Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

massacre

  • CONFLIT DE SYRIE

    Le cap des 100.000 morts dépassé

     
    La guerre civile en Syrie de plus en plus meurtrièreLa guerre civile en Syrie de plus en plus meurtrière

    Le cap des 100.000 morts a été franchi selon l'ONU dans le conflit en Syrie, où des combats d'une extrême violence ont eu lieu jeudi à Homs, dans un quartier tenu par les rebelles et assiégé par l'armée.

    Un attentat à la voiture piégée a fait par ailleurs 17 morts et 30 blessés à Jaramana, une localité à majorité chrétienne et druze dans la banlieue est de Damas, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (Osdh, basé en Grande Bretagne). Signe que les violences ne connaissent aucun répit après deux ans et demi de conflit, plus de 2.000 personnes, en majorité des combattants, ont été tuées depuis le début du ramadhan, le 10 juillet, selon l'Osdh.
    Pour cette ONG, le nombre élevé de combattants tués s'explique par le «grand nombre d'armes arrivant aux mains des rebelles, ensuite parce que l'armée syrienne intensifie ses attaques et enfin parce que dans les zones +libérées+, des accrochages ont lieu entre Kurdes et jihadistes». L'opposition syrienne s'est prononcée jeudi auprès du secrétaire d'Etat américain John Kerry pour que Washington fasse «rapidement» parvenir des armes aux rebelles. M.Assad «cherche la victoire militaire en utilisant un arsenal allant des armes chimiques aux bombes à fragmentation», a expliqué Ahmad Jarba, le nouveau chef de la Coalition nationale syrienne dans un communiqué publié après sa rencontre avec John Kerry au siège des Nations unies à New York. Toujours à New York, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a estimé que «plus de 100.000 personnes avaient été tuées, et des millions avaient été déplacées ou avaient dû se réfugier dans les pays frontaliers». «Il nous faut mettre fin à ce conflit (...) Il est impératif de réunir une conférence de paix à Genève dès que possible», a-t-il ajouté en précisant qu'il aimerait la voir se tenir en septembre. Les Etats-Unis et la Russie poursuivent leurs efforts en vue d'organiser une telle conférence, mais cela semble difficile en raison des désaccords majeurs sur son objectif et ses participants, ainsi que de la poursuite de la guerre sur le terrain. A Homs, dans le centre du pays, «des affrontements extrêmement durs ont lieu à Khaldiyé», a indiqué l'OSDH, faisant état d'un bilan de huit morts du côté des membres des forces de défense nationale et d'un nombre indéterminé de victimes dans les rangs rebelles. La télévision d'État a fait état d'une percée de l'armée du côté est de Khaldiyé. L'OSDH a aussi parlé «d'un bombardement intense» sur Khaldiyé et le quartier limitrophe de Jourat al-Chayah. L'administration américaine, qui soutient les rebelles, leur avait promis un accroissement de son aide militaire en juin, après avoir accusé le régime Assad d'avoir utilisé des armes chimiques. A cet égard, Ban Ki-moon a indiqué que les deux envoyés de l'ONU en Syrie chargés d'examiner l'utilisation présumée d'armes chimiques dans le conflit, Ake Sellstrom et d'Angela Kane, avaient quitté Damas à l'issue d'une visite de 24 heures. Selon Khaled al-Masri, responsable de la communication et conseiller de l'ONU basé à Damas, les deux diplomates ont rencontré plusieurs responsables syriens dont le ministre des Affaires étrangères Walid Mouallem. Le responsable de l'ONU n'a fourni aucun détail concernant les discussions des deux experts sur leur accès au territoire syrien pour les besoins de l'enquête concernant notamment l'utilisation de gaz sarin. Mais selon une source syrienne, les autorités ont insisté pour que les enquêteurs se concentrent sur un incident attribué par Damas à l'opposition et survenu en mars à Khan al-Assal, près d'Alep (nord). Elles leur ont précisé qu'il leur faudrait attendre car cette ville est tombée récemment aux mains des rebelles et les combats se déroulent aux alentours.

    source:expression dz

  • salut la france,vous avez une conscience,des souvenirs coloniaux!!! l'algerie ,massacres,shoa,crimes,impunité

    COMMÉMORATION DES MASSACRES DU 17 OCTOBRE 1961
    Le pouvoir socialiste reconnaîtra-t-il les massacres coloniaux ?

    De notre bureau de Paris, Khadidja Baba-Ahmed
    17 Octobre 1961-17 Octobre 2012, cinquante et un ans depuis que des dizaines de milliers d’Algériens manifestant pacifiquement à Paris contre le couvre-feu discriminatoire à l’encontre des «Français musulmans», instauré par le sinistre préfet Papon avec la bénédiction des autorités supérieures, ont été l’objet d’une répression sans pareille, torturés et pour beaucoup d’entre eux jetés à la Seine.
    Depuis quelques années, ces massacres, non encore reconnus officiellement par les différents pouvoirs qui se sont succédé en France, ont toutefois été révélés dans leur pleine horreur grâce au travail inlassable engagé par de nombreuses associations et grâce aussi au travail d’écriture de certains historiens français et algériens et enfin grâce à quelques politiques — essentiellement de gauche et notamment au niveau local — qui ont décidé de consacrer des plaques commémoratives dans des places publiques à ces massacres pour faire connaître, notamment aux jeunes, ces meurtres du régime colonial qui continuent à être officiellement occultés. Ces dernières années, nous assistions en France à des commémorations organisées essentiellement par des élus locaux français qui invitaient les autorités algériennes – ambassadeur, consuls généraux et consuls — à se joindre aux cérémonies commémoratives du 17 Octobre qu’ils organisaient. Depuis deux ou trois ans, l’initiative vient aussi fort heureusement de quelques consulats qui ne se contentent plus d’être les invités d’un événement qu’ils initient maintenant et animent eux-mêmes, les jeunes Français n’étant pas les seuls à méconnaître ce pan de l’histoire coloniale et ses prolongements, y compris dans l’Hexagone. Ce paradoxe étant maintenant levé, quelles sont les principales commémorations cette année ? Le «Collectif 17 Octobre pour la mémoire et la citoyenneté», qui œuvre beaucoup à faire vivre la mémoire de ces événements, et ce, depuis de nombreuses années, organisera des rassemblements à Paris mais aussi en province. Dans un texte largement diffusé, le collectif rappelle au président Hollande qu’il s’est engagé, lors de sa campagne pour la présidentielle, à ce que toute la lumière soit faite par l’Etat français sur cette tragédie. Outre cette dernière, le collectif rappelle les autres crimes du système colonial «les 45 000 Algériens, femmes, hommes et enfants décimés le 8 Mai 1945 et les massacres de Thiaroye (Sénégal) et Madagascar que la République refuse toujours de reconnaître». A l’initiative du collectif, les Algériens et leurs amis sont appelés à se rassembler ce soir à 18 heures au pont Saint-Michel à Paris, au bord de la Seine où précisément tant d’Algériens ont été jetés. Au même moment et toujours à l’initiative du collectif, un rassemblement est prévu à Lyon, à la place Gabriel Péri. Dans la matinée d’aujourd’hui, et comme il le fait chaque année, le maire socialiste de la capitale, Bertrand Delanoë, déposera – en présence de Missoum Sbih, l’ambassadeur d’Algérie — une gerbe de fleurs devant la plaque commémorative dédiée à la mémoire des Algériens et apposée par le maire socialiste il y a déjà quelques années sur le pont Saint-Michel. Le Centre culturel algérien a choisi d’organiser ce jeudi 18 octobre un débat avec deux historiens et l’ancien prisonnier politique Mohand Zeggagh, auteur de Prisonniers politiques FLN en France pendant la guerre d’Algérie 1954-1962. L’historienne Linda Amiri évoquera ses recherches d’historienne sur la Fédération de France du FLN et replacera le 17 Octobre dans le combat de cette fédération pour l’indépendance de l’Algérie. Quant au deuxième historien — Emmanuel Blanchard — ses travaux et notamment celui consacré à «la police parisienne et les Algériens 1944-1962» et son engagement au sein du Groupe d’information et de soutien des immigrés Gisti participeront sans aucun doute à l’enrichissement du débat. En banlieue parisienne, le consulat d’Algérie de Nanterre et la municipalité de Colombes inaugureront ce soir, en présence du secrétaire d’Etat aux Algériens à l’étranger, un cycle de projections de films algériens de ces 50 dernières années, dont un court-métrage de Amar Rabea sur ce bilan cinématographique ; L’Opium et le Bâton de Rachedi, Zone Interdite de Ahmed Lalem et Chronique des années de braise de Hamina. Ces projections seront suivies d’un débat sur le cinéma algérien. La manifestation de ce soir sera suivie dimanche 21 octobre à 11h par un rassemblement au pont de Bezons. Enfin, les téléspectateurs en France et ici pourront voir sur France 24 ce soir à 22h 40 (heure algérienne) un reportage inédit portant sur les «Algériens de France 1954-1962» et que la chaîne présente comme un document portant sur «l’exil, les bidonvilles, la pression nationaliste, la répression policière» dont quatre Algériens témoignent. Ces manifestations et beaucoup d’autres encore suffiront-elles à conduire Hollande et son gouvernement à, enfin, répondre à la légitime demande de reconnaissance de ces massacres ? Il est permis d’en douter, sachant le poids qu’ont pris les nostalgiques de l’Algérie française encouragés en cela par le pouvoir précédent mais pas seulement, il faut bien le dire.
    K. B.-A.

  • Massacre en ALGERIE

  • L'ALGERIE DES GENERAUX

    LES GENERAUX ET LE GIA

                            

    _______________________

     

    Comment certains hommes peuvent-ils arracher la suprême autorité et mépriser les autres ?
    Comment ces hommes peuvent-ils croire qu’ils sont les plus intelligents, les plus aptes et surtout les seuls à avoir le droit de gouverner des millions ?
    Comment ces hommes peuvent-ils disposer des biens, des vies et des destins?
    Comment ces hommes peuvent-ils faire de la loi la guillotine des faibles et empiler les cadavres sans rendre des comptes?
    Qu’elle part de l’homme reste-t-il dans ces démons qui ont ruiné l’Algérie.
    Quand est ce que le silence, la lâcheté le désespoir laisserons place a la fureur de changement ?
    Quand est ce que les vents de la rupture viendront bruler ces  démons ?

    Ces démons ils ont des noms ; tout les algériens les connaissent …..Mais  le plus important……Quand est ce que les algériens redeviendront des Algériens ?

    A tous les Hommes qui ont un cœur pour entendre le cri de leur pays….

    _______________________

     

    Partie 1 Avant-propos
      Introduction
      Où va l'Algérie ?
      Pourquoi en sommes-nous arrivé là ? Qui en sont les vrais responsables de cette tragédie ?
      Dérive mafieuse
      1990-1991: l'islamisme manipulé
      La déstabilisation de Mouloud Hamrouche
      La montée du FIS face à l'effondrement de l'administration
      Les "réformateurs" dérangent
      En quoi ACT gênait elle ?
      Les fausses prévisions électorales de juin 1990
      L'affaire du "maquis" de Msila
      Que s'était-il réellement passé lors de cette affaire ?
       
     
    _______________________
       
    Partie 2 Premiers dérapages
      "L’objectif n° 1 des services, c’est les islamistes du FIS"
      Faux tracts islamistes
      Le plan "Nezzar" comportait notamment des mesures discriminatoires comme:
      La création d’une structure hors la loi au sein de la DCE
      Les réseaux B.M
       
     
    _______________________
       
    Partie 3 1991: la SM contrôle les groupes islamistes radicaux
      Des voitures du DRS au service des islamistes radicaux
      Les casemates des futurs "tangos"
      Le cas Boudchiche
      L’affaire du capitaine Ahmed Bouamra et l’infiltration des "Afghans"
      Le rôle des agents du DRS
       
     
    _______________________
    Partie 4  
      Des élections sous haute tension
      Un premier avertissement
      La grève insurrectionnelle du FIS
      Arrestation des chouyoukhs
      Sid Ahmed Ghozali et le FIS
      L'affaire de Guemmar
      Provocations…
       
     
    _______________________
    Partie 5  
      1992: les "Janviéristes" libèrent la violence islamiste
      Le FIS victime d'un hold up
      Le scénario du coup d'Etat
      Le complot est en marche
      L'affaire de la rue Bouzrina
      Makhloufi, le MIA et l'affaire Chouchane
      L'assassinat du commandant Djabber Benyamina
       
     
    _______________________
       
    Partie 6 1991-1992: la création des GIA par les services
      La stratégie du GIA made in "Antar"
      Un sous-Officiers transformé en émir
      La création des GIA
      Le premier chef du GIA: Allel Mohamed, dit Moh Leveilley
      L'affaire de Telemly et la mort du commandant Guettouchi
      Etrange !
      Le double langage des "décideurs"
       
     
    _______________________
       
    Partie 7 1992-1994: la furie meurtrière
      Été 1992: la lutte "antisubversive" change d'échelle
      Escadrons de la mort
      Les " mutants " du Centre Antar
      Bachir Tartag, le " monstre " de Ben-Aknoun
      L'unité 192
      L'arme de la corruption et la création des milices
      La société civile embarquée dans l'aventurisme des généraux
      L'évasion de Tazoult ou le basculement vers l'horreur
      GIA contre Air Algérie
      La peur doit changer de camps
      Epuration électorale
       
     
    _______________________
       
    Partie 8 Djamel Zitouni, un terroriste à la solde des militaires
      Comment Zitouni est devenu "l'émir national" du GIA made in DRS
      "Djamel Zitouni, c'est notre homme !"
      Le DRS se débarrasse de Zitouni
      Cette grossière mise en scène ne résiste pas à l'analyse
       
     
    _______________________
       
    Partie 9 Liquidations à haut niveau
      L'assassinat de Mohammed Boudiaf
      La liquidation de Kasdi Merbah
      L'élimination des officiers récalcitrants
      Coups tordus en Allemagne
      La tentative d'assassinat d'Abdelkader Sahraoui et de Rabah Kébir
      Le sabotage des tentatives de dialogue
      L'assassinat du général Saïdi Fodhil
      Les assassinats continuent…
       
     
    _______________________
       
    Partie 10 Les "groupes islamistes de l'armée" contre la France
      Les méthodes de choc de la SM en France
      Le cas Ali Touchent
      Les premiers réseaux du GIA en France
      Sous-traitance pour la DST
      L'opération Chrysanthème
      Crimes et désinformation
      L'assassinat de l'imam Sahraoui
      Les attentats de 1995
      L'assassinat des moines de Tibéhirine
       
     
    _______________________
       
    Partie 11 Quelles leçons en tirer ?
      Comment la machine de guerre a-t-elle pu fonctionner ?
      Prise de conscience
      Eléments d'économie politique de la corruption en Algérie
       
     
    _______________________
       
    Partie 12 Conclusion
      Les massacres, ou le mépris total de la vie humaine
      Il est temps de dire halte
       
       

     

  • Pétition pour l’Algérie: L’armée algérienne peut, et doit, empêcher le pays de sombrer dans la violence

    http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2011N13622
    par Djamaledine Benchenouf, samedi 27 août 2011, 02:36

    Les attentats suicides qui viennent de se produire à Cherchell, et qui ont visé l’académie Inter-Armes de Cherchell, ont fait des dizaines de morts. Vraisemblablement 36 victimes, et de nombreux blessés, dont certains sont dans un état jugé grave.

     

    Des attentats qui surviennent en une phase cruciale, en pleine déconfiture du régime libyen, au moment où les Algériens interrogent leur avenir, et envisagent de s’impliquer dans une dynamque citoyenne.

     

    De jeunes vies, pleines de promesses, ont été brutalement déchiquetées. Et dans le fracas des bombes, et l’amoncellement de noirs nuages au dessus de ce pays exsangue, la peur est descendue sur les cœurs, et une lourde oppression.

     

    Cette violence, que certains pensaient révolue, vient nous rappeler, avec une brutalité inouïe, que les mêmes causes engendrent les mêmes effets, et que tant que celles-ci ne sont pas éradiquées, définitivement éradiquées, notre pays restera exposé à de tels carnages.

     

    Ceux qui se sont ceints d’explosifs, et qui se sont faits exploser au milieu d’innocents, heureux de rompre le jeûne, en cette nuit chère à tous les musulmans, « la nuit du destin », dont le créateur a fait une nuit de paix et de prière, ceux-là que des gourous menteurs ont convaincus qu’ils entreraient au paradis aussitôt qu’ils se seraient faits exploser, et qui ont violé et ensanglanté la nuit la plus sacrée des musulmans, celle dont Dieu lui-même dit qu’elle est paix  jusqu’aux aurores, ceux-là ne savaient pas ce qu’ils faisaient.  S’ils savaient les noirs desseins qu’ils servaient, jamais ils n’auraient tué leurs propres frères humains. Jamais ils ne seraient précipités d’eux-mêmes dans cette indicible atrocité.

     

    Mais ceux qui les ont préparés à cette mort horrible, qui ont en fait des engins de mort et de dévastation, eux savent pourquoi ils le font, pour qui, et dans quel but.

     

    Les autorités sécuritaires de ce pays, et à leur tête les plus hauts dirigeants du pays, doivent répondre de ce crime.

     

    Ils en sont les premiers responsables. Et s’ils n’ont pas eux-mêmes commandité ces attentats, pour des raisons de conflits au sein du pouvoir, alors ils sont responsables parce qu’ils sont incapables de protéger le peuple, qu’ils sont incapables de dénoncer les commanditaires de ce crime atroce, incapables de les combattre et de les réduire.

     

    Après plusieurs années de violence déchaînée contre les populations civiles, et un cortège interminable de malheurs, qui a frappé cruellement tout le peuple algérien, il n’y a pas eu une seule démission, serait-elle  pour un motif d’incompétence.

    Pire que cela, lorsque les clans se sont réconciliés, ils ont décidé d’arrêter les frais, comme on siffle la fin d’une partie de football, , et ils ont concocté, en un rien de temps, une loi qui les absout de toute poursuite pénale, voire  qui les met à l‘abri de  toute enquête.

     

    Qui dit que les mêmes n’ont pas décidé de siffler la reprise du « match » ?

    Un match macabre, où roulent les têtes des innocents…

     

    Qui dit que les mêmes, qui usaient de la violence terroriste pour négocier des parts de pouvoir, ou de butin, ne sont pas revenus à leurs sanglantes habitudes ?

     

    Le peuple refuse  de revivre le même cauchemar.

    Le peuple est en droit d’exiger qu’une enquête impartiale soit immédiatement diligentée.

    Le peuple est en droit d’exiger une démission collective de tout le gouvernement, du DGSN, et  du premier responsable du DRS.

    Le peuple est en droit d’exiger du Chef de l’Etat qu’il s’exprime sur ce grave attentat, et qu’il annonce publiquement les mesures urgentes qu’il a décidé de prendre sans désemparer.

    Le peuple est en droit d’exiger que tous les moyens de l’Etat, l’armée, la police, la gendarmerie et tous les corps sécuritaires soient mobilisés afin de combattre et de réduire totalement tous les groupes terroristes qui activent encore dans notre pays. Totalement !

     

    Le peuple est en droit d’exiger que l’Armée prenne en main cette opération de réduction du terrorisme, dans le strict respect des lois de la République,  et des droits de l’Homme.

     

     

    Il appartient au peuple d’imposer sa volonté. Pour que plus jamais il ne soit sacrifié sur l’autel des règlements de comptes entre clans, ou d’un djihad sacrilège, qui viole toutes les lois de Dieu et des hommes.

     

     

    LE PEUPLE ALGERIEN DOIT S’UNIR CONTRE TOUS SES ENNEMIS ET SE RASSEMBLER SOUS UNE SEULE CAUSE: LA PAIX EN ALGERIE.

     

    Premiers signataires:

    D.Benchenouf

    R.Tahar

    A.Djenane

    M.Senouci

    N.Belmouhoub