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voleurs

  • Bouteflika et ses 40 x 40 voleurs

     


    Par Le Matin

     

     

    La scène des Invalides est une grosse comédie, juste pour gagner quelques jours, des semaines ou des mois peut-être de vie même quand elle est indigne parce qu’arrachée avec l’argent du contribuable

     

    Bouteflika recevant Sellal et Gaïd Sallah avec en toile de fond le portrait du président français : François Hollande. Bouteflika recevant Sellal et Gaïd Sallah avec en toile de fond le portrait du président français : François Hollande.

     

    Par Mohamed Abassa

     

    J’avoue que ma tentation première fut grande et bien résolue de vouloir titrer cette chronique "Bouteflika et ses 40 voleurs". Mais je m’en suis vite rétracté en faisant un peu le tour de la question de ce petit quarteron de 40 voleurs entourant et/ou encombrant un Président finissant. Sont-ils seulement 40, ces soutiens volubiles et indécents, parfois canailles et racailles associées par le ventre, et seulement par là, souvent qui ont mis l’Algérie et ses vrais hommes à genoux ? Assurément non ; pas seulement avec une poignée de quarante aventuriers. Et puis, me commémorant et dévidant l’image humiliante et pitoyable des lambris des Invalides, en bas du portrait majestueux du Président Hollande, bien sous tous rapports, chez lui, la vue dégradante d’un vieillard grabataire dont le regard éteint implorait déjà la pitié et le pardon. Deux petites questions en guise d’hypothèses tout aussi plausibles l’une que l’autre, ponctuèrent mon étonnement de petit citoyen peiné et affligé. Atterré surtout par tant de bassesses et d’attentions forcées à l’endroit d’un haut dignitaire sous-dév et déjà envasé dans un décor faussement rococo. Une grosse comédie, juste pour gagner quelques jours, des semaines ou des mois peut-être de vie même quand elle est indigne parce qu’arrachée avec l’argent du contribuable. Un Président montré comme un singe de luxe en cage, vautré et bien portant selon la seule résolution de deux témoins officiels. Encore et toujours perçu et montré dans la posture du petit bougnoul colonisé souriant et reconnaissant, sauvé in extrémis par le génie et le savoir faire inégalé de l’ex colonisateur. Non, monsieur Bouteflika, la France des droits de l’Homme ne prolonge pas la vie, n’ajoute pas des tranches de vie à ceux qui, chez eux, par leur arrogance de piteux dictateur, écrasent et empêchent la vie des petites gens. M. Bouteflika bastonne et emprisonne les petites gens qui crient et clament leurs droits. Il jette par milliers des jeunes désespérés à la mer et à la mort. Au suicide et à l’immolation par le feu. Ce monsieur demande aujourd’hui à la France de lui prolonger la vie. N’est-ce pas de l’outrecuidance et un gros culot ? N’est-ce pas le pire des ridicules que d’exiger la survie pour soi et jeter son peuple dans les mouroirs des hôpitaux nationaux qu’il n’a pas su ou voulu entretenir ou développer quand il en avait les moyens. 

     

    Et si c’était celle là l’image vraie du chef de l’Etat algérien encore aux commandes, plié et sans rien, le regard perdu implorant des secours impossibles.

     

    Mais où est donc passé ce fougueux Bouteflika, vociférant et criant ses ordres à grands gestes aux indigènes par lui dominés, grondant et insultant aussi ses ministres en les affublant de tous les noms d’oiseaux, traitant ses généraux de « quatre chats minables, galeux et insignifiants » et ses petits Walis de minables stagiaires ? Où est donc passé ce grand Bouteflika arrogant et dominateur, écarquillant grossièrement les yeux à un peuple présumé par lui, sot et toujours couché ; «Erfaa rassek ya Ebba !» aimait-il à s’éclater devant ses ghâchis médusés et soumis! C’est à notre tour maintenant, Sire, de vous dire : "Lève-toi, relève-toi M. le président ! Erfaa rassek ya p’tit". Toi qui as si violemment régné par la force et la ruse, observe bien que tu tombes et péris par la faiblesse et la honte que ton règne mafieux a semés. Finalement, c’est toujours le même sort que connaissent les lâches et les fourbes depuis le règne du sinistre Caligula dans ses jeux malsains et sinistres du pouvoir. Quitte à baiser et engrosser ses propres sœurs. Tout autant oublieux de ses servants à allégeances et servitudes changeantes et plutôt réversibles. C’est le propre des petites natures et, bien plus, des gagnes petit. Méditez bien cela, M. le Président, s’il devait vous rester quelques petites minutes, ou petits grammes de vie digne et propre ; territoire fermé que, ni vous ni vos obscurs soutenants en postes ne connaissent pas. Ne connaîtront jamais.

     

    Ma deuxième interrogation a été plus terrible et plus simple. L’Etat algérien est-il si insignifiant, si nul et si pitoyable pour être dirigé d’une chambre d’hôpital entre deux séances de rééducation fonctionnelle et d’orthophonie pour réapprendre le A et le O ? Peut-on diriger tout un état, une nation et le destin de tout un peuple avec une télécommande muette ? Peut-on décider du devenir de tout un peuple avec une simple et arbitraire présomption d’aptitude autoproclamée par deux personnes costumées et dont ce n’est ni le métier ni les compétences de le faire avec autant d’aplomb et de certitudes. Une vraie et totale imposture. D’un bout de canapé, sous le regard amusé d’un Hollande ravi aux corneilles et de deux cornichons étatiques, un chef de gouvernement et un chef d’Etat Major, posés en chiens de faïence, pour faire causette avec eux-mêmes et avec un néant perdu dans un regard hagard, paniqué entre un café imaginé et un gâteau putatif, peut-on dans cette posture décider de quoi que ce fut ? Quelle menterie ridicule cette stupide gesticulation de marionnettes comme preuves suffisantes pour prouver la bonne santé du Président et de son aptitude éternelle à diriger encore et toujours cet Etat algérien, encore plus malade que lui et qu’il ne connait pas. Sauf à le fréquenter pour mieux le voler et le faire piller par les amis et protégés de toujours. Actuellement en fuite se dit-il. De la pure folie que ces deux rigolos étatiques ont bien voulu incarner. Peut-être sur ordre, en service commandé. Du mauvais travail et très mauvais cirque. Comme souvent.

     

    Mais où sont donc passés l’orgueil et la dignité d’un homme et de ses complices quand, pour arracher quelques jours ou des siècles de survie, ils viennent s’abreuver et réapprendre les premiers gestes de la vie dans une institution créée par Louis XIV pour réparer et honorer les meilleurs soldats qui se sont sacrifiés pour la grandeur et l’honneur de la France impériale et coloniale ? M. Bouteflika est-il de ces grands méritants qui ont versé leur sang et donné de leur corps et de leurs âmes pour mériter les grandes réparations et les grands hommages de la patrie française reconnaissante ? Assurément oui puisque M. Bouteflika et les siens ont délibérément choisi de vivre un siècle de plus dans le déshonneur et l’indignité plutôt que de vivre et mourir debout et droit chez eux, un seul jour, comme ces oiseaux libres et fiers qui meurent dans la dignité, en cachette, dans leur territoire. Un seul jour dans l’honneur et dans la dignité des humbles vaut bien mieux qu’un siècle de survie dans la saleté et le déshonneur. Et c’est bien un trait de poltrons qui ne savent ni vivre ni mourir, qui font tout pour acheter un seul jour de vie en plus pour durer. Durer seulement pour durer. On s’accroche éperdument à la vie juste pour gouverner, quitte à finir en légume assisté aux invalides ou ailleurs en criant sans voix et sans gloire qu’on est toujours là, valide et toujours apte à la gouvernance éternelle.

     

    Où est donc passé l’honneur d’un peuple quand le plus qualifié de ses représentants, pour gagner quelques jours, quelques mois de survie et de commandements virtuels, s’offre à la France en spectacle et pitreries de cirque pour nous le dire dans la plus grande et la plus ridicule des mises en scène : Regardez-moi, je suis bien là, je sais respirer, affaibli, diminué, invalide et livide, immobile et plombé dans une robe de chambre de vaudeville, hardiment capable de soulever tout seul une tasse et dévorer tout un gâteau. Preuves suggérées par l’image muette : voyez-bien, je peux gouverner encore et toujours. Preuves visuelles suffisantes aux yeux de nos témoins décideurs que si le Président peut soulever un gramme de gâteau, puis une tasse monumentale et, grand bravo, bouger délicatement une main c’est qu’il peut diriger et gouverner tout un peuple. Y-a-t-il discours politique didactique ou implicite aussi méprisant, aussi méprisable que celui tenu par nos deux illustres envoyés spéciaux missionnés par notre sinistrée République ? Voyez et jugez par qui nous sommes gouvernés. Du menu fretin ; Kach Bakhta. Le petit trou du trou comme aimait à le dire le général De Gaulle.

     

    Les faiseurs de cette entourloupe filmée, mauvais farceurs, se commettant ainsi, nous délivrent concomitamment une piètre et débile opinion qu’ils se font de leur peuple. Prêt et prompt à croire ce genre d’âneries. En tentant cette imposture, sans le moindre remord, ils infantilisent de fait le peuple algérien en déconsidérant son intelligence, sa maturité et ses capacités à comprendre les premiers sens d’une image primaire qui renseigne très bien sur la médiocrité avérée de ses inspirateurs; ce que l’ENTV, aux ordres, a bien voulu nous en montrer. Du vrai mauvais vaudeville. algérien Agir ainsi, c'est-à-dire montrer un Président, ressemblant vaguement à un humain, qui bouge un peu, boit et touchant péniblement un gâteau en deux essais miraculeux, mais ne parle pas, lui le grand bavard, ordonnateur de tout, ne se lève pas, ne marche pas, ne rit pas, ne gronde pas, ne domine pas, pour suggérer enfin que cette demie viande par eux montrée enrobée est encore capable de discerner, de raisonner, de commander et de diriger, c’est faire preuve d’une grande et grave marque d’indigence morale, mentale, intellectuelle et, surtout, professionnelle.

     

    Usurpation de fonction

     

    Parce que l’autre escroquerie des visiteurs des Invalides, la plus grave d’entre toutes ces falsifications, n’est pas celle d’avoir essayé de tromper les opinions publiques mais bien celle d’avoir usurpé des fonctions qui ne sont pas les leurs. Depuis quand MM Sellal et Gaïd, sont-ils médicalement qualifiés pour juger de l’état de santé d’un homme, fut-il président ? Quelles capacités ont-ils pour juger et décider des capacités mentales et physiques d’un être humain à pouvoir continuer ou reprendre ses activités professionnelles ? On aura vite compris que, défendant la pérennité et l’inamovibilité de la fonction présidentielle, c’est en fait leurs fonctions et leurs privilèges de servants inconditionnels du régime qu’ils défendaient. Je crois que les Algériens comprendront parfaitement ces penchants des servants biologiques du régime qui les a créés et entretenus à ce jour. Et sans le soutien duquel ils ne seraient rien aujourd’hui. 

     

    Entrant dans ces marécages de la manipulation politicienne, forcément, on s’installera durablement dans le territoire de l’imposture et du mensonge organisé qu’il faudra bien payer et solder un jour. Car, comment peut-on, sans aucune qualification, décider qu’un homme, gravement malade, est valide et apte à diriger la vie de 37 millions d’Algériens quand, au même moment, ce même grand malade, est inapte et incapable de diriger 1% de sa propre personne, de sa propre vie ? Est-elle saine et normale cette attitude insensée de nos deux missionnés aux Invalides ? Tout le monde ici en rit ; pas même sous cape. L’arnaque est trop grosse pour être crédible; grossière même.

     

    C'est pourquoi me suis-je remis à penser à ces 40 voleurs qui dirigent en fait le bateau Algérie, quels que soient les temps et le cap. 

     

    Et que vont-ils devenir ces 40 voleurs dans le Souk des empoignades (déjà commencées) et des apurassions de comptes de l’après Boutef ? La potence ? L’échafaud ? La prison ? La honte ? La fuite ? Les quolibets populaires ? Que deviendront ces pôvres petits et minables enfants terribles, chekkamines et sous-traitants de la camarilla mus et gouvernés par les seules pesanteurs du ventre ? Maintenant que leur patron nourricier se trouve sur le registre du réapprentissage fonctionnel du pipi, caca, Ba, Bi, Bo, A, I, O… Faut pas voler, vociférer et vouloir humilier tout un peuple quand une justice mystérieuse et immanente vous rappelle à l’ordre pour vous intimer l’injonction de réapprendre à faire pipi et caca à réapprendre les premières sonorités de la vie, à savoir domestiquer les premiers mouvements des lèvres, redécouvrir l’usage des muscles labial et zygomatiques pour apprendre enfin le seul mot que vous n’avez jamais prononcé de toute votre vie d’indu occupant du pouvoir et de détourneur des richesses algériennes: PARDON ! Il ne le dira jamais lui qui a fait tant de mal à ce pays et à son peuple. Un hold-up qui se chiffre en millions et milliards de dollars. Votre tout dernier a consisté pour l’essentiel à pomper et sucer l’Algérie ; jusqu’à l’os. Même pour mourir, vous sucez et pillez l’Algérie. Mais quand donc allez-vous apprendre à vivre ou mourir avec vos seuls moyens d’homme libre et digne. Vous ne le pouviez. Parce que vous ne l’avez jamais été ; ni libre, ni digne. Surtout quand on a toujours été servant, servi et servile, toujours dominé et guidé par le couple diabolique ventre/libido. Même et surtout quand on est l’invité de marque aux Invalides de Louis XIV et de Hollande. Il faudra bien un jour ou l’autre passer à la caisse et rendre la politesse à nos bienfaiteurs Français. En leur renvoyant l’ascenseur en Rafales, centrales nucléaires, céréales, médicaments et tutti quanti.

     

    Police parallèle et barbouze de Saïd

     

    Je reviens encore à nos 40 voleurs tenant l’Algérien en otage selon ma première intuition. Trop restrictif comme titre, m’en suis-je vite persuadé en limitant le règne bruyant et sale de Bouteflika à une petite poignée de 40 voleurs pressés et insatiables. 

     

    Que vont-ils devenir ces porteurs délégués et anonymes de pouvoir et de richesses détournées ? De simples et stupides voleurs primitifs et pressés incrustés partout dans les entrailles de l’Etat. Partout incrustés pensais-je quand ils ne sont que 40 ? Que vont-ils devenir après le pronunciamiento peu constitutionnel annoncé imminent mais vite démenti par qui nous savons ? Parce que les placards débordants de la République dont on ne peut pas dire qu’ils sentent la rose semblent à tous égards très fragiles et, aussi, bien plus pleins et plus putréfiés que les écuries d’Augias. Parce que les couches sales depuis l’assassinat d’Abane s’amoncellent par vagues successives. Boutef par ses magouilles et polices parallèles y détient une belle part de ces saletés diverses. Ses chiens témoigneront demain contre une gamelle mieux remplie.

     

    Ma religion était presque faite quand je réduisais derechef ma vision de l’univers faisandé de Bouteflika à une quarantaine de malfrats opérants à ciel ouvert. 

     

    Quarante voleurs ! Est-ce sérieux de ma part de réduire l’univers pollué de Boutefliça à 40 hyènes puantes et vénéneuses? Je me résolvais à croire que l’Algérie compte au moins plus de 40 Walis, des centaines de chefs de Daïra, des milliers d’élus locaux et nationaux, des dizaines et centaines de ministres, des milliers de DG et PDG d’entreprises publiques et privées, des centaines de généraux, des gros chefs de partis fabriqués, des banquiers, des ambassadeurs trabendistes, des magistrats, conseillers occultes de la camarilla, prostituées mondaines recyclées politiques, des journalistes affamés achetés en gros, des associations bidon et comités de soutien, divers chekkamines et chekkamates, voilà les vastes niches qui tiennent et occupent le système Bouteflika.

     

    C’est pourquoi il fonctionne et tient la route même couché ou mourant. Pour autant, peut-on affirmer ici que tous ces affidés, souteneurs payés de Boutefliça, sont tous corrompus jusqu’à l’os ? Non, assurément non. J’ai même rencontré, parmi ces profils cités, d’honorables souteneurs qui avouent humblement et courageusement leur grande faiblesse du ventre et la lâcheté de leur soutien. Comme cette brave et jolie pute qui m’avoua son grand bonheur de posséder un superbe appartement à Paris grâce à la générosité présidentielle. Ou cette femme, grande opposante, devenue ministre grâce aux générosités de ses restes de fesses et à l’indulgence de son mari. Ce sont aussi les dures réalités de mon pays. Il n’existe pas de peuple 100% pur beurre. Il faut toujours une dose de traîtrise et de coups bas. Mais tout de même, pas à l’échelle bouteflikienne.

     

    Mais qu’est-ce que je me trompais ! Qu’est-ce que je réduisais mon champ de vision à seulement quarante piteux et calamiteux voleurs à la Chakib, le Texan. Dans ma petite définition du premier cercle mafieux du Président où je croyais loger et concentrer les quarante chats galeux du premier carré du clan présidentiel, je découvrais mes autocensures dormantes et mes méconnaissances des nombreux autres voleurs qui tiennent et entretiennent le système Bouteflika; même quand il est out, absent, dormant ou mourant. En limitant ainsi le règne malsain de Bouteflika à 40 voleurs, à ces petites salissures présidentielles, j’allais occulter, bien malgré moi, l’empire tentaculaire du mal qui enserre tout le pays. J’allais occulter aussi cette police privée et parallèle dirigée par Saïd, l’insignifiant freluquet qui dirige tout, pour harceler et terroriser les patriotes Algériens , propres et intègres, qui ont osé dire non à la dictature et aux pillages du frère et de la bande régnante. C’est pourquoi, bien des Algériens ont été pourchassés et exilés à l’étranger. Les barbouzes et les milices privées de Saïd et de Nounou la pharmacie ont harcelé et terrorisé de jour comme de nuit des Algériens et leurs familles qui osé dire et écrire non aux extravagances du président coopérant jouant au nabab..

     

    A cette flicaille honteuse et clandestine de Saïd qui a terrorisé, humilié et harcelé mes enfants à Dély-Ibrahim pour le seul tort que leur père a écrit Poutakhine pour défendre l’honneur de l’Algérie, je leur jure, sur mon honneur de Moudjahed sans fiche communale, qu’ils finiront tous comme les tortionnaires et tueurs argentins ; la geôle et la potence. Au passage, je ne sais s’il faut remercier M. Sellal ou son chef employeur, l’incontournable Si Tewfik d’avoir eu l’intelligence et le courage de supprimer et dissoudre cette police parallèle faites de barbouzes et de truands. Quand jugera-t-on leurs actes de banditisme d’Etat ? Quand jugera-t-on leurs activités illégales et extra judiciaires ? Quand jugera-t-on leurs atteintes et leurs violations répétées des droits humains des Algériens ? Quand jugera-t-on les employeurs de ces voyous anonymes: Yazid, DOK, Saïd, Chakib, Hamid, Abdelaziz et tous les autres cerbères gardiens du temple

     

    J’ose croire qu’ils paieront un jour leurs lâchetés et leurs crimes commis dans la clandestinité et au nom de l’Etat algérien. Mais, comme toujours, quand la justice arrivera, ils seront bien loin, mangeant leurs montagnes d’argent volé. Aux dernières nouvelles, à l’instar des rats de navires, les plus gros corrompus ont déjà commencé à quitter le bateau Algérie qui prend eau de toutes parts, pris dans la grande houle des hautes corruptions. 

     

    Je réalisai avec la prétention avouée de vous prendre à témoins qu’autour du Président, malade ou en bonne santé, ne gravitait pas seulement ses 40 voleurs, mais bien plus et plus grave encore. Même si la formule usitée plaît hardiment à l’oreille. Il me fallait donc renoncer vite et corriger cette titraille restrictive et incomplète. Il fallait bien se résoudre à affirmer que le système politique algérien dans ses fondements essentiels comme dans ses personnels régnants est corrompus dans son âme comme dans ses méthodes. A preuve ? Il tente de nous faire passer un légume éteint, un grand malade, épuisé et grabataire à l’excès pour un vigoureux président, en possession de toute sa puissance physique et mentale. Avec de vraies images qui attestent seulement d’un grossier et vilain mensonge. Comme toujours, les dictateurs et, in fine, leurs apprentis, ont toujours eu une piètre mémoire ; ils ne retiennent jamais leurs leçons. C’est pourquoi se dit-il, les mauvais élèves, en piteux dictateurs, n’ont jamais fait de bons dirigeants. Bouteflika et son clan, même dans leur déchéance honteuse, en sont la preuve. Ils ne savent ni vivre ni mourir dans la dignité. Ce serait trop leur demander. 

     

    Avis aux 40 prochains voleurs. L’Algérie propre ne se taira pas. Jamais !

     

    M. A.

  • algerie:gouvernement absences irreguliere: motif destruction de l'agerie

    Sadomasochisme par consentement mutuel !

    Par Hakim Laâlam  
    Email : hlaalam@gmail.com
    Finance mondiale. Si ça continue comme ça, l’Algérie
    va devoir imposer un…

    … rééchelonnement au FMI !

    Juste une question : le Mohamed Seddiki élu à la tête de la Commission de surveillance des élections locales, c’est le même que le Seddiki Mohamed élu à la tête de la commission de surveillance des législatives du 10 mai dernier ? On me murmure à l’oreille que oui ! En même temps, un parfait homonyme, Mohamed Seddiki, et membre lui aussi de Ahd 54, doit pas y en avoir des masses. Donc, c’est bien lui. Le monsieur qui n’a pas arrêté de jouer le poil à gratter lors du scrutin pour l’Assemblée. Le mec qui a crié à la fraude sur tous les toits surveillés et fliqués de la République. Le gus qui a affirmé sur tous les balcons barreaudés du système que le scrutin n’avait pas été crédible. Et si je comprends bien, c’est ce «prototype» qui est reconduit à la tête d’une autre surveillance électorale, celle-là communale. Marquis ! Hou ! Houuuu ! Marquis de Sade où êtes-vous ? Si vous êtes parmi nous, faites-moi signe, signalez votre présence par un geste. Je ne sais pas moi… par un coup de fouet, par exemple. Je promets de faire «aïe» tout de suite après. Les proprios du Palais et de ses douves savent que le Seddiki va gueuler sa race à la fraude, ne va en rater aucune pour signaler des dépassements, et c’est pourtant lui qu’ils font élire par leurs 52 partis. Et lui, Mohamed le valeureux, sait par avance que l’élection sera bidouillée, qu’il aura beau s’égosiller dans le désert, ça n’effrayera que les dernières outardes non encore tirées, et malgré tout cela, il a rempilé ! Et ensemble donc, régime et surveillant en chef du vote, ILS L’ONT FAIT ! Ils se sont reconduits dans un épisode d’un rare sadomasochisme mutuellement consenti. Mon Dieu, quelles mœurs ! On aurait voulu nous dire que ces locales seront une mascarade, on ne s’y serait pas pris autrement ! Le Palais aurait souhaité nous faire comprendre qu’il se paie une nouvelle fois nos têtes ahuries, qu’il n’aurait pas procédé d’une autre manière. C’est même plus du simple foutage de gueule. Non ! C’est carrément, je me paie ta tronche, et en même temps, je prends un mégaphone pour te le dire, te l’hurler à l’oreille au cas où, triple buse, tu n’aurais pas compris ! Marquis ? Eh ! Oh ! Marquis, vous êtes là ? Si oui, fouettez-moi ! Remettez-en une couche Marquis de Sade ! Mmmmm ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
    H. L.

  • l'Algerie et l'omc

    358 questions à un boxeur

     

     

    C’était dans la presse, coincé entre un immolé du fait divers et une grève de sourds-muets pour accéder à la parole : «Onzième round des négociations à l’OMC, l’Algérie fin prête.» On l’avait un peu oublié, mais comme un interminable match de boxe qui a du mal à s’achever, l’Algérie, championne du monde dans la catégorie poids lourds de l’importation, s’apprête encore une fois à adhérer à l’Organisation mondiale du commerce, club de marchands bien organisés. Va-t-elle gagner aux points, par jet d’éponge ou par KO ? Qui ? L’OMC ou l’Algérie ? 

    D’un côté, l’information est intéressante, pour une fois, le gouvernement algérien est occupé à frapper avec des gants de boxe autre chose que son propre peuple (voir les derniers tristes rapports des organisations des droits de l’homme). De l’autre, on peut se demander pourquoi il faut autant de rounds pour gagner un match et, surtout, pourquoi le gagner ? Si les experts sont avares en révélations au sujet de ces interminables négociations d’adhésion qui ont débuté en 1987, soit il y a un quart de siècle, ils annoncent la fin du match pour 2012, au moment même où la dictature des marchés est devenue intolérable. Sans aller jusqu’à revenir à une économie soviétique, y a-t-il nécessité d’adhérer à l’OMC en sachant que dans un cadre de démantèlement tarifaire, ce sont les producteurs qui gagnent le plus, ce que l’Algérie n’est pas ?

    Si les autorités du pays refusent toujours certaines concessions tout en continuant à réitérer régulièrement leur volonté d’adhérer à l’OMC, il n’y a bien sûr pas de débat ni à l’ENTV ni dans les circuits officiels. Pourquoi alors autant traîner dans ce que certains appellent «l’un des processus les plus longs de l’histoire de l’OMC» ? C’est peut-être relatif aux 358 questions que l’OMC soumet aux pays qui veulent y adhérer. Bon boxeur, l’Algérien adore le commerce mais déteste répondre aux questions.

    Chawki Amari
    Chawki Amari
  • les bons à rien

    Fin du différend avec Anadarko et Maersk

    L’Algérie paye cher la gestion opaque de Sonatrach


     


    L’entente entre les parties en conflit prévoit des compensations de l’ordre de 4,4 milliards de dollars pour Anadarko et 920 millions de dollars pour Maersk lesquelles bénéficieront également d’une prorogation de 25 ans de la durée d’exploitation de leurs gisements. Le compromis reçoit l’assentiment de tous, même si les premières annonces ne permettent pas d’appréhender avec clairvoyance les bénéfices tirés par chacune des parties.  Certes, il permet aux partenaires de tourner la page des désaccords avant d’avancer vers de nouveaux projets et enjeux beaucoup plus importants, notamment celui du développement du bassin de Berkine, nouvelle province pétrolière.
    La compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, a fini par trouver un accord avec ses deux partenaires Anadarko et Maersk, mettant fin par un règlement à l’amiable au litige qui les oppose depuis 2007.

    Or, les lourdes concessions consenties par Sonatrach laissent dubitatif quant à la capacité dont disposait Sonatrach à s’en sortir à l’issue de l’arbitrage dans ce cas précis. C’est d’ailleurs l’avis des experts interrogés à ce propos. Francis Perrin, expert en marchés pétroliers et directeur de la rédaction de la revue Pétrole et Gaz arabes, indique d’ailleurs qu’il était clair et très attendu que l’arbitrage international allait être en faveur de l’américain et du danois. Le fait est que «les partenaires de Sonatrach avaient bâti un dossier bétonné sur le plan juridique et qu’il s’appuyait sur les dispositions particulières dont ils bénéficiaient dans le cadre de leurs contrats respectifs». Chose qui leur a permis, contrairement au reste des firmes installées en Algérie, de porter le débat en public et de faire preuve d’une attitude agressive envers les Algériens.

    M. Perrin explique qu’Anadarko et Maersk se sont basées sur la clause assurant la stabilité fiscale régissant leurs contrats. Clause qui, selon les deux firmes, n’a pas été respectée lors du prélèvement par Sonatrach de la taxe sur les profits exceptionnels instaurée en 2006 sur la part de production leur revenant. L’expert précise aussi que le litige opposant les compagnies pétrolières comprend plusieurs éléments, notamment le volet relatif aux divergences concernant les modalités d’application de la nouvelle taxe sur les superprofits laquelle a touché au final à l’ensemble de la production dès le moment où le cours du baril dépassait 30 dollars, alors que les partenaires de Sonatrach estimaient qu’elle ne devait toucher que les profits exceptionnels.

    «La mise en œuvre de la TPE et des diverses dispositions de la loi sur les hydrocarbures amendée s’est alors avérée extrêmement compliquée», selon les propos de l’ex-conseiller en stratégie auprès de Sonatrach, Mourad Preure. Celui-ci ne remet pas en cause pour autant le droit d’un Etat à recourir souverainement à l’écrémage des profits exceptionnels, dans la mesure où de nombreux pays, comme la Grande-Bretagne en 2010, recourent à la modification de leur fiscalité. Or, l’erreur réside, selon lui, dans le fait d’avoir «appliqué de manière rétroactive la nouvelle réglementation aux contrats de partage de production signés antérieurement, alors que les compagnies avaient déjà établi leurs prévisions d’investissement».


    Dans le sillage de la révision de la loi sur les hydrocarbures


    Il s’agissait donc pour Sonatrach, selon l’ex-PDG du pétrolier public, Abdelmadjid Attar, «de limiter les dégâts au vu des résultats de l’arbitrage», dans la mesure où celui-ci «est mal parti dès le début du fait d’un mauvais choix en ce qui concerne le cabinet de conseil juridique et la stratégie de défense de Sonatrach». L’objectif de cet accord à l’amiable, lequel contraste avec l’entêtement ayant marqué le début du conflit, visait aussi, selon l’ancien responsable, de «préserver le partenariat avec Anadarko qui est le principal opérateur pétrolier en association avec Sonatrach et l’un des tous premiers à s’engager en Algérie après la loi de 1986, et enfin améliorer l’image et l’attractivité du pays pour le futur».Il est vrai que l’affaire a quelque peu égratigné l’attractivité du domaine Algérie, selon Francis Perrin qui affirme que même si la majeure partie des firmes pétrolières travaillant en Algérie n’avaient pas porté le débat en public, «cela n’a pas manqué de les faire jaser entre les murs et dissuader d’éventuels investisseurs».

    L’affaire Anadarko-Maersk reflète parfaitement la gestion hasardeuse du secteur durant la dernière décennie et les cafouillages ayant émaillé les amendements apportés à la loi sur les hydrocarbures en 2005 et en 2006 ainsi que leur mise en œuvre. Pour M. Perrin, les amendements de 2006, qui ont marqué un durcissement de la législation, sont intervenus à un moment où la hausse constante des prix du pétrole a donné des ailes à l’ensemble des pays producteurs, lesquels ont entrepris, à l’image de l’Algérie, de modifier leurs législations.

    Et d’ajouter que les producteurs «ne se souciaient plus de produire plus, mais de s’attribuer une plus grande part de la rente». Il estime également que ces pays, qui se sentaient en position de force, ont péché par excès d’enthousiasme et sont allés «un peu trop loin et trop vite» en besogne, en voulant appliquer les nouvelles dispositions «à des contrats négociés longuement et âprement». Et comme le marché pétrolier n’est pas à l’abri d’un retournement, lequel n’a pas tardé à se faire sentir à la fin de l’année 2008, ce qui peut être applicable aujourd’hui risque de ne plus l’être demain. Et d’ajouter que le contexte actuel marqué par la montée en puissance des hydrocarbures non conventionnels met les pays producteurs au défi de développer l’amont pétrolier. Il pense d’ailleurs que c’est la principale motivation de la révision prochaine de la loi sur les hydrocarbures en Algérie laquelle devra développer les bassins inexplorés, les hydrocarbures de schiste, ainsi que l’offshore.


    En mal de vision stratégique


    Les propos de l’expert dénotent quelque peu un manque de vision stratégique chez les responsables algériens du pétrole. A ce propos, Abdelmadjid Attar estime qu’il faut prendre en considération le fait qu’une «loi dans ce domaine (l’énergie, ndlr) peut être bonne aujourd’hui, elle ne le sera peut-être pas dans moins de cinq ans» et qu’il faut réagir vite en conséquence. L’ex-PDG de Sonatrach regrette d’ailleurs le fait que «toutes les politiques mises en œuvre ont eu en théorie un objectif de renforcement de la souveraineté sur les ressources et leur accroissement depuis 1971. Mais dans la réalité, il y a soit un manque de réactivité et un retard par rapport aux grandes mutations dans le monde, soit une mise en œuvre non seulement très lente, mais de façon trop conservatrice, sans vision stratégique lointaine, et parfois même par crainte de l’avenir».

    Et à propos de stratégie justement, les experts nationaux interrogés ont voulu rebondir sur la cession des actifs d’Anadarko détenus par Sonatrach en 2003 et lesquels auraient pu constituer un atout. Mourad Preure a regretté dans ce sens l’agressivité d’Anadarko qui, dit-il, a pu «bénéficier des investissements en Algérie pour accéder à une stature internationale», avant de rappeler que la participation de Sonatrach à son capital constituait «un rempart aux OPA que l’américain a subies durant les années 1990». L’ex-patron de Sonatrach a, de son côté, estimé que la compagnie nationale «a beaucoup perdu à travers cette cession», précisant ne pas comprendre les motivations d’une telle décision. Il faut rappeler à ce titre que Sonatrach détenait 5% du capital d’Anadarko et 2% du capital de Duke Energy. La firme publique a obtenu ces titres à la suite d’un arbitrage international concernant le contrat gazier El Paso durant les années 1970. Ces actifs ont été cédés en 2003, du temps où Chakib Khelil assurait la double fonction de ministre de l’Energie et de patron de la compagnie nationale des hydrocarbures. Les derniers développements ressemblent à s’y méprendre à un retour de manivelle… ironique !
     

    Melissa Roumadi
  • Un citoyen saisit les autorités suisses sur les comptes des dirigeants algériens

    Par
     

     

     

    Un citoyen algérien, Mr FETNI Sofiane, qui se dit Président du Forum Algérien de Lutte Contre la Corruption, a fait parvenir à notre rédaction une lettre adressée à la Présidente de la Confédération Suisse Micheline Calmy-Rey dans laquelle il demande le gel des avoirs bancaires des dirigeants algériens et dont il donne une liste qu'il dit avoir constituée à partir des informations délivrées par Swiss Bank Control.

     

    A Madame la Présidente de la Confédération Suisse Micheline Calmy-Rey
    Sous Couvert de SEM l'Ambassadeur de la Confédération Suisse en Algérie
    Villa no 5, rue Numéro 4 Parc du Paradou 16035 Hydra / Alger
    Adresse postale : B.P. 443 16035 Hydra / Alger Algérie

     

    Objet : Plainte Préventive Concernant le Gel des Comptes Bancaires de Certains Hauts Responsables Algériens.

     

    Madame la Présidente,

     

    Je soussigné Monsieur FETNI Sofiane – Président du Forum Algérien de Lutte Contre la Corruption. J'ai l'honneur de déposer entre vos mains une plainte contre les Responsables Algériens nommés qui ont placé discrètement, c'est-à-dire sans l'accord du Peuple Algérien (qui ignore complètement cette affaire), des fonds d'une acquisition douteuse auprès de : Swiss Bank Control, dont voici la situation jusqu'au 31/12/2009 :
    1- ABOUDJERRA Soltani – Président MSP : 1.202.759 CHF
    2- BARKAT Said – Ministre : 3.708.223 CHF
    3- BELKHADEM Abdelaziz – Ministre SG FLN : 21.333.939 CHF
    4- BENAISSA Rachid – Ministre : 3.595.317 CHF
    5- BENBADA Mustapha – Ministre : 17.263.065 CHF

     

    Lire la suite dans Forum Free Algerie : http://www.freealgerie.com/

  • La fortune cachée des dirigeants Algériens en Suisse dépasse les 700 millions d'euros !

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    La fortune des régimes Arabes en Suisse

       	Selon une chaîne de télévision suisse germanophone, les avoirs financiers du régime Algérien en Suisse dépassent les 700 millions d'euros. 

    zoom | © D.R

    Selon une chaîne de télévision suisse germanophone,...

    Selon les révélations de la chaîne de télévision suisse germanophone "Arena", les avoirs financiers des dirigeants Algériens en suisse dépassent les 700 millions d'euros. Cette chaîne suisse a diffusé cette information au cours d'une émssion, dont un résumé est disponible sur Youtube, consacrée aux fortunes des régimes arabes placées dans les banques suisses.

    907 millions de francs suisses, l'équivalent de plus de 700 millions d'euros, ce montant représente les sommes d'argent en provenance de l'Algérie et placées en sécurité dans des banques suisses, signale notre confrère Algérie-focus qui reprend les informations révélées par l'émission diffusée récemment sur la chaine suisse "ARENA". En effet, un reportage de cette chaine a passé en revue toutes les fortunes des régimes arabes qui se retrouvent dissimulées dans les coffres-forts des banques suisses. 

    Mais contrairement à ce que l'on croit, ce n'est pas le Guide libyen, El-Geuddafi, qui détient la plus grande fortune déposée dans les banques suisses. Et pour cause, une grande partie de ces 4 milliards d’euros déposés en Suisse a été retirée des banques de la Confédération helvétique après les embrouilles du colonel Khadafi avec les autorités de Bern.  

    Aujourd'hui, Mouammar Kadhafi ne disposerait, selon la chaîne "Arena", que de 633 millions d’euros dans ses comptes secrets en Suisse. Dans ce contexte, c'est le régime syrien qui se retrouve en tête du peloton car il possède les plus importants avoirs financiers en suisse. En effet, plus d'un 1,4 milliard euros reviennent au clan Assad qui dirige d'une main de fer la Syrie depuis 40 ans. 

    Abderrahmane Semmar