Aussi, note encore le communiqué, les responsables de l’aviation civile au royaume d’Arabie Saoudite et tous les services concernés du pèlerinage et du hadj sont capables de suivre, avec exactitude, et d’organiser ses aéroports. Et la meilleure preuve reste sans aucun doute la visite, chaque année, de plus de trois millions de pèlerins pour la omra et le hadj". 

    Plus loin, l’ambassade Saoudienne assène un coup de poing à la compagnie aérienne nationale en soulignant que  "tout ce que ces pèlerins ont subi comme retard et souffrance sont dus à la mauvaise organisation d’Air Algérie" ! 

    Et pour remédier à cette situation dans le futur, les Saoudiens suggèrent aux managers d'Air Algérie de ne pas se contenter de "signer des communiqués et donner de fausses images sur les aéroports et sur les services que fournissent les instances spécialisées au royaume (...), il serait mieux de chercher les meilleures solutions et le plus rapidement possible", relève-t-on.

    Cette attaque en règle contre Air Algérie fait suite, rappelons-le, aux déclarations de Wahid Bouabdellah lequel avait mis sur le dos des Saoudiens la cohue sans précédent qui a eu lieu lors du rapatriement de pèlerins algériens depuis Djeddah ou Médine. 

    "Les compagnies saoudiennes avaient des aéroports spéciaux pour elles seules, elles bénéficiaient ainsi de toutes les commodités", avait-il déclaré en accusant les autorités aéroportuaires saoudiennes d'avoir refusé à Air Algérie une salle d 'embarquement. 

    Aujourd'hui, le torchon brûle entre les deux parties et les prochaines campagnes du Hadj et de la Omra risquent de s'avérer encore plus compliquées à organiser pour Air Algérie.  

    Abderrahmane Semmar