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destruktor

  • Oil attack

     

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    Une base de gaz attaquée, l’armée donne l’assaut. Bilan, des morts mais une bonne partie est sauvée, et surtout tous les terroristes meurent. Puis un oléoduc du côté de Bouira, à Djebahia, subit un autre assaut. Bilan, 3 patriotes tués, ne s’y attendant pas. Il est évident qu’après 20 ans de tergiversations et d’hésitations, les groupes armés ont décidé de s’attaquer à l’essence de leur problème, en finir radicalement et détruire la base sur laquelle tout l’édifice est construit, c’est-à-dire s’en prendre au seul produit capable de rapatrier des ressources financières, en dehors des dattes de Tolga.

    Sans rentrer dans la question cruciale, pourquoi l’Algérie ne vit-elle que d’hydrocarbures, la réponse a été très rapide. Toutes les forces de sécurité sont en alerte maximale, les périmètres vitaux d’Arzew ou de Skikda, de Hassi R’mel ou Rhourde Ennouss ont été renforcés, tout comme la moindre bonbonne de gaz, absente l’hiver dernier, est encadrée par la police. Le régime, qui ne voyait que des patriotes, gendarmes, appelés ou civils mourir sous les coups du terrorisme, vient de réaliser qu’il s’agit d’une question de survie. Même Club des Pins n’est plus à l’abri, même les dirigeants craignent pour leurs salaires et les bons d’essence de leurs voitures de fonction.

    Leurs enfants ont peur pour leurs bourses à l’étranger et leurs femmes s’interrogent sérieusement sur le devenir de leurs soins esthétiques en Suisse. Finalement, aujourd’hui, toute l’Algérie est sous le coup de la même menace, unie dans la peur du lendemain, avec avantage à la population qui ne croit plus au futur depuis longtemps. Il n’y a que les scientifiques qui aiment à rappeler que la datte contient des protéines, des lipides et des glucides ainsi que des oligoéléments et des vitamines de toutes sortes. C’est un aliment complet. Mais même Mokhtar Belmokhtar n’a jamais pensé à attaquer une palmeraie.

     

    Chawki Amari
  • Destruktor (5)

    Par Maamar Farah
    Nous venons d’apprendre que les délégués de wilaya à la destruction nationale veulent marcher sur Alger pour soumettre leurs revendications aux autorités supérieures et rencontrer enfin leur idole : Destruktor lui-même, ministre de la destruction nationale !
    Selon des indiscrétions parvenues à notre rédaction, ces agents trouvent qu’ils ne sont pas assez payés pour tous les efforts qu’ils fournissent dans la grande tâche de destruction du pays ! Destruktor a certes dépêché quelques conseillers portant des sacs de plastique noir remplis de dinars, mais les délégués veulent des devises ! Ils disent que certains pays, ayant remarqué leurs compétences, veulent les utiliser pour détruire les nations ennemies. Dans les coulisses internationales, on dit que les agents locaux de la destruction ont le plus fort taux de rendement au monde et qu’ils peuvent abattre un million de moutons en une seule journée !
    maamarfarah20@yahoo.fr
    P. S. : Levée de boucliers de certaines associations suite à la publication d’un article sur le harcèlement dans la page «Vox Populi». La publication de ce texte ne signifie pas que la rédaction partage ce point de vue misogyne et sectaire. Mais nous évitons de censurer automatiquement les idées qui ne nous plaisent pas. A vous de réagir !

  • arrive enfin:la déstruction nationale

    APRÈS 16 ANS DE LUTTE CONTRE LE TERRORISME
    La Garde communale dissoute le 1er novembre prochain

    La Garde communale a tout juste quelques jours devant elle. Le corps n’existera, en effet, plus en tant que tel à partir du 1er novembre prochain, date à laquelle sa dissolution sera effective.
    M. Kebci - Alger (Le Soir) - Après 16 ans d’existence, le corps ayant été créé le 3 août 1996 sous le décret exécutif portant le numéro 96- 265, paru dans le JO ( Journal officiel) n°47, une création dictée par l’impératif de faire face à l’hydre islamiste armée, la Garde communale sera officiellement dissoute le 31 octobre prochain. C’est ce que révèle le chargé de la communication au sein de la Coordination nationale de la corporation. La réunion de mardi dernier, qui a regroupé les directeurs centraux au niveau du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales et les coordinateurs nationaux et locaux des Gardes communaux, a été on ne peut plus explicite quant au sort scellé du corps, a affirmé Lahlou Aliouet. Pour notre interlocuteur, cette entrevue de près de 6 heures, qui a eu lieu au siège de la wilaya de Blida, a été l’occasion pour les deux parties de discuter de l’après-dissolution, soit le devenir des effectifs du corps, estimés à près de 94 000 agents. Ainsi, M. Aliouet, qui fera part de la parution imminente dans le Journal officiel du décret portant dissolution du corps de la Garde communale, parlera de trois options alternatives offertes aux membres de la corporation. Il y a d’abord le départ volontaire à la retraite, option qui semble susciter un grand intérêt puisqu’ils sont près de 54 000 agents à en faire le choix. Vient en seconde position l’intégration de l’ANP en tant qu’auxiliaires avec des vœux exprimés par pas moins de 22 000 agents. Le reste des effectifs ayant préféré se reconvertir en agents de sécurité dans des entités économiques ou administratives publiques. Ces derniers, précise notre interlocuteur, et dans l’attente donc d’un poste d’emploi, continueront à percevoir leurs salaires. Cela dit, la dissolution en vue de leur corps ne semble point changer de trajectoire à l’élan revendicatif de la corporation. «La dissolution toute prochaine de notre corps ne veut nullement dire la fin de notre mouvement de revendications», tient à préciser le chargé de la communication au sein de la corporation pour qui, la question des 16 heures supplémentaires, de la classification des agents ou encore celle ayant trait aux œuvres sociales «sont toujours pendantes. Nous continuerons à les faire nôtres jusqu’à leur entière satisfaction». Et dans ce cadre, M. Aliouet fera part d’une réunion, prévue demain, du bureau de la Coordination nationale de la Garde communale, soutenant que le mouvement de revendication de la corporation observera une halte, le temps que les élections locales prévues les 29 novembre prochain se déroulent, à l’effet, dit-il, d’«extirper notre mouvement de toute velléité d’exploitation politique ». Exception faite, tient-il, cependant, à préciser, du 24 octobre courant, date à laquelle 44 agents de la Garde communale répondront de quatre chefs d’inculpation dont attroupement illégal sur la voie publique et outrage à corps constitué, et ce, consécutivement aux violents affrontements entre les forces de l’ordre et les gardes communaux lors de leur marche sur Alger à partir de Blida, le 9 juillet dernier. A l’occasion, un sit-in de soutien aux collègues convoqués se tiendra devant le tribunal de Bir-Mourad- Raïs, dans la capitale où le procès est prévu.
    Le projet de fondation toujours de mise
    Et pas que cela puisque pour M. Aliouet, la dissolution en vue de la Garde communale ne remet point en cause le projet de création d’une fondation dédiée à ce corps. Bien au contraire, la réunion de ce dimanche traitera justement et principalement de ce dossier qu’«il n’est pas question d’abandonner puisque nous escomptons, à travers cette entité, perpétuer le combat noble d’un corps qui a contribué et grandement à coups de sacrifices, à la sauvegarde de la République du péril islamiste ».
    M. K.

  • Algerie prète du liquide au fmi c.a.d à israel qui nous a mit à genoux jadis!!!!

    l’Algérie place cinq milliards de dollars au FMI



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    L’Algérie a décidé de participer à l’emprunt lancé par le Fonds monétaire international (FMI) avec un montant de 5 milliards de dollars, a indiqué ce jeudi 11 octobre un communiqué commun du ministère des Finances et de la Banque d’Algérie. La participation algérienne s’effectuera sous forme d’accord d’achat de titres libellés en Droits de tirage spéciaux (DTS), a précisé la même source.

    En avril dernier, Karim Djoudi, ministre des Finances, avait indiqué que le FMI avait sollicité le concours de l’Algérie pour renforcer ses capacités financières. « La demande a été faite par le FMI à l'Algérie en tant que pays doté d'excédents financiers pour accroître les ressources de l'institution de Bretton Woods afin de lui permettre d'accorder des prêts aux pays qui en ont besoin », avait expliqué M. Djoudi. L’Algérie dispose actuellement de près de 200 milliards de réserves de change. Les pays membres du FMI souhaitant souscrire à cet emprunt peuvent le faire soit sous forme d’accord de prêt bilatéral ou d’accord d’achat de tires. L’Algérie a donc choisi d’opter pour la seconde formule, avec une participation pour un montant de 5 milliards de dollars, « un niveau intermédiaire » par rapport aux souscriptions annoncées par les autres pays.

    Techniquement, la participation à cet emprunt constitue une opération qui « s’inscrit dans le cadre de la gestion rationnelle des réserves de change », souligne le communiqué. Selon les caractéristiques arrêtées par le FMI, les montants souscrits dans le cadre de cet emprunt font partie intégrante des réserves du pays participant.

    Outre ces avantages financiers et le fait qu’elle place l’Algérie parmi les pays créanciers du FMI, l’acquisition de titres du Fonds « constitue une contribution aux actions de la communauté internationale, y compris du FMI, visant à endiguer l’impact de la crise économique et financière globale sur l’ensemble des pays, y compris l’Algérie ».

    L’acquisition des titres DTS participe positivement à l’image du pays au sein de la communauté internationale et contribue au renforcement des relations institutionnelles avec le FMI, souligne la même source. À noter que le FMI a lancé, dans le cadre du renforcement de ses ressources, un emprunt auprès des pays membres disposant d’une viabilité financière externe solide, dont l’Algérie, viabilité qui s’apprécie dans le contexte d’une gestion macroéconomique saine.
  • Destruktor

     

    Par Maamar Farah
    Le secrétaire général du ministère de la destruction nationale présente les bilans du dernier trimestre à Destruktor :
    - Pour l’agriculture, c’est la déconfiture !
    - C’est bon. Encouragez-vous toujours l’importation des oranges ?
    - Oui, monsieur, nous suivons vos instructions. Il faut tuer les agrumes nationaux !
    - Faites traîner le dossier de l’industrie automobile et continuez la désertification industrielle !
    - Ne vous en faites pas ! M. Temmar est passé par là !
    -Et pour l’énergie. Il faut maintenir l’effort de M. Chakib pour baisser la production et importer davantage d’essence et de mazout !
    - Parfait, monsieur. Nous avons examiné le tourisme. C’est la faillite. La santé est malade. L’artisanat se folklorise et la culture tourne en rond. Les transports cafouillent. En sport, nous sommes nuls…
    - Et qu’est-ce qui marche encore ?
    - Il y a une amélioration dans la distribution de l’eau et les routes entre les villes et même les villages sont bonnes !
    - Quoi, c’est une catastrophe ! Et qu’est-ce que vous faites donc ! Je veux que les secteurs de l’hydraulique et des travaux publics soient au même niveau que le reste. Détruisez, mes enfants, détruisez car c’est en détruisant que nous montrons au monde notre génie !
    maamarfarah20@yahoo.fr