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  • Algerie prète du liquide au fmi c.a.d à israel qui nous a mit à genoux jadis!!!!

    l’Algérie place cinq milliards de dollars au FMI



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    L’Algérie a décidé de participer à l’emprunt lancé par le Fonds monétaire international (FMI) avec un montant de 5 milliards de dollars, a indiqué ce jeudi 11 octobre un communiqué commun du ministère des Finances et de la Banque d’Algérie. La participation algérienne s’effectuera sous forme d’accord d’achat de titres libellés en Droits de tirage spéciaux (DTS), a précisé la même source.

    En avril dernier, Karim Djoudi, ministre des Finances, avait indiqué que le FMI avait sollicité le concours de l’Algérie pour renforcer ses capacités financières. « La demande a été faite par le FMI à l'Algérie en tant que pays doté d'excédents financiers pour accroître les ressources de l'institution de Bretton Woods afin de lui permettre d'accorder des prêts aux pays qui en ont besoin », avait expliqué M. Djoudi. L’Algérie dispose actuellement de près de 200 milliards de réserves de change. Les pays membres du FMI souhaitant souscrire à cet emprunt peuvent le faire soit sous forme d’accord de prêt bilatéral ou d’accord d’achat de tires. L’Algérie a donc choisi d’opter pour la seconde formule, avec une participation pour un montant de 5 milliards de dollars, « un niveau intermédiaire » par rapport aux souscriptions annoncées par les autres pays.

    Techniquement, la participation à cet emprunt constitue une opération qui « s’inscrit dans le cadre de la gestion rationnelle des réserves de change », souligne le communiqué. Selon les caractéristiques arrêtées par le FMI, les montants souscrits dans le cadre de cet emprunt font partie intégrante des réserves du pays participant.

    Outre ces avantages financiers et le fait qu’elle place l’Algérie parmi les pays créanciers du FMI, l’acquisition de titres du Fonds « constitue une contribution aux actions de la communauté internationale, y compris du FMI, visant à endiguer l’impact de la crise économique et financière globale sur l’ensemble des pays, y compris l’Algérie ».

    L’acquisition des titres DTS participe positivement à l’image du pays au sein de la communauté internationale et contribue au renforcement des relations institutionnelles avec le FMI, souligne la même source. À noter que le FMI a lancé, dans le cadre du renforcement de ses ressources, un emprunt auprès des pays membres disposant d’une viabilité financière externe solide, dont l’Algérie, viabilité qui s’apprécie dans le contexte d’une gestion macroéconomique saine.
  • Alger se contente d’un message de condoléances au président Obama

    Un conseiller du ministre des Affaires religieuses s’interroge sur l’alerte lancée par l’ambassade US



    Un message de condoléances du président Abdelaziz Bouteflika à son homologue américain Barack Obama. C’est la seule réaction officielle algérienne au lendemain de l’attaque contre le consulat américain à Benghazi en Libye qui a fait quatre morts, dont l’ambassadeur des États‑Unis en Libye. L’Algérie n’a pas non plus réagi officiellement à l’alerte lancée mercredi matin par l’ambassade américaine à Alger. Celle‑ci a mis en garde les ressortissants américains afin d’éviter tout déplacement non indispensable en Algérie, évoquant des appels à manifester après l’attaque du consulat américain à Benghazi en Libye (lire). L’attaque est intervenue après la diffusion sur Internet, aux États‑Unis, d’un film islamophobe.

     

    Mais Ada Felahi, conseiller du ministre des Affaires religieuses, a jugé cette alerte américaine « exagérée ». « L’Algérie n’est pas la Libye », explique‑t‑il dans une déclaration à TSA. Selon lui, « la société algérienne n’a aucun problème, ni avec le peuple américain, ni avec les institutions officielles de ce pays ». Dans ce contexte, estime‑t‑il, les craintes de la représentation diplomatique américaine sont « exagérées » et « démesurées ».

     

     

    Notre source se veut rassurante : les violences enregistrées ces deux derniers jours et les attaques perpétrées contre les représentations diplomatiques américaines, aussi bien en Libye qu’en Égypte, ne risquent pas d’atteindre l’Algérie. Avant de s’interroger sur les motifs de cette réaction. « Dès son arrivée en Algérie, l’ambassadeur des États‑Unis à Alger, Henry S. Ensher, a rencontré le ministre des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghlamallah. Les deux hommes ont eu une longue discussion sur le dialogue entre les religions et le respect de la pratique des cultes pour les non‑musulmans en Algérie », souligne‑t‑il. Le diplomate américain, qui a eu, depuis, l’occasion de visiter plusieurs wilayas, « a constaté, selon nos échos, que l’Algérien, et contrairement à ce que certains veulent laisser croire, est un homme de paix », poursuit M. Ada.

     

     

    Ada Felahi, qui condamne le recours à la violence quels que soient ses motifs pour régler des problèmes, met les autorités politiques américaines devant leurs responsabilités. « Alors que les intellectuels et les hommes de religion insistent sur le dialogue interreligieux, l’on assiste de leur côté à une série de provocations contre les sentiments des musulmans »,  déplore‑t‑il. Il se dit convaincu qu’une intervention des politiques pourrait « corriger les choses ».

     

     

    Les autorités algériennes, fait-il remarquer, veillent à éloigner les mosquées des discours extrémistes. « Nous n’avons pas besoin de donner des instructions particulières cette semaine à nos imams avant la prière de vendredi. L’extrémisme est banni des mosquées », a‑t‑il conclu. 
  • Gouvernement de “technocrates”, dites-vous ?

    Par : Mustapha Hammouche

    C’est à grands renforts médiatiques qu’on tente d’imposer à l’opinion publique une légitimité “technocratique” du “nouveau” gouvernement. (Le libertinage sémantique du discours officiel nous oblige au recours exagéré, mais inévitable, aux guillemets).
    Par quel procédé communicationnel transforme-t-on donc un gouvernement au moins aussi “politique” que son prédécesseur en gouvernement de “technocrates” tout en ne renouvelant qu’un cinquième des ministres ? Comme, avec ses relais officiels ou officieux, le pouvoir occupe l’essentiel des canaux de communication, il use de ce procédé de communication totale pour couvrir toute objection quant à la légitimité du (ou des) chef(s) qu’il nous a choisi(s). Le matraquage sémantique via les médias, relayé par une dose de complaisance de ce qui nous tient lieu de faiseurs d’opinion, fait passer un acte politique ou une personnalité, individuelle ou collective, pour ce qu’elle n’est pas. C’est là un traditionnel procédé du système algérien. Rappelons, pour l’illustration de la méthode, qu’en 1993, Zeroual, avant de devenir président de l’État, puis d’être élu président de la République, fut le premier ministre… civil de la Défense nationale, et qu’en 1999, Bouteflika fut d’abord candidat “du consensus”, sans précision des parties liées à ce consensus. Ce qui fait que sa candidature et son élection ne pouvaient  souffrir quelques contestations, celles-ci ayant déjà emporté le consensus. Aujourd’hui, un gouvernement coordonné par un ancien ministre, qui fut directeur de campagnes présidentielles et comptant une vingtaine de responsables et députés de formations politiques dont quelque quatre ou cinq chefs de parti, de petits partis, mais de partis quand même, passe pour un gouvernement de rupture : on rompt avec la “politique” et pour promouvoir la “technicité” !
    On brandit les diplômes de certains “nouveaux” ministres, alors que les ministres partis n’en étaient pas dépourvus ? Ceux-là ne pouvaient-ils pas prétendre à la qualité technocrate ? Et puisqu’il est question d’énarques, comme premier argument “technocratique”, signalons que le Premier ministre sortant était justement un transfuge de cette illustre école.
    Ce qui normalement le prédestinait à figurer dans un Exécutif de “diplômés”. Certes, certains membres du gouvernement sont issus de structures “techniques” et doivent principalement leur promotion à leurs qualifications professionnelles. Mais, comme pour nous rappeler que la compétence scientifique est toujours sujette au pouvoir politique, ils sont généralement affectés à des positions de secrétaires d’État auprès d’un ministre.
    La “techno” légitime rarement la “cratie”, même dans les fonctions techniques ! Enfin, n’est-ce pas la moindre des choses qu’en 2012 un ministre doive jouir d’un niveau universitaire, fut-il un ministre “politique” ?
    Même avec trois doctorats d’État, un gouvernement reste un gouvernement ; inutile d’en faire une académie pour ne pas avoir à expliquer l’incohérence politique, relevée par Louisa Hanoune, d’un gouvernement théoriquement composé sur la base des résultats d’une élection législative. Comme forme de désaveu de ce résultat, ce gouvernement, loin d’être “de technocrates”, n’est que politique.

  • Quand Israël envoie balader le monde entier

    Voici une liste des résolutions de l’ONU qu’Israël n’applique pas. Ben oui, c’est Israël !

    Assemblée générale (ayant alors fonction d’organe décisionnaire)

    Résolution 181 (29 novembre 1947). Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jérusalem est placée sous administration des Nations unies.

    Résolution 194 (11 décembre 1948). Les réfugiés qui le souhaitent doivent pouvoir « rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible et vivre en paix avec leurs voisins » ; les autres doivent être indemnisés de leurs biens « à titre de compensation ». Création de la commission de conciliation des Nations unies pour la Palestine.

    Résolution 302 (8 décembre 1949). Création de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA).

    Conseil de sécurité

    Résolution 236 (11 juin 1967). Au lendemain de la guerre de juin 1967, le Conseil de sécurité exige un cessez-le-feu et un arrêt immédiat de toutes les activités militaires dans le conflit opposant l’Egypte, la Jordanie et la Syrie à Israël.

    Résolution 237 (14 juin 1967). Le Conseil de sécurité demande à Israël d’assurer « la sûreté, le bien-être et la sécurité des habitants des zones où des opérations militaires ont eu lieu » et de faciliter le retour des réfugiés.

    Résolution 242 (22 novembre 1967). Le Conseil de sécurité condamne l’« acquisition de territoire par la guerre » et demande le « retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés ». Il affirme « l’inviolabilité territoriale et l’indépendance politique » de chaque Etat de la région.

    Résolution 250 (27 avril 1968). Israël est invité à ne pas organiser le défilé militaire prévu à Jérusalem le 2 mai 1968 considérant que cela aggraverait les « tensions dans la région ».

    Résolution 251 (2 mai 1968). Le Conseil de sécurité déplore la tenue du défilé militaire de Jérusalem « au mépris » de la résolution 250.

    Résolution 252 (21 mai 1968). Le Conseil de sécurité déclare « non valides » les mesures prises par Israël, y compris l’« expropriation de terres et de biens immobiliers », qui visent à « modifier le statut de Jérusalem », et demande à celui-ci de s’abstenir de prendre de telles mesures.

    Résolution 267 (3 juillet 1969). Le Conseil de sécurité censure « toutes les mesures prises [par Israël] pour modifier le statut de Jérusalem ».

    Résolution 340 (25 octobre 1973). A la suite de la guerre de Ramadan ou de Kippour, création de la deuxième Force d’urgence des Nations unies (FUNU-II) qui vise à « superviser le cessez-le-feu entre les forces égyptiennes et israéliennes » et à assurer le « redéploiement » de ces mêmes forces.

    Résolution 446 (22 mars 1979). Le Conseil de sécurité exige l’arrêt des « pratiques israéliennes visant à établir des colonies de peuplement dans les territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés depuis 1967 », déclare que ces pratiques « n’ont aucune validité en droit » et demande à Israël de respecter la convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre.

    Résolution 468 (8 mai 1980). Le Conseil de sécurité déclare « illégales » les expulsions à l’étranger de notables palestiniens de Hébron et de Halhoul par les autorités militaires israéliennes et demande à Israël de les annuler.

    Résolution 592 (8 décembre 1986). Le Conseil de sécurité rappelle que la convention de Genève relative à la protection des civils en temps de guerre « est applicable aux territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés par Israël depuis 1967 ». Il condamne « l’armée israélienne qui, ayant ouvert le feu, a tué ou blessé des étudiants » de l’université Bir Zeit.

    Résolution 605 (22 décembre 1987). Après le déclenchement de la première Intifada, le Conseil de sécurité condamne les pratiques d’Israël « qui violent les droits de l’homme du peuple palestinien dans les territoires occupés, en particulier le fait que l’armée israélienne a ouvert le feu, tuant ou blessant des civils palestiniens ».

    Résolution 607 (5 janvier 1988). Israël doit « s’abstenir d’expulser des civils palestiniens des territoires occupés » et respecter les obligations que lui impose la convention de Genève.

    Résolution 608 (14 janvier 1988). Le Conseil de sécurité demande à Israël « d’annuler l’ordre d’expulsion des civils palestiniens et d’assurer le retour immédiat et en toute sécurité » de tous ceux déjà expulsés.

    Résolution 636 (6 juillet 1989). Le Conseil de sécurité demande à Israël, en conformité avec ses précédentes résolutions et avec la convention de Genève, de « cesser immédiatement d’expulser d’autres civils palestiniens » et d’assurer le retour en toute sécurité de ceux déjà expulsés.

    Résolution 641 (30 août 1989). Le Conseil de sécurité « déplore qu’Israël, puissance occupante, continue d’expulser des civils palestiniens » et lui demande d’assurer le retour de tous les expulsés.

    Résolution 672 (12 octobre 1990). Après les violences de l’esplanade des Mosquées - le mont du Temple, le Conseil de sécurité condamne « les actes de violence commis par les forces de sécurité israéliennes » à Al-Haram Al-Charif et dans d’autres lieux saints de Jérusalem et demande à Israël de « s’acquitter scrupuleusement des obligations juridiques et des responsabilités qui lui incombent » vis-à-vis des civils des territoires occupés.

    Résolution 673 (24 octobre 1990). Le Conseil de sécurité condamne le refus d’Israël d’appliquer la résolution 672.

    Résolution 681 (20 décembre 1990). Israël est sommé d’appliquer la convention de Genève.

    Résolution 694 (24 mai 1991). Le Conseil de sécurité déclare que l’expulsion de quatre nouveaux civils palestiniens en mai 1991 par les forces israéliennes constitue une violation de la convention de Genève.

    Résolution 799 (18 décembre 1992). Le Conseil de sécurité condamne les quatre cents expulsions de décembre 1992, soulignant qu’elle est contraire aux obligations internationales imposées à Israël par la convention de Genève. Le Conseil réaffirme l’indépendance et l’intégrité territoriale du Liban.

    Résolution 904 (18 mars 1994). A la suite du massacre de la mosquée de Hébron, le Conseil de sécurité demande à Israël de prendre les mesures nécessaires « afin de prévenir des actes de violence illégaux de la part des colons israéliens » envers les civils palestiniens.

    Résolution 1322 (7 octobre 2000). A la suite du début de la seconde Intifada, le Conseil de sécurité déplore les violences et condamne le « recours à la force excessif contre les Palestiniens ». Il demande à Israël de respecter ses obligations relatives à la convention de Genève.

    Résolution 1397 (12 mars 2002). Le Conseil de sécurité demande la « cessation immédiate de tous les actes de violence, y compris tous les actes de terreur et toutes provocations, incitations et destructions », et réclame la coopération des Israéliens et des Palestiniens visant à la reprise des négociations.

    Résolution 1402 (30 mars 2002). Après la réoccupation totale de la Cisjordanie, le Conseil de sécurité demande un cessez-le-feu immédiat et le « retrait des troupes israéliennes des villes palestiniennes ».

    Résolution 1405 (19 avril 2002). Le Conseil de sécurité déclare qu’« il est urgent que les organismes médicaux et humanitaires aient accès à la population civile palestinienne ».

    Résolution 1435 (24 septembre 2002). Le Conseil de sécurité exige « le retrait rapide des forces d’occupation israéliennes des villes palestiniennes ». Il demande à l’Autorité palestinienne de « faire traduire en justice les auteurs d’actes terroristes ».

    Résolution 1515 (19 novembre 2003). Le Conseil de sécurité se déclare « attaché à la vision d’une région dans laquelle deux Etats, Israël et la Palestine, vivent côte à côte, à l’intérieur de frontières sûres et reconnues », et demande en conséquence aux parties en conflit de s’acquitter des obligations relatives à la « feuille de route » du Quartet.

    Résolution 1544 (19 mai 2004). Le Conseil de sécurité demande qu’Israël respecte « les obligations que lui impose le droit humanitaire international » et « l’obligation qui lui est faite de ne pas se livrer aux destructions d’habitations ».

    Résolution 1850 (16 décembre 2008). Le Conseil de sécurité soutient le processus d’Annapolis, et demande aux parties de « s’abstenir de toute mesure suceptible d’entamer la confiance » et de ne pas « remettre en cause l’issue des négociations ».

    Résolution 1860 (8 janvier 2009). Après l’incursion de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, le Conseil de sécurité exige « l’instauration immédiate d’un cessez-le-feu durable et pleinement respecté menant au retrait total des forces israéliennes de la bande de Gaza ». Il demande de ne pas entraver l’entrée des organisations médicales dans Gaza et d’empêcher le trafic illégal d’armes.

    Source : Le Monde Diplomatique