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pouvoir - Page 3

  • LE DRS ne veut pas de changementà ENTV,alors pas de vote.

    La création de chaînes généralistes exclue

    Audiovisuel : rien ne changera !


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    Audiovisuel : rien ne changera !

     


    Quand, en avril 2011, dans le feu du Printemps arabe, le président Bouteflika annonça, dans son discours à la nation, l’ouverture de l’audiovisuel au privé, les Algériens se mirent alors à rêver. A rêver de pouvoir enfin zapper localement sur une autre chaîne de télévision que «Al Yatima» (l’unique) ou encore la «zéro» et ses clones terrestres et satellitaires.


    Bien qu’on ne puisse soupçonner Abdelaziz Bouteflika d’être fan d’une télé libre, lui qui a dit être le rédacteur en chef de l’APS, l’annonce a quand même emballé tout le monde. Certains n’ont pas hésité à faire connaître leur volonté de mener cette aventure cathodique, comme ce fut le cas pour la presse écrite sous Mouloud Hamrouche. Mais, passée la peur panique d’une contagion révolutionnaire, le régime semble revenu aux normes «maison».

    Le ministre de la Communication, dont le discours évolue en fonction du contexte, a, cette fois, dit tout bas ce que le régime pense tout haut : les télés privées en Algérie, ce sera pas demain la veille… !  
    Ayant sans doute constaté que les Algériens se sont «calmés», Bouteflika a revu substantiellement à la baisse les maigres acquis algériens des révoltes de leurs voisins. «Nous commençons d’abord avec les chaînes thématiques. C’est écrit dans la loi organique. Après, il y aura peut-être une évolution de la législation et, en fonction de cela, la future loi sur l’audiovisuel fixera ce qui sera autorisé», a déclaré Nacer Mehal dans un entretien à nos confrères de TSA. C’est là un très mauvais signal émis depuis la Présidence et diffusé par le ministre de la Communication.


    Ouverture en clair-obscur


    En clair, le pouvoir n’a strictement rien lâché pour l’instant et les Algériens vont se contenter encore du «libre» débat sur l’ENTV que le ministre lui-même trouve médiocre. En décodé, le président Bouteflika et son gouvernement suggèrent que les promesses, fussent-elles solennelles, n’engagent que ceux qui les croient. L’ouverture de l’audiovisuel au privé, qui constitue un indicateur fiable du sérieux des réformes démocratiques d’un pays, vient d’être remise entre «guillemets». «Il y aura des débats et des amendements. Je ne peux préjuger. Peut-être verra-t-on un consensus autour d’une alliance entre le public et le privé.» Voilà le type d’ouverture en clair-obscur que nous propose ce ministre, qui se vante d’être un «combattant» de la liberté d’expression. 

    Comme pour mettre un gros bémol sur cette ouverture arlésienne, le ministre nous conseille de ne pas trop nous accrocher aux télés libres. «L’audiovisuel est un sujet extrêmement délicat et sensible. Ce n’est pas comme la presse écrite. C’est pour cela qu’il faut prendre ce qui est bon dans les expériences menées ailleurs pour l’adapter chez nous.» Explication : une télé libre est extrêmement dangereuse pour la pérennité de notre régime, qui sera contraint de laisser les Algériens le critiquer et évoquer ses sous et ses dessous devant le peuple.


    Message crypté


    Il est alors aisé de comprendre que la promesse du Président n’était qu’un écran de fumée… Un peu comme toutes ces lois cosmétiques que le régime a emballées dans le carton «réformes politiques» pour tenter de les «vendre» à l’étranger. Preuve, si besoin est, que le régime n’est pas disposé à ouvrir sa «boîte noire», le ministre de la Communication, qui s’acharne sur la presse écrite, affirme que même pour les chaînes mixtes public/privé, le gouvernement va «consulter l’ensemble des dispositifs de lois avec des équipes de juristes algériens».
    Il ne restera après à la future autorité de régulation de l’audiovisuel, dont la moitié des membres sera nommé par «Son Excellence», que de coudre un cahier des charges, le plus décourageant possible, pour mieux cadenasser ces hypothétiques chaînes de télévision hybrides.

    C’est dire, tout compte fait, que l’ouverture de l’audiovisuel au privé en Algérie s’annonce en mode crypté.
    La teneur des réformes politiques adoptées a déjà donné un avant-goût de ce que sera la fin du monopole de la télévision dans la tête de ceux qui nous gouvernent.
    On sait désormais qu’il s’agira, tout au plus, d’une division cellulaire de l’Unique pour en faire des petites, aussi médiocres les unes que les autres. Les Algériens vont tout de même pouvoir zapper d’une chaîne animale à une chaîne de musique en passant par celle de la cuisine gastronomique et politique algérienne.

    C’est peut-être cela, l’ouverture de l’audiovisuel dans l’esprit du régime. C’est du moins ce que suggère Nacer Mehal.
    Au final, cette velléité du gouvernement d’autoriser la création de télévisions privées n’est rien d’autre qu’un mauvais scénario dont le metteur en scène est visiblement  mal inspiré. En langage cinéma : coupez !...

    Hassan Moali
  • Quesque vous avez fait pour que le peuple vote?vieux débris et ça depuis 62!

    Elections législatives du 10 mai : le bazar électoral
    Par Le Matin DZ |
               pouvoir, algerie, islamistes, Ouyahia, politique, nouveaux partis, élections législatives

     

    Le RND d'Ahmed Ouyahia fera face à ses dissidents
    Huit nouveaux partis viennent d'être agréés par le ministère de l'intérieur. Ils viennent s'ajouter aux 17 autres qui ont tenu leur congrès constitutif. Ces formations de dernière minute comptent en leur sein des dissidents du RND, des redresseurs du FLN et beaucoup d'anciens ministres.

    Les prétendants aux législatives font la queue devant le ministère de l’intérieur depuis que, d’Oran, Bouteflika a appelé les partis politiques à redoubler d’énergies pour convaincre, on ne sait avec quoi ni comment, les électeurs à se présenter en masse au scrutin du 10 mai.

    Ainsi, après l’agrément de 17 nouveaux partis que le chef de l’Etat n’a pas manqué de citer en les gratifiant au côté de ses grosses formations de l’alliance, huit autres  partis politiques, ayant déposé leur dossier et remplissant les conditions légales, ont été agréés, a annoncé hier, dimanche 26 février, le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales dans un communiqué.

    Dans ces formations de dernière minute, il y a de tout et du "mange-tout" : des ex-candidats à la présidentielle, de nombreux ministres à la recherche d’une rente confortable comme députés, des responsables de l’organisation des enfants de chouhadas, des dissidents du RND, des redresseurs du FLN, d’anciens survivants de la défunte UNJA. Parmi eux, inévitablement, le Mouvement Populaire Algérien ( MPA) de Amara Benyounès, ancien ministre, ex- cofondateur du RCD.

    D’autres formations politiques, croit-on savoir, attendent au portillon du Premier ministère. Pour écarter tout soupçon de vouloir "polluer" selon le terme de Saïd Sadi dont le parti, c’est le seul pour le moment en attendant la décision du FFS d’Aït Ahmed qui se fait désirer, Daho Ould Kablia a eu cette remarque ubuesque: "L’agrément des nouveaux partis politiques pourrait se faire au delà de l’échéance des prochaines élections législatives."
    Ce rush de partis issus des luttes implacables de leadership  au sein du RND et du FLN, donne déjà, deux mois à peine de l’échéance électorale, une atmosphère de foire d’empoigne à un scrutin de "grande maison" ouverte ouverte, selon la formule pimentée du président du RCD, "sur le mode du proxénétisme."

    Au sein des formations de l’alliance, le RND et le FLN partagé entre les caciques et les redresseurs, c’est la mêlée. Les loups sont-ils dans la bergeries? Le RND aura fort affaire avec le nouveau parti de Benbaïbèche, l’ex-trublion secrétaire général de la formation avant d’être débarqué et remplacé par Ouyahia qui devra croiser le fer avec des ministres comme Bendakir, qui était aux transports dans le gouvernement Zeroual, ainsi qu’avec Aissa Nouasri et Mohamed Kébir, des ennemis jurés de Ouyahia.

    Du RND originel vient d’être issu également un autre nouveau parti, l’Union des forces démocratiques et sociales, l’UFDS, présidé par l’ex-ministre de l’agriculture Noureddine Bahbouh. Ce nouveau parti compte en son sein aussi l’ex premier ministre Mokdad Sid, l’ex-ministre du Tourisme Ben M’hidi, l’ex-député Haider Bendrihem, un proche du président Zeroual.

    Le FLN de Belkhadem connaît d'autres couvées irrédentes des "redresseurs" que Belkhadem n’a pas réussi à faire éclore. Mohamed Seghir Kara, numéro deux des redresseurs et porte-parole du mouvement, a déclaré jeudi à l’AFP que les redresseurs iront avec leurs propres listes aux législatives. "Nous allons nous présenter dans toutes les mouhafadhates avec des listes indépendantes baptisées Taasil (retour aux origines) en donnant leurs chances aux jeunes et aux femmes", a-t-il mentionné. Ainsi, c’est la formation d’Ahmed Ouyahia qui accuse le coup face à de nombreux dissidents qui reviennent à la faveur des législatives pour grignoter sur ses ailes.

    Les partis islamistes, pour contrer cette stratégie de "basse-cour", entreprennent des tractations au sein de leur mouvance pour des listes communes. Bouguerra Soltani donne aussi des velléités pour une telle initiative qualifiant l'adhésion de son MSP à cette alliance de "détails techniques".

    R. N.

  • Harcèlements, menaces et disparitions forcées

    RÉSEAU D’AVOCATS POUR LA DÉFENSE DES DROITS DE L’HOMME

     

     

    ACTION URGENTE

    Communiqué, 25 février 2012

    Le Réseau d’Avocats pour la Défense des Droits de l’Homme, dénonce avec vigueur le retour à des procédés que chacun croyait révolues et dont sont victimes des citoyens, dans un cadre hors de toute légalité.

     

    Le R.A.D.D.H vient d’être informé que le 19 février 2012, dix agents des services de sécurité venus à bords de deux véhicules banalisés de type Kango et d’une Peugeot 206, se sont présentés à 20 h 30 sans mandat légal requis par la loi, au domicile de Monsieur HAMLIL Azzedine âge de 65 ans, sis au village ouled Aïssa (Boumerdés). En l’absence de ce dernier, ils sont repartis pour revenir le lendemain soit, le 20 février 2012 à 9 h 15. Les agents se sont représentés à bord de trois véhicules banalisés et deux véhicules de la Brigade Mobile de la Police Judiciaire (BMPJ). Quatre agents se sont introduits au domicile de l’intéressé et ont procédé sans mandat légal, à une minutieuse et brutale perquisition durant 02 heures.

     

    Le fait marquant est que ces « représentants de la loi » ont lancé un ultimatum à la famille de M. HAMLIL Azzedine, menaçant de prendre en otage son fils âgé de 22 ans, et qu’il ne sera remis en liberté que si le père se constituait prisonnier !!! Ils ne manqueront pas de préciser qu’au cas où le père ne se présentait pas avant le vendredi 23 Février 2012, il sera purement et simplement éliminé physiquement !!!

     

    Par ailleurs et dans le même contexte le R.A.D.D.H à été informé que les personnes dont les noms suivent ont été enlevées le 19 février 2012 :

    - BISSAS Mourad âgé de 30 ans,

    - BAKAL Said âgé 22 ans

    - HIMANI Mohamed âgé de 32 ans

    - DJALIL Saïd âgé de 31 ans

    Tous les quatre sont originaires de la commune d’Ouled Aissa (Boumerdés). D’autre part le Réseau a été informé que vingt personnes des communes de Djenat, Baghlia et Sidi Daoud, sont considérées comme disparues après leur arrestation par des agents en civils.

     

    Il est à noter que :

    - Ces personnes arrêtées sont maintenues dans un lieu secret inconnu par les familles des victimes.

    - M. HAMLIL Azzedine a déjà fait l’objet de plusieurs arrestations, ou il fut soumis à des traitements brutaux et inhumains, avant d’être présenté à la justice, d’où il fut acquitté.

     

    Le Coordinateur

    Maitre Amine SIDHOUM

     

    amine_sid@yahoo.fr

  • Ouyahia-Belkhadem, un même combat : l’idéologie de la rente

     

     

    Par |
      

     
     
     
    Les deux compères : Belkhadem-Ouyahia

    "Un roi fit venir un économiste. Celui-ci arriva avec une encyclopédie en 18 volumes ; le roi le fit mettre à mort. Le second arriva avec un gros dictionnaire ; le roi le chassa. Un troisième vint et dit : "Sire, un repas gratuit, cela n'existe pas" ; le roi le nomma premier ministre." Milton Friedman

    Il n’existe pas un homme politique au monde qui accepte d’être à la tête d’un honorable gouvernement quand il se sait faisant parti d’une formation ayant obtenu aux dernières consultations législatives moins de la moitié de la totalité d’un principal rival. Encore moins un Etat digne possédant à ses commandes un illuminé qui désigne un adjoint pour le soutenir dans une faction perdante au cours d’un grand vote populaire.

    Après 136 sièges glanés dans les élections de 2007, le FLN se voit confier le rôle de la chefferie du gouvernement et c’est le ne-rate-rien de Belkhadem qui sera Premier ministre. Mais le président de la République qui dispose d’une Constitution à la Merlin-Pinpin le zigouille une année après pour mettre à sa place le leader de la formation qui a obtenu 61 sièges, en l’occurrence Ahmed Ouyahia. Ça se raconte, la blague, que les deux partis, avec le MSP de Soltani, le nahnahien, se regroupent en "alliance présidentielle" afin de laisser accroire aux populations, habituées au banditisme de l’urne et à tous les fourbis au sommet, qu’une majorité forte et intelligente encadre le chef de l’Etat dans ses gesticulations médiatico-administratives, au demeurant fort oiseuses.  

    Régenter par l’absurde

    Toutefois le commun du réflexe de moralité, d’un côté comme de l’autre, c’est-à-dire du point de vue de la Présidence et de l’avis de la formation du RND, la plus simple et juste courtoisie était que le successeur du secrétaire général du FLN à la tête du gouvernement soit un cadre de ce parti. Au moins, zâama, pour que l’opinion qui veut se faire la corvée de suivre le gigotement des dirigeants algériens pour donner l’impression d’être utile à leur pays, parvienne à dessiner des contours de rationalité dans l’intelligence globale qui doit normalement unir et déterminer ces trois partis, au demeurant dérobés dans les multiples interfaces de l’Administration, des armes et de la mosquée.

    Quand l’idée même de désigner le chauffeur de Belkhadem à sa place au poste de numéro deux de l’Etat ou qu’Ouyahia cède demain sa fonction à son coiffeur n’étonne ni n’intéresse désormais outre mesure les citoyens sains d’esprit de ce pays ; parce qu’ils n’ignorent finalement plus que leurs concitoyens qui s’acoquinent dans les relations de pouvoir finissent avant la sénilité par croire eux-mêmes à leurs conceptions paranoïaques de leur pays, d’abord que l’Algérie est une jolie poubelle chargée d’intéressants vestiges de denrées à ramasser face à laquelle il suffit juste d’avoir des mains prédestinées et le teint de visage à l’épreuve de toutes les formes d’irradiation pour s’en servir.

    De l’origine du mal

    Ce n’est par le combat politique dans le sens d’une passion sociale pour une cause claire et précise que les deux compères, le chef du RND et le patron du FLN – je ne sais pas pourquoi je suis vraiment triste d’être chaque fois obligé d’écrire ces trois glorieuses lettres pour parler de cette ubiquité associative qui porte atteinte à la dignité des habitants de ce pays qui ne tardera pas par parvenir à dégoûter les purs nationalistes de tous les noms de martyrs de la planète - sont arrivés dans les rênes du pouvoir comme on expliquerait classiquement qu’un socialiste sacrifie-t-il sa jeunesse pour faire valoir, par exemple, des lois et des textes d’application dans son environnement patriotique pour de grosses taxes sur les fortunes et le bénévolat dans l’exercice parlementaire, pour la promotion du mouvement syndical libre et autonome et le droit au travail et à la formation pour la jeunesse.

    Ahmed Ouyahia et Abdelaziz Belkhadem ont rencontré Larbi Belkheir, l’"entrepreneur" de l’après-Boumediene, chacun dans son petit coin ; nationaux  natifs quasi lambda vaquant normalement à leur métier d’anodins citoyens, le premier arrivé par hasard à la Présidence pour accomplir son service militaire à titre civil, diplômé de l’Ena, le second dans un lycée de Tiaret enseignant puis gérant, dans lequel gravitait une espèce d’aura familiale respirant l’odeur du colossal cacique frendi. Et ensuite, le régime algérien marchant sur la tête au lieu de l’intérieur qui réussit à mettre les aventuriers et les opportunistes au-devant des scènes d’intérêt matériel, comme - c’est prouvé – les imams laissent faire les gros spéculateurs de lucre qui s’installent derrière eux pour les prières, l’un et l’autre, donc,  se retrouvent-ils côte à côte pour servir un programme présidentiel dont je défie le plus érudit dans notre cher pays de nous dire lequel, autrement dit sur quelle perspective d’humanité claire il est possible de l’esquisser.

    Alger entre le Hidjaz et la tour Eiffel

    Ouyahia éradicateur ? Où, quand et comment s’est-il donc habillé en combat pour affronter la menace armée ? Les citoyens ont vu plutôt Abdelhak Benhamouda le faire bien avant d’inventer le Rassemblement national démocratique raflé au vol juste après sa mort par une bureaucratie discursive dont faisait partie l’actuel chef du gouvernement. Belkhadem wahhabo-zaouiiste, sentant les frappes de Liamine Zeroual sérieusement porteuses, se rallie du côté des forts toutefois un talent complet calé sur la carpette. Mais tel un prédateur devinant l’approche d’une proie, il subodore un compromis à la sollicitation de Liamine Zeroual et il se met à orchestrer une manipulation unique en son genre dont l’intègre Ali Benflis paiera les frais. Il récupère Sant'Egidio au sein même des mouvances dans le parti de Abdelhamid Mehri. A l’arrivée de Bouteflika, il comprend la danse qui consistera à dédramatiser coûte que coûte, tant sait-il que les islamistes les plus pernicieux et les plus riches sont dans sa formation.

    Pour dire les choses plus clairement, c’est justement cette "alliance présidentielle-là" que Liamine Zeroual refusait en démissionnant. Il était intéressé par les consultations mais il ne voulait pas d’une action nationale, un pied à Athènes un autre à Spartes, c’est-à-dire un Etat qui ne sort de la tourmente que grâce à la bénédiction de Riyad et de Paris.

    Ce n’est pas le cas pour les larrons en foire, Belkhadem et Ouyahia, le couple du nec plus ultra de l’idéologie de la rente. Qui officieraient avec n’importe quel chef d’Etat qui ne perd pas de vue qu’ils sont de la servitude la plus abjecte, capable de graves actions antinationales n’étonnant pas que l’après mai 2012 ferait de ce pays  une nouvelle pauvre Algérie, franco-saoudienne, qui achète et dépense dans la langue de Molière et prie et prêche dans celle de Mohamed Abdou, le crooner.

    Nadir Bacha

  • Les fils de Nezzar et Toufik lancent un site d’information

     


    KalimaDZ dans ACTUALITE le 19 février 2012 14 h 34 min

    Selon des informations sures, les fils du général Mohamed Mediène, dit Toufik, patron du DRS, et celui du général en retraite, ancien ministre de la défense, Khaled Nezzar, viennent de lancer un site d’information sur le web.

    Déjà associés dans l’entreprise « SLC », fournisseur internet haut débit, qui fournit la majorité des médias et un grand nombre d’entreprises privées, Sid Ali Mediène et Lotfi Nezzar, s’attaquent au contenu, c’est à dire à l’information, elle même.

    Le site dont le nom « algeriepatriotique.com » suffit à comprendre les intentions, ne s’en cache pas. Dans sa rubrique « qui sommes nous » ses initiateurs annoncent ostensiblement que la « motivation professionnelle – informer selon les règles fondamentales du journalisme – est, ici, accompagnée d’une motivation patriotique traduite clairement dans le titre du journal », ajoutant « nous privilégions les informations qui mobilisent notre peuple». Ils se revendiquent eux mêmes comme un organe de propagande, ça a au moins le mérite d’être clair.

    Même si les noms des deux « fils de généraux », n’apparaissent nulle part dans le site, dans les milieux de la presse, personne ne l’ignore.

    Après avoir subit, leurs pères de généraux, les algériens, devront ils aussi se farcir leurs enfants ?

    KalimaDZ

  • L’opinion nationale algérienne, cinquante ans après l'indépendance

     

    Par Le Matin DZ |

     

     

     

    "L’homme doit d’abord se nourrir, se désaltérer, se loger, se vêtir et ensuite seulement, il peut participer à des activités politiques, scientifiques, artistiques ou religieuses" Zhang Xianliang

     

    Cette fois-ci, pour cette consultation, la énième rengaine à toutes les fausses espérances réunies depuis l’escamotage des libertés réappropriées à l’indépendance, finalement, tous les indicateurs psychologiques et matériels démontrent que désormais tout ce qui est proposé par les classes au pouvoir ne concerne, d’une manière ou d’une autre, aucunement l’intérêt des populations. Car tous les Algériens conscients, désormais riches de toute l’expérience des citoyens qui, à divers degrés de gravité volontaires ou inconscients, ont fait coucher la nation entière dans les soues en tirant des profits de personnes et de groupes, n’ignorent pas que les élections programmées pour mai prochain s’adressent plutôt à la communauté internationale dont le dividende autour de la valeur de notre pays exige de "nos" responsables une soumission aux schémas économiques tressés pour le bien être de l’Europe avant tout.

     

    Les Algériens ne voteront plus pour de pseudo partis

     

    Les contribuables, surtout les salariés qui n’ont aucun moyen de frauder le fisc afin de diminuer la pression du coût de la vie sur leurs familles, les chômeurs et les réduits au trabendisme de survie, les rentiers des misérables pensions de vieillesse, les étudiants que l’Etat aide à raison de moins de quatorze euros par mois, les centaines de milliers de couples de conjoints sans ressource avec des enfants scolarisés, les innombrables familles dans les rue, enfin, ces gens de cette Algérie-là qu’aucun système ni discours ne peut aujourd’hui occulter, il est quasi impossible dorénavant d’escompter leur participation au sein de fumisteries de gouvernance dont ils ne peuvent devenir que les pauvres conséquences acculées dans le total désarrois.

     

    Au sujet du FLN, du RND et des islamistes récupérés dans la morbide concoction militaro-présidentielle pour une concorde civile reniant le droit des citoyens à faire juger des milliers de criminels, les populations savent à quoi s’en tenir lorsqu’elles ont vu et entendu comment les élus de ces pseudo formations politiques qui ont sans rougir tenté de brader Sonatrach au même moment qu’ils se sont accordé des indemnités princières en plénière à huis clos, l’argument de la méfiance est radicalement arrêté : les "militants" de Belkhadem, d’Ouyahia et de Soltani ont eu suffisamment de temps et d’outils, surtout à l’avènement de Abdelaziz Bouteflika, pour prouver aux Algériens qu’ils ne se soucient que de leurs faveurs en commissions dans l’Etat et en résultats lucratifs. Au service d’un pouvoir inamovible, ils sont ministre de quelque chose aujourd’hui, puis ministre encore dans un domaine complètement différent le lendemain. Pour ces êtres de la spéculations sur le faux et le subterfuge, vivre en tant que citoyen en Algérie, c’est exister au moins comme chef, capable d’enrichir et d’appauvrir. De prodiguer du prestige ou de donner le mépris.

     

    Des richesses utopiques

     

    Allez demander aux cadres "résidents" dans les ministères - ces techniciens de l’administration et de la gestion – combien de maladies chroniques ils ont dû cultiver dans le va-et-vient des ministres sans compétence et sans savoir-faire, à qui il arrive de diriger par un idée vague tractée à partir d’une réunion de famille enregistrée sur papier comme conseil des ministres ou de gouvernement. Ou sur la base d’intuitions approximatives supposées contenter une feuille de route discursive ahanée par le chef d’Etat dans les médias.

     

    Depuis cinquante ans les hommes au pouvoir disent que l’Algérie est riche, sans ajouter qu’elle ne possède pas de minerais nobles, de capacités industrieuses viables, de relations de bon sens dans les échanges agro pastoraux où le lait, les viandes et les semences maraîchères, croisent allégrement les hydrocarbures dans les déplacement maritimes, sans préciser que l’école publique est incapable de mettre sur les rails un être humain adulte apte à se reconnaître dans un monde où il se sent utile pour une cause partagée par l’ensemble de ses contemporains, enfin, sans expliquer que la famille n’est pas unie dans le sens où les familles du monde entier regardent au moins la télévision de leur pays en comprenant le langage qui s’y dit. L’Algérien écoute le journal télévisé en arabe littéraire qui n’est parlé dans aucun recoin du monde arabe, encore moins en Algérie mais le film est doublé en français et le feuilleton turc en libanais ou en marocain.

     

    Oui, on lui dit que son pays est riche pour qu’il continue à rêver qu’un jour son tour de manne arrivera. Qu’il aura sa part en bonne et due forme comme l’ont eue les enfants de dirigeant et alliés d’affaires partis étudier dans les universités les plus chères de la planète. Et revenus occuper des fonctions de villégiature au lieu de concourir à aider leur concitoyens, laissés pour leur compte au pays, pour au moins manger à leur faim en se chauffant assez correctement en hiver.

     

    Une opposition formelle complice

     

    Or le citoyen trempé dans les bain insalubres des gouvernances perfides, imbéciles ettraîtresses, il sait que s’il joue le jeu de l’élection de mai, c’est toute cette furie de l’incurie qui va encore une fois s’accaparer de sa destinée et de celle de ses enfants et proches incapables de se défendre. Voter pour des individus qui n’attendront pas la deuxième coupe de champagne avant de se profiler des connivences antipopulaires pour fortifier la domination des castes les ayant recrutés, c’est plus que de rester neutre devant ce néocolonialisme intestin, aller tête baissée dans le désastre définitif.

     

    Les partis de l’opposition ? D’abord lesquels pour voir comment essayer de les situer par rapport à un combat authentique contre le statut quo d’un régime qui s’estime en mesure de survivre au détriment de toutes les forces nouvelles qu’il n’hésite pas à noyer dans des urgences "nationales" qu’il est le seul à désigner pour dire qu’il en connaît les remèdes. Les partis de l’opposition sont des partis qui contestent un programme adopté par une majorité votée. Ceux qui contestent au sein du gouvernement et de l’Assemblée ne peuvent pas être considérés comme des opposants parce qu’ils acceptent de jouer le jeu du régime, foncièrement fraudeur et usurpateur, qui se donne l’exclusivité de contrôler les patrimoines du pays et qui rémunère qui il décide de rémunérer dont paradoxalement les partis qui s’affichent agissant contre lui.

     

    Le régime de la peur

     

    La logique de la force imposée depuis les armées des frontières est en train de se casser la gueule. Des généraux issus de ses rangs sont aujourd’hui traînés dans la boue. Les « politiques » qui se sont épanouis dans leur giron ne sont pas respectés. Si l’on s’en accoquine ce n’est pas pour partager leurs convictions mais dans le but de glaner des avantages grâce à leur main mise sur les patrimoines.

     

    La franchise est que jamais l’Algérie n’a été dirigée sans la hantise des armes et la crainte de la casquette. Le citoyen a eu tout le temps peur dans son pays malgré la misère et la privation des libertés. Mis à part dans la "guerre des sables" au tout début de l’indépendance, puis en 1967 et en 1973 contre les Israéliens dans le Sinaï et durant les deux "Amgala" en 1976, tous les tirs à balles réelles sur cibles humaines ont été dirigés contre les populations algériennes.

     

    Mais attention, les filiales générationnelles ne sont jamais agencées, ordonnées, selon des schémas de psychologie figés. Chaque génération interprète et réagit à des situations précises à sa manière propre. La génération de Messali Hadj diffère de celle de Didouche Mourad ou de Ali la Pointe. Comme celle de Belkhadem et d’Ouyahia n’ayant rien à voir avec celle qu’ils condamnent pour tentative d’exil périlleux. Parce qu’ils font tout, avec l’appui de Ziari et de Bensalah, pour les dégoûter de leur pays. Quand un grand saboteur de Sonatrach purge une année de prison et un revendeur de cinq grammes de cannabis à quatre. Du côté de Tébessa qui s’est peut-être démarquée de l’Etat algérien, c’est carrément la peine capitale.

     

    Un pouvoir sans Etat

     

    Oui, l’Etat. Que fait-il donc pour faire sortir le pays du ghetto dans lequel une succession de bandes d’inconséquents l’a acheminé ? Comment compte-il s’y prendre pour que la nation ne fasse pas la sourde oreille à toute idée de vote dans n’importe quelle instance consultative ? Quitte à se faire accompagnée par un débrayage général jusqu’à ce point de non retour où tous les incapables qui gouvernent, honnêtes ou propres – le problème n’est désormais plus sur cette considération – se doivent au plus vite de démissionner. Un deuxième République, pensent les puristes encore accrochés à la pensée parisienne qui comptabilise l’évolution de la France au nombre de césures dans le développement républicain au lieu de la marche de la science et de la technologie qui fait la grandeur de ce pays où des Algériens de souche conseillent l’Elysée. C’est plutôt d’un Etat dont a besoin en réalité l’Algérie.

     

    Un Etat qui commence par une famille désangoissée, qui ne confondra plus les fêtes et les sacrifices. Qui ne permettra plus à des va nus pieds de zaouïa de la mouler dans un code nourri d’obsession sexualiste et de machisme d’apparat. Une famille qui enverra ses enfants dans une école décidée par les parents, peut-être conseillés par des savants mais selon ce qu’ils veulent que leurs progénitures apprennent et assimilent au moyen de langues qu’ils envisagent. Un Etat ne décide pas de la langue du pays qu’il représente, au contraire il est tenu de prendre en charge et de glorifier les langues admises dans ce pays. Lorsque Bouteflika a presque hurlé dans la patrie d’El Mokrani devant des milliers de Kabyles médusés que l’amazighe ne serait jamais une langue officielle en Algérie, toute la population algérienne a compris qu’il n’était pas venu au pouvoir pour le bien de son pays - ce qui est plus grave encore, ce sont tous les grands commis qui gravitaient autour de lui qui parlent amazighe en famille et avec les amis et qui n’ont démissionné le jour même.

     

    Et tout ce qu’il a émané de son administration ensuite, en quelques années, est venu confirmer cette supposition.

     

    En bref, il a réussi le prodige de faire emmagasiner au Trésor public une somme de devises fortes jamais imaginée en cinquante ans d’existence et en même temps une marge de paupérisation unique dans l’histoire de l’Algérie indépendante. Le travailleur est misérable, le couple salarié finit mal le mois et le chômeur mendie, trafique ou vole.

     

    Les Algériens s’en fichent que leur Etat symbolise une république, un parlement ou un royaume. Ça ne gêne personne qu’un monarque patriote crée une émulsion démocratique où tout le monde travaille, loge, se soigne bien, éduque dans le bon sens ses enfants et n’enterre pas ses morts dans des ravins enclavés. Pour la défense du pays maintenant il s’agit de passer à un radical changement de point de vue ; passé le demi siècle de soumission il faut que dorénavant ce soit les populations qui contrôlent l’Armée.

     

    Nadir Bacha

  • pourquoi le SNPSP temporise??

    SON CONSEIL NATIONAL DEMEURE OUVERT
    Le SNPSP temporise

    Le conseil national du Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) a décidé de convoquer une autre réunion extraordinaire à partir du 15 février afin de poursuivre l’examen des différentes revendications toujours en suspens.
    Réunis ce week end, les praticiens de la santé publique ont eu à débattre de l’amendement du statut particulier et du régime indemnitaire, concluant à la nécessité de temporiser afin de mieux peaufiner des actions qui pourraient être décidées avec d’autres syndicats inscrivant à l’ordre du jour ces mêmes revendications. Les membres du SNPSP ont également longuement débattu des conditions dans lesquelles exercent les praticiens qui font face non seulement à des pénuries récurrentes mais également à une insécurité quasi permanente, notamment dans les services des urgences. A l’ordre du jour également du conseil national, les problèmes rencontrés par des praticiens désireux de s’inscrire au niveau des conseils ordinaux régionaux et auxquels ces mêmes conseils réclament des cotisations antérieures à 1998 alors qu’un accord avait été trouvé pour que le compteur soit remis à zéro à partir de 2006. Le SNPSP espère un règlement de ce problème après la tenue prochaine d’une assemblée nationale du Conseil de l’ordre.
    N. I.

    source:le soir dz

  • L'immobile gérontocratie au pouvoir paralyse l'Algérie

     

    La première des évidences est celle-là : On ne peut faire du neuf avec du vieux. Cela dit, il serait bon d’expliciter un peu plus, et ressasser jusqu’à ne plus en pouvoir, pour être mieux compris. Peut-être.

    Présent au centre du pouvoir depuis plus de 50 ans, il a vieilli avec ce même pouvoir devenu déliquescent et prédateur. Bouteflika, qui a été de presque tous les gouvernements depuis 1962, totalise plus de 40 ans de présence dans le premier cercle du pouvoir. Pouvoir qui a été à la source de bien des déconfitures. Depuis le coup d’état du groupe de Tlemcen qui porta un fanfaron au sommet de l’Etat à l’assassinat d’une centaines de jeunes en Kabylie en 2001, en passant par l’enlèvement de Boudiaf en plein jour par un officier de la dst reconverti en officier de la SM. Je ne parle même pas du coup d’état de juin 65. Aujourd’hui encore, Il est là, tel un spectre, à hanter les allées du régime.

    Les signes de cette vieillesse sont patents, et il n’est que de  jeter un coup d’œil sur l’âge des comparses qui ne veulent plus en démordre, tellement le morceau est de choix et de taille. J’entends la rente bien entendu. Ces gens sont si insatiables, qu’ils n’amassent plus que pour amasser tellement ils sont ravagés par les maladies des gérontes, et qu’à cet âge-là, les appétits, autres que ceux de l’or et de l’argent, se sont émoussés Voici donc, par ordre d’apparition, la galerie de ceux avec lesquels on ne peut faire du neuf :

    - Le chef d’état-major a passé allègrement les 75 ans, mais il n’est pas question de le mettre à la retraite ! Il aurait été Blücher à 72 ans croisant le fer avec Napoléon, nous aurions applaudi des pieds et des mains, mais là nous avons affaire à un squat pur et simple. A quoi ont servi les promotions d’officiers formés à de St-Cyr et à Frounzé ? Je parie qu’elles sont parties à la retraite à 45 ans ou tués par les Gia lamariens... Ne peut-on trouver parmi les milliers de jeunes officiers quelqu’un pour le mettre à la tête de l’état-major ?

    - Le chef du DRS. Un état a besoin, pour se prémunir, autant que faire se peut, des atteintes ennemies, de services de renseignements jeunes, dynamiques et à la pointe du progrès technologique. Il y va de la survie du pays, et en ce sens les services sont l’existence même de cet état. Même chose pour ces septuagénaires ministres, diplomates à demeure (Suisse). Pour servir ce pays et non constituer un boulet à son épanouissement. Et cela passe par un peuple cultivé et fier, et non soumis à tous les formes d’avilissement. On aime son pays différemment que l’on soit servi ou asservi, et en ce cas comme dans d’autres, seule une morale au-dessus des compromissions est à même de garantir au pays une voie royale et non un chemin de traverses semés d’embuches.

    Ces cas sont légions, et partout où que l’on tourne la tête, la gérontocratie est là, pesante, jalouse, édentée, dure d’oreille et indéboulonnable ; sauf peut-être par une place Attahrir. Partez ! Vous avez fait la preuve de votre incompétence.

    Rebouhi Lahbib

  • ça suffit y'a pas terroristes en algerie , c'est le pouvoir -drs

     

    Un bar incendié par des terroristes au sud de Tizi Ouzou



     

     

     

    Un bar situé dans la commune d'Assi Youcef, à une dizaine de kilomètres au sud de la ville de Boghni, dans le sud de la wilaya de Tizi Ouzou, a été incendié dans la soirée du mardi 1er novembre, vers 23 h, a appris TSA de source sécuritaire. Un groupe terroriste composé d'une quarantaine de membres armés de Kalachnikov et habillés en treillis des différents corps de sécurité ont fait irruption dans ce bar situé au lieu‑dit la carrière, sur la route menant vers Tala Guilef, a précisé notre source.

     

     

     

    Avant de mettre le feu au bar, les assaillants ont procédé à la vérification de l’identité des clients qui se trouvaient sur les lieux. Tous les clients ont été délestés de leurs téléphones portables et de leur argent, a indiqué la même source, expliquant qu' une fois encore, des CD d'attentats ont été remis à ces clients. L'incursion aura duré près d'une heure selon des sources locales. Aucune intervention des services de sécurité n'a été enregistrée.

     


    Il s’agit du quatrième bar attaqué à Tizi Ouzou en moins d’un mois. Deux bars situés dans la même localité d'Assi Youcef, avaient été attaqués dans la nuit du 4 octobre dernier. Dix jours auparavant, à Mechtras, toujours dans la daïra de Boghni, un important groupe terroriste avait incendié un bar.
  • no moment

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