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mali

  • Les violons et la violence

     

    Les temps sont durs, mais uniquement pour les gens mous. L'Armée islamique du salut (AIS) tient son congrès à Jijel pendant qu'à quelques kilomètres de là, des partis politiques, comme le MDS, sont interdits d'activité publique à Béjaïa. Cette prime récurrente à la violence, conjuguée à l'étouffement de tout activisme pacifique, n'est pas sans rappeler le lointain far-west américain où l'on ne négociait qu'avec ceux qui avaient des armes et représentaient une forme de violence potentielle.

    Ou plutôt un genre de jungle mais où il n'y a pas de bananes, celles-ci étant importées, et où tous les prédateurs seraient armés de kalachnikovs. Ou encore un champ de bataille électrifié de l'intérieur où tous les groupes qui tentent d'activer dans un cadre démocratique n'ont droit, au mieux, qu'au mépris et à l'interdiction, à l'arrestation ou l'électrocution dans le pire des cas. L'oreille distante mais attentive, on n'écoute finalement que ceux qui contestent le monopole de la violence du régime, comme ce fut le cas, dernièrement, des policiers qui ont occupé illégalement l'entrée de la Présidence.

    Cette inquiétante stratégie d'implantation d'une culture de l'affrontement armé n'est pas nouvelle mais donne raison, en ces temps de recherche de solution, à ceux qui affirment que l'actuel régime, arrivé par la violence, maintenu par la violence, ne partira que par la violence et aucunement par des élections, des pressions ou une transition négociée.

    D'où viendra cette violence  ? D'un groupe de délinquants survoltés, d'une sortie rancunière de stade, d'une émeute destructrice ou d'un ras-le-bol généralisé de la société qui, après avoir tenté la représentation politique, prendra aussi le chemin de la violence. C'est connu, un enfant battu battra son enfant à son tour, conséquence d'une longue lignée de battages successifs. C'est donc un sujet d'histoire psychanalytique. Mais qui a frappé le premier ?

     

    Chawki Amari
  • Les forces armées françaises sur le front nord-malien

    la censure sans pitie : lire la suite Guerre au mali

     

  • meme code genetique,fakhamatahou national ,l'algerie une dictature.

    Plan d'action : Sellal durcit le ton
 et menace

     

    Par Le Matin DZ |

     

    Ce mardi, devant le conseil de la Nation, Abdelmalek Sellal a assorti son Plan d'action de fermetés et de menaces contre la société civile: "Le gouvernement est déterminé à œuvrer pour le maintien de l’ordre public" a-t-il averti en se fait le héraut de la politique de "Réconciliation nationale" du chef de l'Etat.

     

    Abdelmalek Sellal se met à l'heure de la réconciliation nationale.

     

    Le gouvernement Sellal est-il déjà aux abois? Son plan d'action qui n'a cessé d'appeler à "regagner" la confiance du citoyen autrement dit, sommé de taire ses revendications nombreuses et accumulées, s'est voulu offensif par des promesses à foison qui ne semblent pas avoir trouvé écoute auprès des citoyens désabusés depuis longtemps par ces batteries de mesure auxquels seuls les naïfs prêteront crédit. Dès son adoption par un parlement lui-même depuis longtemps, vomi par la rue, le plan d'action d'Abdelmalek Sellal ne s'est pas imposé comme un projet d'ensemble, cohérent et inscrit dans une perspective, mais, par la multiplicité débordante de ses mesures, se voulant panacée de mesures hétéroclites.

     

    Après une courte période de "mobilisation" des ministres qui ont fait le dos rond face aux mouvements de mobilisation et de revendications politiques de la société civile, promettant, par ci, par là, la satisfaction des "besoins", recevant les syndicats, se faisant presque les représentants légitimes, ce plan d'action semble déjà essoufflé par son volontarisme même. Pour nombreuses et alléchantes que furent ses annonces, il est resté comme un spectacle sans public.

     

    Ainsi, après s'être dit agacé par le trop-plein de la chose politique, affirmant même qu'il n'a pas le temps à "la réflexion", que l'heure est à l'action, aux choses concrètes et palpables, le revoilà englué dans des déclarations idéologiques. Le gouvernement prétendument de l’"action" n'a pas longtemps résisté à la nature du pouvoir dans lequel il est : la parade, la langue de bois et les menaces. Abdelmalek Sellal se met à l'heure de la réconciliation nationale, Messahel à celle de "la bonne gouvernance" qui est, selon lui, "une exigence de l'Etat de droit" après les premières ruades de Ghlamallah réclamant un clergé islamique. L'"application du programme de Bouteflika" dont se gargarise le gouvernement ne pouvait se suffire de mesure oesophasiques et n'est pas fait pour "regagner" la confiance du citoyen qu'il a niée.

     

    Ce mardi, le Premier ministre, s'est investi pour la première fois dans la politique de la réconciliation nationale du chef de l'Etat oubliée dans son plan d'action, ainsi que l'a d'ailleurs fait remarquer le patron du MSP, Bouguerra Soltani. Lors de la présentation de son plan d'action devant les membres du conseil de la Nation, Abdelmalek Sellal a affirmé que "gouvernement œuvrera à la prise en charge de tous les dossiers des victimes de la tragédie nationale et la prise en charge de l’ensemble des victimes du terrorisme et ceux qui ont contribué à la lutte contre le terrorisme", soulignant par ailleurs "la nécessité de consolider l’unité nationale, en continuant à promouvoir les préceptes de l’Islam, et l’attachement à l’identité arabo-musulmane et amazighe."

     

    Cette incursion subite sur le terrain idéologique des gouvernements précédents trahit-elle la mascarade de la nomination d'un "nouveau" gouvernement qui se met à parler comme Ahmed Ouyahia, Abdelaziz Belkhadem ou Yazid Zerhouni ? Voilà donc un Premier ministre qui emboîte le pas aux "réconciliateurs" de son gouvernement qui arrime son Plan d'action aux inepties du "programme de Bouteflika" cité à tout-va dans la moindre mesure annoncée comme s'il était l'épée de Damoclès sur la tête de Sellal. Un Sellal qui reprend à la lettre en "copier-coller" les déclarations récurrentes de Bouteflika, ses sujets de prédilection et de prédation : l'indépendance de la justice, le maintien de l'ordre public, la lutte contre la corruption et le crime organisé, conçus par lui comme des instruments coercitifs contre une justice indépendante et une répression aveugle contre les mouvements de revendication.

     

    Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, ce mardi, s'est fait le porte-voix de celui qui l'a désigné à ce poste, en proférant des menaces contre le citoyen dont il veut pourtant "regagner la confiance: "Le gouvernement est déterminé à œuvrer pour le maintien de l’ordre public, la préservation de la sécurité des personnes et de leurs biens et la lutte contre la corruption et les fléaux sociaux" et promet de "donner plus de moyens à l'’appareil judiciaire et l’office national de lutte contre la corruption (qui) seront dotés de tous les moyens pour mener à bien leur mission." Le ton n'est plus aux promesses mais à la fermeté, aux menaces contre la société civile qui est ainsi avertie du vrai dessein du gouvernement de Bouteflika. Faire taire toute revendication politique au nom même de ce "plan d'action" qui devient le meilleur moyen de renforcer la nature oppressive et répressive du pouvoir qui ne peut souffrir de se cacher trop longtemps derrière quelques « mesurettes » de pacotille.

     

    C'est donc un Premier ministre qui obéit aux injonctions du pouvoir d'Abdelaziz Bouteflika, qui change de discours et de ton. Le charme avec lequel il a pris ses fonctions et ses prédispositions affichées à l'"écoute" du citoyen ont fondu comme neige au soleil. En mois de temps qu'il n'a fallu pour les quelques coups de balais sur les terrains vagues des cités dortoirs, les quelques courses poursuites aux marchés informels chassés la nuit et revenus le jour, il endosse l'uniforme de la répression sous les euphémismes dont est rompu le pouvoir: "assainir le climat non favorable à la concrétisation du plan d'action", "permettre à la justice de mener à bien sa mission" et "concrétiser et approfondir la réconciliation nationale".

     

    Pour un homme réputé pour son franc parler, Abdelmalek Sellal est contraint d'apprendre à quels temps et tons se conjugue la nature despotique du pouvoir de Bouteflika. Avant toute récolte du Plan d’action, si d’aventure il y en aurait, il faut nettoyer la rue : donner la chasse aux associations des victimes du terrorisme, interdire tous les sit-in, refuser les prénoms amazighes, jeter en prison les militants des Droits de l’Homme… A ces conditions, le citoyen peut se mettre à table.

     

    R.N

  • Mali : Bouteflika est-il redevable d'une dette historique ?

     


    Par Le Matin DZ 

     

     

     

    Abdelaziz Bouteflika a-t-il trahi le Mali qui, par le soutien de l'ami de l'Algérie, Modibo Keïta, lors de la guerre de libération nationale, lui aurait permis, de Gao, d'acheminer des armes vers l'Algérie. C'est sur cette dette historique que s'appuie un article de Maliweb pour fustiger la démarche dialoguiste d'Alger.

     

    Lors de la visite de Soumeylou Boubèye Maiga, l'ex-ministre Malien des Affaires étrangères en 2011

     

    Un édito quelque peu corsé publié aujourd'hui sur le site maliweb et intitulé "Alger manoeuvre contre Bamako", énumère les "grandes manoeuvres" d'Adelaziz Bouteflika qui seraient dirigées contre Bamako. A commencer par une "trahison" qui porte un coup à l'aide précieuse apportée par le Mali à la guerre de libération algérienne. "Pourquoi une telle ingratitude envers un voisin qui a contribué à la lutte de libération du peuple algérien, qui accéda à l’indépendance en 1962 ?" lit-on dans l'article cité allant même jusqu'à rappeler que Abdelaziz Bouteflika a séjourné à Gao durant la guerre de libération d'où "il a fait passer des armes à la frontière, au vu et au su des dirigeants maliens" ajoutant que "Modibo Keïta et ses compagnons ont sacrifié les relations du tout nouveau Mali indépendant avec la France au profit d’Alger." Mais, ironise l'auteur de l'article, "c’était l’Algérie de Ben Bella !" Ainsi, redevable d'une dette historique, Abdelaziz Bouteflika, en tournant le dos au drame malien, trahit les idéaux de novembre 1954.

     

    Les autres "trahisons" énumérées relèvent de l'actualité et mettent en première ligne de mire Abdelaziz Bouteflika: il a reçu Ansar Eddine à Alger. Selon les détails apportées dans l'édito, la délégation d’Ansar Dine étaient composée de" Tena Ould Ahmed et de Hamada Ag Bibi. Le premier est un faucon, considéré comme le père spirituel d’Iyad Ag Aghaly, chef d’Ansar Dine et le second un modéré, député de la circonscription d’Abeïbara, un sous-fifre du même Iyad.

     

    L'autre "manoeuvre" est que "C’est bien Alger qui a transporté son terrorisme sur le sol malien, avec le parti islamiste, le FIS (…) Certains éléments de cette formation politique se sont mués en Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC), tueur, preneur d’Européens en otages et fortement présent au Nord du Mali. Le même groupe s’est rebaptisé Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). C’est une dissidence de cette organisation qui est le Mouvement pour l’Unicité et le Jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), qui occupe la région de Gao, Ansar Dine ayant la mainmise sur Tombouctou et Kidal." Une note sacarstique clôt l'article: "Au lieu de négocier discrètement on ne sait quoi, avec Ansar Dine, pourquoi Alger ne négocie-t- elle pas avec ses enfants du Mujao, pour leur retour définitif au bercail? Vivement une résolution de l’ONU pour l’utilisation de la force au Nord du Mali, avec ou sans l’accord d’Alger!"

     

    L'esprit de cet écrit frondeur contre Alger trouve-t-il illustration dans la récente tournée d'Abdelkader Messahel dans les pays dits "du champ" ? En quittant ce mardi Bamako pour le Niger, Abdelkader Messahel s'est-il rendu à l'évidence qu'Alger, saluée au passage de manière condescendante pour ses efforts en vue d'une paix au Mali, est devenue, non plus une solution attendue mais un problème de plus qui s'ajoute à une situation explosive. En effet, Messahel n'a cessé de réitérer la démarche du dialogue avec les groupes terroristes d'Al Qaïda à condition que ces derniers déposent les armes ; ce que, depuis sept ans, la concorde civile n'a pas réussi à obtenir des mêmes groupes terroristes sur le sol algérien. Et les maliens ne semblent pas dupes sur ce sujet. Il ne s'agit plus d'une situation de "guerre civile", de génocides tribaux" comme au Rwanda en 1994 mais bien d'une menace terroriste de la branche maghrébine d'Al Qaïda internationale qui tente de mailler le continent africain, à partir de l'Algérie et du Nord-Mali.

     

    Quand bien même le président malien a reconnu, il y a quelques jours, que la guerre au Nord-Mali ne peut être que l’ultime recours mais il n'a pas du tout envisagé le recours au dialogue comme une abdication devant Al Qaïda. N'empêche: ses propos ont été vite oubliés car pour son Premier ministre, Cheick Modibo Diarra, aucune négociation n’est envisageable avec les terroristes d'Al Qaïda même si ses groupes sont composés de Maliens et de Touaregs maliens. Alger a-t-elle tenté de tirer profit de ces divergences entre le président malien par intérim qui incarne l'institution militaire et son chef du gouvernement qui défend, bec et ongle, la tolérance zéro à l'égard d'Al Qaïda ? On ne sait. Ce qui est sûr, si la délégation algérienne a été quelque confortée à Nouakchott qui reste tout de même vigilante de par son expérience dans la lutte antiterroriste contre Al Qaïda dans la région, de Bamako, pour tout dire, elle est sortie bredouille. Entre Bamako et Alger, le temps de la lune de miel à l'époque du Cemoc de 2011 n'est plus qu'un souvenir enterré du temps pas si lointain où leurs chefs d'Etats Majors respectifs s'étaient donné la main pour faire barrage à toute intervention étrangère au Sahel. Dès lors, le danger pour Alger, c'est une intervention étrangère à ses portes, notamment la France, ancienne puissance coloniale, mais pas Al Qaïda avec laquelle elle multiplie les opérations de charme via Ansar Eddine. C'est sans doute là que s'expriment les opérations manoeuvrières d'Alger dans la région du Sahel...

     

    R. N.

  • la blague du jour :le colonisé reproche au colonisateur organisé une ghaita fête au mali

    Alger reproche à Paris de se servir de la crise malienne pour protéger ses intérêts et rebondir sur la scène internationale



    La volonté française d'encourager une intervention militaire au Nord Mali irrite Alger. Dans une déclaration à TSA, une source diplomatique algérienne dit « comprendre les motivations françaises » dictées par deux facteurs. « D'une part, par le souci de protéger les intérêts économiques et autres de la France dans la région et d'autre part, par des considérations franco‑françaises de politique intérieure dans le sillage du débat hexagonal sur le leadership du nouvel exécutif français sur la scène internationale », a indiqué la même source.

    Ce jeudi 11 octobre, le président français Français Hollande a catégoriquement rejeté toutes négociations préalables à une intervention militaire africaine au Nord Mali, une proposition avancée la veille par le secrétaire général des Nations unies Ban Ki‑moon. « Discuter avec qui ? Avec Aqmi ? Qui peut imaginer qu'il puisse y avoir là des conversations qui puissent être utiles ? » a déclaré M. Hollande à des médias français à la veille de son premier déplacement en Afrique depuis son élection (lire).

    Alger est également irritée par les accusations portées « par certaines sources françaises bien anonymes » de bienveillance à l’égard des terroristes, selon la même source diplomatique. « La position de l'Algérie n'a rien d'ambigu et nous n'avons jamais exclu le recours à la force contre les groupes terroristes d'Aqmi et de leurs affiliés du Mujao », ajoute la même source qui rappelle que l’Algérie a aussi des intérêts dans la région. « Que les choses soient bien claires, l'Algérie a ses propres intérêts de sécurité et il ne faut pas faire l'erreur de vouloir la préempter comme simple maillon d'un schéma de sécurité collective conclu ailleurs et selon un agenda qui n'est pas forcément le sien », explique notre source.
    Outre ses intérêts de sécurité, l’Algérie est soucieuse des conséquences de l’éclatement d’une crise humanitaire à ses frontières sud en cas d’attaque militaire aveugle au Nord Mali. « Nous sommes, plus que d'autres peut‑être, conscients des conséquences lourdes, y compris sur le plan humanitaire, d'une option militaire aléatoire qui ciblerait sans distinction aucune et les populations du nord du mali et les groupes terroristes », prévient la même source diplomatique.

    Au président français qui refuse de dialoguer avec les islamistes, même touareg, la source diplomatique algérienne rappelle les préalables d’Alger pour une intervention militaire étrangère au Nord Mali. « Pour nous, il s'agit au préalable, d'intégrer les groupes touareg d'Ag Ghaly et du MNLA dans un dialogue politique pour la recherche d'une solution politique négociée avec les autorités centrales de Bamako sur la base de schémas de power sharing et de gouvernance locale qui excluent toute atteinte à l'unité nationale et à l'intégrité territoriale de ce pays frère », explique notre source.
    L’Algérie, qui connaît mieux que la France la région du Sahel, explique ainsi sa stratégie qui consiste à isoler les groupes armés affiliés à Aqmi pour les affaiblir militairement. « L'intégration des groupes touareg et des autres groupes ethniques du nord du Mali qui, faut‑il le souligner, sont constitués de Maliens ayant des revendications légitimes, dans une dynamique politique avec les autorités de Bamako isolera davantage les groupes terroristes d'Aqmi et du Mujao en les vidant de leurs éléments autochtones, permettra de renforcer les capacités nationales du Mali et d'engager les groupes touareg et autres populations du nord du pays aux côtés de l'armée malienne dans la lutte et le traitement sécuritaire des groupes terroristes et leurs affiliés », détaille notre source qui plaide pour un dialogue, sans exclusion, avec toutes les composantes touareg. 
    « Nous estimons, par ailleurs, que le fait de vouloir disqualifier, à tout prix, les Iforas regroupés autour d’Ag Ghaly au bénéfice d'un seul interlocuteur choisi à dessein, le MNLA, ne peut constituer la base d'un dialogue réellement inclusif et porteur de solution durable pour la sécurité et la stabilité du nord du Mali », met en garde la même source. Alger préconise donc le dialogue avec les groupes armés non affiliés à Aqmi, avant l’intervention militaire. « Le recours à la force contre les groupes terroristes et les narcotrafiquants trouvera également toute son expression dans le recours aux cadres opérationnels réaménagés par les pays du champ ».
  • no moment

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