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Le grand malade
Il l'a donc fait et on en avait douté jusqu'au bout, pensant qu'il ne pouvait commettre un tel acte qui méprise autant l'avenir que l'histoire en même temps. Pour autant, est-ce bien vrai, se demandent les derniers demandeurs du pays ? Car il n'y a rien de plus incertain qu'un Président invisible qui fait annoncer sa candidature par son Premier ministre et fait retirer les formulaires par un frère fantomatique. D'ici là, comme le prédit le général Yala, tout peut arriver ; c'est un général qui le dit, les dernières semaines ayant été agitées, le crash d'un avion, une plainte contre Saadani déposée par le général Toufik, l'arrestation d'un général du DRS et la mort d'un chaton noir dans une trémie.
On retiendra cette image : un Premier ministre tout gris qui célèbre avec le sourire la victoire de la rente et de l'immobilisme, accessoirement président de la commission non indépendante de préparation des élections et directeur de campagne de Bouteflika, ce qui en dit long sur le résultat. On retiendra aussi cette phrase : on peut dire «tab jnani» et s'accrocher encore au pouvoir par la force d'un seul bras.
Mais la guerre des clans étant terminée dans sa première phase, du coup, personne n'a envie d'écouter les Algériens désespérés d'être constamment tirés vers l'arrière et surtout pas le banquier Laksaci expliquant qu'il n'y a plus d'argent et que la situation financière va se compliquer.En théorie donc, Bouteflika, après 15 ans de règne improductif et un an de silence total, sera encore président à l'âge de 82 ans. Grosse déception pour les bébés, les arbres du printemps et l'ensemble du corps médical. Un pays de malades, dirigé par un malade, lui-même assisté par un malade dont l'objectif est de rendre malades tous ceux qui ne le sont pas encore. Espérons au moins que durant ce quatrième mandat, le Président, son frère ou sa cousine vont enfin penser à construire des hôpitaux.
Chawki Amari
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Ils sont de plus en plus nombreux à s’opposer à une reconduction de Bouteflika
Le quatrième mandat du dissensus
Par : Karim Kebir
Elles sont de plus en plus nombreuses les voix hostiles à un quatrième mandat du président Bouteflika. Le concert pour un changement à la tête de l’État s’est étoffé au fil des mois, même si le Président garde l’essentiel de ses soutiens.
Dernière sortie en date, celle du général en retraite Hocine Benhadid hier qui a appelé le président Abdelaziz Bouteflika à partir “dignement” sans briguer de 4e mandat. “Voilà ce que je demande au président Bouteflika : il est venu avec le slogan (...) ‘fierté et dignité’, alors qu'il se retire avec (ce) slogan (...), dignement et laisse l'Algérie reprendre son souffle”, a déclaré M. Benhadid, ancien patron d'une des régions militaires, dans un entretien avec les quotidiens El Watan et El Khabar. Pour cet officier qui dit s'exprimer au nom de plusieurs collègues, cette personne “malade” et “otage de son entourage (...) ne peut garantir la stabilité” du pays.
Selon lui, le frère du Président, Saïd Bouteflika est “le premier et principal acteur” du clan présidentiel, tandis que “le chef d'état-major n'a aucune crédibilité et personne ne le porte dans son cœur”. Deux jours plus tôt, trois personnalités nationales et non des moindres, Me Ali Yahia Abdennour, Ahmed Taleb-Ibrahimi et le général à la retraite, Rachid Benyellès, se sont prononcés contre un éventuel quatrième mandat du Président qu’appellent de leur vœux ses multiples soutiens. “Nous, signataires de la présente déclaration, disons non à un quatrième mandat de M. Bouteflika et appelons toutes les forces saines de la nation — notamment celles attachées à la justice sociale et à la moralisation de la vie politique — à exprimer leur refus par tous le moyens pacifiques qu’ils jugent utiles : prises de position individuelles et collectives, recueil de signatures, pétitions, déclarations, appels, etc., comme nous leur demandons, en cas de maintien de cette candidature, de boycotter massivement le simulacre de l’élection que le pouvoir en place projette de tenir”, ont-ils écrit dans une déclaration rendue publique avant-hier.
Cette salve intervient au lendemain de la tempête politico-médiatique provoquée par les propos du secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, au site TSA, et dans lesquels il chargeait le patron des services de renseignement, accusé à demi-mot de “s’opposer à un quatrième mandat du président Bouteflika”. Quelques jours plus tôt, c’est le RCD qui sonnait le tocsin. “Les réformes promises au début de l’année 2011 et la révision de la Constitution mille fois annoncée ont été réduites à des artifices visant à pérenniser un pouvoir politique condamné par l’Histoire. L’incapacité manifeste du chef de l’État à assumer depuis fort longtemps ses fonctions signe la déchéance du système et appelle à une alternative crédible.
Les suppliques à un mandat supplémentaire marquent le paroxysme de la régression sur fond d’indignité”, relevait le RCD dans les résolutions de son conseil national. “Le Mouvement (MSP) est contre sa présentation (à l’élection présidentielle, ndlr), compte tenu de notre position politique appelant à la limitation des mandats présidentiels”, soutenait, pour sa part, dans un entretien à un confrère le président du MSP, Abderazak Makri. Ancien ministre et cadre du RND, Nouredine Bahbouh, à la tête d’une nouvelle formation politique créée à la faveur de la nouvelle loi sur les partis, a estimé lundi au Forum de Liberté qu’“un quatrième mandat risque de mener le pays vers le chaos”. Même constat chez Mohand Tahar Yala, général en retraite et candidat à la prochaine élection présidentielle. “Le système Bouteflika a créé un véritable gouffre entre le citoyen et le pouvoir, et déstabilisé l’Algérie sur le plan politique et social”, estime-t-il.
Figure emblématique de la Révolution, Djamila Bouhired avait prononcé en novembre dernier un violent réquisitoire contre Bouteflika. “Si Abdelaziz Bouteflika se présente pour un quatrième mandat, je descendrai dans
la rue pour manifester contre lui”, avait déclaré Djamila Bouhired au journal El Qods El Arabi. Elle avait ajouté qu’“elle descendra dans la rue pour aussi dénoncer le mal fait à l’Algérie”.
Peu avant son départ inattendu de la tête du RND, l’ancien chef de gouvernement, Ouyahia, s’était déjà interrogé si un nouveau bail pour Bouteflika pouvait servir l’Algérie. Si, en 2004 et 2009, des voix éparses s’étaient élevées pour éviter une reconduction de Bouteflika à la magistrature suprême, la liste des mécontents du règne de 15 ans de Bouteflika est de loin plus importante à la veille de cette élection présidentielle pas comme les autres. Elle serait même appelée à s’élargir dans les prochains jours.K. K
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Vous avez une question ?
Même si chacun le sait, c'est apparemment un secret bien gardé ; il n'y a que les dirigeants qui ne savent pas encore que le pays est mal dirigé. C'est probablement pour cette raison que le Premier ministre Sellal a promis que la réforme de la Constitution, écrite sans consultation populaire, sera approuvée par un référendum du même substrat populaire. La méthode reste la même, les décideurs décident, bien ou mal, puis dans un deuxième temps envisagent ou pas de demander l'avis de la population.
Cette dernière ayant bien compris pourquoi elle est née, répond ou pas à son tour, bien ou mal à la question posée. Mais peut-on croire le Premier ministre, quand son premier bilan est très loin des premières promesses sur l'état du service public, sur l'économie parallèle ou le respect du droit ? Surtout quand on se rappelle que notre propre président Abdelaziz Bouteflika avait, lui aussi, promis de faire passer la réforme de la Constitution, qui lui a permis de briguer un troisième mandat par référendum populaire. Il ne l'a pas fait, a oublié ou s'est endormi sur une bouteille de gaz, se contentant de passer par les mains éternellement levées des députés et sénateurs, main levée que chacun a comparé à une situation de hold-up. Pourquoi le Premier ministre Sellal, nommé par le premier président Bouteflika, ferait-il ce que le second n'a pas fait ? Parce qu'il est plus sérieux, plus grand ou plus moustachu ? Comme personne n'habite à la Présidence, il faut utiliser la logique.
Deux cas se présentent. Si le référendum limite les mandats présidentiels à deux, la population sera certainement d'accord, donc le référendum se fera. Si cette Constitution ne remet pas en question la présidence à vie, la population risque de ne pas être d'accord, et le référendum risque de ne pas avoir lieu. On a bien compris. Le régime ne pose jamais une question s'il ne connaît pas déjà sûrement
la réponse.Chawki Amari
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Le bras d’honneur de trop
c'est le peuple qui vous fera le bras d'honneur mr hollande
honnetement je pense que le gouvernement saura agir mais nous le peuple si nous faisons ce geste fort croyez moi que la classe politique française le vivra très mal !
Les dirigeants français ont l'habitude de venir en Afrique et voir des gens en tenues folkloriques danser et les acclamer NOUS Algériens allons marquer une rupture avec ça ! Il faut TOURNER LE DOS au président français durant sa parade en signe de mépris
Faites circulez cette information sur Facebook et autres réseaux sociaux pour que dans 1 mois la France soit humiliée à Algermadmax
Comme François Hollande ne dit rien de ce geste eh bien à nous de répondre !
Lorsqu'il paradera dans les rues d'Alger tournons lui le dos !
Que tous les algeriens lui tourne le dos
Nous avons 1 mois pour organiser cette action symbolique via les réseaux sociaux pour informer la populationmadmax
source:libetre dz
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Le ministère de la Défense veut acquérir des équipements de maintien de l’ordre
Riyad Hamadi
Lundi, devant les députés, le Premier ministre Abdelmalek Sellal affirmait que l’Algérie était devenue une référence en matière de stabilité et qu’elle était à l’abri « de la zone d’instabilité », en référence au printemps arabe (lire). Cette situation confirme, selon lui, « la sagesse des choix pris par le président de la République ».
Le lendemain, ce mardi 2 octobre, le ministère de la Défense nationale lançait un appel d’offres international pour l’acquisition « d’équipements de maintien de l’ordre », autrement dit du matériel antiémeute. Le ministère ne détaille pas la nature des équipements recherchés qui serviront à équiper les unités de l’armée et de la gendarmerie nationale. Ce dernier corps de sécurité est placé sous l’autorité du ministère de la Défense.Depuis janvier 2011, l’Algérie vit au rythme des mouvements sociaux et des émeutes. Malgré un ralentissement du rythme des contestations en 2012, les autorités redoutent toujours une explosion sociale. Le programme du gouvernement Sellal, approuvé hier par l’APN, contient de nombreuses mesures destinées à calmer le front social. Parmi elles, le maintien des subventions des prix des produits de large consommation et le lancement d’un programme de logements.02/10/2012 à 17:28 | 11 commentairesRéagir -
on vous le dit:l'algerie est une dictature
Disparitions forcées
Nouvelle condamnation de l’Algérie par le Comité des droits de l’Homme de l’ONU
Mehdi Boutaleb
L’ONG Trial, à l’origine notamment des poursuites contre Khaled Nezzar en Suisse, a annoncé, ce mercredi 12 septembre, avoir obtenu la condamnation de l’Algérie par le Comité des droits de l’Homme, dans l’affaire de la disparition forcée de Kamel Rakik en 1996. L’association, qui représente dans cette affaire la mère de Kamel Rakik, Yamina Guezout et les deux frères Abdelrahim et Bachir Rakik, avait saisi le Comité au mois de novembre 2007. Les auteurs de la "communication" auprès de cette instance demandaient « au Comité de reconnaître que Kamel Rakik a été victime de disparition forcée, un crime qui porte atteinte aux droits les plus fondamentaux garantis dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques ».
La demande portait aussi sur des faits de violences et tortures lors de sa détention. La famille de l’Algérien disparu demandait enfin que « soit reconnue une violation envers eux pour les souffrances psychologiques endurées depuis tant d’années d’incertitude sur le sort de leur fils et frère »Tous les faits reconnus par le comitéDans sa décision rendue le 4 septembre dernier, le Comité des droits de l'Homme a retenu l’essentiel des demandes formulées par l’intermédiaire de Trial. Le Comité a notamment enjoint à l'Algérie de « mener une enquête approfondie et rigoureuse sur la disparition de Kamel Rakik », de fournir à sa famille « des informations détaillées quant aux résultats de son enquête », de le libérer immédiatement s'il est toujours détenu au secret ou de restituer sa dépouille à sa famille en cas de décès.Le Comité insiste par ailleurs sur l'obligation qu'a l'Algérie de « poursuivre, juger et punir les responsables des violations commises ». Il est également demandé à l'Algérie d’indemniser de « manière appropriée » la mère et les frères de la victime pour les violations subiesL’affaire n’est pas closeQue peut-on attendre d’une telle décision ? Juridiquement, cette condamnation n’est pas contraignante pour l’État algérien. C’est la huitième fois que l’Algérie est condamnée pour des faits similaires d’enlèvement et de disparition.Cependant, l’entrée en vigueur, le 23 décembre 2011, de la convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées a changé la donne. Les auteurs de ces crimes, qui entrent dans la catégorie des crimes contre l’humanité, restés impunis, peuvent théoriquement être interpellés sur le sol de l’un des États qui ont ratifié la convention. -
2 milliards de dollars pour les festivités
gaspillage pour seulement 1 millions, 35 millions pauvres,misèreux, crise économique pour le peuple
Le chiffre est astronomique en cette période de crise. L’Algérie dépensera quelque 2 milliards de dollars, pendant une année, pour la célébration du cinquantenaire de l’indépendance, selon de nombreuses sources des services du Premier ministre, de la présidence de la République et du ministère des Moudjahidine.
«En juillet 2013, l’Algérie aura dépensé quelque 2 milliards de dollars pour marquer le cinquantenaire de l’indépendance. C’est un budget important pour inculquer aux nouvelles générations l’esprit de la guerre de Libération nationale, c’est aussi la fête du peuple algérien», justifie une source des services du Premier ministre. Ce budget alloué pour la célébration du cinquantenaire a été décidé lors d’un Conseil des ministres en 2011. Il est inscrit dans la loi de finances 2012 et celle complémentaire. «Chaque département a bénéficié d’un budget spécial pour le cinquantenaire qui s’ajoute aux fonds de fonctionnement ordinaires. Il n’y a pas de caisse spécifique», nous explique un haut responsable du ministère des Finances.
Le budget sera réparti entre de nombreux départements ministériels et autres institutions, à commencer par la présidence de la République. Sont concernés par cette enveloppe financière faramineuse les ministères des Moudjahidine, de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, de la Communication, de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et celui des Affaires étrangères. La Fédération algérienne de football (FAF) a, elle aussi, bénéficié d’un budget à l’occasion. Si les autorités observent un black-out total pour le moment sur ces dépenses, l’on sait d’ores et déjà que 9 millions de dollars sont dès maintenant dépensés en feux d’artifice. Empochés par la boîte appartenant au célèbre artiste chinois Cai Guo-Qiang, qui est appelé à organiser le feu d’artifice de l’ouverture des JO de Londres cet été.
Le coût minimum des jeux pyrotechniques organisés dans chaque wilaya avoisine les 40 000 dollars. Rien que celui de Sidi Fredj a coûté 500 000 dollars. Le spectacle d’ouverture aurait coûté, selon nos sources, quelque 20 millions de dollars, cachet de l’artiste Caracalla compris. Le reste du budget alloué irait à l’édition de 1000 livres, l’organisation de 400 séminaires et 600 conférences historiques. Et près de 700 activités artistiques et musicales. 200 œuvres, entre films, documentaires et autres produits, seront dédiées aux figures historiques et à la Révolution. L’ANP, quant à elle, produira plus de 20 œuvres artistiques sur divers événements militaires ayant marqué son ancêtre l’ALN. Le programme ne s’arrête pas là, puisque d’autres événements seront organisés à l’étranger.
Zouheir Aït Mouhoub
reaction
pons le 06.07.12 | 10h44
Folie des grandeurs.
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c'est au peuple Algerien de se soulever contre toute les institutions malhonnetes depuis 62
La grève des praticiens de la santé publique suivie à plus de 75%
Un nouveau bras de fer syndicat-ministère de la Santé
Par : Malika Ben
L’action sera reconduite pour trois jours à compter du 7 mai prochain. Le conflit entre le ministère de la Santé et les syndicats ne semble pas connaître le bout du tunnel.
Le secteur de la santé publique a été une fois de plus paralysé par une journée de grève lundi des praticiens. Une action à laquelle a appelé le Syndicat national des praticiens de la santé publique, SNPSP, en guise de protestation contre la non-prise en charge effective des doléances du syndicat pour réclamer l’amélioration de la prise en charge des malades et le respect du droit syndical.
La mobilisation des médecins était une fois de plus au rendez-vous à travers tout le territoire national. Selon un communiqué qui nous est parvenu hier “le taux de suivi national a atteint les 75%”. “Le Syndicat national des praticiens de la santé publique enregistre avec beaucoup de satisfaction le suivi massif, par ses adhérents, du mot d’ordre de grève pour la journée du 30 avril”, note le communiqué signé par le Dr Lyes Merabet. Les taux de suivi différent d’une wilaya à une autre.
Au niveau de la capitale, le suivi était de pas moins de 72%, Tizi Ouzou a battu le record avec 95%, Skikda 92%, Ghardaïa 50%, Mascara 30%, Blida 89%...
Ce débrayage d’une journée semble être un premier avertissement au département de la Santé puisque le SNPSP ne s’arrêtera pas là et fera monter la pression par trois jours de grève à compter du 7 mai prochain.
Le Syndicat des praticiens avait pourtant fait preuve de sagesse à la suite des engagements pris par la tutelle lors de la réunion du 23 février dernier.
La fin du mois de mars était l’échéance fixée par le ministère de la Santé pour annoncer de bonnes nouvelles aux praticiens. Il n’en a été rien plusieurs semaines après l’expiration de l’échéance et c’est ce qui a poussé le conseil national extraordinaire du SNPSP à opter pour un retour en force sur le terrain. D’ailleurs même la rencontre de conciliation à la suite du préavis de grève, à laquelle a été convié le syndicat n’a pas abouti à du concret.
Pis, le ministère de la Santé est allé jusqu’à non seulement fermer les portes du dialogue mais les portes de son propre siège à son partenaire social ! Les réunions de conciliation ont lieu depuis de longues années au siège d’El-Madania, mais contre toute attente et sans explication aucune, la dernière réunion de conciliation a été transférée au siège de l’Institut national pédagogique de la formation paramédicale à Hussein-Dey. Les partenaires sociaux sont-ils indésirables au siège de tutelle ? C’est portant dans l’enceinte même du ministère de la Santé que les engagements restés lettre morte ont été pris.
M B -
Est-ce ainsi que certains Algériens vivent ?
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Un citoyen saisit les autorités suisses sur les comptes des dirigeants algériens
ParUn citoyen algérien, Mr FETNI Sofiane, qui se dit Président du Forum Algérien de Lutte Contre la Corruption, a fait parvenir à notre rédaction une lettre adressée à la Présidente de la Confédération Suisse Micheline Calmy-Rey dans laquelle il demande le gel des avoirs bancaires des dirigeants algériens et dont il donne une liste qu'il dit avoir constituée à partir des informations délivrées par Swiss Bank Control.
A Madame la Présidente de la Confédération Suisse Micheline Calmy-Rey
Sous Couvert de SEM l'Ambassadeur de la Confédération Suisse en Algérie
Villa no 5, rue Numéro 4 Parc du Paradou 16035 Hydra / Alger
Adresse postale : B.P. 443 16035 Hydra / Alger AlgérieObjet : Plainte Préventive Concernant le Gel des Comptes Bancaires de Certains Hauts Responsables Algériens.
Madame la Présidente,
Je soussigné Monsieur FETNI Sofiane – Président du Forum Algérien de Lutte Contre la Corruption. J'ai l'honneur de déposer entre vos mains une plainte contre les Responsables Algériens nommés qui ont placé discrètement, c'est-à-dire sans l'accord du Peuple Algérien (qui ignore complètement cette affaire), des fonds d'une acquisition douteuse auprès de : Swiss Bank Control, dont voici la situation jusqu'au 31/12/2009 :
1- ABOUDJERRA Soltani – Président MSP : 1.202.759 CHF
2- BARKAT Said – Ministre : 3.708.223 CHF
3- BELKHADEM Abdelaziz – Ministre SG FLN : 21.333.939 CHF
4- BENAISSA Rachid – Ministre : 3.595.317 CHF
5- BENBADA Mustapha – Ministre : 17.263.065 CHFLire la suite dans Forum Free Algerie : http://www.freealgerie.com/
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gaspillage,esque'on écoute le peuple!!! walou
Pour permettre le passage du tramway à Constantine
Une trémie de 25 milliards de centimes sera démolie
Par : Driss B.
Pour les besoins du projet des centaines d’arbres ont été abattus dans toute la ville et des biens publics, des jardins et des parkings ont été supprimés.
Après moult tergiversations, la commission de wilaya chargée d’étudier le secteur des travaux publics qui s’était réunie, la semaine passée, a choisi de supprimer la trémie du boulevard Che-Guevara à proximité de la mosquée Émir-Abdelkader, et ce, pour permettre le passage du tramway. Difficile décision quand on sait que cette trémie mise en service en 2006 a coûté la bagatelle de 25 milliards de centimes et n’aura donc servi que cinq ans, mais pour en arriver là, la société italienne Pizzarotti, chargée de la réalisation du tramway de Constantine, pouvait-elle éviter un tel scénario?
A priori, les architectes et ingénieurs de la société italienne ont proposé deux solutions. L’une consistait à faire remblayer la trémie, l’autre plus complexe à réaliser visait à revoir sa conception en procédant à une extension en forme de Y. Selon un ingénieur travaillant à Pizzarotti, cette idée a été rejetée pour trois raisons à savoir, le coût, le retard sur les délais et l’impact qu’elle aurait sur la structure de la mosquée Émir-Abdelkader déjà fragilisée à cause de la nature du terrain. En outre, la société italienne aurait elle-même tranché pour la première option du fait que cela lui éviterait de transmettre un quelconque avenant au contrat qui pourrait en plus du retard engendré, lui coûter de l’argent.
Notre source ajoute que même si cette extension de la trémie a été adoptée, le ministère des Travaux publics s’opposerait de toute façon à valider un tel projet pour éviter une rallonge financière.
Quoiqu’il en soit, et vu le manque d’espaces en zone urbaine, Pizzarotti se trouve confrontée à la grogne des citoyens car entreprendre des travaux sans faire de “casse” relève du miracle comme nous explique cet ingénieur qui nous précise que depuis le lancement des travaux, la société italienne doit, en plus des difficultés géologiques, faire le moins de dégâts possibles en ce qui concerne l’environnement et les biens publics.
Il est à rappeler que pour les besoins du projet des centaines d’arbres ont été abattus dans toute la ville et que des biens publics, des jardins et des parkings ont été supprimés. Mais pour revenir à la trémie, les travaux de son remblayage débuteront en principe le mois prochain pour une durée de quelques semaines, la société a déjà finalisé l’étude pour placer les voies mécaniques. Techniquement ce chantier représente la deuxième difficulté pour la société en zone urbaine, après le stade Benabdelmalek. Ce dernier connaît, lui, un retard considérable même si le plus gros a été fait (charpente métallique et pose du béton) et qu’il ne reste que les finitions, une affaire de quelques mois, nous informe un autre ingénieur. Quant à la suite du chantier en zone urbaine, le lancement de la construction des infrastructures (notamment les plates-formes) va s’échelonner sur plusieurs phases, et ce, pour éviter au maximum de perturber la circulation routière, sachant que cet axe est l’un des plus empruntés de la ville. Par ailleurs, concernant les retards enregistrés au niveau de plusieurs points du chantier, notre interlocuteur nous explique que les réseaux souterrains d’assainissement, de gaz et d’électricité sont pour beaucoup dans la perturbation des travaux. “Lorsque nous construisons des murs de soutènement en bordure des voies, murs qui renforcent le passage du tramway, nous tombons sur des kilomètres de câbles et de canalisations, comme cela est arrivé au tracé de Zouaghi, il nous faut alors attendre des semaines pour que les services concernés (Sonelgaz, Seaco et Algérie Télécom) interviennent”, explique-t-il. Les travaux en zone suburbaine ont toutefois connu un taux d’avancement appréciable, en dépit de la fragilité des sols, les opérations de terrassement et de réalisation des plates-formes et de pose des rails sont en voie d’achèvement, cette constance est cependant conditionnée par l’exécution des ouvrages d’art (le viaduc à proximité de l‘université et du tunnel à Zouaghi) encore non terminés. Enfin, notre ingénieur même s’il travaille à l’administration et qu’il a le libre accès sur plusieurs dossiers, était incapable de nous fournir avec précision le taux global de l’avancement du projet. “Tout dépend de la cadence des travaux, ce qui est sûr c’est que la mise en service du tramway sera dans une année ou plus !” conclut-il. Le projet du tramway de Constantine, évalué à près de 330 millions d’euros, a été lancé en octobre 2008 et devait être livré 47 mois après cette date.
DRISS B. -
l'impossible ouverture,Entv zoubia c'est tout ,appartient à toufik